[Magicien][Avariel] Ll’ualyrr Twuälbar

Citation :

Ll’ualyrr Twuälbar

Ll’ualyrr était assis sur une vieille pierre a flanc de colline, regardant distraitement les oiseaux virevoltant autour de lui. L’avariel était plongé dans une abyme de réflexion, se remémorant ce qui l’avait amené en ces lieux, et fait de lui ce qu’il était. Sa jeunesse était encore là, mais il avait eut l’impression d’avoir vieilli, au moins autant que l’aurait fait un humain en une année…

Il se souvenait clairement de sa ville natale, L’enclave secrète de L’Aire des Aigles des Neiges, la dernière colonie d’avariels de faerun. Sa position exacte est l'un des secrets les mieux gardés de son peuple. Une formidable tour de verre, construite au sommet pelé d’une montagne. Une véritable merveille d’architecture, les murs de verre ont été magiquement renforcés jusqu'à obtenir la dureté de l'acier, l’intérieur de l’enclave abrite des conditions climatiques paradisiaque et tropical, avec la jungle de plantes et d’arbres idoines depuis longtemps disparus du reste de Faerûn. Depuis deux siècles, ce dernier repaire des avariels est dirigé par le Père ailé Aquilain Vastesailes. Les avariels y volent toujours, pèchent dans les eaux gelées de la Grande Mer de Glace et chassent dans les froides contrées du Grand Glacier.

Quand les sages de l’enclave qui était responsable de Ll’ualyrr commencèrent a se dire que sa pratique du grand art était suffisante, il lui imposèrent un voyage forcer dans faerûn. Ne désirant qu’une existence contemplative et philosophe Ll’ualyrr refusa d’abord, puis se laissa convaincre par les sages de l’enclave.

Ll’ualyrr passa toute sa jeunesse à poursuivre les enseignements de la voie martiale mais laissa de côté cette carrières pour s'adonner à des occupations au caractère plus sacré. En effet les jeunes elfes ailés de l’enclave passent traditionnellement leurs années autant dans la culture belliqueuse de l’entraînement au combat que dans les enseignement plus spirituels. Ces échanges, qui peuvent durer jusqu'à dix ans et plus, permettent aux avariels qui sont élevés dans l'une de ces franges de comprendre comment l'autre vit.

Il devint dévot de la déesse Aerdrié Faenya, les prêtres lui enseignèrent la prière, les mages lui apprirent la magie de l’air et du vent.

Citation :: L’étendue céleste agitée d’un perpétuel changement est un grand présent de la Mère Ailée. Prenez votre envol pour danser avec les vents et cabrioler parmi les nuages. Honorez ceux qui vivent en compagnie d’ Aerdrië et vénérez les oiseaux qui dansent sur ses tresses. Le changement est beau et du chaos naît la vie. Montez, planez, glissez et plongez avant de vous élever de nouveau. Profitez de la liberté que la Mère Ailée vous a octroyée.

Ll’ualyrr Comprit bien vite que lorsqu'il se trouve en situation conflictuelle, il a toujours préféré faire appel à sa cervelle et ses qualités diplomatiques, ainsi que, dans bien des cas, sa puissance magique.

Apprit à parler le commun ainsi que l'aérien, comme tout les avariels qui peuvent communiquer avec les créatures alliées des airs, comme les aigles géants, envers qui ils vouent une grande tendresse. Ll’ualyr apprit également le draconien et le géant, les ennemis jurés des avariels.

Dans ses temps libre Ll’ualyr était un souffleur de verres plutôt doué. Si la plupart du temps le verre est travaillé finement à des fins décoratives, les Avariels ont aussi appris à maîtriser le verre d'acier, un verre aussi dur que le métal. Sa vie d’artisans du verre n’était pas indissociable de sa vie d’artisans de la toile puisque les sages de l’enclave lui apprirent a crée certaine baguette et autres objets magiques a l’aide de ce matériau fragile et délicat.

Ll’ualyrr aurait pu être artistes, philosophes ou chercheurs, il choisit de devenir diplomate et artisan de la toile comme du verre. Il décida de passer son existence à étudier le monde et son histoire et à enfanter des œuvres d'art pour le simple bonheur de créer. Son seul soucis dans la vie, un probléme qu'il ne peux se résoudre à régler, c'est une brouille avec son frere ainés.

Son voyage ne fait que commencer.

*Extrait du journal de Ll’ualyrr Twuälbar*

Je crois qu’il est heure de partir mon frère, commence a préparer tes sorts,… la montagne n'attend pas...

Ce fut les dernières paroles que j'entendit prononcer; mon frére Gry'Alyrr.

Ce soir là j'était assis à mon bureau, je prit un vieux parchemin, une plume, de l’encre et commença à écrire… Ecrire, écrire, sans s’arrêter, c’était la première fois que j'allait dévoiler mon passé à mon frère, que j'allait lui expliquer pourquoi chaque soir il entendait des larmes tomber sur le sol froid de ma chambre, pourquoi on pouvait lire un désespoir sans fin dans mes yeux, et cela juste avant de partir…

j'était sûr de ne plus le revoir, d’ailleurs j'était sûr de quitter la cité avariel ce soir même.

«… Oui mon frère on aurait pu croire que tout allait bien se passer, mais un jour, ce jour que tout le monde attend lorsqu’on sait qu’une vengeance approche, oui ce jour est arrivé, il faisait nuit… Tout était calme, pas de vent, pas de pluie, la lune n’avait pas d’éclat spéciale. Derrière le tonneau qui était devant chez moi je vis une fumée, et pas une fumée de feu j’en étais sûr, et toute la maison commença à sentir la mort, à sentir la pourriture de la chair humaine sans vie. Mon père, est allé voir ce qu’il pouvait se passer, sachant au fond de lui qu’un danger régnait, il n’est jamais revenu… »

Quelques larmes ont brouillé la suite du paragraphe, qui devait, sans nul doute, être rempli de peur, et d’horreur.

«.. Tandis que je voyais mère pleurer toutes les lames de son corps, déjà fébrile, j’étais déboussolé, perdu dans l’horreur qui venait de se passer, perdu dans la mémoire de mon père, je me souviens entendre les tambours du chaos résonner dans ma tête, je me souviens voir feu et sang remplir la pièce, et puis plus rien…
Je me suis réveillé, encore apeuré, trois jours avaient passé, j’étais allongé dans un petit lit de bois, à l’intérieur d’un bosquet elfe au service de la seldarine. les rôdeurs et druides, qui voyait pour la premiére fois un avariel tel que moi, m'ont soigné, nourri et hébergé pendant plusieurs jours durant, ils m’avaient retrouvé couché devant leur porte, inconscient et tremblant de tous mes membres… Mes ailes noires était dans un sale état et je ne croyait plus qu'il était possible que je m'envole a nouveau.

Je réappris à me servir de mes dons, quelques tours de magies, mais ce ne fut pas si facile, les journées se passaient bien, un grand nombre de personnes m’entourait, mais quand la nuit venait, des voix, des cris de douleur revenaient s’emparer de mon esprit encore amoindri.
Une nuit, encore une fois plus rien ne bougeait, le vent s’était, cette fois, si brutalement arrêté, et il ne plut pas, je me souviens avoir regardé par la fenêtre, et là… je vis mon père tenant son épée comme autrefois à la main, se diriger vers une fumée lointaine, et en un instant des cris de haine et de douleur on empli mes oreilles et ma tête était sur le point d’exploser… Je devais prendre une décision rapide, qui modifierait le court de ma vie, mais qui était obligatoire, ma décision fut de voler, voler sans jamais m’arrêter au plus haut de la plus haute montagne, jusqu'à ce que la fatigue et la soif me stoppent…

Et c’est là qu’on s’est rencontré mon frère, le reste je n’ai pas besoin de te le raconter, tu le sais déjà, mes larmes qui coulent sur mes joues pâle chaque soirs sont des larmes de honte, la honte d’avoir fuit devant le danger quand il était présent, d’avoir fuit quand on avait besoin de moi…

Mais voilà mon frère aujourd’hui j’ai retrouvé mes forces, j’ai su combattre mes faiblesses par les meilleurs moyens, plus rien ne m’effraye… Ll’ualyrr ton frère qui te doit sa force… »

j'enfila mes bottes déjà fortement usées, et mes gants que père m'avait autrefois confiés, puis nous sommes partit mon frere souvient toi. Nous avons découvert ce qui avait tué père et hanté mes rêves durant si longtemps…
Un Incube, cette créature abyssale, je savait maintenant que jamais je ne pourrait me venger, je savait qu'une peur régnerait à jamais en moi… Seulement je sais contrôlé ma haine et non pas la fuir ou lui céder.

Cette blessure en mon coeur je ne lui cédera pas...

Citation :: C.6 ) RACES EXOTIQUES NON JOUABLE
- Les avariels ne sont pas jouables sur le val.
La raison premiére du refus est surtout qu'il s'agit d'une race particuliérement rare (en voie d'extinction) et hautaine, même avec les elfes et qui n'aime pas les autres terrestres (isolatisme fort). Aucun interet roleplay
La raison seconde est qu'on interdit le vol sur le Val, je vois mal l'interet de jouer une avariel clouée au sol qui revient à devenir une elfe normale terrestre

Bon j'avais pas vu ca T_T vous pouvez directement mettre ca au cimetierre donc

A moin qu'on me permette de le jouer quand même affraid

Be born by grumbling Nombre de messages : 1464 Age : 37

Pas d'avariels en effet Smile

je classe au cimetière.