Agitation à la porte nord.

Il était louche...
Ses paroles se contredisaient... ainsi que ses actes.
Jaï n'était pas dupe. Les rapports qu'elle avait lu sur lui l'y poussaient également. Surtout l'étrange description du bras gauche du Comte.

Une petite vérification et elle découvrit qu'il n'était pas partit pour Eauprofonde, comme il l'avait dit.
Un tour à l'auberge et, avec ses compagnons, Kambei, Syriane et Aldo Keltere, ainsi que Leen, elle suivit ses traces vers le nord d'abord, puis bifurquant vers l'ancien cimetière.

La, devant l'ancienne crypte des mages, les cadavres de deux harpies. Le petit groupe entra, arme au poing.
Et il était la, au milieu de la crypte. Il éludait les questions, protégé par un élémentaire.
Il éludait les questions.
Jaï l'arrêta, au nom de la fraternité, le sommant de se rendre ou de combattre. Il se rendit, il ne désirait pas combattre, il l'avait dit.
Mais alors que Jaï lui demandait de faire disparaître l'élémentaire, c'est le mage qui disparut. La jeune femme fonça à la porte pour l'empêcher de sortir, pendant que ses compagnons l'arrêtaient. Il fut rapidement maîtrisé.

La, il se mit à parler... ses aveux ne firent que renforcer les convictions de Jaï.
Il se cachait, couvert de dettes... et pourquoi cet endroit? Pour mieux pouvoir voler le savoir enfoui avec les mages défunts.
De plus, Jaï obtint la confirmation qu'un des bras du Comte n'avait pas de chair... Elle n'avait jamais vu ça que chez une seule personne: Naeros, un maître blême... le Comte était donc bien de la même condition.
Et pendant ce temps, quelqu'un bloqua la porte.
Kambei l'ouvrit facilement et ils purent l'emmener vers Lusakn.

La, les choses se compliquèrent, la garde refusant de prendre en charge le Comte... qui portait des symptômes de la peste.
Certains voulurent brûler l'homme, faisant justice eux-même.
Jaï ne voulait pas... pas comme ça.
C'est alors qu'arriva Jean... qui les soigna tous... et se chargea du Comte Janus.

(Et merci à Szadeck pour son fair play. chapeau!!!)

Il était a genoux...ces maudits paladin l'avais vaincu...aucune ruse aucune duperie, n'avais eu prise sur eux. Il n'allais meme pas lui donnée une mort noble.Tout ses années a étudier la non vie et tout cela pour mourir de la main de pauvre mortel.

Tous des hypocrites et des meurtriées masquant leur crime sous le masque de la vertue. Szadek avais compris, ils n'étaient pas si différents des paladins. La seul différence c'est que le nécromant accepté ce qu'il était. Un etre d'une race faible et décadante

Alors que l'épée s'abatais sur son coup, la seul pensée qu'eu Szadek fut la suivante

"La mort n'est pas une fin en sois, je reviendrais...."

(Merci pour les félicitation XD mais bon je n'ai fait que jouer normalement)

Jean sortait de la ville afin de rejoindre un petit groupe enquêtant sur le banditisme de grand chemin lorsque sont intention fut attirée par un attroupement aux portes nord de Luskan. Il y remarqua son épouse qui lui demanda d'intervenir, mais un garde héla le paladin du Vértiable et lui demanda son aide afin de soigner son camarade dont il craignait qu'il ne fut contaminé par la peste. Le guerrier saint pria sa divinité et leva toute trace d'infection pouvant se trouver dans ou sur le corps du garde.

Après, il se tourna vers son épouse qui lui expliqua la situation... cet homme pillait les tombes et était pestiféré. La première chose à faire fut de mettre toutes les personnes présente en rang et de les soigner préventivement, ce qu'il fit grâce à un chapelet de prière.

Une fois cela fait, il se fit expliquer toute l'histoire.. puis vînt le nom du pilleur ballionné.. Comte Janus, d'après les rapports lus par Jean c'était plus que probablement un de ces immondes maître-blême, il vérifia la chose et constata de ses yeux l'existence de cet abject bras..

Le Paladin saisit alors son arme, regardant l'homme devant lui. Celui-ci pleurait, comprenant son sort. Jean, déterminé, pria à voix haute pour que Torm lui accorde sa bénédiction et sanctifie son arme afin de châtier ce serviteur des ténèbres. Avant d'abattre son épée sur la nuque du nécromancien, il eut quelques mots pour le condamné : "Puissent les dieux vous pardonner" Ensuite la tête de l'homme tomba au sol, le corps suivit.

Avec Kambei il porta le corps à la prêtresse de Valkur qui soignait les gens contre de l'argent à la porte de la ville. Celle-ci se chargea des funérailles, elle purgea le corps, puis le mit à l'eau. Celle-ci bénie par Valkur, une flèche fut ensuite tirée, et le corps s'embrasa. Ainsi périt un maître-blême.

//Hrp : je souligne encore une fois le fairplay du joueur, tout s'est passé sans le moindre accroc.\\

(petite précision:cette évenement a t'il fait le tour de la ville ou il est restée secret?)

Kambeï n'avait pas aimé faire cela, tenir entre ses mains pendant un moment qui sembla des heures, la vie d'un homme condamné à mourir sur le bûcher. Ce n'était pas aussi facile que de tuer quelqu'un.
Il tint bon, en se disant que cet homme était coupable de crimes. Mais plusieurs fois il se dit que cet homme n'avait aucune porte de sortie, aucune chance d'échapper à son sort, les larmes qu'il faisait couler pour apitoyer ses bourreaux n'étaient pas qu'une ruse. C'était le constat d'un échec, d'une vie entière passée à tenter d'accomplir des chose pour qu'elle n'ait finalement jamais de sens.
Ainsi maints fois il crut qu'il n'allait pas pouvoir tenir cet homme en laisse jusqu'au bout.
Seule consolation, cet homme reçu des soins peu avant d'être décapité.
C'est sans conviction que Kambeï décocha la flèche qui embrasa le tombeau du demi-elfe, et il ne tira aucun orgueil des remerciements de la prêtresse de Valkur. Il ne regarda pas le tombeau suivre le courant de la rivière, il repartit espérant oublier ce qu'il avait fait cette journée.

(je pense que ça a fait le tour... un bûcher ça passe pas inaperçu je crois ^^)

Que font-ils ? que font-ils ? que font-ils donc a la fin ??!
ou est leur respect ? Ne se rendent-ils pas compte que finalement leurs milliers d'hésitations et atermoiement n'est qu'infâme cruauté ?

Il est sans conteste mal de prendre une vie, et il ne faut pas le faire autant qu'il l'est possible. Mais lorsqu'une vie doit être prise il faut le faire vite et bien, pas cette lente agonie a trainer l'homme de gauche a droite pendant plusieurs heures, le soignant avant de le cogner a nouveau, le laissant esperer, lui permettant de parler, le laissant s'avilir a supplier, a pleurer.
Haissent-ils donc cette chose nécromante pour la traiter ainsi ?

Je ne comprend pas ses humains qui peuvent montrer tant de cruauté et de haines puis annoncer ensuite servir une noble et juste cause, servir le bien, le bonheur des gens. Qui cherchent-ils a tromper ? eux-même ?

(le corps du nécromancien a été jetée dans la rivierre dans un embarquation. Attaché? Si c'est le cas meme brulée il reste les os qui sont attaché a l'embarquation qui a dérrivé par le courant du fleuve. Sinon bas le corps a pus tombée a l'eau...)