[Paladin][H] (Double BG) Lysandre / Parîs

Nom du compte joueur forum : Alrune (Lysandre) et Sat (Parîs)
Nom du compte joueur module : Wreched (Lysandre) et Zhephir (Parîs)
Nom du perso : Lysandre (F)/ Parîs(H)
Race : Humain
Age : 22 ans
Alignement : Loyal Bon
Religion : Lathandre
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 Paladin
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epée longue
Langues : Commun
Trait de Caractère : (a venir)
Description physique : (a venir)

Lysandre Parîs
Caractéristiques : Caractéristiques :
FOR : FOR:
DEX : DEX:
CON : CON:
INT : INT:
SAG : SAG:
CHA : CHA:


Valence et Lucinda sont deux jeunes enfants de 10 ans, deux beaux jumeaux aux yeux d’un bleu ciel pure et aux cheveux blond comme les blés. Ils sont nés il y a 22 ans dans une famille des environs de La Porte de Baldur. Fils et Fille de paysan, ils ont grandi dans l’éducation des gens de la campagne entre le dur labeur de la terre et celui de l’amour des bêtes.
Par un beau matin d’automne, alors qu’ils amenaient tous les deux le petit troupeau de moutons à la pâture, ils firent une rencontre qui bouleversa leur vie et leur destin.

Alors qu’il traversa le cours d’eau des roches bleues, le jeune garçon entendit sa sœur le héler en amont des rochers.
- « Valence!!! Viens vite, Valence vite ! »

Le jeune garçon se précipita et grimpa les rochers le plus vite qu’il put
Sa sœur se tenait les pieds nus dans l’eau et face à elle un magnifique cheval harnaché.
Il était immense, avec une robe couleur sable et une longue crinière noire descendait le long de son encolure …. Elle le caressait doucement tandis que lui grattait le sol de son sabot.

«Regarde comme il est beau. »

Le jeune garçon resta figé dans son émerveillement.

Alors que l’eau devint vermeille autour des pieds de la petite fille, le cheval recula en douceur. Inquiets, les enfants se mirent sur les pas du cheval et le suivirent non sans crainte.
Le nuage pourpre qui prenait forme dans l’eau devint de plus en plus dense jusqu’à ce qu’ils rencontrent un homme.

Il se tenait assis, adossé à un rocher un peu plus haut au milieu du courant, la tête posée en arrière, son regard fixé vers l’Est sur la cime des arbres, le corps transpercé de multiples flèches, son casque entre les jambes. Dans une main il tenait une épée qu’il agrippait fermement. Sa longue chevelure noire masquait sa figure et ne laissait entrevoir que le bas de son visage. Son armure lourde finement ciselée avait reçu des multiples impacts et traces de coups. Des jointures s’écoulait un flot continu de sang qui se déversait dans l’eau claire.

Les deux enfants apeurés le regardaient sans bouger alors que le cheval se mit à ses côtés et abaissa sa tête jusqu'à l’épaule de l’homme. Ses lèvres bougeaient mais aucun son ne sortait de sa bouche. De sa main libre il voulut caresser son cheval mais il n’avait plus la force et celle-ci retomba dans l’eau.

C’est la petite fille qui réagit la première, elle se précipita vers l’homme et s’accroupit à ses côtés. L’homme ne broncha pas, le regard toujours perdu vers la cime des arbres. Il continua à remuer les lèvres mais toujours aucun son. Le petit garçon rejoignit sa sœur mais il resta debout à regarder l’homme en silence.

«Sire ? Sire ? dit t’elle doucement. »

Faiblement quelques mots sortirent de la bouche du Paladin.

- « Prévenez les avants poste de la ville les orcs arrivent, filez enfants… Prévenez les vite »



Horrifiés ils se regardirent hébétés, tandis que l’homme reprenait sa litanie à haute voix des larmes coulant sur ses joues.

J’attends mon ange.
Il m’emmènera là bas.
Je ne veux plus rester mais je ne veux pas y aller seul.
Ange vient près de moi.
Ange ! Prends ma main emporte moi que je puisse m’envoler à tes côtés.
Je ne veux pas y aller seul, j’ai peur.

Le garçon lui prit la main, la fille posa la sienne sur la joue du Paladin

D’un coup il redressa son buste et leva sa lame vers les cimes et se mit à crier de toutes ses forces.

« JE SUIS HECTOR !!! Je suis devant toi. »

Puis d’un geste lent il baissa la tête et murmura presque.

« Je suis Aldrich, ne m’oubliez pas ! »

Le paladin des espérances mourut sur ces derniers mots, tandis que le soleil transperça la cime des arbres de ses multiples rayons de lumières.


[……]

Avant toute chose, je préfère des bg séparés sauf s'ils sont siamois.
L'épée longue n'est pas l'arme de Lathandre.

Ben on a pas le temps de faire deux Bg tu liras la suite si ca te plait pas y aura un seul paladin.... ou pas .

C'est des paladins pas des prétres.
Utilisation d'arme de guerre ca veux dire qu'ils utilisent tout les armes.
Ca fonctionne pour les prétres pas les paladins. Ca leur permet d'avoir une arme tranchante ou spécifique ouverte autre que les arme contandante courante de base ouverte aux prétres que tu trouve dans les régle de base .
Si l'arme de prédilection d'une dieu c'est la dague comment ils font ?

Pourquoi on trouve des épées longues appelé les lame noir de baine sanctifié dans les campagnes DD ?... si on doit focalisé sur une seul registe on est pas sortie.
Une épée sainte c'est une épée longue c'est le symbole des paladins
La masse sainte c'est le symbole du prétre et sa s'appel une masse de disruption. Donc je suis pas d'accord sur ce sujet .

Fermement cramponnée à sa monture, elle filait à vive allure, laissant le corps du paladin à la merci du temps et de la nature. Au loin, sur le coté se tenait la ferme familiale au sein des faubourgs, devant laquelle elle passait, poursuivant sa route en direction de la cité, le cheval toujours au galop.

Arrivée aux portes de la cité, les gardes l’arrêtèrent avant qu’elle puisse pénétrer à l’intérieur de la ville. L’un d’eux se saisit des mors du destrier, non sans mal.

- « Halte ! Halte gamine ! Que se passe-t-il ?

- Les orcs !! Les orcs arrivent ! Dépêchez vous, ils arrivent !

- Du calme gamine, descend et viens avec nous calmement.

- NON ! Nous devons prévenir les gens du hameau, ma famille, mon frère est là bas…

- Restes ici ! Va te protéger à l’intérieur, nous nous occupons du reste. » Tout en faisant descendre l’enfant de sa monture, il se tourna vers les autres gardes et leur brailla un ordre : « Fermez les portes ! »

Alors que quelques habitants commençaient à s’approcher pour voir ce qu’il se passait, tout en gardant une distance raisonnable, le cheval rua et s’enfuit vers le loin au galop. Lucinda, les yeux humides, regardait s’éloigner le destrier, son unique chance de sauver ses parents, sa famille et son frère, alors que les lourdes portes se refermaient dans un sinistre grincement sourd.

C’est ainsi que la garde fut prévenue, la ville sauvée des orcs et les faubourgs abandonnés aux sorts des flammes meurtrières des assaillants.

[...]

[...]
Il courait à se faire exploser les poumons. Sa course entre les arbres lui avait écorché le corps de toutes parts mais il ne sentait plus rien. Haletant, il courait comme un dément vers le hameau de sa famille.

Il sortait du bois quand et vit au loin des colonnes des fumées s’élever dans le ciel. Il eut un temps d’arrêt, effaré devant le spectacle qui s’offrait à lui. Le hameau en flamme s’embrassait avec le fracas des grands feux de bois. Il se précipita tête baissée vers le hameau, les larmes coulant sur son visage.

Tout n’était plus que vison d’horreur, les orcs étaient partis en laissant derrière eux un paysage de désolation. Les cadavres jonchaient le sol, aucune maison n’avait été épargnée. Le jeune garçon, perdu dans son supplice devenait fou de chagrin, effondré au sol il empoignait ce qu’il restait d’un manteau. Il pleurait, étalant sa souffrance, son innocence face à la nudité de la cruauté.

Avant de tomber de fatigue, au milieu de ses sanglots, on aurait pu entendre ces quelques mots.
« C’est ta faute… ta faute… Pourquoi tu ne m’as pas laissé le cheval… pourquoi ? »

[...]

Que furent leurs vies après cela ?
Comment porter haut nos enfants ?
Orphelins à présent, la ville en fit ses pupilles pour les oublier aussi vite. Et les voila allant d’orphelinat en orphelinat et de pension en pension. Valence dépérit tandis que sa sœur se sublime et excellant en toute matière.
Maintes fugues, maintes punitions pour le jeune garçon, maintes fois rattrapé par sa soeur sur les chemins boueux. Elle le rejoint une dernière fois pour prendre la route la tête basse.

« Valence ! Reviens je t’en prie, il n’y a rien devant. »
L’enfant se retourne et dévisage sa sœur.
« Tais toi ! C’est ta faute. » Après un court instant de silence il rajoute : « Tu n’es pas obligée de venir. » Et il reprit sa marche. Sans un mot elle le suivit, pleurant silencieusement.

Ils arrivèrent au croisement. Devant eux l’Est et le Cormyr, au Nord la route des côtes des épées, au Sud l’orient. Sur le côté de la route, monté sur un cheval de guerre lourd, un chevalier attend. Poussiéreux, il a du faire une longue route, son cheval a encore l’écume aux lèvres, il souffle lourdement. Penché sur le pommeau de sa selle, il regarde les deux jeunes enfants passer devant lui.

Le chevalier prit la parole souriant.
« Je suis Euriclide, serviteur du seigneur de l’aube, je suis là pour vous. Vous ne devez pas restez seul. Venez les enfants il va faire nuit. »

Ils le suivirent sans se poser d’autres questions, comme rassurés par sa présence. Très peu de mots furent échangés pendant ce court voyage. Le petit garçon marchait toujours en tête, décidé à suivre l’homme, la sœur traînant à l’arrière.

Le soir ils arrivèrent à un relais d’auberge. Le chevalier leur offrit un repas chaud. Ils s’étaient posés au fond de la salle autour d’assiettes vite englouties. Il les observait gravement puis, la main posée sur son menton, il prit la parole.

« Quelque part à l’intérieur de vous il a un fleuve de grandeur. Si vous écoutez bien, le silence vous répondra son secret, votre secret. Ouvrez vos bras pour cette suprême étreinte. Vos lèvres, portes de vos souffles, scelleront ce baiser ou non. Le reste n’est que silence, tout le reste n’est que silence. Comprenez vous le sens de mes mots ? »

Les deux enfants dans un silence firent oui de la tête, troublés par les paroles du vieux paladin. Mais sûrs de leur réponse au plus profond d’eux même.

« Demain avant l’aube, vous viendrez avec moi. »

Le lendemain Euriclide prit les enfants confiants par la main et ensemble ils empruntèrent la route des collines. Arrivés presque au sommet, il les laissa seuls face au levé du soleil sans autre conseil de que celui d’écouter leurs cœurs.

Il y a une pratique connue dans les églises du matin qui veux qu’à chaque paladin choisi par le seigneur des espoirs, lui soit confié un nouveau nom lors d’une cérémonie faite à l’aube.
Le Dieu soleil lui murmurera ce nouveau nom auquel il répondra par signe de ferveur et de dévotion. Ainsi il devient paladin mais que reste il de l’homme caché derrière ? Juste un nom oublié ?

Ils partirent Lucinda et Valence et revinrent Lysandre et Parîs.

Les années ont passées sous la tutelle d’Euriclide. Lysandre apprenait vite, toujours à l’écoute, elle progressait bien plus vite que son frère. Excellente cavalière, combattante et dans ses études diverses, elle avait pris une nette avance sur son frère. Un jour, elle s’inquiéta de cette situation auprès du vieux paladin.

[...]

des nouvelles ?

Au cimetière