[MORT RP][Moine][H]Arnarst

Citation :

Nom du compte joueur forum : Setociel
Nom du compte joueur module : Monradin
Nom du perso : Arnarst
Race : Humain
Age : 39 ans, né en 1350. (ne connait pas son age)
Alignement : LM
Religion : Venère le meurtre et la mort.
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Moine 25
Arme de prédilection/domaines/école de magie : mains nue
Trait de Caractère : Patient, déterminé, sans pitié.
Description physique : Crane rasé et tatoués de symboles, sourcils noir, sa barbe semble avoiré été brulé à l'acide. 1M80, 65 kilos.
Langues : Commun, Mulhorandi (langues de base)

Caractéristiques lvl 1 :
FOR : 12
DEX : 16
CON : 12
INT : 14
SAG : 14
CHA : 8

Ce qui a fait de moi ce que je suis.
Je me souviens de ma jeunesse, j'ai passé celle ci dans le monastère obscure de la longue mort avec mon maître bashaald et d'autres élèves. nous souvions un entrainement sans merci depuis notre plus jeune age, tellement tôt que je ne me souviens pas moi même en dehors de ce monastère. Je ne sais pas qui sont mes parents, mais ça n'as aucune importance, ce qui est important, c'est qui je suis aujourd'hui, ainsi que ce qui m'a permis d'en arriver là :

Bien que nous étions dans un monastère de la longue mort, nous ne faisions plus partie de ce culte, notre maître, Bashaald avait écrit de nouveau dogmes en 1358, nous n'avions pas compris pourquoi. En même temps, je n'avais que 6-10 ans à l'époque, mon Maître avait en fait été déçus du décès du Myrkul qu'il chérissait temps, remplacé par l'usurpateur kelemvor disait il, il fallait rappeler la thèse.
Celui ci créa donc l'ordre du Délivreur et c'est ainsi qu'il se faisait appeler : "le délivreur".
Voici sa thèse :
"Liberez votre prochain de son enveloppe charnel si celui ci se croit superieur à la mort. La crainte et le respect de la mort l'unique chose qui compte dans la vie. Libérez les prêtres et fanatiques qui disent ne pas craindre la mort, pour ainsi leur faire rejoindre le plans de leurs divinités, ce dont ils rèvent. Liberez en apportant la souffrance aux présomptueux."

Je me suis fait à cette thèse, c'est eux qui ont fait ce que je suis aujourd'hui, mais à mes 6 ans, je ne me souviens ne pas avoir compris le changement brutale, l'entrainement cependant, restait identique :
Chaques journée était identique, le dimanche n'éxistait pas. Nous nous levions à l'aube, ce qui nous permettait de nous reposer plus longtemp l'hiver, nous nous entrenions toutes la journée au combat. Selon le maître, si nous n'étions pas capable de nous entrainer pendant une journée complete, un entrainement ou la pose éxistait et ou nous mangions le midi, alors nous ne tiendrions jamais plus de 10 minutes en combats réel. L'entrainement* physique nous épuisait, heureusement que la méditation du soir nous permetait de reposer le corp.
Les entrainements étaient basé sur la technique j'usqu'a mes 12 ans, après celà, une fois les technique aquise, c'est sur la gestion de notre Ki qu'il nous fût travailler, je me souviens encor de ses paroles : "Votre Ki, est votre energie, c'est la totalité de la puissance que vous avez dans votre corp et vous devez savoir la controler. Il ne suffit pas de donner un coup de poing, mais de savoir mettre le plus de Ki dans celui ci, pour infliger le plus de dégars à l'énemie, bien que l'endroit où vous frapper est important, ce n'est pas le principal, qu'importe l'endroit, un coup blesse et épuise. Donnez un coup et vous ferez perdre plus de Ki à l'énemie que vous en dépenserez cous même, votre Ki est votre vie. C'est pour ça que l'endrance est essentiel, si vous fatiguez, alors vos coups seront moins puissant et vous vous en prendrez de plus en plus puissant."

Nous considerions les paroles de notre maître comme des faits Irréfutables et je le fais toujours, bien que je n'utiliserais pas les même mots que lui. Quand j'ai etendus ces explications pour la première fois, je n'ai pas compris, je me demandais comment le "Ki" pouvait éxister. C'est en fait au cours d'une séance de méditation, que j'ai ressentit celui ci pour la première fois, cette sensation ne me parrut pourtant pas étrange, c'est comme si c'était une autre partie de moi même. La difficulté a été pour moi de l'utiliser. Bien que je resentait le Ki partout dans mon corp, lorsque je tapait, je ne sentait pas mon Ki aller dans mes poings, et je ne savais pas nomplus comment le faire bouger. C'est à ce moment là que j'ai compris a quoi servait les séances de méditation, je n'arrivait pas a faire "bouger" mon Ki en pleine action, alors je devait premièrement m'entrainer au calme. Je réussis à le maitriser prfaitement au calme au bout de deux années, j'avais alors 14 ans. Je continua de m'entrainer et tenta de le maitriser en combat, mais mon éxistation m'en empechait, je compris donc qu'il fallait rester serein en plein combat.
Je mis une autre année à aquiérir cette séréniter en plein combat et je réussis à concentrer mon ki dans mon poing pour la première fois à l'age de mes 15 ans, j'avais étourdit mon adversaire lors d'un uppercut en utilisant le Ki. Le secret des moines était donc la serénité, j'étais aupparavant loin de le penser, notre maître ne nous l'ayant jamais dis. Je contua donc à m'entrainer sur la manipulation du Ki, le concentrant dans mes poings ou dans les tibias selon de quoi je me servais.
A une vingtaine d'année, enfin peut être plus proche de la trentaine, je me suis rendue compte, que mon maître dormait dans un cerceuil. Ainsi, mon maître, le délivreur était un mort vivant, nous ne connaissions pas les faiblesss des vampires à l'époque, nous ne savions rien d'eux si ce n'est les éloges de leur puissance. Aujourd'hui je comprend, pourquoi la "journée" était définit par la coloration du verre violet et opaque de la salle principal du temple. Quand notre maître a apprit que l'on savait pour ce qu'il était, il nous a dit que la non-vie n'était pas insensible à la crainte de la mort. Selon lui, la non vie lui permetait de continuer les buts de la longue mort, mais selon moi il aurait dû mourir, bien qu'il n'aurait pas pû en souffrir.
Le lendemain de ces explications, il avait disparu, ne nous laissant qu'un parchemon chacuns, écrit en mulhorandi : C'était sa thèse.
J'avais alors entre 20 et 30 ans lorsque notre Maître nous avait abandoner. Cependant, mon entrainement de base était achever, les évolutions à venir ne dépendait que de moi. A partir de cette periode, il y eut beaucoup plus de temps dédié à la méditation plutôt qu'au combat lors de mes entrainements. La raison est que j'étais maintenant seul et que je ne pouvait plus trouver d'adversaires, mais uniquement des énemies. J'appris donc à maitriser mon corp en entier et non pas seulement la mouvance. A partir d'un entrainement basé sur la respiration, j'appris à régulariser la vitesse de batement de mon coeur, et compris chaque chose qui s'y passait, je reussis asser vite à comprendre l'action des maladies sur moi et réussis à la combattre. Ce fût ensuite les poisons que je réussis à combattre, à l'aide d'une méthode basé sur le ralentisement des battements de mon coeur.
Le problème est que j'étais à Thay, les Mage rouge n'aimaient pas forcément les miens puisque nous n'avons jamais eut leurs avals. Lors d'un combat contre trois d'entre eux, je me pris une sorte de projectile magique qui me blessa et je fuya le combat pour comprendre ce qui s'était passer. C'est la première fois que la magie m'avait agréssée et je me devait de trouver une solution pour la combattre. Les coups s'évitent, s'encaissent, mais je n'avais à l'époque aucune idée de comment combattre la magie. je repartis donc combattre les 2 mages qui m'avaient attaquer, essayant de mieux comprendre le mal que la magie m'infligeait, cette fois ci, ce fût une boule de feu qui me fut envoyer, je tenta de l'esquiver et je réussis sans trop de problème, puis les projectile de magie me furent à nouveau envoyer et je tenta eux aussi de les evités, mais ceux ci me suivèrent... je devais donc tenter un autre moyen, mais je n'avais aucune idée de comment faire. Lors de me séance des méditation, je tenta de trouver la solution en moi et elle était là depuis le début bien que je ne m'en soit pas apperçus : "Si je ne pouvais pas éviter la magie, alors je devait l'encaisser, voir lui résister.
C'est l'épreuve de ma vie qui fût la plus difficile, je mis peut être une disaine d'année à y arriver à 3 ans près. Cependant, mes entrainement n'étaient pas monothème, j'entrainais mon corp contre la douleur et apprenais à gérer mes chute pour retomber le mieux possible malgrer parfois une hauteur importante.
Je n'avais à nouveau plus aucune faiblesse connus, mais combien de temps m'a t'il pour en découvrir une autre?
Lors d'un combat, je me suis rendus compte que mes peurs n'étaient pas maitrisées, je n'arrivais pas à les vaincre en situation trop difficiles.
Voici ce qui m'a amené là ou j'en suis aujourd'hui, bien que je n'ai pas écrit le déroulement des combats, peut être que si un disciple qui sait lire trouve ce parchemin et si celui ci est asser motiver pour vaincre les faiblesses du corp humain, mon parchemin pourra l'aider à y arriver.
Finallement, Il y a une dernière chose qui m'a permit d'arrivé là ou j'en suis aujourd'hui. Je me souviens que dans ma jeunesse, le maître avait tuer un apprentit d'un coup unique, un coup mortel. Il lui avait donner un coup au niveau du thorax de la paume, le siciple avait trembler quelques secondes, puis s'était écrouler mort.
Reproduire ce coup est à une époque devenus une obsession de moi, mais je ne savais pas sur quels cibles m'entrainer. J'ai premièrement pensé que le coup coupait le soufle, mais ca n'aurait pas tuer, je me suis donc rabbatut sur le coueur, le faire cesser de battre en donnant un coup, le ki concentrer.
Combattre les mages rouges était dangereux, surtout qu'ils étaient nombreux, je ne pouvais me permettre de faire un massacre qui me ferait pourchasser pour simplement apprendre un coup. J'ai donc décider de quitter thay et d'aller à l'ouest.
J'ai découvert la notion d'argent en voyageant un brigand qui m'avait traité de paysant voulait mon argent et quand je lui ai demander ce que c'était, il se jetta sur moi avec son épée. Je l'ai assomer d'un uppercut avant même qu'il m'attaque, puis je pris mon temps :
Il portait une chemise de maille, son torse était libre en dehors de ça. Je concentra dnc mon Ki dans ma paume et frappa l'homme au niveau du coueur en tentant de faire vobrer mon Ki en le heurtant.
Je m'apperçut à se moment que j'aurait pu taper n'importe où, mon Ki était en l'homme et je pouvais couper ses batements de coueur et cessant les vibrations, ce que je fût. Puis il tomba net, comme le disciple que le Maître avait tuer.
Demain, je me rend à Luskan, j'espère que j'y apprendrait des choses intéréssentes. Je prouverais aux autres moines, que la mort peut arriver n'importe quand à n'importe qui et que celle ci doit être crainte.

HRP :

L'entrainement* :
Les enfant dès le plus jeune age s'entrainaient j'usqu'à épuisement, même épuiser, le délivreur les obligeait à continuer à s'entrainer.
Les entrainement étaient constitués de combat entre eux, de grimper à des falaises, marcher sur des cordes tendues pour travailler leur équilibre, marché sur des plaques de cloues comme les fakirs pour s'entrainer à résister à la douleur.

Ensuite, les entrainement au Ki :
Frapper quelqun en concentrant son Ki dans les parties qui touchent l'adversaire.
_____________
Pj actuelement lvl 5 IG.

Up : Edits en bleu foncer.
Dernière édit : Vert.
Edit suplémentaire : Dogme très legerement modifié.
Je crois que c'est finis.


INFOS : Ce parchemin peut être volé à Arnarst sur un vol à la tire.
Rp parlant, c'est monocouleur, les couleurs sont pour facilité la tache des scribes.

Peut tu développer un peu plus la philosophie de la Mort Longue et spécifier l'entrainement associé ?

[DELETE]

L'entrainement :
Les enfant dès le plus jeune age s'entrainaient j'usqu'à épuisement, même épuiser, le délivreur les obligeait à continuer à s'entrainer.
Les entrainement étaiens constitués de combat entre eux, de grimper à des falaises, marcher sur des cordes tendues pour travailler leur éuilibre, marché sur des plaques de cloues comme les fakir pour s'entrainer à résister à la douleur.

Ensuite, les entrainement au Ki :
Frapper quelqun en concentrant son Ki dans les parties qui touchent l'adversaire.

Citation :

La philosophie de l'ordre est basée sur la liberté et sur le choix. L'ordre n'aime pas les tyrans qui s'imposent car ils représentent un danger si ils conquierent rop de terrain et prenent trop de puissance

Cette philosophie dénotre plus d'une attitude chaotique à tendance neutre voir bonne alors que ton personnage est Loyal Mauvais et tu tends vers une divinité Chaotique mauvaise.

La pholisophe monastique en général est trés réglementée, basée sur des régles, des principes où la liberté et le choix n'a pas sa place.

Même si ton maître a changé légèrement les principes, ça reste des principes.

Dans tes conceptes de destruction des faibles, on y voit là bien plus la marque de Malar version loyale.

Essaie de réarranger la philosophie globale pour effacer certaines contradictions.

[DELETE]
ps : es-ce que tu sais ou je pourrais trouver des infos sur la longue mort? il n'y a pas bcp d'infos sur le forum.

Citation :

l'absence de contraintes

Ca c'est du chaotique encore

Citation :

ils pronent la liberté pour éviter que des polythéistes deviennent monothéistes et se mettent à prier un unique dieux ...

il n'y a aucune raison pour que les polythéisme deviennent des monothéisme, de plus comment un moine qui veut se rapprocher de cyric peut penser ce genre de chose ?

Citation :

L'ordre du délivreur vie dans l'optique de diminuer le nombres d'individus par culte, pour que la longues morts prene de l'ampleur.

Pour un ordre monastique je trouve que ce précepte est un peu bizarre et surtout trop porté sur le coté religieux et moins philosophique ou spirituel.

concernant la mort longue, tu as l'exemple du Rongemort dans la campagne de Nwn.

En gros un moine de la Mort longue joue un peu les anges de la mort, rappeleant à chacun que la mort peut frapper chacun à n'impotre quel moment, que la mort doit être crainte et respectée. Il développent souvent un esprit morbide qui va se lier à la souffrance des autres

Corecction :
"Liberez votre prochain de son enveloppe charnel si celui ci se croit superieur à la mort. La crainte et le respect de la mort l'unique chose qui compte dans la vie. Libérez les prêtres et fanatiques qui disent ne pas craindre la mort, pour ainsi leur faire rejoindre le plans de leurs divinités, ce dont ils rèvent. Liberez en apportant la souffrance aux présomptueux."

Volvic a écrit:

il n'y a aucune raison pour que les polythéisme deviennent des monothéisme, de plus comment un moine qui veut se rapprocher de cyric peut penser ce genre de chose ?

Je n'ai jamais dit que mon pj voulais se raprocher de cyric, j'avais mis qu'il venerait une de ses attributions : celle du meurtre.
par contre, il n'aime pas les autres.
De plus.. beaucoup de polythéistes deviennent monothéistes, les convertions forcés éxistent. (mais bon.. j'ai viré ce point là)

J'ai corrigé les incohérence du BG suite au réajustement vers la longue mort, cependant, j'ai laisser le fait que le maître était un Vampire :
Quand notre maître a apprit que l'on savait pour ce qu'il était, il nous a dit que la non-vie n'était pas insensible à la crainte de la mort. Selon lui, la non vie lui permetait de continuer les buts de la longue mort, mais selon moi il aurait dû mourir, bien qu'il n'aurait pas pû en souffrir.

Citation :

De plus.. beaucoup de polythéistes deviennent monothéistes, les convertions forcés éxistent. (mais bon.. j'ai viré ce point là)

Dans les RO le monothéisme n'éxiste pas. Même Cyric sait que les autres dieux existent, mais pensent que ce ne sont que des reflets de sa propre existence.
quoiqu'il en soit on ne peut comparer les polythéismes païens de notre monde en regard du monothéisme chrétien par exemple. La conversion reste dans le cadre du polythéisme et non pas d'un monothéisme à un autre.

Derniére chose.

Peux tu développer un peu les techniques martial qui vont amener à la mort ( genre la technique de la paume vibratoire )

Voilà :
Finallement, Il y a une dernière chose qui m'a permit d'arrivé là ou j'en suis aujourd'hui. Je me souviens que dans ma jeunesse, le maître avait tuer un apprentit d'un coup unique, un coup mortel. Il lui avait donner un coup au niveau du thorax de la paume, le siciple avait trembler quelques secondes, puis s'était écrouler mort.
Reproduire ce coup est à une époque devenus une obsession de moi, mais je ne savais pas sur quels cibles m'entrainer. J'ai premièrement pensé que le coup coupait le soufle, mais ca n'aurait pas tuer, je me suis donc rabbatut sur le coueur, le faire cesser de battre en donnant un coup, le ki concentrer.
Combattre les amges rouges était dangereux, surtout qu'ils étaient nombreux, je ne pouvais me permettre de faire un massacre qui me ferait pourchasser pour simplement apprendre un coup. J'ai donc décider de quitter thay et d'aller à l'ouest.
J'ai découvert la notion d'argent en voyageant un brigand qui m'avait traité de paysant voulait mon argent et quand je lui ai demander ce que c'était, il se jetta sur moi avec son épée. Je l'ai assomer d'un uppercut avant même qu'il m'attaque, puis je pris mon temps :
Il portait une chemise de maille, son torse était libre en dehors de ça. Je concentra dnc mon Ki dans ma paume et frappa l'homme au niveau du coueur en tentant de faire vobrer mon Ki en le heurtant.
Je m'apperçut à se moment que j'aurait pu taper n'importe où, mon Ki était en l'homme et je pouvais couper ses batements de coueur et cessant les vibrations, ce que je fût. Puis il tomba net, comme le disciple que le Maître avait tuer.

Je me suis inspirer de la decription dans la bouquin du manuel des joueurs.. j'ai hésiter a prendre la version de kill bill (les 5 points du coeur) mais ça ne ressemblais pas du tout à la description du manuel D&D.

ps : chaque ajout sur un poste différent a été ajouter au BG, donc, tu peux suprimer tous les postes si tu valides.

C'est bon pour moi, je valide.

Aujourd'hui
Aujourd'hui, je me rend compte d'une erreur de mon maître. J'ai trop lontemps considerer sa parole comme irréfutable, mais je n'avais jamais vécus en ville. Je vois des gens heureux, avant je les rendais malheureux, pour la cause de mon maître malheureux, qui n'accepte pas le décès de myrkul. J'ai cerné le problème, J'ai réfléchit, j'ai compris : Mon maître s'égarait. Il tuait pour le plaisir ou par la vengeance, il n'avait aucun objectif si ce n'est lui même. Les vivants vivent pour être heureux, a quoi sert il de vivre si nous ne le sommes pas? Aujourd'hui, j'ai decouvert que le sucide éxistait, les persones malheureuses se sucident en affrontant la mort, contrairment à certain qui prenent ça pour une fuite. Les persones heureuses aiment vivre, mais les malheureux souffrent innutilement. Je n'ai jamais trop compris pourquoi mon maître cherchais la souffrance des autres.. pour se venger de sa propre souffrance peut être ou de sa vulnérabilitée au soleil.
Les persones malheureuse doivent mourir et le plus tôt possible, avant qu'elles ne perdent la foi. Kelemvor a remplacer myrkul et il faut l'accepter.

Avoir vécus en dehors des ville sans rencontrer d'autres moines d'autres philosophie a surement nuie à mon chemin. Je n'ai a présent vécu que sur les conseil d'un vampire fou et je dois me réorienter vers la voi qui est la mienne.
Peu me croient que la mort est une délivrance, qui est donc dans l'erreur? j'ai considerer ce principe vrais sans même le vérifier, car c'est ce que tous les prêtres insinuent en pronant leurs religion pour eviter le "mure des ames". Mais si tout celà était faux, alors je me serait tromper.
Je suis actuelement à la recherche d'information sur la mort et les divinités disparue, ainsi que les nouvelles, c'est à dire Bhaal, myrkul cyric et kelemvor.