[Disparu] Lucass,Volonté Noire de l'Unique(Mari de Coralys)

Lucass, Volonté Noire de l'Unique

Citation :

Nom du compte joueur: NikalPikal

Nom du perso: Lucass *Volonté Noire de l'Unique*

Race: Humain

Age: trentaine d'année. Né en Éléasias 1352, selon le calendrier des Vaux.

Alignement: Chaotique Mauvais

Religion: Cyric l'Universel

Domaine : Mal, Duperie

classe(s): Roublard 5/Prêtre 22

Arme de prédilection/domaines/école de magie:
Armes : Mensonge (une lamerasoir maudite par l'Unique)
Domaines : Mal/Duperie
Ecole : Maitrise de la Nécromancie et de l'Evocation Divine.

Trait de Caractère:
Paranoïaque
Psychotique
Rancunier
Indigne de Confiance
Sanguinaire
Mais horriblement intelligent.

Description physique:
Homme d'une trentaine d'année, avec un regard satisfait, et parfois empreint de folie furieuse.
Il a la peau plus mat des natifs du sud du Mitan, mais plus clair des habitants de Calimport. Un accent hautain, qui indique son origine amnienne.
Son visage est généralement masqué par un heaume représentant son Dieu.

Caractéristiques
Force 11
Dextérité 12
Constitution 13
Intelligence 14
Sagesse 22
Charisme 10

Langues parlées
Commun, Amnien, Abyssal
Il porte une armure sombre au reflet pourpre, richement hornée de décoration argentée.
Sa lame a été maudite par Cyric lui même.

Lucass dessiné avec beaucoup de talent par Drazzik, et mis en page et coloris par moi






Prologue
« Noire, mon âme est noire, noire comme le Soleil qui se lève à l’horizon. Ne le voient-ils pas ? Eux les hérétiques. Ils ne connaissent pas la vérité, ils ne voient pas cette lumière divine qui les appelle dans le lointain. Pourquoi ne les touches-tu pas Seigneur ? Ô Unique, ils sont aveuglés par leurs fausses divinités, et chaque jour de leur existence impie est un nouveau blasphème à ta gloire.
Ô Seigneur du Meurtre, laisse moi être ta main, laisse moi être ton serviteur. Vois en moi ta Volonté, je ferais couler le sang des paiens dans ta plus grande gloire, et le sacrifice des fourbes étendra à jamais ta domination sur Faerun.
Je suis ton serviteur, je suis Ta Volonté Noire.

Gloire, Ô Unique, Princes de tous les Mensonges, Seigneur du Meurtre.
Gloire, Cyric ! »

[...]




Chapitre I - Jeunesse d'un voleur

La vie de voleur n'est pas facile, évidemment non. Mais elle est tellement plus aisé que celle des ces bourgeois peureux.

Quand on a vécu et grandit dans les rues d’Esmeltaran, depuis le rejet de votre père et la mort de votre mère, pour survivre, il faut agir par facilité.
Et c’est ce que faisait Lucass, piètre petit voleur de la Grande Cité d’Esmeltaran. Car ici, tout le monde était riche, ou presque.
Esmeltaran était situé en Amn, non loin du lac Esmel, et tout les riches bourgeois venaient ici pour conclure des affaires.
C’est si facile d’être un voleur, pourtant, tout à l’air à la portée de la main de celui qui a de l’argent. Ils en ont tant… peut-être pourrait-on leur en prendre un peu ? Qui s’en plaindrait, ils ont tant d’argent.




Prendre de l’argent a ses bourgeois, quoi de plus simple ? Il suffit de savoir mendier ou voler.
On peut leur raconter des histoires, leur mentir.
« Mon père est mourant, ma mère est seul à s’occuper de ma sœur, violer par des orques »
Ces gens sont prêts à tout pour se donner bonne conscience. 1 pièce.. 2 pièces de bronze. A chaque fois, leur cœur recouvert par leur esprit plein de profit émerge, et dans leur grande bonté, ils sortent leur bourse, bombant le torse et montrant bien la pièce qu’il vont placer dans votre main.
Être généreux et bon, cela s’achète avec par pitié des gens de nos jours.

Mais c’est tellement plus facile de leur prendre l’argent pas la force.
D’une auberge à une autre, d’une ruelle à une taverne… planté leur une lame sous la gorge ou dans le dos, et ces bourgeois peureux vous offrirons leur fortune tout entière.
« Votre Bourse ou votre vie messire, et ne faites pas un choix héroïque, car cela pourrait être le dernier.
- Tenez, prenez-là, mais laissez moi »
Combien de fois ai-je entendu cette phrase ? Combien d’argent ai-je gagné ? cinq ? dix pièces d’or à chaque larcin ?
Et ces bourgeois peureux… Quand retentissent les premiers « au voleur ! » je suis déjà si loin.
C’est tellement plus facile de prendre leur bourse de force, plutôt que d’attendre qu’ils daignent bien vous regarder dans la rue.

En la vivant ainsi, la vie d’un voleur est aisé. Tout était tellement facile pour Lucass… simple petit voleur d’Esmeltaran. Les voleurs n’étaient jamais attrapé. Les autorités avaient d’autre chats à fouetter, et les bourgeois n’avaient rien à faire non plus des 10 pauvres pièces d’or qu’ils ont perdu… dans les prochaines heures, ils en gagneraient cent… mille ?
« Je veux, je prends.. et je n’ai même pas d’ennui.. c’est tellement simple. »

De Bourgeois en bourgeois, d’auberge en auberge. Tout était si simple jusqu’à ce jour.
Voilà qu’un bourgeois à l’aspect très riche, plus riche que les autres se promènent dans une ruelle. Est-il fou ? Veut-il mourir ?
Si je le déchargeai un peu de son or, il pourrait courir plus vite au cas ou quelqu’un voudrait le tuer.
« Votre Bourse ou votre vie messire. » De nouveau cette phrase. Cependant

« Jamais un prêtre de Tyr ne se laissera détrousser par un simple voleur. Ayez le courage de votre acte, et subissez le courroux des Dieux ! ou alors rendez vous sur le champs, il n’y a aucun échappatoire »
Non.. il n’a pas peur.. comment se fait-il ? Que faire ? Il ne veut pas donner son argent, que faire. Maintenant, le prêtre hurlait pour appeler les gardes.
« A la garde, on me détrousse, venez occire ce malandrin ! A la.. »
Ce geste ? un réflexe ? Je ne sais pas… sa gorge ? il saigne… il est mort… un meurtrier dites-vous ?
La lame de la dague de Lucass avait tranché la gorge du prêtre.
Non, Lucass simple petit voleur d’Esmeltaran, un meurtrier.
Petit voleur amnien, qu’as-tu fait là ?
Il lâcha la dague et courut.

Les gardes aux armoiries de la ville accourraient et ils questionnaient tout. Le vol était une chose.. mais un meurtre, tout une autre, et il ne laisserait pas passé un meurtre comme un petit larcin.
Mais personne n’avait rien vu, la nuit pensez vous - juste une ombre, une illusion - Et Lucass avait vu la même chose que les autres, une ombre une illusion, ou peut-être… peut-être cet homme là-bas ? Oui, il m’a menacé si je parlais, je l’ai vu !
Cet homme ? il a été pendu pour le meurtre d’un prêtre de Tyr et par la faute de Lucass alors qu’il était innocent, enfin peut-être.. qui l’est de nos jours ?
Il avait sûrement quelque chose à se reprocher, on l’a tous. Et le voilà mort, pour un crime qu’il n’a pas commis, mais payant ainsi tout ce qu’il a fait, ou aurait pu faire.

Tout était si facile quand on est un voleur, mais quand on est un meurtrier, il faut fuir. Partir loin très loin de la ville qui nous a vu grandir.
Et quand on est en fuite, la folie vous ronge, tout le monde vous cherche, cet homme ? cet femme ? il me regarde, il m’a reconnu, sait-il ce que j’ai fait ? Il le savent tous, je dois partir, loin très loin.
Athkatla à l’Ouest, au bord de la Mer des Epées. La ville est grande, nul ne me trouvera là-bas.

Chapitre III - Avoir la Vraie Foi

Aux environs de 1368, L'année de la Bannière ; selon le Calendrier des Vaux.

« Ô Tout Puissant Cyric, Seigneur du Meurtre, toi Visage sous le Masque, chaque jour que tu feras je te prierai toujours avec la même dévotion.
Ô Prince des Mensonges, loué soit ton nom, loués soient tes biens heureux fidèles, Seigneur Suprême, toi qui est le Tout, j’invoque ton nom ! CYRIC ! »

La nuit tombait, et dans les lueurs de la lune, nul ne pouvait deviner la présence des deux édifices, masqué par les arbres, et pourtant, chacun d’eux étaient magnifiques, le symbole même de la toute puissance du vrai dieu.
En leur sommet, elle arborait le saint Symbole de l’Unique, le Soleil Sombre, et des orbites sans yeux, l’Unique semblait scruté l’horizon, en quête de son avènement proche.

Novice des Voix de Cyric, parole du tout puissant maître de Faerun, Lucass était devenu cela. Le fidèle adepte depuis toujours, mais qui s’ignorait.
« Toi qui ne vit que par le meurtre et le mensonge, toi qui fait couler le sang des infidèles, toi qui répand le désespoir, tu ne sais même pas qui tu sers ?
Suis-moi, entends mes paroles et ouvre les yeux à la vérité que le Tout t’offre, tu apprendras à le servir avec dévotion, ou tu mourras dans es souffrances que nul autre n’aura ressentit avant toi. »
Tel furent les paroles de l’homme qui le sauva jadis à Athkatla, tel furent les paroles de l’homme qui le mena aux Tours.

Dans les étages de la Tour ouest, les couloirs firent résonner les hurlements provenant de la chapelle où se déroulaient alors l’office.
« Ô prince des mensonges, Seigneur du Meurtre. Accepte l’âme de cette païenne qui accepte de mourir en ton nom ! »
Acceptait-elle vraiment de mourir ? Peu importait à l’Unique, peu importait à ses fidèles. La femme hurlait, pleurait, implorait, mais ses cris de terreur ne faisaient naître que des sourires sur les visages des croyants.
Meurs, meurs, meurs, meurs !! Mwhahaha !!
La dague plongea dans le thorax de la femme, broyant les côtes, arrachant le sternum de l’hérétique pendant que les chants résonnaient dans la chapelle. Les hurlements de la femme se faisaient plus stridents, puis ‘interrompirent lorsque Noirdessein présenta le cœur de la chienne aux éclairés, le sang coulant le long de son bras, et éclaboussant son masque en forme de crâne.
« Voyez, fils du mensonge, la source de l’hérésie des infidèles, leur sang n’est qu’un blasphème, leur vie n’est qu’une hérésie. Purifions-les, purifions leurs âmes, apportons leur la rédemption par la mort !
Gloire, Ô Puissant Cyric, Seigneur du Meurtre. Gloire Prince des Mensonge, Eternelle Eclipse. »

L’avènement de Cyric était proche, il était à porter de mains des vrais croyants, et son règne dureraient éternellement.
Le crâne Vigilant l’annonçait à ses fidèles, la bataille finale aurait lieu à l’est, à Château-Zenthil, Cyric en avait décidé ainsi.

Mais les mois passèrent, et l’année du Gantelet prit la place de l’Année de la Bannière, et bien que les fidèles de Cyric fussent toujours craints par les paiens, les rumeurs de l’Est parvinrent aux oreilles de Lucass. Château-Zenthil avait été détruite, le fils de l’Imposteur avait été libéré, Fzoul de Cyric avait trahi !
Les plans de notre Seigneur, réduit à néant par sa Folie.
« Ô Cyric, Ô Visage sous le Masque »

Le chaos que le clergé avait toujours fait répandre gangréna progressivement l’Eglise, et même certains éclairés s’arrachèrent les yeux pour se tourner vers le fils Imposteur., redevenant tout aussi aveugles que les paiens.
« Morts aux infidèles ! »

Et le sang coulera, les faibles et les traîtres seront sacrifiés au nom de l'Unique. Ceux qui s'éloigne de la vraie foi seront puni.
La mort, leur seule rédemption.

Chapitre 4 - En terre hérétique

« Ô Seigneur du Meurtre, vois le sang des infidèles couler le long des lames des croyants, vois comment les éclairés répandent ta gloire, vois comment les infidèles te craignent et nous implore de les épargner, vois comment nos tranchant pénètre leur cou pour leur ôter leur vie paienne, qui insulte chaque jour ta gloire.

Ô Puissant Seigneur du Meurtre, je t’invoque. CYRIC ! »


1372, année de la magie sauvage, selon le calendrier des Vaux.

Par une nuit plus noire que les autres, tous les fidèles du fils Imposteurs eurent une vision de leur dieu, dont le corps se brisa en deux, laissant apparaître un corps immense, nappé de flamme verte.



L’Imposteur était de retour, et à Château-Zenthil, les vrais croyants eurent le choix entre la conversion et la mort.
Nombres des fidèles fuirent vers l’ouest, et trouvèrent refuge le long de la mer des épées.
« Ô Puissant Seigneur, vois les lâches qui reculent face à ce faux-dieu… face à cette Imposteur. Ô Unique, Prince de tous les Mensonges. »
Et d’autres chacals immondes, au lieu de la fuite décidèrent de se convertir à celui qu’ils priaient auparavant.
« Les immondes infidèles, c’est la mort qui les attends, chacals immondes, vermines sans but. La vengeance de l’Unique vous plongera dans un tourment éternelle. »



de 1372, année de la magie sauvage, à 1376, année de la Lame Pliée, selon le calendrier des Vaux.

Comme la gangrène, le culte de l’Imposteur s’étendit sur Faerun, depuis cette pustule qui avait vu renaître le fourbe, Château-Zenthil. Le domaine du Mensonge, que l’Unique dominait d’une main de fer, par le meurtre et le mensonge, s’amenuisait, laissant place aux séides et aux reliques de l’Imposteurs. Là où de saint sanctuaires devaient croire le jour, les pierres noirs du tyran immonde souillaient les terres maudites.
Belle Prairie, dans le lointain Nord, au de,à de l’Epine Dorsale du Monde devait voir s’ériger le plu grand temple de l’Unique, là d’où la vérité devait s’étendre, fut conquise par les séides de l’Imposteur, les vrais croyants furent traqués est exécutés, et ce fut presque la fin du culte de l’Unique dans le Nord et au ValBise.

Le crâne Vigilant Noirdessein Akhlemere apparut aux fidèles dans le dernier étage de la Tour Est de l’Eternelle Eclipse.
« O Puissant Seigneur du Meurtre, aucun de tes fidèles ne restera plus longtemps terré tant que les fidèles de l’Imposteur demeureront là où nous devrions répandre la crainte de ton nom.
Fils et Filles du Mensonges, serviteurs du meurtre, voix de Sa Volonté, partez purifier les terres païennes, faites couler le sang des hérétiques, apportez la rédemption aux infidèles. »

Le bateau partit de Murande, ville dominée par des ogres mages à la solde de Cyric, et pour des semaines de voyage vers le nord, et Luskan la Cité des Voiles.

Les fidèles de l’Unique, prêtres, Epéistes, Chevaliers de la Discorde partaient, sous la domination du Maître Noir Michal de Tantras. Lucass l’observa souvent durant la traversée, ce chien galeux, ce fourbe immonde.
« Ô Princes des Mensonges, comment as-tu pu choisir cette vermine pour diriger le clergé, comment as-tu pu nommer ce chien à la tête de l’Eglise.
Je prédits sa mort, Prince du Mensonges. »

Son âme ne lui appartenait plus de puis longtemps, fou à lier, inconscient, le Maître Noir pénétra sur la place de Luskan, en conquérant, faisant fi des événements qui avaient secoué la ville depuis peu, une guerre, entre les Veilleurs, l’Ordre Paladinique locale et les Imposteurs.
Il voulut répandre la crainte, tel le puissant serviteur d l’Unique, s’inspirant d’une crainte que les hérétiques et les infidèles n’avaient plus depuis des lunes. Et la prédiction de Lucass se réalisa.
Les Imposteurs suivirent le Maître Noir dans une ruelle, terrassèrent les Chevaliers de la Discorde qui l’accompagnait, et exécutèrent le fou qui osa croire que le pouvoir lui était acquis.

La nouvelle fut accueilli avec effroi par au temple de l’île au Mont Ecarlate. Se pouvait-il que le saint clergé n’ai plus vocation d’être en ces terres païennes ? Les vrais croyant ne devaient-ils pas apporter la vérité aux infidèles ?
Certaines voix y crurent, mettant fin à leur vie, mais Lucass n’était pas de ceux-là. Il n’y voyait pas une défaite, mais une opportunité que lui offrait l’Unique.

« Ô Puissant Seigneur, je suivrai le chemin que tu traces pour moi. J’accomplirai ta Volonté. Gloire, Cyric ! »

Une lutte de pouvoir aurait vite lieu dans le temple, une lutte pour la domination du clergé, mais les premiers meurtres furent initié par Lucass, qui soufflait aux oreilles de ses « alliés » d’agir pour accéder au poste suprême.
Quelle folie de le croire.
« Ils sont tous faibles, et idiots. Puissant Seigneur, je suis le seul digne de te servir.»

Et lorsqu’il ne resta qu’une poignée de prêtres, exsangues après les combats et les complots qu’ils avaient subits. Lucass marcha au milieu d’eux, imposant une soumission complète aux survivants. Trahir s’était échouer, et l’échec c’était la mort. Gloire à l’Unique !

« Je ne suis plus Lucass de Malfosse, je ne suis plus une voix de l’Unique. Je suis Sa Volonté Noire, je suis la parole et la pensée de l’Unique, prosternez vous devant moi comme se prosterneront bientôt les infidèles devant nous. Gloire à l’U nique, loué soit son nom. Unique, je t’invoque. CYRIC ! »

Les semaines qui suivirent ne firent aucunement parler du clergé de Cyric, car Sa Volonté Noire avait entendu les mots de Cyric, et il devait accomplir Sa Volonté.
« Trouve un homme qui vit par le mensonge. »
Lucass erra plusieurs jours dans Luskan, la cité païenne, et il l’aperçu enfin, l’homme qui tomba parmi les ombres..

« Gloire puissant Seigneur du Meurtre. Guide son âme tourmentée vers la lumière divine, fais de Nathan le vrai croyant qui demeure au fond de son âme. Il sera ton Haut-Prophète. »


Ainsi se termine la vie de Lucass de Malfosse jusqu'à la corruption de Nathan, et l'ascension du Clergé de l'Unique à Luskan

La suite est en cours d'écriture..

Pour résumer : Lucass rencontre COralys qui tombe follement amoureuse de lui, et il se marièrent et urent beaucoup d'enfant tout en conquérant le monde à coup de string et de massacre parmis ses propres adeptes.

Bon la je DOIS répondre... VTFF SALE MAAAAAAAALE

Chapitre 5 : La Conversion de l'Hérétique

Un fou, ils disent que je suis un fou, un idiot.
Bande d'hérétique.
Ils ne savent pas, ils ont la conscience d'une jeune fourmi qui ne connait pas la puissance de Cyric !

Mais ils verront tous, car tous se prosternerons devant Cyric !

Des rumeurs... Nathan aurait trahi ses anciens alliés. Alliés aux bainites ? Comment est-ce possible ?
Mais nul ne veut le tuer, car nul ne veut le croire. Un mensonge de sa part ?
L'heure est venu. Sa vie paienne allait se finir aujourd'hui.

Ô puissance Céleste ! Tout Puissant Seigneur des Mensonges !

Un grondement terrifiant. Tout le peuple de Luskan présent ce jour-là sur la place levère les yeux au ciel, et ces derniers s'ouvrirent d'horreur. Un acte divin. Une boule de feu pourpre.

Lucass était là, a observer Nathan se querellant avec ces anciens amis, ils voulaient l'emmener.. l'exorciser.
Et la boule de feu s'abattit sur le sol dans une explosion effroyable... Les plus faibles mourrurent sous le choc, les autres furent projeter au sol, dans l'impossibilité de se relever et tous se prosternait devant l'acte divin.

Seuls étaient debout Lucass et Nathan... et l'être qui venait d'apparaître.
"L'heure et venu de faire ton choix, Nathan, fils de l'ombre. La dévotion ou la mort !"
Ces anciens amis purent enfin se lever, mais ils ne pouvaient approcher les vrais croyant. que se passait-il ? (je ne sais plus qui était là rp...dzl)

Lucass était à genoux devant l'avatar, priant sa foi envers Cyric.
"Je choisi une vie de mensonge ! la foi de Cyric me guide !"
"Nathan n'y va pas hurlèrent les hérétiques ! tu ne peux pas faire confiance à ce fou."
Lucass sourit à ces paroles, et Nathan regarda ses désormais ennemis sur un ton de défi.
"La Confiance ? c'est le premier pas pour commencer une carrière de cadavre."

Lucass se leva brusquement et hurla :
"ô tout puissant Cyric ! Seigneur du Mensonge ! éloigne nous de ces paiens puants et emmène nous dans ta maison par ta grande volonté !
Que l'ère de lombre commence pour les terres du Nord !"

Dans un éclair, les 2 vrais croyants disparurent, laissant la désolation à Luskan.
(et j'avoue que j'aurais aimer être à Luskan pour voir la suite )

Hérétiques. Tous des hérétiques.
Ils me traitent de fou, me trainent dans la boue, s’opposent inlassablement à la lumière, la vérité que je leur offre. Cette même vérité qui m’est apparut, l’Unique.
Ils prient des dieux impies, pratiquent des religions paiennes, ils ignorent la vérité, ils refusent la vérité.

Ô Soleil Noir, ô prince des mensonges, Seigneur du Meurtre. Dieu des Dieux, puissant parmi, je prie en ton nom, j’ai foi en ta puissance. Loué sois-tu Seigneur du Meurtre, Loué sois-tu Maître des Illusions. Gloire à toi, Unique. Je t’invoque. Cyric !

J’avance parmi les paiens, ils m’ignorent, ils ignorent mes paroles saintes, je leur apporte la lumière, mais ils sont aveuglés par leurs faux-dieux, qui n’existent que par la volonté de Cyric.
Et leur vie inutile souillé par leur blasphème, sans but, ils errent dans les Ténèbres, dans les ombres. Dois-je leur apporter la vraie voie, Unique ?
Non, ils sont fous, fourbe, menteur.
Prince des Mensonges, ils sont noyés dans les brumes de leur hérésie.

Mais l’aube est proche, le sang des hérétiques coulera, et lavera le blasphème de leur existence hérétique.
La mort, leur seul rédemption.

Chapitre 7 - Le réveil

Depuis combien de temps étais-je parti ? Depuis combien de temps me suis-je éloigné de ces terres hérétiques, Seigneur ?
Ô mon maître, Ô prince des Mensonges, je reviens pour te servir.

3 ans... Il était parti depuis 3 ans à Athkatla, où le grand Inquisiteur l'vait convié.
3 ans de perte. Que restait-il du culte ? Etaient-il donc tous mort ?

Lucass arrivait à Luskan.
La vie des nouveaux arrivant n'est pas facile, ça non.
Mais Lucass connait la ville, car ce peuple l'a craint ! et il réapprendrait à avoir peur.

La caravane passa sur la place, Luskan, vêtu en infidèle en descendit.
Regardant autour de lui.
Ce lieu n'avait pas changé. En fait si. Le Temple, Aurile n'était plus la maîtresse du lieu. Le Barbare en avait pris possession.
Comment se sombre idiot avait-il fait ?

Tout ces visages, tout ces inconnus.
Ne reste-t-il personne ? Ils ne craignent plus le meurtre ou le mensonge.
Où sont passé les fidèles ?
Puis arriva en ville, un homme de noir et de rouge, à cheval. Il s'arrêta sur la place de Luskan.
Son regard croisa celui du Prêtre. Cette sensation. Lui, il sait. Il me reconnait, car je le reconnais. Le chacal, un fidèle de l'Imposteur.
Ces chiens !
Les regards se soutiennent, puis feignant la peur, Lucass baisse les yeux.
Chiens, chacals. Ton heure viendra.
L'homme repart au galop de là où il était venu.
"Désormais ma venue n'était plus secrète."

Un homme a observé la scène. Etrange homme vêtu de blanc.
Lucass tourne le regard dans sa direction, et l'homme regarde ailleurs, et discute avec cette chienne, elle-aussi elle est en vie ? La Dame d'Asseph.
Catin dégénérée ! Elle l'insulte, ça au moins cela n'a pas changé.

Lucass entra dans la taverne, et se posa à une table.
Garfaux arrive, et lui parle. Il aime les nouvelles têtes cet idiot de Garfaux.
Lucass lui pose les questions que poserait tout nouvels arrivants.
Terres de conflits, quels sont les dangers.
Les Bainites répond l'aubergiste obèse. Mais l'Alliance veille.
Alliance ? quel est donc encore cette hérésie ?
Pas de vrais-croyants ?
"Non, répond le chacal, plus depuis un moment. L'un d'entre eux a été tué par le Patriarche Bainite, et l'autre a disparu."

"Milles vérités mensongères ! fientes hérétiques."

Lucass sortit de l'auberge, et pris l'ouest, vers le port.
Il paya grassement le capitaine du navire.
"Il y a une île au loin, je pourrais vous guider. Vous pourrez y vendre vos marchandises."
Le capitaine se fait duper, il prend la direction de l'île volcanique.
2 jours passent su la mer, et ils s'approchaient de l'île. Pas un navire pour les arrêter. Pas de conflits, pas de meurtre.
"Ô Unique, aurais-tu abandonner ces terres ? Seigneur, je ne puis le croire."

Enfin, l'île apparait à l'horizon, et le navire accosta au port.
Le village est en flamme, et le navire fuit cette île maudite, sans Lucass qui tenait à rester.

L'homme traversa la forêt calciné, puis arriva au pied du volcan.
Enfin, l'église existe toujours.
Des fidèles. si peu.... si peu... où sont donc passé les vrais croyants ?
Ils ne le reconnaissent pas, et attaque Lucass, en hurlant leur dévotion.
Une prière, Lucass le tue.
Et soudain, un cri. "Suffit ! Inclinez vous devant Sa Volonté Noire, bande de chacal !"
Lucass se retourne, et se trouve face à cet homme, qu'il avait croisé à Luskan. Celui-là même qui conversait avec les idiots et la chienne.

"Seigneur, je suis Dran Sanastar, Pacificateur de l'Unique. Je suis votre Chambellan Noir."
"Fidèles ! Montrons aux hérétiques que le Soleil Noir se réveille ! Le sang des hérétiques va couler à nouveau, la crainte va envahir ces terres !"

Des navires furent affrêtés, le culte les avait reçu de la Main d'Or.
Ils partirent pour l'Amn. Et revinrent, avec des troupes, Epéistes et Entropistes.
Le Grand Inquisiteur avait même fait envoyé des Chevaliers de l'Eperon d'Ebêne.

Leurs armures semblaient absorber la faible lumière des torches de par cette nuit sans lune.
Nuit, qui durerait éternellement.

Note : Lorsque Lucass se promène dans les rues de Luskan, ou d'ailleurs, il porte une ample cape noire recouvrant son armure de cérémonie, et cachant la garde de son épée, ornée d'un pomeau en argent au symbole du Soleil Noir.

Il est constamment encapuchonné, de tel manière qu'on ne puisse pas voir son visage.
Et si un passant a le malheur d'en apercevoir quelconques reflets, il ne verra que les formes étranges d'un masque améthyste caché dans l'ombre, en forme de crâne.

Ceux qui le croise ne le reconnaissent pas, car Lucass n'a pas mis les pieds en ville depuis bien des lunes, et ceux qui l'ont déjà rencontré le croient mort, sa dernière apparition étant lors de l'éruption du Volcan de l'île au Mont Ecarlate, le corps pourfendu par les lames de l'Alliance, après avoir tué dans une prière furieuse nombres de paladins et de prêtres.
Seules quelques indices et missives étranges laissent présager de sa survie lors de cette évênement.






EDIT avec permission : *Mais dans Luskan, un mage sait... Le Chancelier du Crâne connait La Vérité...*

Chapitre 11 - Ombre et Chatiment

Les chants bardiques, les poèmes épiques, tous racontaient comment étaient mort Sa Volonté Noire sur l'île au Mont Ecarlate, pourfendu par Coralys.

Son corps gisant sur le sol. Les pierres recouvrant son corps.
Mais bientôt, les ombres répandirent la rumeur, les fidèles capturés crachant au visage des hérétiques.

"Sa Volonté Noire te pourfendra, paien hérétique."

"Immortel, je suis immortel. Tuez-moi une fois, je renaîtrai à nouveau.
La mort pour moi n'est rien, car elle est le chemin qui me mènera à Cyric, et vous ne pouvez me tuer ! seul Cyric le peu, nul autre."

Rumeurs, ombres, bruits de taverne. Les culs béni ayant participé à la bataille ne doutaient pas de la mort de Sa Volonté Noire, sauf les plus voyants des aveugles.

"Sa volonté Noire ne peut mourir, Immortel, je suis immortel. Tuez-moi une fois, je renaîtrai à nouveau.
La mort pour moi n'est rien, car elle est le chemin qui me mènera à Cyric, et vous ne pouvez me tuer ! seul Cyric le peut, nul autre."

Bien des choses avaient changé durant mon absence, un usurpateur avait pris mon titre, mon nom, se faisant passer pour moi. Il avait même acquit à sa cause des fidèles.
Vermines traitresses !

Seul le Chevalier de Naskul ne m'avait pas trahi, car plantant son épée devant moi, s'agenouillant.
"Puissante Volonté Noire, Vrai Seigneur du Clergé, j'ai attendu longtemps votre retour."
Ainsi le plus puissant des serviteurs armés du Soleil Noir était encore soumis à ma Volonté.

Ô Soleil Noir, comment puis-je passer cette épreuve.
Le chaos nacquit une fois de plus dans le temple, une lutte de pouvoir, une lutte fratricide, pour deux frères.
Mais un jour, mon frère, je te tuerai, toi qui te fais appeler Volonté Noire, tout comme moi, ton sang coulera, et ce sera pour bientôt.

Mais les hérétiques seraient les premiers à payer.
Je les ai quitté, je les ai retrouvé faibles. Vermines exsangues suites aux attaques des troupes orques et gobelours.
Bientôt leurs blasphèmes ocntinuels seront lavés par leur propre sang.

Hundelstone avait été détruite, et profitant du chaos du nord, les vrais croyant avait anéanti l'avant poste de l'Alliance au nord de Port Last, gravant sur le sol le symbole qui a jamais ferait naître la terreur dans le coeur des impies.
Désormais, Lorgol et Padhiver étaient menacées. Ces villes paiennes, nous regarderons les infidèles mourir les uns après les autres.
Mais faisant preuve d'une hérésie suprême, une alliance contre-nature se forma entre les Imposteurs et les Idiots, et la Coalition fut vaincu, et Lorgol, presque détruite, fut reconstruite peu à peu.
Blasphèmes, hérétiques !

Non, il n'y avait pas d'hérésie, seulement l'oeuvre de l'Unique, qui nous donnait alors l'honneur de prendre encore plus de pouvoir dans la cité des Milles Tours.
Nous y avons pénétrer tel des ombres, et tel des ombres nous l'avons investi.
Désormais, les infidèles subiraient le chatiment, conséquence de leurs erreurs incessantes.

Chapitre 13 - Les Rumeurs et l'Eau qui dort

Un jour Coralys, la Haute Louve, et Haute-Prêtresse de Hoar prononça ces paroles sur la place de Luskan, à des personnes qu'elle pensait ses alliés, mais qui n'était hélas qu'illusion jeté à ses yeux paiens par Sa Divine Volonté Noire :
"Les Cyricistes ne font plus parler d'eux, et ces temps me semblent calme. Et c'est bien là qu'est ma plus grande crainte."

Ô Chienne parmi les chiennes, tu ignores comme tu as raison de prononcer ces mots.
Gloire au Soleil Noir...

Car sur son trône de marbre noir, Sa Vigilante Volonté Noire pensait à l'avenir. Un avenir glorieux, où les symboles saints flotteront sur les ruines fumantes des temples des dieux hérétiques et des faux-prophètes.

Et ce sera pour bientôt.
Ca a déjà commencé. Et ils l'ignorent.

Schizophrénie.

"T'en souviens-tu, Volonté ?"

Tant de choses. Tant de choses avaient été accompli.
Seul sur son trône, Sa Noire Volonté Noire, tout puissant Seigneur du Clergé de Cyric se remémorait toutes ses victoires passés.
Il repensa à son ascension dans le culte, et sa reconstruction, en compagnie de Nathan. Des litres de sang avaient coulés au nom de Cyric. Tous ces innocents infidèles, qui dans leur dernier souffle quémendait le pardon du Soleil Noir pour une vie d'errance.
"Te rappelles-tu de leur nom, Inquisiteur ?"

Il repensa à sa première rencontre avec les infidèles de l'Injuste, avec les idiots de l'Imposteurs, mais aussi de sa première rencontre avec celle qui deviendrait son épouse, la Haute-Chienne du Bipolaire.
Après des mois dans les ombres, les fils étaient tous en place, et la région entière se faisait manipuler par Le Seigneur au Trois Couronnes.
"Y penses-tu, Lucass ?"

L'avatar dans Luskan, et les morts, et l'ascension fulgurante du clergé qui l'ont accompagné. Le temple dans le Volcan, et cette guerre mensongère, une manipulation de plus, une illusion de plus, lancées aux yeux paiens des infidèles.
"Qu'en reste-t-il ?"
Des morts, des cadavres. Une nuée de mensonge... et la crainte de notre sainte lumière.
"La vois-tu ?"
Car pendant que ces idiots tuaient un à un les infidèles dont nous avons fait notre armée, pierre après pierre, les murs du temple de l'Eclipse Eternelle s'élevait, et la sombre tour observait l'horizon, vers le continent des paiens.

"NON !"
Ni leurs noms, ni leurs visages. Aucune d'entre eux ne me hante. Car tout ceci n'est que futilité, ils ne sont que futilité. Des bribes de souvenirs, de simples briques pour construire l'avenir du Soleil Noir au ValBise et dans les Terres du Nord.
Des idiots, des imbéciles, des anonymes.
Les idiots et les imposteurs les pleurent encore, cela montre bien leur aveuglement. Car ils ne veulent pas apercevoir l'oeuvre de l'Unique. Ils ne veulent pas voir mon oeuvre.
Chiens insolents, enfants ignards et inutiles.
Lorsqu'enfin ils apercevront la vérité, il sera déjà trop tard. Mais l'Unique est clément... Il leur pardonnera, en leur offrant une vie éternelle de souffrance dans sa citadelle du Meurtre. Et je me délecterais de leur sang et de leurs cris, ainsi que de leur regard à tous quand je serais à la tête des troupes de lumières qui fondront sur les incroyants pour leur apporter le pardon du Soleil Noir.
"Tu le souhaites vraiment Lucass ?"
"Evidemment, que j'y pense. Et tu le sais très bien."

Peux tu renseigner des caractéristiques et tes langues ?