[ValidéPRC][Magicien/magicien rouge][H]Pharaxes Zanahgar

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Nom du compte joueur forum : Anarkahos
Nom du compte joueur module :Anarkahos
Nom du perso : Pharaxes Zanahgar
Race : humain
Sous race : Thayen
Age : 22
Alignement : Loyal mauvais
Religion : Kossuth (tutélaire), priés : Loviatar, Baines, Gargauth, Umberlie. (respectent beaucoup d'autres divinités et les pries à l'occasion : Talona, Malar, Beshaba, waukyne, Loth...)
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 10 magicien - 15 magicien rouge (dés le PRC)
Arme de prédilection/domaines/école de magie : évocation
Langues : Mulhorandi, commun, rashéméni, infernal, tuigan, abyssal, igni, draconnien, orque
Familier/Compagnon animal : dragonnet rouge
Trait
de Caractère : diplomate, commerçants, manipulateur, méticuleux, imbu,
hautain, entreprenant, arriviste au plus haut point.
Description
physique : Tatouage sur tout le corps et le visage (tribal noir et
rouge, rune de feu) entièrement rasé (sourcils également).


Caractéristiques (pas encore déterminées précisement, mais surement charisme et Int) :
FOR : 10
DEX : 10
CON : 10
INT : 18
SAG : 10
CHA : 16

D’où vient-il (origines, passé, enfance…)
Pharaxes et originaire de Thay. Il est né dans le Tharchs de Priador. Comme tout enfant thayenne il fut testé par la caste des magiciens rouges. Ces facultés furent ainsi repérées. A 6 ans il fut enlevé a ces parents (son père était un ouvrier de basse extraction et sa mère une petite fonctionnaire rurale) et conduit à ces futurs professeurs dans la capitale de Priador, Bézanture. Il vécu jusqu'à ses 20 ans dans la capitale et en particulier son collège de magie.

Quels faits marquants a-t-il, éventuellement, vécus (qui peuvent expliquer sa vocation, son orientation, son caractère…) ?
Vivre a Thay et déjà en soit assez marquants ! Mais les hommes s'adaptent
rapidement (malheureusement) a la vie dirigée et quasi concentrationnaire. C'est sans aucun doute sur le Val de bise que Pharaxes va vivre les faits les plus marquants de son existence. Le caractère, la vocation de Pharaxes sont conditionnés et similaires au autres magiciens rouges de son époque et son Tharch. On peut également considéré, bien que ce la soit aussi un honneur pour tout magicien, que les tatouages furent un moment douloureux et intenses. Les tatouages focalisateurs étant encrés bien évidemment a vif, par un magicien déjà consacré. Le visage est les mains étant les partie les plus sensibles. Leur puissances et le moment où ils sont fait reste a jamais gravé dans l'esprit du nouvel initié.
Pharaxes aime a montrer ses tatouages focalisateurs car il connait leur puissance et la peur qu'ils inspirent.


Pourquoi a-t-il choisi de suivre le voie qui est la sienne (explication quant à ses choix personnels : classe(s), divinité, faction, mentor…) ?
Pharaxes n'a rien choisit. Il a été contraint et formaté très jeune. Désormais, bien évidemment il regarde la puissance que lui offre la magie et la peur qu'inspire sa tunique rouge et le nom de Thay avec beaucoup de
joie malicieuse. Kossuth est une divinité qu'il a "hérité" de ces parents et dont il s'accommode très bien. Le seigneur du feu étant peu mêlé au affaires des hommes. Quand a ses mentors il s'agit pour l'heure des professeurs mages de l'école de Priador. Cependant Pharaxes reste prés a se mettre au service d'un puissant archimage, en tout cas le temps l'apprendre de lui ses secrets.

Quel apprentissage a-t-il suivi (les diverses étapes de son instruction, ses maîtres, ses expériences…) ?
Pharaxes a finalement peu vécu sinon dans l'apprentissage. Les magiciens rouges laissant peu de temps et de distractions a leurs disciples et apprentis. De plus Priador est sans aucun doute le Tharch le plus dictatorial sous le coup du tharchion Aznar Thrul.
Pharaxes a surtout suivis ces études de manière studieuses dans le collège de magie de Bézanture.
Il est accommodé a la vie à Thay esclavage, loi du commerce, rigueur, apprendre a se taire, maitriser les coup bas.
L'apprentissage est ainsi ultra spécialisé, selon le tharch, école de l'évocation en l'occurrence.
Il est méticuleux et très contrôlé par les magiciens plus âgés.
De plus pour soutenir leur important effort d'implantation d'enclave et
leur commerce d'objet tout les magiciens suivent des corps pointues de
fabrication d'objet magique, potion, et parchemin. Il s'agit d'une
grosse part de leur apprentissage. Pharaxes Zanahgar c'est surtout
spécialisé dans la création de potion.
Enfin l'implantation des tatouages repoussent encore les limites que les magiciens s'imposent dans leur école de prédilection. Pharaxes le sait pertinemment.
Leur maitrise et la préparation psychologique que subissent les magiciens avant leur implantations et également une grosse part de leur entrainements.
Notons aussi que les magiciens acquiert des bases d'économies et de commerces.

Pourquoi se retrouve-t-il au Val de Bise ?
Inévitablement il est un éclaireur, en vue de l'ouverture d'un comptoir (plusieurs ?) dans le val. De la réussite de cette action dépendra sa futur ascension social dans la confrérie des magiciens rouges. De manière plus
personnel le voyage, l'envie de connaissance et de voir autre chose que
Thay le travail depuis longtemps. Il reste fidèle envers sa mission et
ses devoirs, mais gérer sa vie loin des carcans administratif et
"fasciste" de Thay, voir enfin ce qu'il vaut après ces années d'apprentissage le satisfait au plus au point.

Deux points particuliers :

Le magicien rouge de tay s'attache avant tout à une seule école et ce sont ses tatouages qui vont augmentés sa puissance dans cette école uniquement.

Donc, tu devras choisir entre évoc et nécro.

Peux tu développer un peu plus le fonctionn ement des tatooages et les résonnances que cela opère avec la toile ?

École choisis : Évocation. Puisque originaire du Tarchs de Priador [c'est une erreur de ma part]

[pour les tatouages je te l'envoi en PM puisque c'est ultra spécifique au magiciens rouges, et en particulier la magie de cercle]

J'ai reçu le mp, il s'agit de l'information officielle bien entendu. Peux tu m'écrire un petit texte sur la cérémonie de tatouage en regard de ton école de prédilection ?

Peux aussi développer un peu plus les principes de l'école de l'évocation ?

Ensuite je te passerai en évolutif.

ok, en mp également.
je vais tacher d'étoffer la cérémonie. ça servira peut être dans l'avenir a d'autres joueurs

Ca ne serait pas mieux soit tu mettre tout en public ou tout en privé ?
Parce qu'il faut garder des traces et je ne vais pas conserver mes mp ad vitam

Non non, ne m'envois pas tes modifs en Mp mais en fofo privé ou à la suite de ton Bg

soit l'un soit l'autre.

De l'école d'évocation :
Éthique: L'École d'Évocation attire les magiciens les plus sérieux,
fervents et déterminés. La plupart se consacrent uniquement à la
maîtrise de leur profession. Pour les évocateurs mauvais, la magie
d'évocation est la clé de leur suprématie; pour eux, le Bien représente
la faiblesse, et le Mal, la force.
Leur courage sur les champs de batailles est sans égal, et ils se
comportent comme des attaquants aux côtés des guerriers les plus
émérites. Comme ils pèsent leurs mots, sont repliés sur eux-mêmes, et
restent distants, les évocateurs établissent rarement de fortes
relations personnelles.
Les évocateurs vivent partout où ils peuvent préserver leur intimité.
Les gens ordinaires les laissent volontiers seuls, craignant leurs
pouvoirs et les considérant même comme dangereux. De leur côté, les
évocateurs ne font pas grand chose pour dissiper cette réputation.

Définition :
Cette École offre au spécialiste une gamme de sorts d'une puissance
stupéfiante. En fait, aucune École n'a une plus grande diversité de
sorts offensifs disponibles à tous les niveaux. Dans cette voix le
jeteur façonne les énergies conduit par la toile en constructions
d'énergie ou de matière.
Les sorts de l'école d'évocation sont dans la grande majorité des cas des sorts élémentaires ou d'energie magique brute.

Du rituel d'entrée d'un mage dans la confrérie des mages rouges. du rituel du tatouage
Tout d'abord avant de s'attarder sur le rituel voyons de quoi se compose l'attirail du magicien tatoueur :
- D'aiguilles, le plus généralement elles sont faites d'adamentium. Le tatoueur utilise une seule aiguille pour les contours et les détails. En ce qui concerne les plus gros aplats le magicien utilise des palettes d'aiguille, l'objet se présente comme un pinceaux a large balais. Parfois les aiguilles peuvent être enchantés, avec des sorts de regénaration, ainsi une fois l'encre incrusté sous l'epiderme la petite plaie se referme instantanément. Ce procédé est trés peu utilisé, les magiciens souhaitant prouver leur valeur en résistant à l'encrage a vif.
- D'encre bien évidemment. L'encre est la plupart du temps issue de poulpe ou au autre créature en produisant naturellement. Cependant on note l'apparition d'encre provenant d'extreme orient, dont l'origine chimique est différente (pigment minéraux et végétaux). L'encre en lui même ne posséde aucune propriété magique, mais une fois l'an le Tarchion (en général un de ses proches conseiller) enchante un important reservoir avec des sorts. Les sorts procurent au tatouage des qualités colorés supérieurs, lui garantissent un éclats invariable tout au long des années et l'empeche d'être tout simplement enlevé par un procédé magique ou un autre. L'encre est également consacré par un pretre juste avant le début du tatouage si le novice le souhaite.
- Un chiffon : objet anodin, il sert a essuyer le sang du tatoué. Celui ci lui est remis en fin de cérémonie. Le magicien le garde a vie.

La cérémonie a proprement parler reste simple.
Le magicien de plus au rang est le magicien tatoueur. Il réunit son cercle de disciple, ainsi que le novice. les participants se place en cercle, en son centre le magicien tatoueur et le novice. Ce dernier doit tout d'abord faire une demonstration symbolique de ses capacités magiques, uniquement de sort de son école. Rituellement le cercle l'accepte sur ordonnance du magicien chef de cercle. On l'invite textuellement a rejoindre le cercle. A ce moment le novice doit preter serment sur l'emblême de Thay, en implorant leur tarchion, leur zulkir et le createur de la nation Ythazz Buvarr. Trés solonellle, cette partie de la cérémonie dure relativement longtemps. S'il le souhaite le novice peu en plus prouver sa fidélité en jurant sur le symbole de son dieux, si un pretre est present.
Ensuite il est invité a s'assoir et commence alors le tatouage proprement dit. Toute la cérémonie se passe au sein d'un cercle focalisateur, celui-ci ayant pour but d'accentuer encore la sensation d'appartenance de groupe au nouvel arrivant.
Le tatouage en lui même peut prendre jusqu'a a 8 heures. La pause est interdite pour le tatoueur, le tatoué et également les membres du cercle.
L'esthétique du tatouage depend de l'école choisie, du tarch, du tatoueur. Mais il est régit par des codes trés strictes et secrets. Si le tatouage prend des apparences de flammes tribal où se mélange parfois des runes il vise dans tout les cas a la création d'un symbole de sceau. Entre eux les mages peuvent reconnaitre l'origine, l'ecole et l'instructeur de leur interlocuteur.
A la fin du tatouage, le novice est invité a repreter serment cette fois ci sur sa propre vie. Il engage ainsi sa loyauté envers l'ordre, la nation et le groupe.
Ensuite les mages se séparent aprés que chacun est salué le nouvel arrivant de manière solonelle et rituelle. Enfin le nouveau mage peut se nettoyer de son sang et du sang qui aurait eventuellement coulé au sol. Il doit le faire seul. Les aiguilles sont toujours détruites a la fin du tatouage.
Le temps que le tatouage soit opérationnel le novice ne doit lancer aucun sort. Cela prend trois a quatre jours pendant lesquels le novice se consacre a ses premiers fabrications d'objets pour l'ordre.

Ca me convient, je te place en évolutif pour Mage rouge de thay.

reprise, que dois je faire pour la validation mage rouge ? une partie de mon BG a été envoyé, a l'epoque en mp, je crois (honte a moi)

Donne nous ta répartition déjà, si tu peux renvoyer les parties privées que tu avais envoyé à ce temps là...

Cela nous aidera

X level de mage et X level de mage rouge

Peut on me passer en évolutif (est ce possible évolutif et privé ?).
Je peux éditer le tout premier post ? la mise en page et bordélique je veux juste clarifier sans rien changer.
Impossible de remettre la main sur ce que j'ai envoyé en PV a Volvic.
Mais je souhaiterai rajouter divers chose : comme la définitino des enclaves Priadorienne (et de la ligue du commerce extérieur de Bézantur) , l'implication discrète de l'école d'évocation dans les enclaves (contrebande, etc...) et une bonne partie de RP que je préfère vraiment pas mettre en privée; Ainsi que le début d'un recueil écrit par mon perso (idem pas en privé). ^^

C'est fait! Il faut aussi ta répartition de niveau entre Mage et Mage rouge...

10 mage/15 mages rouge
[Edit] c'est possible de faire peter les post de communications qui n'ont rien a voir avec mon BG svp ? (y compris celui là ?)

Apprentissage

Les jeunes années

Long et fastidieux est l’apprentissage de l’Art en Thay.
Très tôt nos capacités sont testées, les plus sensibles à l’Art sont détectés est placés à l’écart de leurs familles. Nul lien ne peut permettre d’arpenter une telle voie. Il faut être en effet dés le plus jeune age formaté et canalisé pour servir au mieux la Nation. Du reste seul la Thay, la race est la caste compte.
Nous sommes ainsi placés en académie, en fonction de notre Tarch, durant notre jeune âge. Les premières années servent en particulier a ce que nos instructeurs dénichent chez nous l’école à laquelle nous sommes destinés.
Pour ma part je ne me souviens pas vraiment d’où je suis originaire ni qui furent mais parents, des mulans sans aucun doute. Mais aucunes images d’eux ne subsistent, et de toutes façon elles ne me seraient d’aucune utilité. Par contre je me souviens très tôt de l’académie de Bézantur. Comme j’étais prompt à la bagarre, sang chaud dira-t-on et que le feu et les énergies brutes exercés sur moi une fascination importante, je restai en Priador, Proche du Zulkir de ce qui allait devenir mon école de prédilection Arcanique.
Des cours quotidien, sans ménagement, furent dispensés. Alchimie, lecture, écriture, base de la magie, histoire de Thay, politique, commerce, etc…
A ce stade notre enseignement et encore généraliste. Nous nous spécialisons véritablement plus tard. Notre spécialisation, en réalité, commence le jour où un maître, mage rouge de son état vient nous choisir. Et, bien qu’elle ne se fasse totalement qu’à partir du rite du tatouage, elle commence dés l’instant de l’apprentissage particulier. Pour la simple raison que notre maître, déjà spécialisé, ne prend pas la peine de nous enseigner de sorts qu’ils n’utilisent tous simplement pas. Mais j’aurais l’occasion d’y revenir.

Frustration et privation sont les règles d’or de notre apprentissage. Nous écartons ainsi les faibles et récalcitrants, tout comme nous tentons très tôt de discerner les aberrations tel que les ensorceleurs.
Les étudiants sont libres d’user de toute méthode qu’ils jugent bonne pour arriver en haut du tableau. Du moment qu'ils sont assez intelligents et rusés pour ne pas se faire prendre. C'est un accord tacite, une méthode de formation implacable. Cette dureté forge notre caractère à vie, assure notre survie et la supériorité de notre classe et race sur toute autres.
Je me rappelle par exemple avoir découvert mon affinité avec le feu en allumant le lit d’un "camarade" un peu trop ambitieux et par conséquent dangereux avec un sort mineur créant une étincelle. Le "pauvre" fut largement brûlé. Des marques qu’il gardera toute sa vie, jusqu'à ce que je le tue quelques années plus tard.
Ce fut également la période ou ce gros porc de Samas kul pris le contrôle de la guilde du commerce extérieur et s’installa en Bézantur. Le seigneur Thrul n’était pas encore Zulkir, il était sorti de l’académie quelques années avant et les enclaves commencé a peine a s’ouvrir. Et contrairement à son prédécesseur s'intéresse bien plus aux enclaves qu'on ne le croit, j'y reviendrai au moment opportun dans mon récit.
Je n’entrerais pas en détails dans ses longues d’années d’académie, qui de l’âge de 5 ans jusqu'à 16 furent l'essentiel de ma vie. Je me concentrais en effet sur l'étude avec volonté et rage, conscient de la chance qui me fut donnée.
Le plus primordial a été dit : je découvris mon affinité avec les forces élémentaires, ma passion pour l’évocation et sa brutalité, un façonnage a l’image de tout mage rouge qui se respecte, le gout pour le complot, la traîtrise, ma dévotion au seigneur des flammes et à bien d’autres sombres divinités. Je rajouterais que les fastes de Bézantur m’ont très tôt doter de l‘envie la plus forte de me remplir de richesse (pendant mon âge adolescent je passais malheureusement trop de temps a distillé mes maigres économie dans les tripots des quartiers populaires et/ou dans les antichambres du manoir de la Très Sainte Vierge).

Chez le sorcier Thazar-de Sepret

Je fus choisi le jour de ma 16éme année par le prestigieux et volcanique mage rouge Thazar-de Sepret. Il vivaient et travaillait en Bézantur dans un laboratoire assez spacieux, proche du quartier des temples non loin de la tour de la Zulkir Mythrellaas (je pense que je reviendrai plus loin en détail sur cette magnifique cité qu’est Bézantur). Ce puissant sorcier, qui s’illustra en autre pendant la guerre contre l’Agglarond jouissait d’une grande réputation auprès des évocateur. On raconte même Que le Zulkir Thrul aurait passé du temps en apprentissage chez lui, peut être n’est ce qu’une rumeur sans fondement. Toujours est il qu’il me choisit non seulement pour mon caractère mais aussi pour les appréciations de mes professeurs. Je m’étais en effet débrouillé avec ruse et perfidie a écarter les plus talentueux de mes confrères dans l’école d’évocation, en particulier celui que j’avais brûlé et avec qui tout au long de nos années d’académie une lutte acharnée et discrète fit rage. Et c’était loin d’être fini, car pour reformer un cercle cohérent après la mort de deux de ses apprentis Thazar-de Sepret décida exceptionnellement d’en choisir deux cette année là. Il choisit mon concurrent direct, Ramas dit le Brûlé.
La demeure de notre maître était coquette, richement décoré d’objet rapporté et/ou troqué au troupe du Tarchion de la célèbre porte Est ou du Marché. Il possédait quatre autres apprentis, don deux déjà tatoués finissant leur formation et plusieurs esclaves.
Aussi, nous fûmes très tôt dédouané de taches ingrates auxquelles pourraient se livrer d’autres apprentis mages d’une autre caste. Le Brûlé fut rattaché à un des apprentis tatoués pour le rangement et le classement de la bibliothèque et je fut assigné à la forge et a la confection d’objet de divers nature. Bien évidemment, la plupart offensif, pas destiné à la vente bien sur, comme le stipule les trois lois dites Lois de l’Enclave.
Notre maître était exigeant, mais juste. Rigoureux et avec beaucoup de principe mais entretenait avec amusement et sérieux la zizanie entre ses disciples. Changeant les promotions constamment, dégradant certain vis-à-vis d’autres etc. Les manigances et complots furent constants, tel une guerre éteinte nécessitant une attention de tous les instants. Cependant je pu apprendre, avec une certaine facilité je dois dire, nombre de sort aux caractères élémentaires. Ceux-ci, forts destructeurs, était très prisé de mon maître. Il avait d’ailleurs lui-même créé une variante enflammée de la tempête de grêle. Un sort assez étrange qu’il n’a jamais enseigné.
Souvent, nous partions en terrain découvert, hors des murs de la cité (nous n’aimons pas beaucoup les dômes de Mystra), pour nous entraîner sur des esclaves, prisonnier de guerre ou des monstres. Sur cible vivante nous progressions à grande vitesse. En magie purement de bataille du moins, offensive.
D’un autre coté le travail de confection me donnait, avec plus de difficulté car il fallait que je maîtrise mon impatience, d’apercevoir les possibilités de l’alchimie et de la forge. Après nombre de remontrance qu’en a mon impatience justement, qui firent bien rire ce chien de Brûlé, j’appris à me contrôler, a devenir précis. A me calmer, à intérioriser, rare pour un évocateur, mais maintenant je le sais, primordial. J’appris ainsi la fabrication de baguette, de potion, l’écriture de parchemin, qui même sans avoir les qualités d’un transmutateur, possèdent les avantages de mon école. A cette époque je ne travaillais plus beaucoup les autres écoles, sinon un peu la nécromancie. Mon maître était relativement satisfait de moi, signifiant ainsi un apprentissage en bonne voie et une bonne maîtrise du complot face au Brûlé en particulier. Celui-ci, de toute façon, aller voir son existence largement écourtée. Car de deux apprentis choisis notre maître ne tatouerait que le survivant d’un duel.

Entrée dans la caste

Le duel eu lieu au alentour de Bézantur, dans un marécage très prisé de mon Maître pour la récolte d’ingrédients. Le lieu comportait des surfaces planes de terre, des rochers plats et larges, des marres peu profonde où il était aisée cependant de s’efforcer. Je n’entrerai pas ici dans les détails de ce duel qui fut l’un des plus pitoyable que j’eu mené tant ma victoire fut écrasante et mon adversaire véritablement incompétents. [HRP : en mp si nécessaire]
Je ramenai le lendemain ces cendres aux temples de Kossuth, le Brasier Ardent, et les déversai dans la fosse des sacrifiés. Endroit que Le Brûlé aurait affectionné, ironique non ? Les chiens incapables comme lui ne sont pas digne de plus. Je passai les deux jours et nuits suivantes entre le manoir des Douleurs et les quartiers des plaisirs. Catins, drogue et alcool furent abondant, comme le veux la tradition, car ensuite mon apprentissage aller s’orienter encore plus, se préciser. De plus tatoué, j’entrerais en fonction dans le système administratif de la Nation et de la Caste. Je ne me souviens que peu de ces journées ou les effluves d’alchimiques liqueurs et de vapeurs opiacées se mêlèrent au corps des femmes de joies dans des formes étranges et sensuelles. Je n’en garde qu’un vague souvenir orgiaque et une certaine attirance pour la Très sainte vierge.
Je fus tatoué le lendemain matin à l’Aurore, a l’heure où les liturgie se lèvent du temple de Kossuth. Le rituel fut mener par mon maître selon les règles de l’art, le vieil homme n’étant plus a son coup d’essaies depuis longtemps. Il ne manifesta aucune compassion d’ailleurs à la mort de son autre apprentie et fut heureux de m’accueillir pour la première fois en son cercle.

Citation :

Du rituel d'entrée d'un mage dans la confrérie des mages rouges. du rituel du tatouage
Tout d'abord avant de s'attarder sur le rituel voyons de quoi se compose l'attirail du magicien tatoueur :
- D'aiguilles, le plus généralement elles sont faites d'adamentium. Le tatoueur utilise une seule aiguille pour les contours et les détails. En ce qui concerne les plus gros aplats le magicien utilise des palettes d'aiguille, l'objet se présente comme un pinceaux a large balais. Parfois les aiguilles peuvent être enchantés, avec des sorts de regénaration, ainsi une fois l'encre incrusté sous l'epiderme la petite plaie se referme instantanément. Ce procédé est trés peu utilisé, les magiciens souhaitant prouver leur valeur en résistant à l'encrage a vif.
- D'encre bien évidemment. L'encre est la plupart du temps issue de poulpe ou au autre créature en produisant naturellement. Cependant on note l'apparition d'encre provenant d'extreme orient, dont l'origine chimique est différente (pigment minéraux et végétaux). L'encre en lui même ne posséde aucune propriété magique, mais une fois l'an le Tarchion (en général un de ses proches conseiller) enchante un important reservoir avec des sorts. Les sorts procurent au tatouage des qualités colorés supérieurs, lui garantissent un éclats invariable tout au long des années et l'empeche d'être tout simplement enlevé par un procédé magique ou un autre. L'encre est également consacré par un pretre juste avant le début du tatouage si le novice le souhaite.
- Un chiffon : objet anodin, il sert a essuyer le sang du tatoué. Celui ci lui est remis en fin de cérémonie. Le magicien le garde a vie.

La cérémonie a proprement parler reste simple.
Le magicien de plus au rang est le magicien tatoueur. Il réunit son cercle de disciple, ainsi que le novice. les participants se place en cercle, en son centre le magicien tatoueur et le novice. Ce dernier doit tout d'abord faire une demonstration symbolique de ses capacités magiques, uniquement de sort de son école. Rituellement le cercle l'accepte sur ordonnance du magicien chef de cercle. On l'invite textuellement a rejoindre le cercle. A ce moment le novice doit preter serment sur l'emblême de Thay, en implorant leur tarchion, leur zulkir et le createur de la nation Ythazz Buvarr. Trés solonellle, cette partie de la cérémonie dure relativement longtemps. S'il le souhaite le novice peu en plus prouver sa fidélité en jurant sur le symbole de son dieux, si un pretre est present.
Ensuite il est invité a s'assoir et commence alors le tatouage proprement dit. Toute la cérémonie se passe au sein d'un cercle focalisateur, celui-ci ayant pour but d'accentuer encore la sensation d'appartenance de groupe au nouvel arrivant.
Le tatouage en lui même peut prendre jusqu'a a 8 heures. La pause est interdite pour le tatoueur, le tatoué et également les membres du cercle.
L'esthétique du tatouage depend de l'école choisie, du tarch, du tatoueur. Mais il est régit par des codes trés strictes et secrets. Si le tatouage prend des apparences de flammes tribal où se mélange parfois des runes il vise dans tout les cas a la création d'un symbole de sceau. Entre eux les mages peuvent reconnaitre l'origine, l'ecole et l'instructeur de leur interlocuteur.
A la fin du tatouage, le novice est invité a repreter serment cette fois ci sur sa propre vie. Il engage ainsi sa loyauté envers l'ordre, la nation et le groupe.
Ensuite les mages se séparent aprés que chacun est salué le nouvel arrivant de manière solonelle et rituelle. Enfin le nouveau mage peut se nettoyer de son sang et du sang qui aurait eventuellement coulé au sol. Il doit le faire seul. Les aiguilles sont toujours détruites a la fin du tatouage.
Le temps que le tatouage soit opérationnel le novice ne doit lancer aucun sort. Cela prend trois a quatre jours pendant lesquels le novice se consacre a ses premiers fabrications d'objets pour l'ordre.

Je pratiquai ainsi la magie de cercle pour la première fois. Cette célèbre magie, dont on m’avait tant parlé, celle qui forge les légendes. Ressentir la puissance s’écouler de vous pour emplir le sortilèges du chef de cercle. Sentir la toile, en groupe, comme si vous étiez une partie excentrée d’une toile d’araignée, et que vous tentiez d’en viser le centre. Puis encore par la suite voir, ressentir le vrombissement de la toile lorsque le puissant de cercle se déverse dans le monde. Je pris rapidement la décision ce jour de vouloir a n’importe qu’elle prix me retrouver en place de mon Maître, au centre.
J’avais une bonne connaissance pratique en terme d’entraînement de mon art et de mon école, elle continuait de croître doucement de jours en jours. Je pêcher cependant par connaissance théorique, souvent bien trop passionner et occuper à la forge. De plus les autres mages rouge du cercle de mon maître, en particulier Varinanthan une ravissante et orageuse femme, m’initièrent également à plusieurs choses concernant ma caste que je ne révélerai pas ici en détails mais aussi au marchandage d’esclaves à la politique dénué de propagande, car désormais c’est moi qui devais participer a son maintien.
Thrul, encore jeune venait pourtant de récupérer à la fois le poste de Tarchion de Zulkir, les enclaves se développer de plus en plus et quoi que les ignares en pensent très tôt les 4 Zulkirs peu favorables aux enclaves s’y sont intéressés, en désaccord certes avec les lois de celles-ci. Dans les cercles de mages bien placés cela se murmurait déjà. Mon Maître étant plus ou moins dans le non dit de ces confidences, j’en profitais pour lui soumettre ma volonté de partir de part Faerun. Non seulement pour m’enrichir, mais aussi pour parfaire ma pratique en situation et ma théorie dans d’autres coins du continent. Après tout j’aurai toujours un accès illimité aux bibliothèques de Thay, alors autant que je profite de ma jeunesse.
J’obtins ainsi rapidement la réponse du Autharch qui décida de m’envoyer dans une région Fort reculée, le Val de Bise ;
A vrai dire des cités plus animées, plus chaudes et plus bourgeoise m’eurent davantage intéressées, mais je ne pu choisir.
Sans beaucoup de recommandation, 2 ans après avoir été promu magicien rouge, je me séparai de mon cercle et entamé mon voyage en direction opposé de faerun.

Le voyage

Je pris ainsi le bateau a Bézantur en direction de Chesseta. Et je me restaurais dans notre enclave. J’avais en effet décidé d’en voir la plupart et comme beaucoup se trouvaient sur la route que je m’étais choisi (en l’occurrence Eauprofonde) je fus chargé d’apporter à chacune un certain nombre de missives, du reste peu intéressantes.
Je me plongeais ainsi dans la vie de mes confrères expatriés, entre la tranquillité de leurs études, leurs temps de commerce, la chasse au renégats (ils sont peu mais tous semblent échouer dans cette ville, du fait de sa proximité avec le Priador.). Je remarquais dans celle-ci , comme dans toutes les autres visitées d’ailleurs, que bien que complots et manigances allaient bon train, ils avaient tendances à se focaliser sur l’extérieur. L’unité Thayenne viendrait sûrement des enclaves, me disais-je, et contrairement à ce que l’on croit les seigneurs Thrul et Tam l’avaient bien compris. Mais sans doute pas comme le pense se gros porc de Druxus Rhym, par un commerce merdeux d’objets pitoyables. Et la lois stupide stipulant la non-vente d’objet offensive arrivera bientôt a son terme. 2vincant enfin le porc de son trône Bezanturien.
Quoiqu’il en soit je pris le bateau au bout d’une demi lune en direction du Vaste où je fis halte à Calaunt, en territoire thayen. Plus loin de notre patrie et du contrôle de la guilde du commerce extérieur, je remarquais que les évocateurs et nécromanciens vendaient en douce des objets de leurs propres écoles. Plus on s’éloigne de Thay et plus la contrebande était importante et organisée. Pour être clair, elle était quasiment officialisée.
Je traversais le Vaste puis m’arrêtais pour remise de missive à Mulmastre et Monteloy. Apparemment les Zhents et ma propre caste avaient un accord relativement correct et ainsi chacun pouvait travailler tranquillement. Monteloy est une ville splendide et son code d’éthique est des plus raisonnables. En tout point, les plumes rouges comme les lois raciales en vigueur, démontrent en Thay comme à Monteloy, le succès d’une telle politique. Une politique d’écartement (écartèlement ?) des sous races. Je fus bien reçu et promis a mes confrères de refaire un voyage pour avoir plus le temps et le loisir de visiter la région et d’étudier ses particularités.
Je partis vers le sud, en caravane, protégé par un chevalier Thayen jusqu’à l’enclave de Valbalafre.
Ensuite nous traversâmes la Sembie, puis la côte des dragons, évitant ainsi le Cormyr où visiblement les gens sont peu tolérants avec ceux de ma patrie.
Je quittais le Chevalier à l’enclave de Scornubel et poursuivis ma route en compagnie de caravane marchande dont une se rendant à Athakala.
J’entendis dans l’enclave de la ville une bonne quinzaine, un bateau en partance pour le Nord et j’en profitais pour nouer contact et me préparer à la rigueur du Nord.

[A venir :
- correction

III - Stratégie globale - la levée des troupes/la marche de l'armée/le terrain/le climat/le moral/la campagne/l'avant garde et l'arrière garde/l'espionnage et le complot/la guerilla et les tirailleurs/le ravitaillement/l'occupation/l'attaque/la défense/machine de guerre/les dieux/l'adversaire et les alliances

IV - Magie dans la bataille - Applications pratiques et théoriques - les différents mages et leurs utilités/les lieux de pouvoir/les objets magiques/des ensorceleurs, et autres utiliseurs de magie profane/de la pretrise/des créatures magiques

V – Tactiques Vulgarisée et conclusion]