[En cours][roub/ass][DO] Vrok

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Nom du perso : Vrok
Race : Demi-Orque
Age : 26
Alignement : Neutre Mauvais
Religion : Yurtrus
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Roublard 15 / Assassin 10
Arme de prédilection: Hachette dans chaque main
Langues : Orque/Humain
Trait de Caractère : Sombre, silencieux, tres intelligent pour un orque, vaillant, habile dans les conversations, fidèle.
Description physique : Vrok n'est pas l 'orque le plus costaud et il est même loin de l'être, mais son agilitée est surprenante de même que sa vitesse. Il porte des peaux de loup comme vêtement. C'est un orque ordinaire mise à part ses mains blanches et cette même main blanche peinte sur son visage en gage de peinture de guerre.

Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 15
CON : 13
INT : 13
SAG : 10
CHA : 12

Histoire

A son adolescence, ou plus exactement à ses 11 ans, on ne peut pas dire que Vrok avait les critères physiques standarts du demi-orque, c'est à dire une carrure imposante aux muscles bien développés.
Vrok avait quand à lui une musculature fine dont la corpulence se rapprocherait plus d'un humain, ce qui aurait pu lui faire devenir la source de toute moquerie de la tribu des "Né'KaSsé" (ceci en référence au chef de la tribu nommé Borug dont ce surnom lui fût donné un matin de jour venteux, où mal réveillé, il ouvra en grand la porte de sa case, dont le vent souffla si fort, que cette dernère se referma aussi sec sur son nez qui se retrouva...cassé.).
Mais il en était tout autre, car si Vrok n'avait pas les capacitées physiques pour tenir un combat en face à face, il sut très rapidement qu'il valait mieux compter sur ses autres aptitudes qui étaient pour lui une grande agilité et une dextérité à tout épreuve, dont les jaloux et les mauvaises langues lui attribuèrent le sobriquet de "l'elfe vert".
Mis à l'écart pour participer aux chasses de la tribu, il en profitait de son côté pour se rendre en toute discretion dans les villages humains environnants afin d'exercer ses talents de discretions et de vols pour s'emparer de temps à autres de poulets, de paniers de récoltes de fruits et légumes, de pièces de monnaies, et bien d'autres d'objets divers...
Ces moultes escapades en territoire humain lui permit d'observer leurs coutumes et d'assimiler leur langue.
Ses péripéties amusaient plus qu'autre chose les guerriers des "Né'KaSsé" qui s'impatientaient tout de même de voir qu'un des leur ne devenait pas un combattant émérité, et frustrés d'avoir un membre qui ne correspondait pas à l'image guerrière de la tribu, il décidèrent que le mieux pour lui était de faire ses preuves seul dans la nature pour le renforcé.
C'est donc muni d'un baluchon contenant quelques affaires personnel et d'une dague de haute qualité volé jadis à un forgeron humain, qu'il prit la route, à l'âge de ses 15 ans.
Mais quelques kilomètres plus loin, il fût rejoind par un orque ancien désireux de s'entretenir avec lui.
Il se présenta sous le nom de Kulug, serviteur de Yurtrus, et lui disait ô combien il était impressionner par ses talents physiques en lui expliquant que ceci était un don des dieux et qu'il était mieux pour lui d'en approfondir et d'en exploiter toutes les facettes.
Vrok buvait les paroles du vieille orque avec un intêret grandissant, et quand ce dernier lui proposa de le suivre pour pouvoir suivre un enseignement spécifique, il accepta sans hésiter !

Kulug le mena à l'entrée d'une grotte au pied d'une haute montagne et le guida dans l'humidité de ces couloirs rocailleux où la moisissure en avait envahit une bonne partie.
Là, Vrok fût présenté aux membres présents qui lui expliquèrent qu'il était dans un clergé dédié à Yurtrus le Putrescent, dieu de la mort et des maladies.
A partir de ce moment, il débuta un entraînement afin de perfectionner ses dons innés de roublards, suivi un enseignement basé sur le dogme et les préceptes de Yurtrus:

Citation:
La mort est inévitable et finit toujours par
prendre la vie. Les ravages d'une épidémie ne sont rien d'autre que la
mort emportant des victimes qui ne sont pas tombées au combat, ce qui
leur permet plus ou moins de choisir leur fin. On ne peut éviter le
contact des Mains Blanches qu'en s'inclinant devant le Seigneur
Putrescent et en implorant sa clémence. Cependant, la maladie peut
s'attaquer à toutes les créatures vivantes. Craignez-le, car la mort
est tapie dans les ombres de la caverne de Luthic et elle frappera
assurément de nouveau.


Arrivé à l'âge de 21 ans et devenu maîtres dans la discretion et le maniment des armes légères, ses supérieurs décidèrent qu'il était temps pour Vrok de parfaire ses compétence et devenir enfin un véritable serviteur du Seigneur des Vers en faisant de lui un assassin de haut niveau.
Pour cela un maître attitré lui fût désigné, et la première étape était donc de lui enseigner la meilleure façon d'executer des coups mortelles sur ses adversaires en misant sur la façon et l'endroit de porter ses attaques en lieu et place de coups basés sur la puissance.
Il étudia pour cela les zones du corps dites "sensibles" à ce genre d'attaque sur des esclaves morts ou vivants aussi bien qu'humains, elfes ou encores nains, dont il apprit les endroits où se trouvait les organes névralgiques.
On injecta à Vrok des doses de divers poisons tout d'abord en très faible quantité, pour ensuite en augmenté considérablement les doses afin que son corps s'en retrouve plus résistant.
Il lui fût aussi enseigner l'art de se camoufler en toute situation afin d'en devenir invisible aux yeux de tous, en ne faisant qu'un avec le décor qui l'entoure, en jouant avec l'obscurité, et en se déplaçant tel une ombre; d'une façon aussi silencieuse que Yurtrus en personne (les orques disent "quand mains blanches parlera" pour dire "jamais).

Afin de parfaire ses capacitées à esquiver des attaques de toutes sortes, il subissait de longues séances d'entrainements dans une arène, où les yeux bandés, il devait dans un premier temps esquiver des flêches sonores tirer dans sa direction afin de stimuler ses réactions.
S'ensuivait d'interminables combats toujours à l'aveuglette, où des esclaves (majoritairement des humains) vêtus d'un unique pagne et de bâtons grossièrement taillés se jetaient sur Vrok à tour de rôle en tentant vainement d'atteindre le demi-orque qui se meuvait tel un serpent, se repérant grâce au bruit que produisait les bâtons en fendant l'air et qui contre-attaquait à son tour en portant de des coups fatals aux malheureux dont les corps parfois démembrés recouvraient tel un tapis le sol de l'arène.

Pour pousser Vrok dans ses derniers retranchements, des successions de loups sanguinaires étaient lâchés sur lui, et se concentrant sur le déplacement de ces bêtes sauvages qui bondissaient de tout part, il s'en sortait par divers roulés-boulés, des esquives latérales et autres sauts rapidement exécutés, démontrant ses incroyables réflexes sans avoir tout de même reçu des coups de pattes dont les griffes ont lacéré sa peau à divers endroits.
En restant dans le thème du combattant dénué du sens de la vue, un autre exercice consistait à l'aide d'un arc, à abattre des poulets jetés en l'air.
L'épreuve qui mettait en application les connaissances de tout assassin de Yurtrus, consitait en une suite de galerie et de pièces caverneuses plus ou moins sombres par endroit, où des pièges pouvant même être mortels étaient disséminés par-ci par-là et où cette fois, des guerriers orques étaient postés pour gêner sa progression avec pour ordres de tuer Vrok à vue.
Mais il faut dire que cela n'était plus que formalité pour lui.
Se glissant dans les ombres il arrivait facilement à se placer juste derrière les sentinelles pour les égorgés comme il se doit, ou bien en lançant dans des directions opposés, des pierres pour détourné l'attention.
Ses réflexes étaient aiguisés comme une dague et les pièges ne lui posèrent guère de problèmes(sauf vers la fin du parcours où ses fesses ont chauffé un court instant après avoir évité de justesse un jet de flamme jaillissant du sol).
Ceci est un vaste exemple de ce à quoi était exposé Vrok pour augmenter ses aptitudes.



Les années passèrent, et c'est à 26 ans qu'on lui dit qu'il était venu l'heure de procédé à la deuxième étape, celle de mettre en application ce qui lui a été enseigné en l'envoyant dans un endroit en tant qu'agent de Yurtrus afin d'y conforté sa position:
Le Val de Bise.
Il se rendit là-bas et s'installant au nord ouest de Luskan dans la forêt où il se batit une cabane dans les arbres.
De là, il faisait régulièrement des excurtions en villes, développant ses capacitées à se mouvoir dans la vie citadine et des escapades dans la nature afin de s'approprier la vie des elfes et nains (en grande majorité) qu'il attaquait par surprise afin d'en faire couler le sang au nom de Yurtrus.

Les années passèrent, et c'est par pur hasard qu'il fît une rencontre qui changea sa vie de combattant de l'ombre reclu.
Il se retrouva tête à tête avec un orque du nom de Garak Grauk Seigneur de guerre de la Tribu de la Main de Gruumsh.
Celui-ci, se désignant comme étant l'élu de Gruumsh pour ramener le peuple orque à sa vrai place, c'est à dire au-dessus des autres races, lui proposa de le rejoindre dans sa quête dicté par Gruumsh en personne si on en croit le Chaman qui l'accompagnait.

Même quand fût arrivé la mort soudaine de Garak Grauk lors de l'assaut contre les Havres Levants, Vrok resta fidèle à sa nouvelle tribu, et bien lui en a fait, car désormais, occupant une place au sein de cette communauté, il inspire la peur à ses congénères par ses méthodes de sélections des combattants de la tribu qui peut s'avérer mortelle pour les orques faibles.
De plus, sa place n'en est aucunement contesté, autant par ses façon d'agir que par le fait qu'il est très bien vu par un des membres du Conseil Tribal, le Druide Rshnak qui l'encourage à agir de sorte.

Dans le camp orque, tout le monde sait qu'il vaut mieux éviter d'avoir affaire à celui dont une main blanche est peint sur le visage

quelques petites choses:

Citation :

A partir de ce moment, il débuta un entraînement afin de perfectionner ses dons innés de roublards

roublard n'est pas une race donc, il n'y a rien d'inné. d'ailleur la classe de prédilection du demi orque serait plutôt barbare.
l'inné est lié à la race.

Citation :

Il étudia pour cela les zones du corps dites "sensibles" à ce genre d'attaque sur des esclaves morts ou vivants

Je doute qu'on puisse trouver des zones sensibles sur des morts.

Citation :

En restant dans le thème du combattant dénué du sens de la vue, un autre exercice consistait à l'aide d'un arc, à abattre des poulets jetés en l'air.

Les orcs sont les inventeurs du Ball trap médiéval ?
*poule !*


L'entrainement de roublard est bien expliqué et bien développé, mais le coté assassin, va plus loin qu'un simple renforcement des capacités de roublard.

Tu n'as pas évoqué l'utilisation du poison, ni évoqué la mithridation.
Il te faut développer un peu plus l'étude de l'anatomie pour comprendre ce qu'est l'attaque paralysante.
Tu peux également développer un peu les pouvoirs d'assassin basés sur l'illusion ? ( ténèbres-invisibilité-visage spectal)

Citation:
A partir de ce moment, il débuta un entraînement afin de perfectionner ses dons innés de roublards


par innée on entend des predispositions pour... ( vrok nest pas battie comme les autres orcs il etais beaucoup plus petit mais tres agile et intelligent

Citation:
Il étudia pour cela les zones du corps dites "sensibles" à ce genre d'attaque sur des esclaves morts ou vivants

il est tres possible de partiquée des autopsies sur un cadavre non
vrok sur les mort verifiais pourquois quen il frappais a un endroit precie sur un vivant ca pissais autand

exemple: observation des organes sur un cadavre coeur rein


le reste vien ..

Citation :

par innée on entend des predispositions pour... ( vrok nest pas battie comme les autres orcs il etais beaucoup plus petit mais tres agile et intelligent

ces prédisposition sont liés aussi à un entrainement, de plus un demi orc ne pourras pas être malingre au vu de son bonus en force. Il reste relativement plus grand que les humains. Cela, ce sont des choses que tu ne peux pas changer.
cependant ce que je pointais par là que roublard n'est pas inné chez le demi orc, c'est seulement l'anomalie de sa pysionomie qui vont le pousser vers la voie de roublard. On ne nait pas roublard

Citation :

il est tres possible de partiquée des autopsies sur un cadavre non

Je suppose que la phrase aurait dû se finir par un point d'nterrogation. Prtatiquer des autopsies sur un cadavre, c'est un boulot pour les nécros, ou les médecins légistes
Ca permet seulement de savoir où est situé tel ou tel organe, il s'agit d'anatomie, c'est de la pure mécanique.

Citation :

vrok sur les mort verifiais pourquois quen il frappais a un endroit precie sur un vivant ca pissais autand

Ca peut en effet être utile pour vérifier l'effet interne de tel ou tel coup, mais ça ne t'apprendra à placer les coups et surtout savoir qu'els effet sur un corps vivant.

Mais bon, c'est du détail tout ça, j'attends la suite.

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Abandonné pour Vrok, "le loup qui parlait" Rôdeur