Le Val de Bise - Module NWN Forum du Val de Bise, module RP de Neverwinter Nights |
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| [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir | |
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Ch'ti mi ! Néophyte (Noob en poli)
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| Sujet: [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir Mer 4 Juin - 15:32 | |
| - Citation :
- Nom de compte Forum : Ch'ti mi !
Nom de compte Joueur : Ch'timi Nom du personnage : Aërendùr Di'makiir Race : Elfe Age : 240 ans Alignement : Chaotique neutre Langues connues : Commun et elfe Religion : Séluné (s'il en est) Classes prévues : Guerrier (12) / Mage (13) (susceptible de modification) Arme de prédilection / Ecole de magie : Arc long / Abjuration Ennemis jurés : Aucun
Traits de caractère : Cinique et d'apparance hypocrite. Difficile de vraiment cerner le caractère d'Aërendùr. Malgré tout, il a relativement bon fond. Il souffre d'amnésie. Semble franc et calculateur, et n'hésite pas à provoquer ses interlocuteurs pour bien saisir leur personalité. Possède à la fois quelque chose de sympathique et d'agaçant.
Description physique : D'une taille tout ce qu'il y a de plus normal, il affiche constament un large sourire sournois et hypocrite. La couleur de ses yeux est imperceptible tant ils sont bridés. Hormis ce sourire, il est très inexpressif, seuls quelques hochements de sourcils trahissant l'étonnement ou l'amusement. Si vous passez votre main dans ses cheveux en bataille, vous pourrez sentir la marque d'une profonde cicatrice, peut être un vestige de ce qui l'a rendu amnésique.
Caractéristique : (lvl 5) For : 12 Dex : 18 Con : 10 Int : 16 Sag : 10 Cha : 10 Pour des raisons et par une personne qui lui restent inconnues, Aërendùr ne garde aucun souvenir de ces 160 dernières années. Tout ce qui lui reste, ce sont quelques moments partagés avec sa famille lorsqu’il n’était alors qu’un enfant. Mais pour les comprendre, il faut remonter plus avant dans le temps… Taurnil Melwasùl était un elfe peu scrupuleux, qui estimait que les lois étaient rédigées pour les « simplets trop lâches de vivre sereinement sans code de conduite ». Ceci peut être pour justifier ses délits de bas étages. Il était un menteur et un arnaqueur à moitié raté qui tentait de survivre sans trop se fatiguer, ce qui eut pour conséquence de le mettre à l’amande auprès des autorités locales. Ses crimes n’avaient jamais causé la mort ou la ruine d’une tierce personne. Il se contentait de puiser sa maigre fortune chez les hommes les plus naïfs, qui semblaient être attirés comme des mouches par du vinaigre, puis de faire l’amour à leurs femmes. C’est pourquoi il ne restait jamais bien longtemps en prison. Jusqu’au jour où il rencontra Nàpoldë Anwamanë, la fille du seigneur de leur terre. Contrairement à lui, celle-ci était très instruite et menait une vie de princesse. En tant que tel, elle avait été promise à l’un des neveux du roi. C’était, à l’époque, son plus grand malheur. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle quittait le dîner pour se réfugier dans sa chambre, ni combien elle pouvait se disputer avec son intangible père. Taurnil avait pour lui l’avantage d’être beau et charismatique, et il ne lui fallu pas longtemps pour séduire la dame et la convaincre de s’enfuir. Ce fut probablement leur acte le plus dramatique. Bannis de leur cité, leurs têtes furent mises à prix. Ils durent fuir les autorités et s’exiler loin de chez eux, dans un bois où personne ne pourrait les retrouver. Mais ils s’en moquaient : ils s’aimaient comme des adolescents. Et le fruit de leur amour leur donna un fils. Dans un soucis d’anonymat, il n’hérita du nom d’aucun de ses parents, et fut baptisé Aërendùr Di’makiir. Il grandit environ une quarantaine d’années avec ses parents, accompagnant son père dans les cités environnantes pour revendre les peaux de bêtes qu’ils parvenaient à abattre. Malheureusement, celui-ci était accro à ses magouilles, et Aërendùr se retrouvait souvent seul face aux problèmes qu’occasionnait son père, abandonné. Il ne se rendait pas compte alors, des efforts que pouvait déployer Taurnil pour le récupérer. Son fils était sûrement sa plus grande fierté. Lorsque, après moult histoires, ils revenaient enfin chez eux, il faisait promettre à Aërendùr de ne rien dire à sa mère, ce qui développa chez lui une expression étrange, à mi-chemin entre l’hypocrisie et la sournoiserie, même si au fond il en souffrait. Il se sentait comme une poupée vaudou, dans laquelle on enfonçait les aiguilles qui faisaient silencieusement pleurer sa mère. Puis, Taurnil devint de plus en plus distant avec le temps qui passait. Il s’était amouraché d’une jeune humaine à peine majeure, et se rendait à chaque fois plus longtemps en ville pour la voir. Lorsqu’il revenait, il était souvent ivre mort, et devenait alors très violent, lui qui d’accoutumé était si diplomate. Il pouvait passer plusieurs heures à séquestrer sa femme et à la frapper. C’est à cette période qu’Aërendùr devint inexpressif et complètement désincarné, se sentant aussi impuissant qu’un papillon qui, prit dans une toile d’araignée, n’a plus qu’à attendre la mort. Une nuit qu’il avait bu, Taurnil entra avec fracas dans la chambre du jeune elfe, sous les cris de sa femme en proie à la panique. L'enfant était paralysé par la peur, s’étant déjà imaginé les pires horreurs que pourraient lui faire subir son père. Ce dernier le prit dans ses bras, en larme, puis lui murmura : « Mon fils… Tu es la plus belle chose que j’ai jamais faite. Promets-moi… Que tu ne seras jamais comme moi. Et dis-toi… Que je t’aimerais toujours. » Cette nuit là, Nàpoldë prit vraiment peur, puis dut faire un des choix les plus difficile de sa vie. Taurnil et Aërendùr étaient devenus sa seule famille, et il n’était pas question pour elle ni de la perdre, ni de la laisser s’autodétruire. Un beau matin, alors que le soleil venait à peine de se lever, elle attendit son mari qui était encore parti vadrouiller… L’arc à la main. Elle l’accueillit puis le chassa avec quelques flèches subtilement perchées dans son postérieur, ce dernier jurant corps et âmes qu’il se vengerait. Mais jamais Aërendùr ne le revit. Il devait alors avoir 45 ans. Les années qui suivirent, Nàpoldë prit en charge l’éducation de son fils et l’entretien de son foyer. Elle lui apprit quelques bases en magie, à brandir un arc, puis le jeune elfe assuma le rôle de son père, chassant les bêtes pour aller revendre leur peau sur les bords de chemin. Le temps passa, Aërendùr grandit, puis lui et sa mère trouvèrent finalement un équilibre dans leur vie. Au bout de quelques temps, elle tomba grièvement malade, succombant aussi vite qu’une flamme ne se fait souffler par le vent, emportant avec elle tous ses remords. A la fin, n’ayant plus toute sa tête, elle accablait le jour où Taurnil l’avait arrachée à son foyer pour la tromper avec une pute quelques années plus tard. Elle avait maudit son père qui l’avait renié, puis elle méprisa les dieux pour lui avoir permis de vivre. Seul son fils semblait encore lui apporter du réconfort, dans ses quelques instants de lucidité. Lorsque la mort l’emporta, Aërendùr mit le feu à sa pittoresque grange. Puis il retourna dans la cité d’origine de ses parents avec un arc, pour tuer son grand-père qui avait banni sa propre fille de sa cité et de son cœur. Même après tout le temps qui s’était écoulé, lorsque ce dernier apprit la mort de son enfant, il s’effondra. Jamais Aërendùr n’eut la force de bander son arc pour l’achever. Puis, à l'instar de ses aïeuls, les conseillers le bannir lui aussi à jamais. Seul et abandonné, Aërendùr suivit des routes au hasard, enivré par le désespoir. Il était prêt à faire n’importe quoi pour trouver un quelconque équilibre… Qui sait ce qu’il se passa ensuite ?
Dernière édition par Ch'ti mi ! le Sam 7 Juin - 18:30, édité 3 fois | |
| | | Volvic Gardien des Mystères
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| Sujet: Re: [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir Mer 4 Juin - 20:03 | |
| CeBg raconte une histoire intéressante, mais qui n'a pas de rapport avec ta race, et tes classes. Ce que je dois mesurer dans ton Bg c'est la connaissance martiale de ton perso, sa maîtrise de la magie (que tu n'évoques pas du tout) et surtout la voie terriblement difficile et prestigieuse de l'archer mage. De plus je ne sens pas du tout chez les personnages que tu as décrit une quelconque âme elfique. Ils sont beaucoup trop humains et archer mage est une classe qui symbolise l'essence même de "l'elfitude" Je te conseille donc de te renseignez sur la classe de guerrier, de mage et d'archer mage, ainsi que sur la race elfique dans la bibilothèque d'Elminster. https://valdebise.1fr1.net/la-bibliotheque-d-elminster-f29/ | |
| | | Ch'ti mi ! Néophyte (Noob en poli)
Nombre de messages : 4
| Sujet: Re: [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir Jeu 5 Juin - 2:06 | |
| Le jeune elfe a aperçu une seconde proie. Encore irrité par son précédent échec, il n’a pas l’intention de louper sa cible cette fois. Elle se tient à plusieurs dizaines de mètres de là, allongée dans l’insouciance. Une magnifique panthère, dont le pelage semble si soigné, qu’il réfléchit avec grâce les quelques jets de lumière qui illumine l’animal. Ce dernier semble si paisible que l’enfant a du mal à se résoudre de l’abattre. Mais maintenant que son père a été chassé, il va falloir qu’il mûrisse plus vite qu’il ne l’avait espéré. Ravalant sa pitié, il commence à bander son vaste arc. Son rythme cardiaque commence à ralentir, il faut qu’il trouve la sérénité nécessaire pour ne pas trembler. … Doucement… Il se concentre… … Doucement… Il visualise la trajectoire de sa flèche… … Doucement… Il relâche ses doigts… Puis le projectile fuse, traversant plus d’une centaine de mètres en à peine quelques secondes, venant se figer dans le flanc de la bête. Celle-ci commence à se débattre de douleur, frappé par un mal inexplicable. Elle semble cracher du sang et pousse des miaulements d’agonie. L’elfe relève la tête avec une expression que lui seul saurait expliquer, entre la satisfaction et le remord. Il détourne très vite son attention de l’animal, croyant avoir entendu un léger bruissement de feuilles derrière lui. De nouveau, il se concentre. Mais sur ses sens cette fois. Rien ne lui parvient. A part quelques chants d’oiseaux. Le souffle du vent bousculant les feuilles. Au loin, un loup qui hurle… Non ! Il y a quelque chose d’autre tapis derrière les buissons, qui se rapproche agilement. L’elfe se redresse lentement puis prend ses distances, armant une seconde flèche. Il sent que quelque chose de menaçant le rejoint. Pour éviter de ne paniquer, il respire profondément, mais déjà il devine que l’entité sait qu’elle a été repérée, le rythme de ses pas ayant accéléré. Une masse énorme bondit alors de la broussaille et se jète sur lui. L’elfe n’a pas le temps de réfléchir, instinctivement il se faufile sous une patte plus grosse au moins de deux fois sa tête. Le nouvel arrivant a loupé sa première attaque, mais Aërendùr ne sait que trop bien que la seconde sera beaucoup plus élaborée. Un tigre immense se trouve devant lui, jamais l’enfant n’aurait pu imaginer qu’un tel monstre puisse exister ici. Celui-ci se retourne lentement pour le scruter, attendant apparemment que son gibier prenne les jambes à son coup, comme un chat pourrait se distraire d’une souris. Rarement l’elfe avait été autant impressionné. Nerveusement, il décoche une flèche d’un mouvement rapide. Celle-ci vient se loger dans l’épaule de l’animal, mais ne le pénètre pas suffisamment profondément pour l’handicaper. Il plante ses crocs dans la tige de bois puis l’extrait de son corps, sans même un rictus de douleur. L’enfant en profite pour s’enfuir, mais il sait pertinemment qu’il ne pourra pas courir bien loin. Avec l’adresse d’un singe, il choisit de bondir sur un arbre, s’élançant d’une branche à l’autre pour en gagner la cime. Son cœur bat la chamade, mais il se sent déjà en sécurité. Le monstre essai bien de le rejoindre, mais il est trop lourd et mal conçu pour escalader l’abri. Finalement, toutes ces années passées à crapahuter dans la forêt n’auront pas servi à rien… Elles lui auront même sauvé la vie. L’animal n’abandonne pas pour autant, il semble têtu et agacé. Il martèle de ses pattes arrière le tronc de l’arbre, qui déjà commence à s’ébranler. De nouveau, un sentiment de panique gagne l’elfe. Subitement, son assaillant s’arrête. Il semble avoir repéré une autre proie, mais Aërendùr a du mal à la distinguer au travers du feuillage. Une voix claire et familière s’élève par-delà le voile végétale : " - Tout va bien, Aër’di ? " C’était ainsi que le nommait parfois sa mère. Il se sentait à la fois soulagé et inquiet : " - Tout va bien maman ! Ne reste pas là !!! Cette bête va… ! - Calmes-toi maintenant. Dois-je vraiment te rappeler que le sang des Anwamanë coule dans tes veines !? Crois-tu que c’est ainsi que se comporte le membre d’une noble famille !? Tu devrais avoir honte… " Le regard de la femme est infaillible, si perçant que le tigre semble hésiter à bouger. Elle le tient en joue de son arc royal, aussi déterminé qu’une mère qui cherche à protéger son enfant unique. " - Mais… ! " Aërendùr aimerait hurler, mais la peur l’en empêche. La bête fait un premier pas pour tenter d’intimider son opposante. Celle-ci n’hésite pas, elle décoche une première flèche qui fend l’air à la vitesse de la foudre, amputant l’animal d’une de ses pattes avec violence. Déjà, un deuxième projectile est prêt à frapper. Le monstre ne semble pas encore avoir remarqué qu’il est blessé puis, tentant de prendre appui sur son membre estropié, il s’effondre de tout son long sur le sol. Le regard du tigre a changé, il ne comprend pas ce qu’il lui arrive. Puis il finit par rugir de douleur et d’effroi. Nàpoldë peut détendre son arme, ni elle ni son fils ne sont plus en danger. Le jeune elfe n’a pas saisit lui non plus ce qu’il s’est passé, il est silencieusement stupéfait au sommet de son arbre. Sa mère approche lentement de l’animal puis dépose une main bienveillante sur son museau pour le calmer. Lui qui était si effrayant jusque là semble maintenant apprivoisé. " - Tu peux descendre de là, fils… " Ces mots eurent l’effet d’une gifle, ramenant l’enfant d’un état second où il ne percevait plus que les battements frénétiques de son cœur. " - Doucement… " lui précise-t-elle. Aërendùr suit à la lettre les ordres de sa mère, se déposant à côté d’elle avec beaucoup de tact. Elle a sorti un paquet de bandage et applique les premiers soins à l’animal. L’enfant est surpris : " - Tu ne l’achève pas ? Sa peau doit valoir une fortune. - Il faut que tu apprennes à traiter avec respect les forces de la nature… Puis je n’ai pas spécialement envie que tu te ballades trop souvent sur les bords de routes pour ramener un argent qui ne nous sera pas d’une grande utilité. - Tu sais… Tu n’as pas à craindre que je t’abandonne comme mon pè… " Elle resserre un peu trop violemment le bandage sur les mots de son fils, un jet de sang venant entacher sa tenue de toile, occasionnant par la même occasion un gémissement du monstre. " - Cesse de dire des bêtises ! Maintenant tais-toi et va chercher ta proie. On rentre à la maison et je ne veux plus t’entendre d’ici là. "
Nàpoldë était le genre de femme a rarement se reposer sur ses acquis. Elle avait dû beaucoup travailler, lorsqu’elle vivait encore avec son père, pour devenir ce qu’elle était actuellement. Et elle tenait particulièrement à l’éducation de son fils depuis qu’il avait dépassé l’âge de ses 40 ans. Revenant à peine du bois, elle dépose la dépouille de la panthère sur une table pour la dépecer : " - Tu te souviens des incantations que je t’ai fait réviser hier ? - Maman… Je suis fatigué, on pourrait pas laisser tomber les exercices profanes pour ce soir ? - Pas question, mets-toi au travail pendant que j’arrache sa peau à cette bête… Que Séluné me garde, mais regardez-moi ce travail ! Je ne t’avais pas dit de viser la tête ? Son pelage va être abîmé. " Aërendùr tâchait de ne pas contrarier sa mère depuis que Taurnil les avait quittés. Il ne discutait jamais bien longtemps ses exigences. Il se met en position, sous l’œil avertit et intransigeant de Nàpoldë. Puis tente d’agencer avec méthode les règles de base : Tout d’abord, entraîner le flux profane dans un mouvement régulier et uniforme. Il doit créer un glissement depuis la toile jusqu’à lui puis, une fois fait, lui donner une condition en résonance avec sa voix. Une fois que l’orbe profane se solidifierait, il lui faudrait délicatement briser l’inertie qu’il aurait acquis puis le déplacer vers l’endroit désiré. Cet exercice était simple selon la femme, et représentait le premier pas à franchir pour maîtriser les arcanes. Mais l’enfant n’est pas concentré, il agit avec beaucoup trop de négligence et d’empressement, cherchant à rapidement finir l’exercice pour satisfaire sa mère. Pourtant, il doit bien savoir que celle-ci n’est pas dupe. Elle le laisse tout de même faire. Le jeune elfe réunit peu à peu le flux profane sous la forme d’un orbe, mais l’inertie est instable. Il se lance quand même dans la formulation incantatoire et s’apprête à envoyer les énergies contre une cible située à quelques mètres de là. Evidemment, l’opération est un échec, l’orbe explose entre ses doigts au moment où il y applique la paume de ses mains, provoquant un souffle qui le fait tomber à la renverse. La femme est agacée, mais après un soupir, elle se surprend tout de même à rire : " - Mon pauvre fils… Bon, d’accord, ça suffit pour aujourd’hui, mais demain tu resteras toute la journée ici, jusqu’à ce que tu arrives à créer un bouclier magique. - Quoi !? Mais enfin !!! J’ai déjà du mal à faire un simple rayon de givre, tu vas quand même pas… - …Et arrêtes de discuter, tu sais très bien que je ne reviendrais pas sur mes paroles. - Mais pourquoi est-ce que tu tiens tant à ce que je sache manipuler le flux profane !? " De nouveau, la mère se laisse aller à souffler puis délaisse l’espace d’un instant sa bête. Elle relève son fils puis en saisit le regard : " - Ecoutes-moi bien, Aër’di. Les arcanes mènent à tout, ils sont la toute puissance de notre monde. Sans la toile, il n’y aurait pas de vie. Si tu peux contrôler la toile, tu peux contrôler la vie. Tu comprends ? " Envoûté par le regard de sa mère, Aërendùr acquiesce. " - Tu t'apercevras un jour, mon fils, que les arcanes peuvent te mener à tout, et faire de toi quelqu’un d’invincible… Voire l’équivalent d’un Dieu. Et ne t’en fait pas, on a toujours eu un don pour la magie chez les Anwamanë… " Elle lui fait un clin d’œil emplit de complicité puis l’embrasse. " - Maintenant, va allumer le feu, j’en ai bientôt fini avec le gibier. " | |
| | | Volvic Gardien des Mystères
Nombre de messages : 11689 Age : 50
| Sujet: Re: [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir Jeu 5 Juin - 14:28 | |
| On a donc une famille d'elfes humanisés Ok Peux tu développer l'événement qui a conduit cette famille elfique et donc sa descendance à partir de leur communauté ?
Petit point concernant la magie : tu as choisi abjuration, quelle est la raison de ce choix ? Pour étudier la magie, il est important d'avoir quand même des supports, des grimoires, une bibilothèque. Généralement l'étude de la magie se fait dans un lieu consacré comme une tour de mages, une académie, une université.
Concernant archer mage, il faut bien voir que c'est une classe de prédilection tellement rare et secrète quil ne serait possible de l'exercer que dans une communauté elfique.
Pour le moment, après un développement plus conséquent de la partie magie, jepeux t'accorder guerrier mage. Mais pour l'archer mage je peux te proposer de passer en évolutif. Ainsi, lorsque les événements InGame te permettront de développer cette classe (archer mage) on pourra revoir à avancer dans cette voie là.
Pour être honnète il y a beaucoup trop d'elfes humanisés (chose qui devrait rester assez rare) et au final l'image de l'elfe est détériorée au point de ne devenir qu'un skin manga. Je ne dis pas que cest ton cas, mais c'est malheureusement la tendance trop répandue. Donc, un elfe humanisé ne peut pas devenir archer mage, donc obtenir une statut elfique prestigieux sans devoir renouer avec les siens. | |
| | | Volvic Gardien des Mystères
Nombre de messages : 11689 Age : 50
| Sujet: Re: [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir Ven 6 Juin - 0:52 | |
| Je te place donc en évolutif, suite au Mp
Continue donc a développer la classe de mage.
En attendant je retire la classe d'archer mage. Il sera possible plus tard de reprendre le traitement de cette partie.
Peux tu renseigner une autre répartition de classe ? Il sera toujours possible, même lvl 25, de reroll pour archer mage. | |
| | | Ch'ti mi ! Néophyte (Noob en poli)
Nombre de messages : 4
| Sujet: Re: [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir Ven 6 Juin - 2:15 | |
| - Volvic a écrit:
Peux tu renseigner une autre répartition de classe ? Ralala... Désolé, mais je ne suis pas encore sûr de me tenir à la répartition indiqué... Mais ne t'en fais pas, un jour j'arrêterai de t'ennuyer avec tout mes problèmes... En attendant, je Et je continue à travailler la classe de mage m'sieur ! | |
| | | Volvic Gardien des Mystères
Nombre de messages : 11689 Age : 50
| Sujet: Re: [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir Ven 6 Juin - 4:15 | |
| Disons que ça me donne une idée de la répartition, ha savoir s'il s'agit de fifty/fifty ou plutôt du genre 21/4. Je remarque c'est une répartition équilibrée. Reste plus qu'à développer la partie mage | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir | |
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| | | | [Evolutif/pause][Guerrier/Mage/...][E]Aërendùr Di'makiir | |
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