[Parti][Validé][DDN][H] Veariulah fille de Dragon Noir

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Veariulah est une jeune demi-dragon, tandis qu'elle passe sa première nuit dehors, elle se remémore une histoire que son père lui avait comptée quand elle était petite, pas n'importe quelle histoire, son histoire...

Ca c'est passé il y a quelque décainies de cela, je n'était pas encore de ce monde.
Lorsque mon père grand dragon noir laissa déchainer sa fureur sur un petit village vivant de récolte. Il avait appris qu'une grande fortune avait était amassée par un riche noble à qui appartenaient ces terres. Et étant bien décidé a s'en accaparer, il s'en était donc pris avec délectation a ces terres, les dévastant de son soufle d'acide.
A son arrivée au manoir, il se mis à appeler le comte, mais personne ne répondit, ce qui ne fut pas du tout à son goût. Il se mit alors dans une fureur monstre, et commença à chercher sa proie dans les couloirs du manoir, mais il ne trouva auccune trace du comte.
Soudain, une odeur parfumeée vint lui chatouiller les narines, et d'un pas lourd, il suivit cette odeur de lavande qui le guida jusqu'à la plus haute tour du manoir ; là, il entendit une respiration haletante, s'arrêtant soudain, il se pencha alors en disant de sa voix forte et résonnante : « Je t'ais enfin trouvé, pitoyable humain! ». Mais à sa grande surprise, en se penchant, il découvre sous la table une jeune elfe vêtue de voilerie noire. Elle était toute tremblante, essayant de retenir sa respiration, les yeux fortement clos. Père l'avait regardée un instant , elle était très belle, disposant d'une longue chevelure brune et des yeux verts jade .Ces oreilles pointues ressortent de sa longue chevelure épaisse.
Il la comtempla un instant puis d'un geste sec, lui saisissa le bras avec ces longues griffes, pour la retirer de dessous la table, la projettant avec violence contre le mur. Elle leva alors les yeux toute effrayée, laissant échapper quelque larmes.
C'est alors qu'il lui demanda de sa voix puissante “Où est le noble, femelle?!”. Elle répondit alors d'une voix intimidée et appeurée “il est ...il est mort”. Il réfléchit alors un instant, puis lui demanda a nouveau “et toi, qui es tu?”, elle répondit de sa voix douce et effrayée “je suis Lastalaïca Brown”. Il laissa alors échapper un sourire, s'approchant son visage de celui de la jeune elfe, il lui dit alors “Brown, tu dis, tu es donc l'épouse de ce comte.Parfait! J'ai donc l'héritière du trésor en face de moi!” d'un air s'atisfait. Elle jeta alors un regard à la porte, mais père le capta aussitot. Puis sur un ton amusé, lui dit “Oh! tu peux toujours essayer, mais je te le déconseille bien à présent, dis-moi où tu caches l'or du noble?” elle détourna alors la tête et répondit d'une petite voix “si je vous le dis vous me tuerez ensuite”. Père la regarda un instant, puis éclata de rire, et dit “ tu es futée, ma chère, mais je te laisse le choix, si tu me le dit, je t'offrirais une mort rapide, alors que si tu restes silencieuse, je te ferais souffrir jusqu'a ce que tu laches le morceaux, à toi de voir à présent”.
Attachée à ce que son cher défun mari lui avait léguée, la jeune veuve ne dit mot.
Quelques minutes plus tard, agacé par ce long silence, père lui saisi la taille entre ses griffes et s'envola avec elle vers sa caverne.
Arrivé à celle-ci, il la projetta dans l'une de ses creuvaces, peu profonde pour lui, mais assez pour empêcher un être humain d'en sortir.
Il lui reposa alors la question, “où se trouve l'or, femelle?”, n'obtenant pas sa réponse, il la laissa trois jours seule dans cette creuvace sombre, où les seules choses pour boire étaient des goutières, pour manger, des rats. Le troisième jour, il revint après un long sommeil, et lui jeta du vieux pain rassis, puis lui reposa la question.
La jeune femme affaiblie ne répondit point, et agacée, il la laissa de nouveau seule.
La scène se répéta ainsi pendant trois long mois. Tous les trois jours, il venait la voir et lui reposait la même question, et à chaque fois, elle restait silencieuse, peut être avait-elle la foi qu'un jour on viendrait la délivrer des sombres griffes de père.
Jusqu'au jour où agacé, père alla la voir, et pour se mettre à sa hauteur, il se changea en homme, allant la voir, bien décidé à la faire avouer, d'un bond, se jetta dans la creuvace pour la rejoindre, et d'un geste, elle recula, effrayée et très affaiblie, elle tomba dos à terre, il la regarda un instant puis ce mit au dessus d'elle, la fixant d'un regard dur. Il se baissa alors, et lui saisit le cou et lui chuchotant de sa voix raisonnante “tu est bien têtue, mais je le suis d'autant plus”en enfoncant doucement ses griffes dans son cou, la laissant alors échapper un gémissement de douleur. Il rapprochat alors sa tête de celle de la jeune veuve pour lècher le sang qui s'écouler dans son coue, ce couchant doucement sur elle.
Cette fois là, elle n'en sorta pas indemn. Il avait décidé de procréer avec elle. Elle tomba enceinte et a partir de ce moment là, il la nourrit comme une reine, il lui porta même un lit, faisant de la sombre creuvace à rats un nid confortable.
Mais il n'oublia pas pour autant sa question, et comme à son habitude, après chaque repas de la belle, il lui demandait où était l'or mais toujours, elle restait silencieuse.
Au bout du neuvième mois, le moment était venu de mettre cette grossesse à terme. Elle accoucha, et dans la douleur et dans les cris de la jeune elfe, je naquis. Père me saisit alors entre ses deux grandes pattes de dragon, pour découvrir alors une petite fille au deux petites écailles noires sur le dos.
Il porta alors son regard sur la jeune elfe éppuisée, et dit “maintenant dis moi où est l'or où je la tue!”, alors, en sanglot, elle s'effondra en larmes, et avoua où se trouvait l'or de l'héritage. Il me déposa alors contre le sein de ma mère, qui, aussitôt me serra très fort contre elle, tandis qu'il partit vérifier les dires de la jeune elfe.
Quelque heures plus tard, il revient avec quelque trésor, satisfait .
Après cela, il laissa à l'elfe le soin de me sevrer de son lait maternel dans la creuvace aménagée. Mais peu de temps plus tard, l'elfe mourut de je ne sais de quoi.
Père lui était là, et dès mon plus jeune âge, il m'apprit à vénérer Tiamat et à lui faire toutes les offrandes possibles. Il fallait trouver de l'or, toujours plus d'or, mais pour cela il fallait savoir survivre et donc se nourrir. Sur ceci, j'appris très vite à chasser.
Un jour, alors que père me menait à une de ses dévastations de village, je trouva à terre un katana dans une maison de paysan qui avait fuit. Je le saisis et demanda à le garder, fascineée par cette lame si tranchante et fine. Il accepta et j'appris très vite a m'en servir. Toute occasion était bonne pour la sortir. Ce fut devenu mon jouet préféré.
Mais après quelque mois à trancher, couper tout ce que je croisais je commençais a m'ennuyer fermement, lorsque alors que je faisais les cent pas dans la caverne, au fond parmi tou les trésors, je vis un drôle d'objet scintiller. Je le saisis et demandais à mon père ce que c'était, et il me répondit que c'était une flûte. Une flûte en or, il me dit alors qu'il fallait soufler dedans. Je le fis et aussitôt un son s'en échappa. Cela m'amusa beaucoup, alors je me mis dans la tête de m'en servir aussi bien que je me servais de ma lame. Alors quand mon père lui tombait dans le repos du guerrier, moi j'en profitais pour jouer. Cette instrument me fascinait. J'aimais trouver de nouvelles mélodies et je pense que j'étais assez douée. Un jour, alors que je tombais dans ma vingt et une ème année, mon père me demanda de le quitter. Il me dit qu'il était temps pour moi de découvrir d'autres terres et d'étendre le pouvoir de la sainte Tiamat, de le rendre fièr. Sur ses paroles, comme à mon habitude, j'obéis, et munie de mon katana et de ma flûte, en laissant un baiser sur le front de mon père, je partis.
Les larmes au bord des yeux, retenant mon corps de faire demi-tour, je partis tête haute et fière, mais surtout sûr de la puissance de mon sang.

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Après avoir marcher pendant quelques jours Veariulah a décidé de stopper sa route dans une contrée nommée "le val de bise". Elle s'arrêta alors dans une ville appelé Luskan; ville ne semblant pas vraiment faire attention aux différences de chacun. Elle s'installe alors, ne sachant pas ce que l'avenir lui réserve.

"Les tourments du changement"

-Les yeux a peine ouvert, que m'arrive t'il ?...
Père tu n'est pas là pour m'expliquer. J'ai cette douleur en moi... mon dos...
j'ai cette impression... l'impression que ma peau va se déchirer... ça tire! J'ai envie de hurler. Père pourquoi ne m'as-tu-pas expliqué ? alors que chaque jour, je dois combattre, me défendre, me nourrir... seule...je souffre!.
Et plus les jours passe plus sa tire... Je n'en dort plus, j'ai mal, il y a quelque chose en moi, quelque chose qui pousse... peur... peur non je ne doit pas...
Ca y est je les sent... ça sort, ma peau... Aaaaaaahh... elle se déchire... mais cette chose... c'est moi. Elles sont à moi... elle font partie de moi... je souffre mais quesque c'est bon!.
Je suis heureuse, je me rapproche de toi Père, j'y arrive... elle sont magnifique, je me rapproche du rêve. Fière, je suis, je les aime tellement.
Enfin elle se sont montrées... mais pourtant je suis toujours étrange, je tousse de plus en plus et ma gorge elle se serre tellement... que va t'il m'arriver?...

Les jours passent et toujours rien... seulement cette toux et mon ventre est sérré.
J'ai cette impresion d'avoir toujour le ventre vide... quelque chose change en moi...
j'ai envie de le rejetter... oui le rejetter mais je n'y arrive pas.
Père éclaire moi, aide moi à comprendre, guide moi.
Lorsque l'on est enfant, on grandit, on change, mais cela l'on ne le voit pas... cela n'arrive pas d'un coup... je ne suis pas prête! *seccou la tête* que dis-je?
Si je dois l'être, je le suis! il le faut... pour toi. Mes ailes! je dois y penser, elle ont étée un cadeau. Je ne doit pas avoir peur. J'attend... je doit attendre... ça va arriver... je le ressent...
Ca est ça s'est montré, je crache... je comprends, je vais avoir son souffle... Père, de ton souffle , j'ai hérité, je comprends... ça n'est pas mauvais, pas pour moi...
ça arrivera bientot, j'ai hâte, je l'attend...

[Parti][Validé][DDN][H] Veariulah fille de Dragon Noir Dragonne23xr

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La Feinte D'Honneur

Alors que je chassais l'ours blanc dans les montagnes eneigées d'hundelstone, je tombais nez à nez avec un petit groupe d'aventuriers,
Le groupe était constitué de la pseudo vampire Sariah, la moine au kimono Paih, un drôle de mage dont la capuche ne va pas avec la robe et la fiancée de la vampire Marla.
Ils avaient l'air d'être contants de me voir, étrange. Mais il ne tardèrent pas à me faire comprendre que c'était parceque ils avaient besoin de moi.
Mais avant qu'il n'eurent le temps de m'en expliquer la raison, nous furent rejoinds par Cassandra la grande guerrière.
C'est alors qu'ils se mirent à m'expliquer. Ils avaient besoin de mon savoir sur les dragons. Je leur en demandais donc la raison, et ils m'expliquairent qu'ils avaient mit en colère un dragon
blanc. La petite Sariah et sa copine s'était amusée à s'aventurer sur le territoire du dragon, et s'était retrouvée nez a nez avec les petits du dragon.
Les petits dragonnets, se sentant menacés s'étaient attaqués à elles. Les deux jeunes femmes, sans réfléchir aux conséquences c'étaient défendues et avaient rapidement mis un terme à la vie
de ses petits dragonnets. Le dragon blanc avait donc déchainé sa fureur sur hundelstone. Il avait donc décidé de trouver un moyen de calmer le dragon. Et me connaissant, il avait donc décidé de me trouver, afin que je leur communique les méllieurs moyens de s'attaquer a lui. Ne l'attendant pas de cette oreille, je m'énervais rapidement en entendant cette histoire. Puis après quelques reproches donnés de ma part au deux jeunes femmes, je me calmais lorsque j'entendis qu'il allait s'y rendre seul finalement.
Je me dis alors que j'aiderais mieux le dragon en les accompagnant. Je les accompagnais donc au mont des aigles, où je pus découvrir le corps du petit dragonnet. Il était si beau, d'un blanc si pur, avec des écailles aux reflets d'ivoire. Je récupérais donc l'une de ses écailles, la glissant donc dans ma poche pour ne jamais oublier. Puis après une longue prière à notre sainte mère Tiamat,
Je portais donc le corp au sommet du pic des aigles, pour l'enterrer, en déposant un rubis à cet endroit. Tout en faisant une dernière prière.
Après cela, nous ressentîmes un froid violent, nous nous enveloppâmes, accompagnés d'un tremblement de terre. Le dragon voulait sûrment nous montrer sa puissance. Je sentis qu'il nous observait alors, avec tout le respect que j'avais. Je me présentais en précisant aussi mes père. Ils n'y fit même pas attention et n'eut pas la décence de me répondre.

Soudain il nous balança un soufle glacial, en laissant échapper un rire maléfique. Je compris qu'il avait décidé de faire de nous son dîner. Il m'avait offencée en ne me considérant que comme une vulgaire proie sans même faire attention à mon sang. Je me sentis alors insultée, et pour tester sa valeur de dragon, je le défiais donc à la feinte d'honneur.
Il ne pouvait refuser, il m'avait froissée en ne me considérant pas pour ce que j'étais. Et la feinte d'honneur était un code de conduite qu'on ne pouvait que suivre. Le refuser en revenait à ne pas suivre les valeurs instaurées par les vénérables. Il ignorait tout d'abord mon défit ce qui fut une seconde offence, et ce qui commencais a me faire penser qu'il n'était pas digne d'être ce qu'il était. Il se montra donc devant nous en voulant nous impréssioner. Mais déjà assez sur les nerf, tenta à nouveau un discours avec le dragon, mes équipiers me faisant confiance ils se mirent un peu a l'écar, impréssionés. Hélas! il se moquait bien de mon discours et offencé, alors qu'il avançait son museau près de mon visage, cherchant à m'éffrayer, je le fixais dans les yeux en renouvelant mon défit draconnien. Il me fixa un petit moment, puis surement surpris, il nous fit alors une proposition. Nous devions n'éttoyer son antre qui avait était accaparée par des géants de glace, mes compagnons assez imprésionnés par le dragon, acceptérent sans hésiter. La Récompense étant qu'il nous laisserais repartir sain et sauf. Satisfait par la réponse donnée, il projetta son souffle glacial sur le pic de la montagne enneigée. Dans l'instant qui suivit un goufre se creusa à l'endroit même où le dragon avait soufflé.
Un léger sourire sournois apparut sur le visage du dragon. C'était sûrement un piège, mais autant en avoir le coeur net. On descendit alors dans le gouffre. Le dragon lui nous attendit à la sortie. Arrivé en bas, nous nous retrouvâmes face à une armée de géants. Le combat fit rage. Les coups s'enchainèrent et ce ne fut pas sans mal que nous sortîmes vainqueurs de ce combat.
Débarrassés de l'armée de géants, le chef de ceux-ci au sol agonisant, nous lui donnâmes le temps de s'expliquer. On voulait comprendre. Que voulait -il du dragon ? on se doutait de la mauvaise foi du dragon alors autant en apprendre!. Il eu juste le temp de dire qu'il était le gardien de l'avenir et qu'il comptait se servir du dragon comme chien. Juste avant qu'on puisse l'obliger à nous expliquer pourquoi il disait garder l'avenir. Le dragon nous avait rejoint et d'un coup de griffe, il mit un terme à la vie du géant. Il nous regarda alors et nous fit comprendre que maintenant que nous étions dans son repère, il n'aurait plus l'intention de nous laisser partir. Il se jetta alors sur nous, et énervée je lui criais qu'il n'était pas digne d'être un dragon, qu'il avait renié sa race. Il répliqua alors que ça ne changait rien, s'il n'y avait personne pour en témoigner. En entendant cela, c'en était trop, le combat fit rage, et après une succésion de coups nous sortîmes vainqueurs de ce combat, et le dragon tomba inerte au sol.
Me laissant resentir un sentiment d'injustice sur le faite qu'il pouvais y avoir des dragon qui n'était en rien digne de leur rang, stupide dragon blanc...

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*missive envoyer au haut dirigeants de luskan*
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*le sceau est marquais d'un dragon*

*Quelque temps plus tard Véariulah reçut une réponse positive allant alors fêter cela devant un bon repas*

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Personnage rencontré:

Amandine:
Jeune humaine naïve semblant ne savoir s'imposer a personne. N'ayant pas eu une enfance facile, abuser par son père. Elle se donne a toute homme quelle rencontre. Espèrant trouver l'amour ainsi elle travailla avec moi en revendant mes objet trouver. Décider a l'aider pendant longtemp, je l'assoma a chaque rencontre quelle fesait avec les hommes. Mais alors quelle ce fesait insultait par des jeunes femme je la défenda. Mais elle me trahis, lorsque ces même femmes m'insultaire, elle ne dit rien et quelque temps plus tard elle fit amies avec elles. Elle a maintenant disparut et je m'en lave les mains...

Jace:
Grand ami, en qui j'ai la plus grande confiance. Si il aurait était demi dragon je l'aurais pris comme grand frère. Il ma beaucoup appris et était la quand tous, m'avais laisser. Puissant ensorceleur je me rappel encore nos bataille lorsqu'il se changer en dragon pour m'amuser.
Amoureux d'une femme nommée Malicia celle-ci ne m'appréçiant pas, elle lui reprocher toujour quelque chose, et espèré surment me raillier de la vie de Jace. Ils devait ce marier... il a disparut....

Malicia:
Compagne de Jace, elle semblait toujour me prendre de haut et ne m'aimer pas. Dallieur c'était partager, puisque elle rendait majheureux Jace. Et voulais lui interdire de me voir parsque je le fesait sourire. Je ne l'ai plus vue tous comme Jace, j'espère pour elle qu'il est heureux...

Fury:
Un trésor, grand ensorceleur il fut un compagnon d'arme extrahordinaire.
En me laissant toujour tout les coffres que l'ont trouvés.
M'aidant a constituée mon trésor. Je me rappel qu'il avait toujour une boule de feu qui crépitait dans l'un de ses mains. Se fut aussi lui qui me tatoua un dragon dans le dos, le rendant presque vivant avec sa magie.

Aldahir:
Un barde qui attira mon attention avec ces instruments.
Il m'aida pour apprendre a jouer du violon. J'ai appris sa mort...
arg il me devait un cochon en plus.

Sariah:
Jeune elfe, j'aime bien ses tenues et sa mentalitée est trop marante avec son caractère trop facile à énervée.
Elle semble facinée par les vampire en plus elle y resemble.
Le seule truc c'est quelle a la folie de Luçia, elle aime les femme.
Par contre elle organise des super tournois, J'adore.

Alia:
Jeune humaine que j'appréçier au début la considérant comme une amie, je révisa mon jugement lorsqu'elle vola le fiançé de son amie Amandine, alors quelle venait de perdre son fiançée Aldahir. Elle est morte...
c'est bien fait pour elle!

Belbretch:
Grand ami, bainite il m'appris beaucoup au combat. Nous duélions beaucoup a mes début, il me battait et cela ma pousser a m'entrainer anfin de le battre. A présent je les surpassé au combat et il me dit souvant qu'il se fait vieux. Belle excuse!
Je tien beaucoup a lui, d'allieur il me le rend bien, je croie que je le ruine.
Cadeaux et pierre précieuse s'enchaine quand je suis avec lui. Il m'offre même a manger des slaad.
Je croie que sa le fait beaucoup rire mon appétit. Ce fut le premier bainite que j'ai goûté... Délicieux.
Il ma appris il y a peu qu'ils m'aimer. Je croie lui avoir fait de la peinne en me repondant pas a sa demande mais, je ne pense pas tenir à lui de cette façon.

Cassandra:
Grande guerrière, je l'admire au combat, d'allieur je pense disposer de la même ambition au tournois. A chaque tournois nous espèront nous retrouver face a face. Et si il y a un tournois en équipe nous nous somme fixée le bute d'être cote à cote!.
J'attend ce jour avec impatience...
Nous nous somme rencontré au dernière tournois enfin, elle a gagner a la troisième manche... La prochaine fois je ferais tout pour l'emportée!.

Marla:
Rodeuse elle est marante, elle imite souvant les cries des animax pour s'amuser, se qui a le don de faire honte a Sariah.
Elle a même essayer de goûtée du slaad crue!.
On peu dire quelle saus s'amuser!.
Son défaut c'est que elle aussi est atteinte de la folie de Luçia... elle aime les femme et d'allieur c'est la fiançée de Sariah.

Dasumia:
Elle est une valheureuse combatante et surtout a ne pas trop énervée sinon elle tape tout le monde... une sorte de perte de controle, la dernière fois que c'est arriver Sariah avait l'air fachée contre moi, pour ne l'avoir pas aider a la retenir... mais en fin de compte c'était assez amusant! domage quelle a pas choppé le nain.

Lila:
Petite halfeling dont j'appréçie beaucoup la présence.
Elle me fait beaucoup rire, étant douer pour ce dissimulée ont s'occupais parfoit a espionnée les chambres de Gnafraux.

Elvin:
Un elfe douer avec ces doigts pour tout type de chose, serrure pièges rien ne lui résiste. Nous fûmes enfermée dans un donjon ensemble pendant quelques jours, ont s'en était sortie et après cela, nous passèrent beaucoup de temps ensemblent. Il m'avoua alors son amour pour moi, mais ne désirant pas partagées cette amour, ils en souffra.
Après cela il fit appel a une nécromancienne afin de s'éloigner de moi...
Cela marcha mais la suite me fait trop peinne a compter.

Kronyx:
Demi dragon bleu notre première échange de parole fut a travers des lettres d'énigme. Ce fut après quelque temps que nous nous rencontraire.
Depuis nous somme amis, bien que nous nous voyont rarement.

Likan:
Demi dragon rouge, nous somme ami et aimons combatre côte à côte.
Il m'accompagna contre tous, quand j'avais décider de défendre un dragon. J'ai l'imprésion qu'il voie les chose de la même manière.
Nos idées se rejoingne concernant la vie. J'appréçie beaucoup sa présence. Je ne les pas revue depuis un moment... J'espère le revoir très vite.
(pas finit)

Gardien des Mystères Nombre de messages : 11689 Age : 50

Au chaud au cimetière