[Validé][Roublard/ninja][PG] Sihaya

Citation :

Nom du compte joueur forum : Danifae
Nom du compte joueur module : DanifaeVendriss’net
Nom du perso : Sihaya
Race : halfelin
Age : 22 ans
Alignement : depend des entrainements / acquiere la Loyauté et la haine : loyal neutre.
Religion : (de préférence Brandobaris, mais dépendra du joueur qui éduque Sihaya)
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 10 roublard/10 ninja
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Kama, mais en realité rp ce sont des gants avec des griffes retractibles
Langues :apprentissage de la langue commune (dépend de l’éducation reçut)

Sihaya est crasseuse, ses cheveux sont emmêlés et pouilleux et ses vêtements ne sont plus que des loques avec l'odeur des égouts. D'environs la taille de 1m10 pour un poid de 21 kilos de muscle pure. C’est ainsi en bande qu'elle sort volés les gens pour vivre. Mais sous se masque de saletés lui donnant l'aspect d'une gamine des rue, se cache....
Une jeune femme très timide aux yeux de biche et au visage séducteur. Elle rougie souvent et n'ose pas trop parler. Son corps de femme malgré sa petite taille est un appelle à la volupté. Elle porte avec élégance les tenues propres qu’elle peut recevoir ou volées.

Langues parlées : dépendra de l’évolution du personnage
FOR : 10
DEX : 20
CON : 10
INT : 14
SAG : 8
CHA : 10

Née de père inconnu, Sihaya a été élevé par sa mère, Sionna, danseuse dans un bouge minable de Luskan. Sa mère, Pauvre, décède 5 ans plus tard laissant Sihaya seule dans la rue sans avoir put lui inculqué aucune notion de communication.
Pour survivre la jeune halfeling rejoint un groupe de gamins pickpocket qui lui apprenne à survivre dans la jungle de la grande cité de Luskan et à dormir dans les égouts.
17 années passé, Sihaya qui a mûris mais est toujours aussi petite fait toujours partie de la même bande de voleur dont la règle est simple : si t'es trop grand tu fait plus partie de la bande.

Survivre dans les égouts est devenue une seconde nature pour elle.
Les années passer tout d’abord à chasser les rats si rapide et fuyant ont développer ses muscles et sa vivacité.
Jusqu’au jours ou elle compris qu’il y avais plus simple pour se nourrir. Un curieux hasard voulue qu’un jours qu’elle faisait « ses courses » au marché, elle tombe sur un vendeur d’oiseau exotique, Celui expliquais, à force de geste explicatif, à ses clients comment il était parvenue à leur capture… Sihaya repris l’idée pour capturer sa nourriture.
Fuir les prédateurs plus gros comme les reptiles ecailleux son sens de la discrétion. Pour elle les ombres ne sont plus un abri, elle est les Ombres.
Dérober les biens des marchands en ville ou des passants à développer sa dextérité et sa souplesse, surtout quand il s’agissait de fuir le léser.
Rien de mieux pour faire preuve de créativité que de devoir se protéger et se vêtir quand l’on ne possède rien ou presque.
A travers tout cet apprentissage, elle s’est forgé un caractère rebelle et indépendant mais également un sens de l’honneur bien à elle. La charité est une faiblesse elle ne vivra pas de charité, elle se débrouillera seule pour survivre. Ne jamais rien devoir à qui que ce soit. Mais ne jamais prendre ce dont elle n’a pas besoin afin de ne pas s’attirer d’ennuis.
Pourtant, de vivre aussi coupé du monde n’a pas aidé à sa sociabilité, elle se sent inférieur à tout le monde. Il lui est devenu impossible de ne pas voir les différences entre elle et les gens qui l’entourent. Et ces différences la rende honteuse et l’intimide.

Et dans toute cette lutte pour survivre, un rayon de lumière a illuminé les nuits de la petite halfelin : La musique. Dans un monde ou le silence est la seule langue utile pour repérer ses proies dans le noir, la musique qui retentit des fêtes et des bals de la surface est devenue pour elle comme une mélodie ou tout son corps peut exprimer ce qu’il ressent. Sa souplesse acquise et son sens de l'ecoute font desormais, sans qu'elle le sache, d'elle une danseuse honorable qui pourrait devenir bien meilleur avec de l'entrainement, le sait elle seulement ?


Quelque chose pousse désormais Sihaya a sortie de son antre plus souvent que de raison.

(edit : pour cause d'apprentissage d'une langue )

Il y a peu, Sihaya a été découverte. Un homme patibulaire tout de noir vêtu découvrit par le plus grand des hasards le refuge de la jeune femme en voulant dissimuler des preuves accablantes de sa culpabilité sur un acte ignoble. Ce qu’il n’avait pas prévue c’est que Sihaya lui déroberais les objets…

D’abord furieux puis intrigué par cette gamine qui ne communiquais que par borborygmes, il pris sur elle de commencer sa formation. D’une manière peu orthodoxe. En effet l’halfelin était d’un naturelle très rebelle mais pas complètement idiote, pour la maintenir assise sur une chaise il dut lui menotté les mains au dossier, puis avec quelque brimades il obtiens d’elle une partielle attention pour lui apprendre l’alphabet commun.
Durant plusieurs jours il la séquestra ainsi afin de lui inculquer les rudiments de la langue. D’un naturel intelligent et n’étant plus totalement coupé du monde depui peu, Sihaya avais l’habitude d’écouter les gens sur le marché caché dans les égout en dessous, les leçon portèrent leur fruit mais du chemin restait à parcourir.

Plutôt que de se fatigué a des heures interminables l’homme choisit une méthode radicale mais dangereuse… a l’aide d’un sort de communication et d’un sort d’hypnose il inculqua de force dans la pauvre petite tête de l’halfelin, tout ce qu’il y avais a savoir pour communiquer a la perfection… trop tard pour se rendre compte que l’halfelin en savais bien plus qu’elle n’en disais en matière de communication. La conjugaison de ces deux sorts eurent un effet désastreux sur la psyché de la petite qui tomba en catatonie, le cerveau remplis d’information doublé, celle acquise par ses années d’observation et celle inculqué de force. Constatant l’état dans lequel il avais mis l’halfelin, l’homme se débarrassa d’elle la ou il l’avais trouver : les égouts.

Plusieurs jours après ce dramatique évènement, sihaya, affamée et épuisée revint à elle. Il lui avait fallut du temps pour remettre de l’ordre dans son esprit … Et la voila desormais munis d'un cadeau precieux, le don de communication.

Leçon 1 : L’équilibre et Le pari.

Sihaya passe quelque jours a la surface et se rend très vite compte que pour y survivre il faut plus que savoir se cacher et savoir attraper des rats pour manger. Certes elle parvient à manger en empruntant sans le dire un peu nourriture dans les escarcelles mais elle se rend aussi bien compte que plus d’une fois on l’a repéré et que si on ne l’a pas arrêté c’est a cause de son apparence…
Pour Sihaya il est grand temps de sortir de sa bulle, oui mais pour aller ou ?

Il y a bien les dames animaux celle qui ont des crocs et qui porte le nom de louve mais qui sont pas des louve même si elle mordent parfois. Elles ont dit qu’il y a d’autre moyen pour survivre, pour Sihaya c’est une possibilité mais pas très concrète pour l’instant, sinon il y ‘a l’homme en noir celui qui lui a appris à communiquer. Sihaya n’a pas beaucoup de choix en vérité et à choisir entre de l’abstrait et du concret le choix est vite fait pour elle. Elle retourne alors voir l’homme qui fait mal mais qui apprend.

L’homme est grand tout de noir vêtu et roux comme elle, il l’invite à le suivre dans la piscine de la ville… Sihaya sceptique le suit.
Une corde est alors fixé d’un pilier à un autre au dessus d’une grande fausse remplie d'eau propre pour se laver et Sihaya est invité à traverser sur la corde. La leçon semble aisée et Sihaya se vante ce qui énerve l’homme.
« Si c’est si facile que cela traverse donc au lieu de discuter, mais si tu échoue tu seras punis »
La première tentative ce solde par un échec magistrale à mi parcourt, la pauvre Sihaya plonge tête la première dans l’eau ce qui lui permet dans le même temps d’être laver contre son gré. Mais têtue, elle décide de recommencer encore et encore. A chaque essais elle ne cesse de se dire « je suis forte l’échec c’est pour ceux qui veulent être assister». Finalement elle parviens de l’autre coté après maintes perte d’équilibre, et hésitations.

Loin de la félicité l’homme en noir Exige d’elle une réussite parfaite, sans hésitation ni perte d’équilibre. L’homme va même jusqu'à la forcer a évolué nue, sachant pertinemment que Sihaya serais gênée d’être exposée. Mais une parole qu’il dit marque Sihaya au point qu’elle se fait violence pour vaincre sa timidité : « Si tu es poursuivit par des gens qui te veulent du mal et si tu n’a pour fuir qu’une étroite passerelle au dessus d’un abîme, refuserais tu de le traverser sous prétexte que tu n’a pas eut le temps de t’habiller avant de fuir par les toits ? »
La menace est prononcer d’une vois si forte et autoritaire qu’une jeune femme qui se baignais non loin de la viens, nue comme un verre mais couverte d’écailles rouges des pied à la tête.
« Vous permettez que je me baigne ici monsieur ? »
L’homme en noir accepte ce qui gène terriblement Sihaya, comment en effet pourrait elle rivalisé avec le corps même couvert d’écailles de cette si belle dame… d’autant que celle-ci l’observe pendant que l’homme en noir exige de Sihaya qu’elle se déshabille. Sihaya ouvre alors des yeux rond de stupeur quand la jeune femme ravissante fait un pari avec l’homme en noir : « 2000 pièces d’or qu’elle tombe ». La pression et l’angoisse de l’échec étreigne la petite Sihaya, mais comme l’a dit l’homme pour réussir il faut avoir la volonté quelque soit les conditions. Elle n’a pas le droit d’échouer, de plus elle n’a le droit qu’à un seul essai. Sihaya se concentre et tente de faire abstraction de sa gène, elle prend appuis sur la corde et inspire avant d’avancer le pied puis l’autre. C’est dans un état second qu’elle parviens au milieu de la corde sans avoir fait le moindre faux pas et avec un équilibre parfait, mais hélas l’eau ne cache pas le corps de la disciple draconienne, et Sihaya rougie en apercevant la beauté de la femme si belle alors qu’elle-même est si moche et oublie de prendre garde a la corde…PLOUFFF la voila dans la piscine après un faux pas. Furieux l’homme en noir paye la disciple draconienne et ordonne à Sihaya de venir avec lui pour la suite de l’entraînement et la punition pour son erreur. Motivé malgré la crainte de la punition Sihaya qui n’est pas une lâche accepte de le suivre.

La même épreuve attend Sihaya sur une corde à deux mètre de hauteur au dessus de la neige. La punition aura lieu plus tard…

Leçon 2 : L’épreuve du feu ou comment apprendre à compter.

Sihaya poursuit l’entraînement dans les forets enneigés des dix cités. Elle fixe sa corde toujours plus haut dans les arbres et marche dessus tel un funambule. La rigueur du climat ne l’aide certes pas mais c’est une battante et elle s’accroche. La voila perché en équilibre sur une corde à 5 mètres du sol quand viens a passer la drisciple draconienne qui avais parié contre elle.
« Que fais tu la petite ? »
« Je poursuit mon entraînement madame »
« Pourquoi cela ? »
« Parce qu’il m’a dit de continuer le travail chaque jours pour y parvenir pleinement »
« Tu ne sais pas qu’il ne veux plus t’enseigner ? Après ton esclandre à la taverne (événement que nous ne développerons pas ici) il a dit à tous que pour lui ton apprentissage était terminé »
« Oh…*peinée, puis se ressaisissant* s’il crois qu’il n’y a que lui pour m’apprendre ! J’irais demander au gens que j’aie rencontré nah ! »
« A moi aussi ? »
« Bah oui mais vous pouvez m’apprendre quoi ? »
« Certainement beaucoup plus que ces humains imbéciles, mais d’abords quel age as-tu Sihaya ? »
Au cours de la conversation, la disciple draconienne s’aperçoit que Sihaya ne sais pas compter. Elle décide donc de l’emmener commencer son entraînement par un apprentissage sur les chiffres et les nombres. Sihaya, qui a gober toute l’histoire sur le refus d’apprentissage par son précèdent mentor, accepte de la suivre dans le long voyage qu’elles entreprennent en direction du sud. Se nourrissant pendant le voyage de ce que la disciple draconienne a dans son sac de voyage et de ce que Sihaya attrape. Le voyage se déroule bien puis les choses se compliquent.

La drisciple draconienne conduit Sihaya au pied d’un immense volcan, puis elle grimpe le versant.
« *en sueur et haletante* pardon madame mais il fais chaud ici ! »
« Tu as déjà entendue parler de ces moines qui vivent au sommet d’une montagne dans le froid éternelle ? Et bien tu va pouvoir t’endurcir dans les même conditions, à peu de chose près, qu’eux et au moins tu risque pas de tomber malade*ironiquement*, de plus si tu as trop chaud déshabille toi *sourire malicieux* »
Les deux femmes poursuivent l’ascension et pénètrent dans une grotte à flanc de montagne qu’elle traverse pour atteindre le centre du volcan. Sihaya malgré sa gène n’y tiens plus et se met nue couvrant juste sont nez avec un bandeau contre les émanation toxique de souffre.
« Bien nous y voila Sihaya, tu va apprendre a compter ici »
« Je peux avoir à boire madame ? *dégoulinante de sueur dans la fournaise du volcan* »
« Non, si tu réussit ton apprentissage alors tu aura à boire, dans la vie on n’a pas toujours ce dont on a besoin. Dans un tel cas on a alors le choix : Survivre avec ce manque ou mourir. Dans ton cas mourir serais une preuve de lâcheté, es tu lâche Sihaya ? »
Sihaya serre les poings et se fait violence pour prendre la position de pompe exigée par la disciple draconienne. La leçon est simple Sihaya doit faire des pompes et la disciple draconienne comptera pour elle. Ensuite elle devra en faire le même nombre en comptant à son tour. Le manque d’eau et l’air vicié sont autant d’épreuve qui mette à mal le physique de Sihaya, mais celle-ci est déterminée.
Les 10 premières pompes se font aisément malgré les conditions, Sihaya écoute attentivement le compte de la dragonne. Puis viens son tour de le faire en comptant. Dégoulinant d’une sueur qui sèche rapidement sur son corps pour être de nouveau remplacé, Sihaya tremble sur ses membre et parviens e en faire 10 mais se trompe dans les chiffres. Intransigeante la disciple draconienne lui ordonne de recommencer, elle lui concède seulement quelque gouttes d’eau pour l’effort.
« Ta volonté est ce qui doit te permettre de te dépasser Sihaya, ton corps à ces limites mais pas ta volonté. Alors Sihaya si tu veux vivre, si tu veux boire, et si tu veux continuer a apprendre fait le jusqu’au bout de toi-même ! »
Sihaya se remet en position, jamais entraînement ne fut plus dure pour elle et malgré ce qui pourrait s’apparenté à une torture Sihaya apprécie les efforts nonchalant que se donne la dragonne pour former une moins que rien comme elle. Sihaya en conçoit un respect profond pour la disciple draconienne mais également une hargne intense de vouloir faire mieux que ce que la dragonne dit, après tout Sihaya rêve de devenir quelqu’un et si elle n’est pas capable de rivalisé avec quelqu’un de fort, d’immensément beau et intelligent alors elle n’arrivera jamais à rien et restera dans ses égouts toutes sa vie.
Les pompes reprennent, Sihaya lutte et tremble sur ses pauvres membres couverts de sueur, et haletante, elle réussit à compter jusqu'à 6. En s’arrachant un cris et se faisant violence elle parviens à compter jusqu'à 8. Le regard rageur et de la souffrance dans chaque trait de son visage, Sihaya parvient à faire la 9eme pompe, soit la 29 ème au totale. Mais sa volonté ne peux l’emmener au delà de la résistance de ses muscles. Devenue comme de la gelée de groseille, elle s’écroule a peine consciente de ce qui l’entoure.

La disciple draconienne emmène alors Sihaya au fond de la grotte plus fraîche, dans un petit campement aménager d’un lit de camp et d’un peu d’eau. Sihaya peut des lors reprendre des forces avant de reprendre l’entraînement.

De nombreux efforts on était fait, continue à poster ton évolution et surveille tes anachronismes

Leçon 3 : Le Bien et le Mal

« Ma chère Sihaya aujourd’hui tu va t’entraîner à crocheter des serrure nous allons donc nous rendre dans un endroit dangereux, ensuite nous commencerons ton entraînement »
Sihaya décide de suivre l’homme en noir jusqu’au lieu de l’entraînement, sa soif d’apprendre insatiable la pousse à retourner le voir constamment. Apres tout lui seule avec la disciple draconienne lui apprenne des choses utiles pour réaliser son rêve…
Une fois sur place et après avoir évité de nombreux gardes qui protègent ce qui semble être un vieux fortin en ruine, L’homme la place devant un coffre et lui explique ce qu’il attend d’elle. Mais Sihaya refuse d’ouvrir le coffre prétextant comme le lui a si bien dit Liaz, que forcer une serrure c’est mal.

« Alors comme ça tu refuses d’ouvrir ce coffre ? »
« Je ne peux voler ce n’est pas bien… la dame m’a dis de ne pas voler. »
« Qui dont t’a dis cela ? »
« Une paladine de tyr, elle a était gentille elle m’a offert le gîte et le couvert a l’auberge mais m’a dis de ne plus faire le mal et que voler c’était mal. »
L’homme ne pus empêcher un léger rire de échapper puis il regarde la jeune femme. Sihaya fixe sceptique l’homme en noir, ce moque t’il d’elle ?
« Et tu crois qu’elle est irréprochable ? Quand tu m’as voler dans les égouts tu ne te posais pas tant de question… tu parle de bien et de mal, mais que sais tu du bien et du mal véritablement Sihaya ?
Tu me demandes de t’apprendre mais je ne t’apprendrais pas si tu restes dans cette optique de refuser mes cours et également si tu ne parviens pas à concevoir que le bien et le mal ne sont que deux stupidités que les gens on créer afin de pouvoir dormir tranquille la nuit.
Tu dis que tu ne dois pas faire le mal mais que dis tu des gens que tu as volé pour survivre ? Que dis tu des gens chez qui tu as cambrioler et à qui tu as volé parfois les économies de toute une vie ? Tu es bien vertueuse aujourd’hui… »
« … c’était pour survivre… et ce n’étais pas mal…la paladine m’a dis qu’il fallait que je face le bien… »
Sihaya est envahis d’un profond malaise, c’est vrai qu’elle n’a jamais réfléchis au bien ou mal quel fait… elle a toujours agis égoïstement.
« Et bien sur elle t’a dis qu’elle ne faisais jamais le mal… mais dis moi ta paladine de Tyr te dis qu’elle fais toujours le bien ? Elle ne fait jamais le mal ? Et quand elle attrape un voleur et qu’elle lui coupe la main par châtiment tu trouve ça bien toi ? »
« … non… »
De plus en plus troublée, Sihaya se demande si elle ne doit pas reconsidérer son point de vue, oui mais sur quelle base s’appuyer ?
« Et tu trouve que te proposé le gîte et le couvert à l’auberge à volonté alors que tout tes anciens amis vive encore dans les égouts à risquer la bastonnade ou de perdre leur main c’est bien ? Pourquoi ne propose t’elle pas à tous les enfants d’aller a l’auberge gratuitement ? »
« Je… je... *Sihaya ne trouve même plus ses mots* »

L’homme s’appuya contre le mur et laissa à Sihaya le temps de prendre en compte c’est mots.
« Le bien et le mal sont deux concepts totalement stupide, si tu écoutes les gens qui se disent bon il ne font jamais rien de mal mais au fond de leur cœur il ne s’incombe que de peux de moral, prend ta paladine, elle est tel qu’elle ne remet pas en doute les lois, alors dis moi pourquoi elle n’a pas appliquer la loi quand elle t’a pris à voler ? Parce qu’elle est bonne ? Quelqu’un de bon dois appliquer la loi même si celle-ci est mauvaise mais la t’elle fait ? Non bien sur que non, et pourquoi ? Parce qu’elle ce laisse le droit de choisir quand l’appliquer …
Tuer est mal non ? Et pourtant quand tu tue en légitime défense tu ne trouve pas ça mal ?
Tu pourrais dire que dans ce cas la que chacun est libre d’interpréter la lois, dans ce cas la on part sur l’anarchie et sur le chaos… et cela serait mal non ? Alors dis moi Sihaya, comment vas-tu distingué le bien du mal ? »
« Je…je ne sais pas…je *complètement déroutée Sihaya cherche un argument sur lequel s’appuyer.* »
« Je vais te dire moi Sihaya, je ne t’ai jamais seriner avec ce concept de bien et de mal, je te laisse agir comme ton cœur te le dit, qui suis-je pour te dire ça c’est bien ou pas ? Je ne peux pas te fournir une pierre d’angle pour bâtir ta conception. Tout ce que je peux te fournir c’est un point de vue que tu peux accepter ou rejeté, écoute moi apprend de moi tu découvriras en moi non pas le bien, ou le mal … tu découvrira en moi la loyauté, la seule valeur concrète de ce monde. »

Sihaya, perdue et perplexe, incapable de réfuter les arguments, choisit de fuir pour s’isoler et pouvoir y repenser seule à l’abri. Mais voila qu’avec tout cela elle en a oublié les gardes des ruines… l’erreur aurait put lui coûter la vie si son professeur n’avais pas agis immédiatement pour tuer les gardes, malheureusement trop tard pour empêcher ceux-ci de blesser la jeune femme et lui faire perdre connaissance. Apres des soins de première urgence, L’homme en noir conduit Sihaya jusqu’au temple de la dame des douleurs. Une fois remise sur pied il l’a laisse sous la garde d’une douleur, avec ses mots
« Je t’avais promis un séjour ici, je suis loyal et ne te ment pas *sourire sadique* je te souhaite un bon séjour. Je vais aller trouver les supérieurs de ce temple pour leur donner mes recommandations. »

ATTENTION L’HISTOIRE QUI VA SUIVRE EST À DECONSEILLER AUX AMES SENSIBLES. CERTAINES SCENES PEUVENT HEURTER LA SENSIBILITE DES PLUS JEUNES ET DES NON AVERTIS.

Leçon 4 : Le respect, la discipline et la haine. 12 jours de tortures.

Premier jours :
L’homme en noir emmène Sihaya chez les loviaths. Puis S’éloigne pour aller chercher une des dirigeantes alors que Sihaya est sous la garde d’une des douleurs du temple. Alors que l’homme en noir est sortie, plusieurs prêtresses du temple ainsi que le haut bourreau en armure entre et découvre Sihaya, bien évidemment Sihaya qui ne peux pas retenir sa langue leur décoche des remarques assassines et impertinentes… la réaction ne se fait pas attendre et Sihaya est conduit sur l’autel du temple puis ligoté bras et jambe écarté à plat sur l’autel. La tête maintenue, on s’empare de sa langue à l’aide d’une pince puis munis d’un couteau rouillée , la prêtresse entailles la langue du milieu jusqu a la pointe l’ouvrant en deux comme celle d’un serpent. Le sang gicle alors que la decoupent n'est pas tres net et arrache des morceaux de chaires. C’est le moment que choisit l’homme en noir pour revenir et donner ses consignes aux prêtresses de loviathars.
Sihaya gémis et sanglote, comment a-t-elle put se fourrer dans un tel guêpier…
« Voila mesdames je vous apporte ce cadeaux, je sais qu’elle a été très insolente auprès de vous aussi la voila pour son châtiment… Oh je constate que vous ne perdez pas de temps *rire sadique*. De plus je vous la cède pour une douzaine de jours afin que vous lui appreniez le respect, l’obéissance et la discipline. Oh et si vous pouviez faire en sorte qu’elle ouvre les yeux sur la haine qui anime son cœur. Ce serait bien aimable. Voila Sihaya je reviendrais peut être te chercher dans douze jours. Ah oui un dernier détail, si vous couper des morceaux de son corps je les veux quand vous me la rendrai, conservé dans du formols par exemples. Et surtout ne toucher pas à sa virginité un sacrifice est toujours mieux lorsqu’il s’agit d’une vierge. »

Horrifié Sihaya vois son mentor s’éloigné l’abandonnant aux mains de ses sanguinaires. Ainsi les tortures recommencent…
Tout d’abord, la prêtresse se change en terrible démons et insufflent les pire cauchemars de Sihaya, enfin ce qu’elle croit être les pires. Dans le même temps elle lui fait comprendre que pour lutter contre la douleur et la peur seule la haine peut sauver la petite. Elle dit cela en mâchonnant un bout du biceps droit de la halfelin en laissant le sang couler d’entre ses crocs monstrueux. L'os mis à nue, le sang s'ecoule sur l'autel de la plaie ouvert, l'autel absorbe le sang verser comme une eponge. Sihaya se débat, tremble et hurle de douleur et de peur alors qu’elle se voit obligé de vaincre ses démons : des reptiles écailleux géants la traquant dans son cauchemars forcée. Par un effort de volonté, il n’est pas question qu’elle se laisse manipulé ainsi, elle parviens à trouver une arme de fortune dans sa fuite éperdue, puis aux prix de blessures dans ses cauchemars, elle débusque le point faible de ses reptiles et les tuent renvoyant à son lanceur la puissance de l’énergie illusoire invoqué contre elle-même.
Constatant l’échec des illusions contre la petite femme, le haut bourreau fait bouillir de l’eau dans un seau.
« Si tu te met a haire tu survivra ! Mais avant tout nous allons t’apprendre le respect»
Il repend alors l’eau sur les pieds de Sihaya qu’il a préalablement déchaussée. Celle-ci se débat dans ses liens hurlant et crachant du sang de sa bouche alors que sa peau rougie et forment des cloques. Pourquoi ? Pourquoi tend de souffrance, Sihaya ne parviens pas à comprendre et ne peux que pleurer son sort. Mais le pire c’est que l’homme prend son temps pour faire coulé l’eau en remontant le long des jambes de l’halfelin. La prêtresse qui a repris ses esprits dénude même la robe de Sihaya aussi lentement que l’homme verse l’eau. Sihaya hurlant et pleurant se débat contre la terrible brûlure qui envahit son corps. La honte et la souffrance envahisse sont esprit, elle n’est plus que douleur elle doit lutter mais comment ? Que faire contre tant de souffrance ? Couverte de cloaque, Sihaya sanglote perd connaissance au moment ou l’eau bouillante est versée dans sa bouche maintenue ouverte de force.
Apres sa perte de connaissance, Sihaya est soignée partiellement puis lié les bras au dessus de sa tête par des chaînes, les jambes écartes de chaque coté d’un pilier avec pour seule vêtement un pagne et une cagoule de sudation, ont lui bande les yeux et la bâillonne après avoir soigné sa langue pour évité une infection.
Les consignes sont donnés aux douleurs : nourriture tout les 3 jours et coups de fouet constant pour la maintenir éveillée.
L’impertinence de Sihaya, serais ce vraiment cela la raison des souffrances qu’elle subvit aujourd’hui ? Qu’attend ses gens d’elle ? Le silence ? Taire ses vérités qui fâchent ? Sihaya a peine consciente se muent lentement dans un silence… elle qui parlais trop finit peu a peu par caché ses pensées dans un silence reposant.

Jours 2 :

Quand elle reviens à elle Sihaya est plongée dans le noir et ne peux même pas proférer de sons. Elle entend le mouvement d’un homme en armure, sans doute le haut bourreau. Celui-ci tour autour d’elle et approche quelque chose de froid de sa peau. D’un mouvement sec il applique la lame gelée contre la peau de Sihaya qui hurle et se débat. S’amusant avec le pauvre corps de l’halfelin il dessine des arabesques sur son corps, laissant des marques de brûlures de froid.
« Abandonne toi a la haine sous être, tu pourras même me châtié pour tout ce que je te fait si tu accepte. »
Sihaya s’y refuse, aussi commence t’il a la fouetter non sans lui avoir enlevé le bandeau pour qu’elle voit qui lui inflige de la souffrance. Les coups pleuvent martyrisant le pauvre corps de l’infortunée. Sihaya garde le silence, inutile de parler si les mots lui apportent des coups mais a quoi bon châtié cet homme, elle n’en sera que plus punis et ne reverra sûrement jamais le jours après.
La journée de Sihaya se passe donc à être constamment fouetter pour l’empêcher de dormir et à subir les délicate attentions du haut bourreau.

ATTENTION L’HISTOIRE QUI VA SUIVRE EST À DECONSEILLER AUX AMES SENSIBLES. CERTAINES SCENES PEUVENT HEURTER LA SENSIBILITE DES PLUS JEUNES ET DES NON AVERTIS.

Suite Leçon 4 : Le respect, la discipline et la haine. 12 jours de tortures.

Jours 3 :

Le troisième jour se déroule sous les mêmes hospices que le deuxième…

Jours 4 :

Sihaya épuisée par les traitements et manquant de sommeil, est libéré de sa cagoule de sudation par une magnifique femme en blanc : Aevon Daoki. Celle-ci se montre d’une douceur exquise au regard des douleurs du corps de Sihaya. Elle lui caresse les cheveux, la materne tendrement tout en lui parlant.
« Allons mon enfant, je sais que tu souffre, je sais que tu ne peux pas même te défendre, mais peux tu comprendre que ce que nous te faisons est pour ton bien ? »
*Sihaya fait non de la tête*
« Oh mais c’est pourtant simple, après tend de souffrance, un pincement sur ta peau ne te seras plus rien. Nous habituons ton corps à souffrir et ainsi les souffrances moindres ne seront plus un problème pour toi. Oublie pas que ce qui ne te tue pas te rend plus fort »
*Sihaya ne semble toujours pas comprendre et regarde la dame de ses pauvres petit yeux fatiguée*
« La douleur est tellement intense que tu la ressent comme un mal profond en toi, elle est comme une rage de dent dont tu ne parviens pas à te débarrasser. Mais plus tu l’as en toi, plus elle fait partie de ta vie et plus tu t’y accoutumes, tu finis alors par ne plus la ressentir. Cette douleur qui te faisait si mal ne devient plus douloureuse. Voila tout l’intérêt de ce que nous te faisons subir. »
*Sihaya écoute mais ne réagis pas*
« Cela te seras utile par la suite, ne peux tu comprendre cela ? Par exemple si des voyous t’agressent dans la rue pour te prendre une chose que tu tiens en main. Si au lieu de fuir tu serres l’objet contre toi et endure les coups sans émettre le moindre son. Ces mêmes voyous te prendront pour une folle et te laisseront tranquille voir même tu pourras supporter leur coup et riposter. »
*Sihaya, acquiesce sans identifié la teneur bancale de l’argument.*

Le monologue sur les joie de la douleur se perpétue de nombreuses heures au cours desquels Sihaya est chouchouter par la douleur qui va même jusqu'à proposé à Sihaya de récupéré l’un de ses objets, ceux la même qu’on lui a confisqué en lui retirant ses vêtements. Au nombre de trois il y a : un pendentif fait d’un vieux lacets avec une plaque de fer de berceau portant le nom Sihaya écrit dessus, un collier ras du cou, récent, ornementé avec une boucle et un peigne usée et avec des dents casser. La douleur étudie les réactions de Sihaya quand elle lui présente les objets en lui suggérant de pouvoir en récupéré un. Sihaya désigne le collier ras du cou mais réagis face au peigne. La douleur sourit, met le collier autour du cou et range le pendentif. Elle regarde ensuite le peigne usé.
« Ce peigne est si vieux qu’il tombe en morceau je vais le jeter et t’en offrir un autre. »
*Sihaya s’agite a cette menace et ouvre des yeux terrifiée* « ONNNN *avec sa langue coupée au milieu Sihaya ne parviens pas a articuler la première lettre des mots*
La douleur jubile, et agite le peigne et fait mine de le briser devant Sihaya impuissante qui s’agite dans ses chaînes en hurlant. Bien que faible la colère et la peur donne un semblant d’énergie à la petite captive qui s’épuisent malgré tout très vite et finit par retomber inerte et en sanglot.
« Et bien tu vois, ta volonté ta permis de transcender ta faiblesse, n’oublie jamais ce que tu viens d’apprendre. Douleurs, laisser la dormir et manger… un croûton de pain et de l’eau rien de plus.

Jours 5 :

Ce jour là les tortures reprennent, les douleurs fouettent et martyrise Sihaya jusqu'à épuisement. Puis on l’empêche de nouveau de dormir de la même manière.

Jours 6 :

Le haut bourreau reviens trouver Sihaya après une petite absence, ils a appris que le peigne est le poing faible de la petite, aussi le tiens t’il en main tout en commençant à parler à cette dernière de haine, de rage pour vaincre la douleur. Ce faisant il coiffe Sihaya avec le peigne. Mais plus le temps passe et plus il appuis avec violence sur le crâne, griffant le cuir chevelue et allant même jusqu'à brisé des dents du peigne. Sihaya qui se débat dans ses chaînes, pleure et vois son seul souvenir de sa mère partie lentement en morceau, impuissante.
Sous le regard impuissant de la petite halfelin, Kragnarr brise le peigne apparemment sans raison…Sihaya hurle a la mort et se débat comme une folle, son souvenir vole en éclat en même temps que le peigne… la haine envahis son petit corps, l’écume coule de sa bouche et elle cherche a arraché les chaînes qui la retienne.
« C’est bien Sihaya ! Laisse ta rage t’envahir et châtie moi ! »
Le haut bourreau ôte son plastron d’armure, défais un bras de Sihaya puis l’autre, et enfin une cheville, il ne se soucie nullement des coup de poing et pied qu’elle donne pour le battre vainement. Puis il lui lance un fouet.
Sihaya se saisit du fouet frappe avec rage sur le torse de Kragnarr. Celui hurle sous les coups et savoure ses souffrances mais Sihaya ne vois rien de cela, elle ne voit que ce corps à réduire en charpie. Elle le fouette voulant répandre son sang, le tuer a force de coup… dans l’esprit de Sihaya il est évident que sa force ne permettra pas de tuer ce monstre en armure. Constatant cela, la haine de Sihaya se mue en sadisme pure, elle diminue sa rage pour devenir plus précise, et d’un vicieux mouvement du poignet elle parvient à fouetter le visage de Kragnarr, à toucher son œil gauche lui arrachant un véritable cri de douleur cette fois. Il se mit alors hors de porter et sous les yeux de la petite halfelin, il entra en rage…
Chez Kragnarr la rage pris une forme bien plus physique que celle de la petite, le regard devenant sombre, une aura de violence se dégageant de lui, les muscles doublant de volume, de la bave aux lèvres, il se jeta sur la petite qui ne put que se rouler en boule sous l’avalanche de coup d’une violence terrible. Les os brisé des contusions partout, Sihaya perd connaissance.

ATTENTION L’HISTOIRE QUI VA SUIVRE EST À DECONSEILLER AUX AMES SENSIBLES. CERTAINES SCENES PEUVENT HEURTER LA SENSIBILITE DES PLUS JEUNES ET DES NON AVERTIS.

Suite et fin Leçon 4 : Le respect, la discipline et la haine. 12 jours de tortures.

Jours 7 et 8 :

Sihaya durant deux jours est soigné et torturé tour à tour, coups de fouet, coup de bâton et autre douceur aussi agréable que peuvent faire les loviaths débutantes.

Jours 9 :

Aevon Daoki se présente devant Sihaya accompagné de Kragnarr. Sihaya le regard plein de haine les regarde sans un mot.
« Nous sommes fière de toi Sihaya, tu as appris à haire aussi aujourd’hui tu ne subira aucune douleur mais tu en infligera »
*interloqué, Sihaya ne réagis pas *
« Tu vas avoir la chance de te venger, nous t’accordons cela à une seule condition : je t’interdit de donner une mort rapide ! et ta victime ce sera moi *lui dit Aevon Daoki* »

Sitôt dit, sitôt fait, Sihaya est libéré de ses liens, des gardes sont poster devant la porte pour évité toute fuite et Aevon est enchaîner en lieu et place de Sihaya, le corps complètement dénudé. Naturellement Kragnarr reste à coté pour surveillé Sihaya mais on fournis à la petite tout ce qu’elle veux.
Un escabeau est amené pour que Sihaya puisse se placer à hauteur du visage d’Aevon. Elle place un bâillon boule entre les mâchoire de la douleur puis demande à avoir 5 dés à coudre. Une fois les dés a coudre apporter, Sihaya viens sans demander fouiller Kragnarr qui la repousse violement mais trop tard, Sihaya en tombant au sol sous la violente frappe du haut bourreau, exhibe la pierre a aiguisé de celui-ci. Puis avec une patience infinie et un regard noir à glacé le sang, Sihaya commence a aiguisé les bord des dés à coudre pour les rendre tranchant. Aevon semble savouré d’avance l’intense torture que le sadisme de Sihaya semble promettre, mais Sihaya la haine au cœur à un tout autre projet. En effet Aevon a été tendre avec elle, alors Sihaya ne la ferra jamais souffrir, elle lui réserve une morte rapide. Enfilant les 5 dés à coudre à ses doigt de la main gauche, Sihaya monte sur l’escabeau et se plaque contre le corps nue de la captive pour lui chuchoter a l’oreille et masquer ces gestes a la vue de Kragnarr qui se trouve sur sa droite. Puis elle chuchote.
« *a voix très basse* je regrette chère madame, vous ne m’avez rien fait aussi je ne peux que vous accordez une morte rapide *se faisant elle enfonce ses doigt dans la partie tendre du ventre de Daoki qui ne peux qu’ouvrir des yeux rond de déception et de consternation en gémissant de douleur dans son bâillon* »

Kragnarr constatant la surprise d’Aevon, réagis d’instinct et envoie bouler Sihaya au loin d’un coup de pied qui lui brise quelques cotes. Sihaya se relève en grimacent et cache un dé à coudre dans sa bouche en faisant mine d’essuyez le sang qui gicle de celle-ci après le coup de Kragnarr. Son projet de vengeance à échouer mais il lui reste une chance de fuir, plus tard…elle doit juste garder la bouche close, et cela elle y parviendra. Afin d’évité que l’on devine cette disparition, Sihaya jette les 4 dés à coudre restant à une douleur autre que celle qui lui avais apporter les 5.
Evidement Kragnarr libère Aevon de son bâillon et celle-ci
Puis pour détourner l’attention, elle fait comprendre par geste que sa haine ne va pas contre Aevon mais contre Kragnarr. Celui-ci avec un sourire de satisfaction haute le haut de son armure et déclare satisfait qu’il va se mettre à la disposition de l’halfelin. Mais Aevon sais que Sihaya souhaite tuer rapidement les deux loviaths aussi refuse t’elle.
« De quoi vous mêlez vous Novice Daoki, vous voulez me privez de cette bénédiction chérie que la petite veux me faire ? »
« Que nenni haut bourreau, je veux simplement vous prévenir qu’elle ne vous ferra pas souffrir elle vous tuera »
« Oh mais il n’est pas question que je me fasse si délicieusement torturé les mains liés, rassurez vous. »
Il approche alors de Sihaya et lui lance un fouet.
"Va y petit fait moi ton cadeau".
Se sachant coincer et incapable de fuir à cause des garde, Sihaya abandonne sa haine et jette le fouet en refusant d’obéir. Le haut bourreau perd lentement patience et lentement de la fillette n’a d’égale que la frustration croissante du haut bourreau qui lentement s’énerve. Rien ni la douceur d’Aevon ni ses coups de fouets ne font changer d’avis la petite qui vois Kragnarr entré dans une rage qu’elle connais bien au point d’être terrifiée et de se pisser dessus. Alors que l’urine coule le long de ses jambes et mouille le pagne de la petite halfelin, Kragnarr craque et se précipite sur elle, il la saisit par une cheville et fonce pour la propulser contre un mur. Pour Sihaya c’est la fin, sa vie si courte défile devant ses yeux, les passages les plus récents étant les plus intense. Elle revoit ses calvaires, elle repensent aux méchancetés et les humiliation de l’homme en noir et les regrettes. Apres tout l’homme en noir lui a appris beaucoup de choses, il la considéré comme une personne utile et pas que comme une mendiante sans valeur… Il lui a fait découvrir le plaisir, et tant d’autre chose qu’elle ignorait. Elle met en perspectives les douleurs infligés par l’homme en noir et découvre que ce ne sont pas des douleurs sans raisons par rapport à celle des loviaths, et qu'il lui à toujours ensuite donner du plaisir. Et plus elle y réfléchit et plus elle l’aime pour ça, plus elle aime ça. Mais elle n’oublie pas non plus les bons moments auprès de gens comme dame Liaz…dame Solen et Coralys, ou encore la proposition d’apprentissage de dame Isolia qu’elle se promet de suivre. Sans oublier le disciple draconnienne, Mithrid, avec qui Sihaya s’est forgé un corps d’acier et un mentale à toute épreuve, elle doit d’ailleur retourné la voir des que son calvaires sera terminé si elle survit. Puis alors que tout ses souvenirs défilent à toute allure devant ses yeux, une grande surface grise viens brouiller sa vue et se rapprocher a une allure vertigineuse avant de la heurté de plein fouet.
Sihaya se brise comme une marionnette en heurtant le mur, elle s’écrase au sol comme une poupée désarticulé. La moelle épinière sectionner, elle perd l’usage de son corps, elle perd connaissance et manque de perdre la vie alors que du sang giclent de ses nombreuses fracture ouverte aspergeant tout autour d’elle et laissant sa marque sur le mur. Sihaya bénis alors cette découverte… une sorte de salle dans son propre esprit, une salle ou la porte est ouverte mais qui une fois enfermer dedans l’isole du monde extérieur. Elle n’en comprend pas l’usage elle s’y complet oubliant tout et ne ressentant plus rien, son esprit analytique tourne a 200% compensant la perte du contrôle du corps et Sihaya comprend comment cette pièce a put se créer. La peur, que dire la terreur même, et la souffrance trop intense ont permis a Sihaya de bâtir se refuge. La porte ne s’en ouvre que sous ses conditions mais la voila en présence d’un refuge que nul ne peux violer pense t’elle. Hélas cette découverte est trop récente pour que Sihaya en fasse bon usage et bien vite à force de soin elle est ramené dans son corps paralysé et se retrouve prise dans les affres de la douleur que lui infliges les loviaths.

Jours 10 :

Les douleurs font leur possible pour sauver la vie de Sihaya et réparer à force de soins sa moelle épinière et ses blessures les plus graves. Puis on la laisse au repos avec de quoi manger et boire pour reprendre des forces.

Jours 11 :

Apres du repos et des soins, Sihaya est de nouveau enchaîné et la douleur Aevon reçoit la visite de Shara, chienne de loviathar, alors qu’elle allait entreprendre sa séance matinale de torture sur la petite. Sihaya avance à quatre patte et tend sa laisse a Aevon qui ensuite la relâche et lui fait signe de se levé.
« Bonjour chienne, tu tombe bien… aujourd’hui tu va m’aider tu va me montrer ce que tu sais faire sur elle *en désignant Sihaya* ! Mais je te préviens son visage est à moi ! »
« *Shara jubile et a le regard brillant de convoitise en observant la petite halfelin.* Oui douleur, comme il vous plaira. »
Shara se munis d’un citron et d’une lame. Puis elle génère dans sa main une aura d’énergie ténébreuse et l’approche de la petite enchaînée en lui demandant de toucher sa main. Naturellement Sihaya, qui craint la douleur, s’y refuse. Aussitôt Shara entaille le corps de l’halfelin et verse des gouttes de citron dans la plaie. Sihaya hurle et se débat sous la douleur vivace de l’acide citrique mangeant ses chaires à vifs. Plusieurs fois Shara invite Sihaya a touché la main mais Sihaya ne veux pas donner le plaisir de se faire souffrir elle-même, aussi elle lutte contre la douleur et s’y refuse. Shara change alors de méthode. Elle touche une fois Sihaya de la paume lui faisant traverser dans le corps une aura de douleur pure mais manifestement moins forte que le citron dans les plaies. Puis elle remet sa main près de celle de Sihaya.
« Touche ma main ou je t’entaille encore une fois ! »
Sihaya n’a plus le choix elle obéis et hurle sous les décharges d’énergie. Par trois fois le choix lui est donné et par trois fois Sihaya le prend préférant le moindre des maux. Shara libère alors une des mains de Sihaya et lui tend la dague.
« Mutile toi ! »
Une erreur fatale qui manque de coûter la vie à Aevon qui observait tout. Sihaya laissant surgir sa haine, qu’elle peut désormais utilisé à volonté, lance la dague en direction du cœur de la douleur, mais la chienne prévoyante avait anticipé le geste. Au lieu de se planter dans sa cible la lame pénètre les chaires du flanc de Shara qui s’interpose vivement.
Shara dégage la lame et viens balafré le corps menus et amaigris de l’halfelin, d’un bras a l’autre en passant par la poitrine avant d’y verser du citron. Puis affaiblis par le sang qui s’écoule de sa blessure, elle est alors conduite auprès des douleurs à l’écart pour y être soigné.

« Stupide chienne ! Tu as eut ta chance je vais devoir m’y mettre moi-même ! »Le première acte d’Aevon est de cautérisé la plaie de la petite halfelin. Puis munis d’une sorte de petite lame aiguiser elle approche de la petite Sihaya terrifiée. Avec une lenteur atroce, elle incise les contours des lèvres de Sihaya qui ouvre des yeux rond de souffrance et gémis mais n’ose pas hurler de peur de s’arracher les lèvres. Puis avec une tenaille, Aevon arrache les lèvres de l’halfelin qui s’évanouis espérant trouver refuge dans la pièce secrète de son esprit mais en vain alors que ses dents et ses gencives deviennent totalement apparentes. A grand renfort de soin Sihaya est ramené a elle pour y subir la suite des tortures.
Munis d’une lime, la douleur entreprend de cisailler le cartilage du nez de l’halfelin, une véritable boucherie, du sang et de la chair vole en tout sens alors que Sihaya est maintenue consciente artificiellement. Alors Que la douleur cisaille déjà la moitié du nez, Sihaya parviens enfin a ouvrir son abris et tombe en catatonie des qu’elle entre a l’intérieur de cette salle dont elle referme la porte sur elle. Frustrée de ne plus entendre ni gémissement ni de voir aucune réaction Aevon termine son travail en grognant, place le nez dans le formols en même temps que les lèvres de l’halfelin et s’assure par quelques soins mineurs que Sihaya survivra. Mais dans son état il n’y a plus rien à tiré de la petite. Elle part donc retourner sa frustration contre la chienne Shara.

Jours 12 :

Le douzième jour est réservé à la réparation du corps de l’halfelin, son esprit étant apparemment inaccessible. Sihaya est soigné mais les marques de son passage chez les loviaths sont volontairement laissées. Bien que parfaitement facile a enlevé on les lui laisse en souvenir. Comme promis l’homme en noir viens la chercher au soir et discute quelque instant avec les douleurs avant de reprendre Sihaya comme un paquet sous le bras. Une fois retourner dans son repère, il fait différent essaie pour comprendre de quoi souffre Sihaya. Puis avec un grand sourire ayant compris, il pénètre dans son esprit. (Nous ne détaillerons pas la visite mentale et de ce qui en a résulté, juste sachez que Sihaya sort de sa catatonie peu après.)

Pour Sihaya, l’épreuve n’a fait que renforcer sa détermination. Une volonté devenue plus dure et un refuge ou s’abrité. La haine est une arme, elle s’en servira désormais pour les causes qui lui tiennent à cœur. Un regard neuf sur L’homme en noir, qu’elle peut désormais appeler maître fièrement en comprenant qu’il est juste mais sévère, qu’il pense à elle-même s’il l’humilie et la fait souffrir.
Et surtout une nouvelle vision de la douleur : Soit toujours plus rapide que celui qui veux te donner de la douleur, S’il accélère alors surpasse le encore et toujours et si tu ne peux pas le battre de vitesse… Alors tue le avant qu’il ne te blesse.

Leçon 5 : L’espoir où comment rester libre dans son cœur tout en étant loyal dans sa tête.

Durant de nombreux jours Sihaya se remet, étrangement calme depuis son retour, elle médite. Sa haine couve toujours dans son regard mais désormais elle est auprès de son maître, elle peut se détendre. Voila qu’un beau matin elle reçoit l’ordre de se rendre à Luskan pour enquêter sur une affaire très récemment parvenue aux Oreilles de l’homme en noir. Elle s’y rend donc, s’acquitte de sa tache rapidement puisque les événements ne sont pas un secret, et décide de profiter de son temps libre pour revoir son amie Liaz. D’autant plus que Liaz possède des affaires à elle. Alarmé par ce qui semble être une disparition, Sihaya remue ciel et terre et commence ses recherches au dernier endroit ou Liaz a été aperçut : le nord de la foret de Luskan. Un autre indice est que les « cyriquiquistes » s’intéressait beaucoup à Liaz… Alors Sihaya décide de se rendre compte par elle-même en cherchant à les contacter malgré les conseils de n’en rien faire.
Ce qui devait arriver, arriva. Sihaya est enlevé à la faveur des chemins sombre de la foret…inconsciente elle se réveille alors pour découvrir avec horreur qu’elle est au mains des Loviaths de nouveau.

Le haut bourreau s’approche de Sihaya Ligoté et dégaine sa lame :
« Que fais tu ici de nouveau sous être ! »
« Je… je...je sais pas, je cherchais madame Liaz et j’ai perdue connaissance *terrifiée* »
« Dit nous comment tu es arrivée la »
Sihaya raconte alors qu’elle a été envoyée en mission pour son maître et qu’après avoir remplis sa mission elle s’est mise a la recherche d’une amie, chose qui fait bien rire le loviath.
« Alors dit nous ! Quel est le résultat de ta mission ? »
« Non ! *fièrement malgré la terreur* »
« Tu refuse ? Tu sais ce qui t’attend si tu refuse non ? »
« Vous pouvez me tuer mais je ne dirais cela qu’à mon maître »
Le haut bourreau s’avance d’un air menaçant en dégainant sa lame et fait mine de l’abattre sur Sihaya, qui se protége misérablement de ses bras en s’urinant dessus.
« Bien très bien, tu préfère la mort que de trahir ton maître tu es loyal…allez me chercher son maître *à des douleurs*.»
Le maître de Sihaya arrive alors escorter et apprend l’aventure de Sihaya et comment elle a été acheter par le temple. Il fait alors une chose a laquelle Sihaya ne s’attendais pas, il la laisse au temple et déclare ne plus être son maître. Seulement en privée il lui dit qu’il n’a pas le choix il doit obéir à ses supérieurs mais que si elle le désire toujours Sihaya pourra revenir auprès de lui.

Apres moult tentatives de suicide pour évité la souffrance, les loviaths décident de confié l’halfelin à leur chienne en titre : Shara. Celle-ci doit l’éduqué et faire de Sihaya une chienne bien docile…mission impossible comme le remarque plus tard Shara.
Pourtant Sihaya est intriguée. Shara au contraire de ses congénère ne montre pas signe de vouloir la maltraité pour le plaisir, alors Sihaya qui se dit que si elle fuit maître Zarak sera sûrement châtié ainsi que la douce Shara…elle choisit alors de passer un engagement avec Shara qui désespère.

Shara accepte pensant sans doute que si elle gagne du temps elle finira par découvrir le moyen de convertir Sihaya. Elle lui apporte donc tout ce dont Sihaya a besoin dans une chambre d’auberge. Un alambique, de la teinture couleur bleu de Prusse, un citron, du sucre, du tissu et un produit imperméabilisant (à l’époque c’est une graisse je crois enfin bon), une pince, des ciseaux.
Sihaya installe l’alambique, dépose dans le premier récipient la teinture bleue de prusse. Puis elle essaye de se remémorer l’expérience qu’elle a vue de l’alchimiste quand elle le surveillait par une fenêtre de son laboratoire avant que celui-ci bêtement se fasse tuer par son expérience et lui permette ainsi de venir le dépouiller. Elle découpe deux foulards dans le tissu et en tend un à Shara pour ensuite en mettre un sur son nez. Puis elle découpe un minuscule carré de tissu qu’elle imperméabilise. Ensuite Sihaya verse du jus de citron sur le bleu de prusse. La réaction est immédiate sous l’action de l’acide citrique sur la teinture à base de Cyanure de fer, une effervescence se produit et un gaz, se libère dans les conduits de l’alambique. En passant dans les tuyau refroidit par de l’eau froide, le gaz redeviens liquide et s’écoule dans l’autre récipient dans le fond duquel Sihaya a déposé le sucre. Le sucre s’imbibe du cyanure liquide. La réaction prend des heures alors que Sihaya et Shara sorte de la pièce an laissant les aérations grandes ouvertes. Puis Sihaya saisit une Molaire avec la pince et ordonne à Shara de cogné de toutes ses forces. D’abord hésitante, Shara finit par accepter et de leur deux force combinée découle la chute de la petite molaire de Sihaya. Sihaya entreprend alors de vider l’intérieur de la dent et refuse le soin de Shara. Shara comprend enfin ce que fait la petite mais ne s’y oppose pas. Versant le sucre dans le tissu imperméable, Sihaya plie ensuite celui-ci et la glisse dans la molaire de tel sorte que si la molaire est retirée le tissu se déplie faisant tomber dans la bouche le sucre cyanuré.
Sihaya replace la molaire et accepte le soin de Shara. Puis elle passe le deal :
« Je ne me suiciderais pas et serais pleinement obéissante jusqu'à ce que tes supérieurs reconnaissent ton talent et te confie d’autre dressage. Mais si l’on me fait souffrir pour le simple plaisir de souffrir et pas pour une raison valable alors je ferrais usage de cette dent. »

Ainsi Sihaya accepta de supporter toute les Bassesses mais dans son esprit elle n’oubliait pas la dent… la dent…la dent… (Clin d’œil à un de mes films préféré : Dune). Jamais plus Sihaya ne cederait psychologiquement à moins bien sur de le vouloir au fond d'elle meme comme c'etait devenue le cas pour l'homme en noir, un desir viscerale liés à son Maitre.

Leçon 6 : L’esprit doit se Focalisé sur l’objectif … L’heure est aux armes !

Sihaya après moult péripéties, obtiens le droit d’aller poursuivre son entraînement avec Zarak pour la durée d’une journée. Shara, la nouvelle novice du temple, qui éduque Sihaya l’accompagne.
Naturellement son maître connais le liens particulier qui semble rattaché Shara à Sihaya aussi décide t’il d’en jouer pour vérifier ce qu’il adviens de la loyauté de son apprentie.
« Sihaya étudie bien ces différents pièges, et mémorise avec attention les différents composants. »
Sihaya s’exécute et observe les pièges afin d’en déterminer la nature, le mécanisme et les pièces. Puis L'homme en noir en choisis un sur les trois : un piège sonique, le plus dangereux des trois.
« Shara voulez vous bien m’aider dans cette exercice ? »La novice s’en savoir à quoi s’attendre. Le maitre de Sihaya ligote alors son apprentie à un arbre et lui bande les yeux.
« Voila Sihaya. Nous allons travailler ta mémoire et ta concentration. Tu vas guider Shara pour qu’elle monte le piège et que celui-ci soit fonctionnel. »

Sihaya sur d’elle-même entreprend de se remémoré les composants du piège sonique. Puis elle commence a expliqué à Shara ce qu’elle doit faire.
« Shara, tu dois commencer par creusé un trou d ‘une profondeur de 5 centimètres dans la terre, en forme de carré de la dimension d’un cadre de bois que tu va monter. Assure toi que les bord du cadre de bois ont l’un en face de l’autre les deux trou de la fixation du balancier. »
Shara s’exécute très facilement aussi L'homme en noir décide t’il de compliqué les choses. Il bande aussi les yeux de Shara et signifie à Sihaya, lui mettant la pression que Shara risque sa vie etc… etc… etc... Sihaya s’applique.
« Une fois le cadre fait tu le glisse dans le trou… puis tu insère la barre qui fait la bascule pour la plaque quand on marchera dessus. Normalement la plaque devrais s’affaisser et tu as plus qu’à ouvrir ce qui ressemble maintenant a une trappe. »
« Décidément Sihaya c’est trop facile augmentons la difficulté. »
Le maitre commence alors à exciter la pauvre Sihaya ligoté qui ne peux que gémir sous les délicates attentions, elle perd peu à peu sa concentration. Puis Le maitre annonce à Shara d’un air horrifié que le piège est enclenché. Il offre alors un choix.
« Shara si tu bouge tu risque de mourir, mais je peux te sauver a condition que tu châtie durement Sihaya si tu accepte… et toi Sihaya si tu veux que je sauve Shara tu dit le auquel cas tu devra torturé Shara et lui faire la même chose qu’elle t’a fait… ou vous pouvez prier et continuer en espérant que cela n’explose pas. »
« Oui, Oui maître »
« J’ai bien entendue Sihaya tu veux que je sauve Shara ? »
« *après avoir réfléchis Sihaya se rend compte que le déclencheur n’a pas été mis* oh non maître je disais oui, oui pour poursuivre l’expérience »
Sihaya reprend donc ne gémissant avec de plus en plus de mal à se concentré en raison du feu intérieur qui la dévore. Shara lui parle pour qu’elle reste l’esprit fixé sur l’objectif
« Tu place le ballon que tu gonfle sous la trappe tu garde le tuyau fermer avec le clapet. Plus tu le places loin de l’axe de la trappe et plus le piège est sensible au poids. »
Malgré tout ses efforts Sihaya ne parviens plus a se concentré et s’abandonne dans la jouissance que son Maitre lui impose. Shara décide de finir le piège seul. Et y parviens mais…

Une explosion retentis, L'homme en noir ayant usé de ses dons de magie pour invoquer une boule de feu sans formuler le moindre mot. Sihaya sursaute et ne se laisse pas prendre. En effet il s’agit d’un piège sonique, le vent passant dans les tuyaux souffle dans une sorte de caisse qui émet un son si fort que la victime perd connaissance.
« Sihaya je regrette Shara a échoué…ou devrais je dire : Tu as échoué ! »
« Non maître je ne vous crois pas, c’était un piège de sons pas de feu ! Shara ! Shara ? »
Shara se tait et se déplace dans un cône de silence pour se cacher afin que Sihaya ignore tout, elle obéis aux ordres muets de Du maitre de l'halfeline qui finit par persuader Sihaya de son erreur avec pour seul réconfort :
« Sihaya, tu sais ou est ton échec ? Ton échec est dans ta vanité…tu t’es crue plus forte que tout le monde et regarde ou cela t’a mené ! Shara est morte. Tu n’a pas «été capable de te concentré ! »
Sihaya sanglote alors que son maître la détache et ajoute pour enfoncer le clou.
« Mais après tout sa mort est un bien pour toi, tu est désormais libre de tout liens avec les Loviaths. »

Sihaya désire de prendre la fuite, elle se réfugie à Termalaine la seule cité de dix cités ou les Loviaths ne pourront pas la reprendre et ou elle sais pour trouver de l’aide pour apprendre à se venger : Diva. Qui lui a promis de l’aide.

Leçon 7 : Première arme et entraînement de base.

Une fois à Termalaine, Sihaya se met aussitôt en quête de la dénommée Diva. Elle cherche dans les rues, à la taverne mais ne la trouve pas. Alors Sihaya qui ne peux guère attendre se décide à commencer son entraînement seule… bien sur elle ne connais rien aux armes mais cela ne doit pas être bien difficile. Sa première idée est de trouvé une arme grande et imposante, une arme si grande qu’elle pourfendra ses ennemis. Une fois chez le forgeron de la bourgade. Munis de l’or que Shara avais caché dans la doublure de son vêtement offert, Sihaya essaye toutes les armes les plus grandes qu’elle trouve mais hélas toute son bien trop lourde pour elle. Le forgeron lui suggère alors une arme plus légère comme un poignard ou une épée courte. Sihaya considère la question et observe le choix des armes dans la catégorie mini. Elle décide de sortir et de revenir plus tard pour faire son choix. En se baladant elle observe un pêcheur débutant qui lance sa canne munis d’un crochet au bout. Intrigué elle l’observe quelque minutes et ouvre des yeux émerveillé quand l’hameçon mal lancer viens se planter dans un arbre derrière le pêcheur. Un grand sourire illumine le visage de Sihaya, elle a trouvé l’arme qu’elle désire...
Se souvenant parfaitement de ses tourments dans la chapelle de Loviathar, Sihaya n’a pas oublié les fouets et quelle vengeance plus douce que celle de retourner les armes de ses ennemis contre eux ? Elle se rend chez le tanneur et lui commande une Fouet ceinture d’environs deux mètres de long en cuir, avec un manche à un bout et un anneau de métal à l’autre. Elle l’enroule plusieurs fois autour de sa taille passant le manche dans la boucle pour la maintenir fermer. L’illusion est parfaite et l’arme est réellement une ceinture ainsi placé. Elle se rend ensuite chez le forgeron et observe les armes qui pourraient le mieux correspondre à son choix. Elle découvre un Kama, un bâton avec une lame en équerre à son extrémité. Elle sourit et désigne le Kama en exigeant un Kama à sa taille avec une petite innovation. L’arme qu’elle obtiens alors est un bâton avec une lame rentré dans une tranché dans le bois, quand elle abaisse l’arme vivement, la lame jaillis et se bloque par un ingénieux système de crochet pour devenir un kama. De plus au bout du manche elle fait placer crochet. Si bien que lorsqu’elle déroule le fouet ceinture elle peut en fixé le bout au Kama et le transformer en hameçon.

Désormais armée, Sihaya se met en quête d’un maître d’arme. Elle part en trouver de dame Diva qui a accepté de l’aider. Elle rencontre plusieurs personnes dont la conseillère de la marquise ainsi que Lyalin la sharessienne, et d’autre. Toutes sont prête à l’aidé en apprenant l’histoire de la fuite de Sihaya du clergé de Loviathar. Malheureusement Diva n’est pas revenue dans son village depuis longtemps aussi l’on conseille à la petite de trouver quelqu’un d’autre ou d’aller à Luskan. Pour Sihaya ce n’est pas possible elle a déjà été reprise à Luskan alors elle ne quittera pas Termalaine. Dépitée Sihaya se décide à attendre diva tout en commençant son entraînement. En premier lieu elle tente de passer rapidement le crochet dans la boucle du fouet. L’entraînement est basique mais Sihaya a bien conscience que sans la base elle aura beaucoup de mal à manier son arme novatrice. Pour se discipliner elle décide qu’elle portera des haillons et s’entraînera dans le froid. Elle n’a pas oublier les leçons de Mithrid dans le volcan et décide que même si elle entraîne son habileté elle doit aussi entraîner sa résistance. Grelottant elle s’installe en position de lotus dans la neige et commence le mouvement au demeurant facile de glisser un crochet dans un anneau. Les doigts gourds, le corps ankylosé et glacé, Sihaya tente de nombreux essais sans succès, elle tremble de trop et à la vue qui se brouille à cause du froid. Quand elle ne sent plus son corps elle s’abrite dans l’étable ou elle a pris refuge pour se caché sous un tas de fumier bien chaud et tant pis pour les odeurs. Chaque matin le rituel est le même, pour ne pas s’attiré d’ennuis Sihaya se plonge dans la rivière afin de chasser les odeurs, ensuite elle va mendié sa nourriture puis des qu’elle a quelque chose dans le ventre elle retourne à l’entraînement. Elle réalise inlassablement le mouvement d’insertion du crochet l’idéal est pour elle qu’elle réalise son geste sans le regarder et dans un temps infiniment court. Lorsqu’elle parvient enfin après quelques jours à réussir 100% de ses tentatives de la main droite, elle exerce sa main gauche. A la fin le mouvement est devenue naturelle et instinctif, de plus le froid ne la gène plus. Il est temps de passer a la deuxième étape, faire tourné le fouet au dessus de sa tête pour le lancer et planter le kama. La conseillère apprend par ses gardes, qu’elle a assigné à la surveillance de Sihaya depuis qu’elle sait que celle-ci vient du clergé de Loviathar, que Sihaya vis comme une mendiante et s’entraîne sans relâche, la haine au cœur. Elle décide de continuer la surveillance et d’offrir l’hospitalité à la petite. Mais la petite refuse et reprend l’entraînement sans demandé rien à personne autre que de quoi mangé le matin.

Désormais Sihaya, qui attend toujours des nouvelles de Diva, Entreprend l’apprentissage du lancer de son fouet… Ce n’est pas une chose aisée et après une journée d’effort infructueux, Sihaya se rend auprès du pêcheur qu’elle a vu sur le lac et lui demande des cours pour apprendre à pêcher et à lancer la ligne. Souriant devant une bouille si mignonne le pêcheur accepte et guide ses gestes. Sihaya chevronné, prend des cours intensif et s’exerce inlassablement parlant très peu d’elle à l’homme et écoutant beaucoup. Elle réalise que le mouvement de lancer est axes non sur la force du bras mais sur un mouvement de rotation et que plus la rotation est rapide et fluide et plus la ligne se propulse loin, à la manière d’un lance-pierre. Apres quelques jours à ses cotés Sihaya maîtrise le lancer de ligne de pêche et décide donc de remercier le pêcheur pour ensuite mettre en application son entraînement sur son fouet. Les choses sont des lors plus faciles pour elle et elle parvient à lancer l’arme sans la moindre hésitation. Hélas planter la lame nécessite un entraînement qu’elle ne peut découvrir par elle-même… Et toujours aucune trace de Diva. C’est alors, pendant l’un de ses entraînements que la garde de Termalaine vient lui annoncer qu’une dame souhaite lui parler, une Loviath du nom de Shara.
Muette de surprise, Sihaya viens trouver Shara qu’elle croyait morte et se jette à son cou pour l’embrasser. Shara vivante, Sihaya est de nouveau liés aux Loviaths mais qu’importe, elle ne lâchera jamais une amie même si cela doit lui coûter la vie. C’est d’ailleurs ce qui va sûrement arrivée car Shara est venue ramené Sihaya auprès des douleurs du temple de Lorgol pour y répondre d’une agression contre deux prêtresses du temple : Aevon et Shara elle-même avant sa fuite à Termalaine. Tristement, Sihaya se résout, elle va prévenir Lyalin des raisons de son retour chez les Loviaths, Sihaya doit protéger son amie Shara qui risque gros si Sihaya ne rentre pas avec elle et aussi ne créer aucun ennuis aux gentils habitants de Termalaine.
Une fois Arrivée non pas à Lorgol mais Targos, Shara entreprend de former Sihaya au maniement de son arme, qui mieux qu'une Loviath pour enseigné le maniement de cette arme apres tout. Etrange qu’une Loviaths apprenne a quelqu’un a utilisé l’arme qui servira à détruire son culte...Bien sur Shara fait preuve d’un sadisme des plus déconcertant en donnant sa leçon à Sihaya. Nue devant des témoins, alors que cette situation la gêne, Sihaya doit se concentré pour lancer son fouet et réalisé un mouvement de poignet vers l’arrière pour que la lame au bout se plante derrière une balustrade en bois. Chaque essai lui vaut un coup de fouet sur le corps. Sihaya gémissant et serrant les dent parviens à force d’entraînement et de patience à planter la lame en s’exerçant avec la main gauche puis la main droite. Shara complique alors l’épreuve En exigeant de Sihaya cette fois un mouvement de l’épaule et du poignet pour que la lame se plante sur le dessus de la balustrade. La encore Sihaya subit les coups de ses échecs, la honte d’être ainsi exhibé et les douleurs de l’exercices. Elle n’y parvient que par une volonté renforcée depuis le début de ses entraînements.

Leçon 8 : La belle et la Bête. L’arme vivante.

Sihaya, qui maîtrise assez bien son arme, reçoit la visite De son maître : l’homme en noir, Alors qu’elle s’entraîne dans la neige dans une foret enneigé des abords de Targos. Celui-ci assiste à l’entraînement de Sihaya avec un regard approbateur devant la dextérité de cette dernière.
« Dit moi Sihaya, maîtrise tu ton arme maintenant ? »
« Oui maître, je ne suis pas encore parfaite mais beaucoup mieux maître. »
« Fort bien tu va pouvoir me montrer cela en combattant un adversaire à ton niveau »
« Bien maître *Sihaya se prépare au combat* »
L’homme en noir psalmodie des paroles en langue étrange et un loup sanguinaire se matérialise à ses cotés. D’abord horrifié par le monstre, Sihaya se ressaisit et se met en garde.
« Sihaya fait moi voir de quoi tu es capable maintenant »

La bête est intelligente et n’approche pas de Sihaya qui fait tourner son fouet, elle se contente de lui tourner autour attendant une ouverture. Les deux adversaires se jauge. Sihaya lance son fouet et d’un mouvement du poignet rabat l’arme sur la gauche la ou elle devine que l’animal va esquiver… Le premier sang est pour elle et le Kama blesse la bête au flanc. Sihaya continue de faire tourner son fouet, évitant les défauts du sol neigeux. La bête bave de frustration et regarde sa proie avec un regard sanguinaire. D’un mouvement brusque du corps elle s’élance pour prendre Sihaya par revers sur la gauche. Sihaya réalise la défense que Shara lui a appris faisant tourner son fouet autour d’elle comme un bouclier de cuir et de lame, hélas la bête est trop vive et parviens a griffé profondément le bras gauche de l’halfeline qui néanmoins parviens à ajouter une estafilade sur le museau de la bête…
Le cercle de défense de Sihaya semble parfait et le loup garde ses distances. Sihaya qui perd du sang et a l’esprit qui tourne alors que la bête plus forte et plus énergique ne semble pas même affecté de ses deux blessures. Les deux ennemis se font face. Sihaya maintiens la défense apprise tout en préparant son attaque. La sueur coule de son échine, des frissons d’adrénaline parcourt son corps. Un Legé vertige la prend. C’est le moment que choisit le fauve pour bondir au dessus de l’halfeline, une attaque par le haut... Sihaya sais bien que le point faible de la défense est la mais elle a appris a contré une attaque de ce genre. Elle détend son bras vers le haut et propulse le fouet droit vers le ciel, Sa faiblesse et son niveau de maîtrise ne lui permette hélas pas d’atteindre son but et le Canidés lui retombe dessus après avoir simplement eut quelques poil arrachés. Ecrasant l’halfeline de tout son poids il la lacère à coup de griffes et de crocs. L’arme de Sihaya à cette distance lui devient inutile. Fort heureusement Le Maître de la du loup sanguinaire le révoque après quelques instant laissant le temps au monstre de lacéré le corps de l’halfeline.

« Et bien Sihaya ma pauvre, cette leçon t’a-t-elle appris quelque chose ? »
« *gémissant de douleur et lacéré de toute par, le souffle coupé* ah…ah… mon…mon arme…n’est…pas adapté… »
« C’est exacte Sihaya, tu te doit de toujours être prête à toute situation. Ton arme est excellente pour maintenir l’adversaire à une distance respectable mais si celui-ci parviens au contact tu es perdus. De même s’il reste à distance tu ne peux rien contre lui. »
« O…oui…oui maître »
L’homme en noir bande les plaies de Sihaya et lui fait boire quelques potions restauratrices. Il lui dit alors de se reposé et de chercher un moyen pour palier à ce handicape et que la prochaine leçon sera une leçon plus spirituel. Sihaya le regarde partir en se remettant doucement de ses blessures. Naturellement Shara viens ensuite continué son entraînement au fouet.

Des que Sihaya a un instant de libre elle réfléchis à son combat contre le loup. Tête basse, elle revoit les passes d’arme. Bien sur le Canidé avait toute les chance de la vaincre, plus vif, plus vigoureux et plus sournois qu’elle. Sihaya relève la tête avec un grand sourire. Evidement l’animal avais tout les chance de la battre son pelage permet de limité les blessures et ses griffes et crocs sont de redoutable armes une fois au corps à corps, Mais en matière de sournoiserie, Sihaya lui est bien supérieur. Elle se rend chez un tanneur et un armurier. Elle commande une tenue robuste et légère, qui ne gène en rien les mouvements mais la protège qu partie les plus sensible de son corps Elle s’achète une ceinture allant de l’épaule à la taille munis d’un nombre de poche innombrable dans lesquels elle fourre des dizaine d’articles étrange : Petites fioles contenant un gaz verdâtre, des clous, des étoiles de lancer, des petits boule fumigène, un ou deux poisons qu’elle sais fabriqué comme l’arsenic et le cyanure etc.… Au coté d’un forgerons, elle se fabrique une paire de griffes métallique qu’elle inclus dans des gants. Une sorte de molette et un ressort permette de les faire sortir ou rentré à volonté. Auprès d’un pêcheur elle achète un morceau de ligne de pêche, puis elle le baigne dans du fer en fusion transformant son fil quasi invisible en fils quasi invisible et indestructible, chez les teinturier elle le peint au couleur de sa chevelure avant de le glisser dans ses cheveux pour l’y faire disparaître. Des petites dagues a la pointe de ses bottines jaillissant quand elle appuis d’une certaine façon sur les talons. Et pour couronner le tout elle facture cela sur le compte du temple de Loviathar, exhibant le collier de servage qu’elle porte comme preuve de son appartenance.
C’est ainsi équipé, également de sa ceinture fouet et de son Kama dans l’étui à la manche droite, que désormais Sihaya se déplace. Les seules armes évidentes étant sa ceinture à poches, Sihaya ne se décide à la prendre que si elle doit agir. Mais dans un tel cas elle doit néanmoins garder une ou deux possibilités de fuites… Elle se rend de nouveau chez le teinturier et fixe un parchemin sur son ventre avec deux lanières en fil de pêche. Puis elle maquille le tout à la couleur de sa peau jusqu'à ce qu’il épouse son corps en couleur et en forme. A moins de frotter son ventre, on ne peut plus deviner la présence de l’accessoire. Sihaya est devenue une arme vivante, et quand elle a du temps libre, elle s’exerce, imaginant les pires situations, à se saisir de ses armes et accessoire au moment adéquate et avec une dextérité confondante.

Leçon 9 : Identifier les illusions

Alors que Sihaya attend toujours d’être mise en face des tourmenteurs qui se chargeront de son élimination pour avoir agresser 2 prêtresses, L’homme en noir continue l’entraînement de son apprentie. Il viens la trouvé au levé du lit, dans la cage qu’on lui a assigné à l’écurie, alors qu’elle est nue comme un vers.
« Bonjour Sihaya, avant de commencer j’aimerais savoir si tu sais pourquoi je te forme ? »
« Pour vous servir maître ? »
« La réponse est plaisante mais non pas exactement, je veux faire de toi un esprit libre capable d’initiative pour être mon ombre, effectué les taches que la magie ne me permet pas de faire. »
« Ah bon maître ? Mais que ne pouvez vous pas faire avec de la magie ? »
« Par exemple la magie est inefficace contre certain individu que je désire éliminé, ou encore pour pénétré dans des lieux souvent protégé efficacement contre les arcane. Et c’est la que tu interviendras. De plus lorsque je lance un sort je suis souvent à la merci d’une attaque, En tant que mon ombre tu devra souvent rester près de moi et prévenir ce genre d’attaque. Et parfois je t’enverrais en mission ce qui nécessitera de toi d’agir librement avec juste comme obligation de la réussir. »
« Je comprend maître, Est-ce que cela veux dire qu’une fois que vous jugerez mon entraînement suffisant vous ne vous occuperez plus de moi ? »
« Sihaya, mon insatiable Sihaya *en faisant jouer une paire de menottes avec un sourire enjôleur* ne soit pas si sure. *puis se ressaisissant* Mais l’heure n’est pas aux gâteries d’abord ta leçon
Au cours de tes mission tu pourrais être confronté à la magie, et l’une des base de la magie est la tromperie, l’illusion. Tu va devoir apprendre à la contré voir même à en faire usage.
Alors dit moi : Qu’est ce que l’illusion selon toi ? »

Sihaya entreprend de réciter par cœur ce qu’elle a lut dans un ouvrage, en effet Sihaya depuis qu’elle sait lire dévore tout les texte qu’elle trouve. Elle lui parle alors des trois illusions qui existe d’après l’ouvrage : l’illusion étant ce qui n’existe pas mais est crée par une tierce personne, l’hallucination étant une création personnel de l’esprit et le mirage une déformation mental d’un phénomène extérieur.
« Ce n’est pas tout à fait cela Sihaya. L’illusion c’est caché ce qui est ou révéler ce qui n’est pas. »
« Il y a donc deux illusions maître. L’illusion directe qui affecte la victime comme lorsque vous influencer son esprit pour voir des choses, et l’illusion indirecte quand vous influencer les objets autours pour faire croire quelque chose à quelqu’un ? »
Le maître de l’halfeline projette alors une boule d’énergie négative sur l’abdomen de Sihaya qui suffoque et hurle de douleur.
« Tu es bien réductrice Sihaya c’est un peu plus complexe que cela. Tu as trois grandes catégories d’illusion. La première est d’entrée dans ton esprit et de le manipuler pour que tu ne perçois par exemple plus les murs de cette pièce. Cite moi les avantages et inconvénient. »
« *se crispant de peur de se trompé* Un esprit fort repoussera l’illusion et ne se ferra pas prendre, en revanche les opportunité sont illimité puisque vous pouvez modelé l’illusion a votre guise. »
L’homme en noir écoute et attend une sphère d’énergie magique en main, Sihaya se détend ne le voyant pas la lancer, c’est l’instant que choisit le maître pour punir l’apprentie. Sihaya se tord de douleur et hurle en tombant a genoux.
« Tu as oublié le défaut majeur ! Cette technique ne peut fonctionner sur un nombre étendu de personne puisqu’elle implique de modifier l’esprit de chacun ! »

« Bien passons à la suivante *après avoir laisser le temps à l’apprentie de se reprendre*. La deuxième méthode consiste à agir sur l’environnement par exemple je dissimule tout les murs de cette pièce. Qu’est ce que tu en conclus ? »Sihaya se relève en sanglotant. Elle refuse de répondre prétextant qu’elle ne connais rien aux Bizarreries dont parle son maître et que forcement elle va se tromper et être châtié. Celui-ci lui rétorque que pour apprendre il faut faire des erreurs et souffrir, il la menace de lui faire découvrir des souffrances bien plus grande encore si elle ne répond pas. Sihaya cède en tremblant.
« La deuxième illusion influence un nombre limité de sens, elle affecte toute les personnes autour mais si l’un des sens découvre la supercherie alors l’illusion tombe. De plus le lanceur est lui aussi affecté par l’illusion son seul avantage étant qu’il sais sa nature et son effet. »
« Tu n’as rien oublié Sihaya ? *préparant une sphère d’énergie* »
Sihaya tremble et affirme que non. Son maître sourit et fait mine de lancer l’énergie mais il n’en fait rien et viens flatter le corps nu de son élève en la félicitant. La leçon se poursuit ainsi plusieurs heures durant Jusqu'à ce que Sihaya sache repérer les différentes illusions…

Leçon 10 : les liens de vie et l’élévation de l’âme.

Epuisée par tous ses entraînements constants, Sihaya comprend qu’on l’harasse de taches pour éviter sa fuite. Il ne faut pas être devin pour comprendre cela, chaque fois qu’un temps libre se dégage elle est aussitôt sollicitée par un professeur. Le temps passe à si vive allure qu’elle en oublie presque le couperet au dessus de sa tête. Le jour où deux douleurs viennent la chercher au lieu de Shara ou de l’homme en noir, Sihaya est fortement surpris. Elle les suit bon gré mal gré, et se retrouve emmené dans la taverne de Targos, vidé de tout étrangers pour la circonstance. Gisant au sol de la taverne se trouve Shara nue, Mistani et Aevon dans leur apparat de prêtresse injurie et insulte la pauvre femme. Le motif de cette déchéance est un amour que Shara voue à quelqu’un de petit, d’esclave et de désobéissant qui viens précisément de pénétrer dans la pièce. Inutile de développé ce qui s’est produit pour la pauvre Shara ou Sihaya dans cette pièce, ce qu’il conviens de savoir c’est que constatant que sa présence détruit la vie que Shara s’était forgé, Sihaya prend le partie de quitter sa vie. Elle simule une obéissance aveugle au Loviaths en se coupant la langue elle-même et en la faisant mangé à une Shara affaiblit et sur le seuil de l’inconscience, pour l’écœurer et tenter de chasser son amour par cet acte ignoble. Puis Sihaya s’éloigne sous les regard admiratif des deux prêtresse qui ne songe même pas à l’arrêté, envisageant même de faire de l’halfeline une novice. Sihaya une fois hors de la taverne fuit les 10 cités. Seulement pour passer, il lui faut franchir des territoires hostiles avec peu de nourriture, pas ou peu de vêtement et à ses trousses le fouet des Loviaths. Elle choisit pour fuir l’itinéraire le moins probable s’éloignant de toute civilisation pour faire un détour. Elle survie en tuant un loups pour s’en faire une peau et manger, elle trouve refuge entre deux cailloux, parfois dans une grotte. Elle avance péniblement mais prend plusieurs jours d’avance sur les poursuivants qui la harcèle et sont orienté sur les innombrables fausses pistes que Sihaya laisse derrière elle : Empruntes à reculons, changement de directions constant, passage de rivière, bout d’étoffe lancer au loin etc… etc… etc. Alors qu’elle s’imagine tiré d’affaire une fois le plus haut pic des chaînes des 10 cités franchit, une tempête de neige glacée à raison de sa volonté et elle s’effondre au cœur d’un bois sur les versant de la plus haute montagne du Val de bise…

Lorsqu’elle reprend enfin connaissance, Sihaya est dans un lit douillet quoi que rustique à l’abris du vent dans une cabane avec un jolie feu dans un âtre. Au dessus de l’âtre cuit une soupe appétissante qu’un homme surveille en jouant d’une flutte de pan.
« Oh pardon mon enfant, je t’ai réveillé ? *en tournant la tête vers l’halfeline* »
*Sihaya fait non de la tête et essaye de se levé*
« Non, non reste te reposé et boit cette soupe bien chaude qui va être bientôt prête, tu ne craint rien ici. »
*Sihaya sceptique mais trop faible pour s’enfuir, s’abandonne dans les couettes et se laisse dorloté par l’inconnu*
« Quand tu iras mieux tu me racontera ton histoire, enfin si tu le veux bien »
Sihaya passe donc plusieurs jours au lit, chouchouter. Durant sa convalescence, Sihaya et lui communique par geste. Il lui parle un peu de lui sans jamais demander de détails à l’halfeline. C’est un Moine ermite qui choisit de vivre loin des hommes, il ne donna pas ses raisons. Du nom de Vao Khan-lan, L’ermite est chauve, extrêmement vigoureux malgré son age et respire la sérénité. Vers la fin de la convalescence de l’halfeline, il vient la trouver :
« Vois tu Sihaya . . . *devant le regard surpris de l’halfeline il s’empresse d’expliquer* oui, oui je connais ton nom j’ai put observé ton corps en te faisant les soins et j’y ai trouvé le pendentif à ton cou »
*Sihaya rougie et l’invite à en dire plus de la main*
« Tu as subit de terrible épreuve et pourtant tu es la, bien sur je ressent un malaise en toi mais tu as surmonté toute tes épreuves. Tu t’es endurcit, tes muscles semblent être fait d’acier et tes os aussi solide que le roc. J’aimerais faire quelque chose pour toi, et je dois avouer que ta compagnie me changera un peu de ma solitude avec pour seul compagnon des animaux le plus souvent hargneux. Je voudrais apprendre à utiliser ta vie. »
Devant ses paroles Sibyllines, Sihaya se moque du vieil homme pensant n’avoir rien a apprendre de lui. Et par un orgueil démesuré qu’elle n’a pas encore sut effacer, elle décide d’accepter son offre.

« Pour commencer Sihaya nous allons former ton esprit afin que ce soit lui qui contrôle ton corps et non l’inverse. »
Tout deux sortes dans la neige légèrement vêtue. Sihaya ne souffre pas du froid et bien sur Vao lui sourit. Il l’emmène alors jusqu'à une cascade d’eau glacée.
« Ton entraînement a été poussé à ce que je constate mais je peux en déduire qu’il ne s’agis qu’un entraînement sur ton corps, tu ne ressent aucun froid mais si ton corps est sollicité durement tu cédera et cela nous devons le changer. »
Ensemble il entre alors sous la cascade et se place en position de méditation. Naturellement l’eau ruisselle et s’écrase sur le corps de Sihaya, qui rapidement suffoque et grelotte. Elle sort précipitamment de la cascade pour se réchauffer.
« Voila ou je voulais en venir Sihaya, la cascade épuise tes muscles et tu ne peux plus maintenir ta chaleur. Avec de l’entraînement tu vas apprendre à ce que ce ne soit pas tes muscles qui génèrent ta chaleur mais ton esprit qui contrôle ton corps et génère la ou il le faut de la chaleur en agissant sur les muscles adéquats. »
Sihaya, au caractère si trempée, décide qu’elle ne quittera pas le vieil homme sur un échec et acquiesce. Elle prend des lors l’entraînement au sérieux.
Avant de réitérer l’entraînement sous la cascade, Vao fait mettre Sihaya en position du lotus et lui enseigne à rester parfaitement immobile, à devenir une pierre au milieu de son environnement. Puis il indique qu’elle muscle il veut voir bougé. La sueur coule le long de l’échine de Sihaya, elle s’efforce de parvenir en un temps très court à suivre les enseignements de maître Vao. Mais dans sa tête toujours elle redoute l’arrivée des poursuivants qui la traquent. C’est ainsi alors qu’elle médite à la cascade seule, qu’en revenant par un chemin dans les sous bois elle assiste à la rencontre entre l’ermite et une bande de traqueur dont les armoiries ne laissent aucun doute sur ceux qui les envois. Folle d’angoisse Sihaya se dissimule dans la neige et met en application les enseignements de Vao sur l’immobilité. Attentive elle assiste à la conversation, bien que trop loin pour entendre certains gestes sont éloquent, tel celui que le chef des traqueur fait : remettre une bourse pleine à l’ermite, ou le geste de refus de son mentor. Quand la bande repart, Sihaya sort de son immobilité et se rend auprès de Vao.
« Je comprend mieux ton histoire Sihaya, hélas la prochaine fois que ces traqueurs reviendront ils seront en force et même moi je ne pourrais pas faire grand-chose contre eux. Je vais devoir accélérer ta formation. Compte tenus du temps qu’il vont mettre pour retourné chercher des hommes en armes, et sachant qu’ils vont sûrement posté des sentinelles autour de mon domaine je ne vois qu’une technique qui te sauvera la vie et te permettra de leur échapper. Mais cette technique si tu échoue à l’apprendre te coûtera la vie. Tu es prête à tenter ? »
*Sihaya accepte vigoureusement. Elle a déjà constaté les progrès rapide qu’elle a fait et la maîtrise du moindre de ses muscles.*
« Bien dans ce cas suis moi nous allons aux gorge sombres. »

Une fois parvenue aux gorges sombres, celle-ci ont un nom bien approprié, Vao s’assoit en méditation et commence sa leçon.
« Tu as appris que ton esprit pouvais maîtrisé ton corps, ceci est la première leçon la plus importante que je voulais t’enseigné mais tu dois passé au stade suivant. *il dessine un cercle qu’il coupe avec une vague puis deux petit cercle, un sur chaque moitié (symbole du yin yang). Ceci représente l’énergie qui gouverne l’univers tout entier. »
*Sihaya sceptique observe et boit les paroles de Vao*
« L’univers est régis par la complémentarité de deux énergie symbiotique. Et chaque chose qui le compose est sous l’édit de cette même loi fondamentale. Par exemple : La lune et le soleil sont tout deux liés, l’amour et la haine, la chair et le sang. Le corps et l’esprit. Dès l’instant ou tu comprend cela et ou ton esprit s’éveille à cette connaissance, il te deviens alors facile de réalisé l’impossible pour le commun. »
*Sihaya troublée essaye de comprendre la sagesse de ses paroles*
« Tu as accomplis la première étape de cette connaissance, tu as découvert que ton esprit pouvais permettre à ton corps de réalisé des actions qui te semblaient irréalisables, et tu savais déjà que ton corps influençais ton esprit. C’est sans doute le seul remerciement que tu puisses adresser à ces Loviaths. *devant la mine haineuse de Sihaya il s’empresse d’ajouter* Mais tu as raison de leur en vouloir, il y a d’autres méthodes bien plus douce pour parvenir à cette compréhension. Enfin toujours est il que désormais tu doit t’intéresser à ce lien qui unis l’environnement autour de toi. Regarde la roche et découvre l’énergie symbiotique qui lui est associé…hélas je ne peux pas le faire pour toi, tu va devoir t’imprégné de ton environnement. »
Sihaya se met en méditation et ouvre alors son esprit de des jours durant a cette leçon. Se nourrissant que le strict minimum vital, Sihaya ouvre son âme et son cœur a ces énergies qui l’entourent. Elle découvre le lien entre la terre et le ciel, l’arbre et la roche, l’eau et le feu, le poisson et l’oiseau…et plus elle ouvre son esprit et plus elle se rend compte que toutes ses énergies se connectent. Apres des jours, elle retrouve Vao et lui explique sa découverte. Celui-ci lit le texte malhabile écrit par Sihaya avec un sourire encourageant. Puis il se renfrogne.
« Tu as appris et découvert cela avec une rapidité déconcertante mais hélas tu es limité dans le temps. Pendant que tu méditais je suis aller faire un tour au limite de mon domaine et j’ai découvert à deux jours de marches d’ici la troupes qu’ils ont envoyé à ta rencontre. Le domaine est encerclé par les traqueurs et la troupe est nombreuse. Tu n’a donc plus le choix tu dois faire le grand saut. »
*Sihaya dont la compréhension est nouvelle, acquiesce*
« Voici comment tu doit faire… Tu as compris que toutes les énergies du monde sont liés et que toi-même tu es lié a ce qui t’entoure. Tu dois faire le vide dans ta tête, utilisé ton esprit pour malaxer le lien entre ton corps et ton esprit, puis entre ton corps et ton environnement immédiat. Tu créera un liens directe entre ton esprit et ton environnement et ensuite tu pourra déplacer ton esprit à travers ces lignes de force pour devenir toi-même une ligne de force. Tu obtiendras alors ceci. *Vao disparais sous les yeux d’une Sihaya médusé* »
Il la hèle alors depuis l’autre coté du gouffre, un gouffre d’au moins 50 mètres. Puis alors que Sihaya cligne des yeux il se retrouve nez à nez avec elle. La mâchoire pendante Sihaya n’en reviens pas. Maître Vao sourit.
« Sihaya tu n’aura pas beaucoup de temps pour réussir, 2 jours maximum. Si tu franchis ce gouffre, tu seras libéré de ses traqueurs. Ils n’auront plus aucun moyen de te pister. Mais attention, pour parvenir à réalisé ce miracle tu doit être apaisée et en pleine forme, ton yin et ton yang doivent être en symbiose parfaite, si l’un est perturbé l’autre le sera également et tu échoueras. Repose toi une journée et essaye Si les traqueurs nous rejoignent je les retarderaient le temps qu’il faut. »
Sihaya fait non de la tête refusant que son mentor se sacrifie pour elle. Celui-ci rétorque qu’elle a été dans tout sa vie la seule chose bien qu’il est faite et que désormais il peux mourir avec la fierté d’avoir enseigné un peu de son art à une élève si douée qui progressera dans la vie.

Sihaya après, une nuit de sommeille réparatrice, entreprend de réalisé l’exploit qu’on attend d’elle. Purifié son esprit et malaxé son yin et yang d’abord…l’exercice qui semble facile quand on en parle est en réalité extrêmement difficile, comment en effet oublié la menace qui pèse sur son maître si Sihaya échoue, comment ignoré les cris des chiens et des poursuivant qui gravissent, à moins d’une journée, la montagne en contrebas. Sihaya fixe son attention sur l’autre coté du ravin, elle se sais proche de la réussite elle a acquis avec volonté et avec ses tripes le savoir nécessaire. La journée passe sans que Sihaya n’y parvienne, l’angoisse monte l’air deviens lourd. Les traqueurs et la milice sont à peu près à deux kilomètres, ils sont entrés dans le bois qui borde le gouffre. Sihaya en sueur est parvenue à malaxer son esprit et son corps, son corps et son environnement lui prend bien plus de temps. Quand les hommes en arme surgissent du bois, Maître Vao les intercepte. Sihaya est à une dizaine de mètres d’eux. Ils s’élancent sur leur proie, ils doivent la capturer vivante. Maître Vao fait alors preuve de ses talents véritable de combattant. Il repousses les assauts et interdis à quiconque de passé pour rejoindre son élève qui se concentre. Jetant un coup d’œil à Sihaya, il lui sourit quand celle-ci le regarde, puis après un signe de tête d’encourageant il reprend le combat. Seul et sans arme, Vao semble une bien dérisoire barrière contre ceux qui traquent l’halfeline. Pourtant ils les poussent à dégainer leurs armes. Enfin Sihaya parviens à accomplir le prodige, sous les yeux déconcerté de ses poursuivants, elles disparaît de l’autre coté du gouffre. Entraîné certain reprenne leur esprit rapidement et reste pantois en constatant qu’il n’y a plus de vieil homme pour les arrêté, plus de proie non plus. Sihaya reprend sa route en direction de Luskan.
Pour la première fois heureuse depuis bien longtemps, Sihaya sourit. Elle n’oubliera jamais le vieil homme et se promet un jours de lui rendre visite. Pour l’heure, elle doit s’exercer pour que ce nouveau don devienne aussi facile à utiliser que ses objets cachés sur elle. Elle en connais certes les limites, une tranquillité de l’esprit et une condition physique optimale, une cible en vue pour s’y rendre, mais pour elle se cadeau offert par un vieil homme est un don du ciel. Une fois à Luskan, Sihaya fait savoir à son maître : L’homme en noir, qu’elle va bien et est prête à reprendre son entraînement à ses cotés mais qu’elle ne reviendra jamais sous la coupe des Loviaths. Naturellement elle cache son nouveau don, dans le rapport des traqueurs fait aux Loviaths, aucune mention de ce miracle ne sera faite, car il est inutile de dire qu’une tel déroute , contré par un vieillard et la disparition des deux ensuite ne peux qu’être assimilé à de la faiblesse. Au lieu de cela les traqueurs signaleront qu’ils ont perdue les traces au cours d’une tempête de neige.

je valide

Leçon 11 : La loi et le coeur

Le ciel se voile peu a peu en ce début d’après midi. Malgré un timide soleil, quelques flocons de neige portés par le vent vienne se posé sur la poitrine dénudée de l’halfeline… mais ils n’y fondent pas. Une ombre, celle de l’aile d’un oiseau passe sur le visage brûlé de la petite. Lentement celle-ci émerge de son inconscience.
Elle ouvre des yeux hagards sur le monde qui l’entoure, incapable de comprendre ce qui lui arrive. Elle a la gorge sèche et veux s’humecter les lèvres mais la présence d’un mors en bois l’en empêche. Elle commence a reprendre ses esprits : Elle se souviens d’avoir reçut un terrible châtiment…pourquoi elle l’ignore, ou ne s’en souviens plus quel importance maintenant… le moindre mouvement est un véritable martyre pour l’halfeline de plus elle est ligoté à un piquet, perché au dessus des rempart d’une cité…oui mais laquelle ? Où est elle ? Quand sommes nous ? Pourquoi est elle la ? Elle a beau cherché à réfléchir elle ne réunit que quelques brides d’informations :
La neige qui commence à tomber d’abord ainsi que le vent glacé qu’elle ressent sur son torse mais plus sur ses membres… de toute évidence nous sommes dans le nord probablement au val de bise.
Le drapeau bainite qui flotte au sommet des murailles… Targos
Le soleil au plus haut dans le ciel nuageux…. Au alentour de 14 heure oui mais de quel jours ?

Le prêtre assigné à la survie de l’halfeline viens faire son office accompagné du seigneur Zarak, c’est alors qu’une grande partie de ce qui s’est passé reviens à l’esprit de l’être perché comme un fanion macabre à la gloire de Baine. Elle se souvient avoir été châtié pour une agression sur la personne de son protecteur et maître, Zarak. La sanction était : écartelé, les membres roués de coups jusqu'à ce que les os éclate. Le visage brûlé et les pied plongé dans de l’acide. Ensuite exposé pour la durée d’une semaine à la vue et sus de tous avec pour seule nourriture du pain rassis et de l’eau croupis. Un prêtre devant l’empêcher de mourir pour toute la durée de son châtiment.
Elle se rappel aussi pourquoi Zarak lui a mis un mors dans la bouche…elle ne peux même pas faire usage de sa dent creuse… son seul salut contre la torture. Epuisée et hagarde, Sihaya observe son maître… elle ne lui en veux pas, elle a mérité son châtiment son maître a faillit mourir à cause d’elle. De plus il ne fait qu’appliquer la loi, la loi de Targos. Elle ne peux pas en vouloir à son maître certes…mais elle comprend aussi que pour elle, Targos n’est plus sa cité…Si son maître veux la voir, et à la condition qu’elle survive à son sort, ce sera ailleurs là ou il n’aura pas le pouvoir de lui faire un châtiment aussi cruelle que celui-ci…Car de justice à Targos, parlons en… Certes elle a enlevé son maître mais elle se souvient aussi clairement n’être pour rien dans l’accident qui a faillit lui coûter la vie. Mais on ne lui a permis aucune Justification. Un procès contenue dans ses seuls mots : coupable et aucunes chances de se justifier ou de s’expliquer

« Sihaya, je suis venus te dire adieu… *lui dit il après avoir congédié les gardes* je quitte Targos définitivement. Je ne reviendrais probablement jamais de mon voyage aussi j’ai laissé des ordres pour qu’à la fin de ta sentence tes affaires te soient rendues et que tu sois soigné dans mes appartements. Dans ton sac quand tu seras remise tu trouveras les clefs des lieux pour pouvoir t’échapper avant que les Loviaths ne te reprennent. J’ai également contacter des gens de Luskan essaye de les trouver ils ont une place pour toi. Si tu le veux bien sur. Adieu Sihaya et promet moi une chose : ne te suicide jamais c’est un péché. »

Sihaya horrifié assiste au départ de son seul protecteur dans la cité, ce qu’il lui a annoncé est comme un coup de poing dans l’estomac et son esprit vacille dans l’inconscience incapable de digérer son abandon par son maître et ses souffrances physiques. Les heures passent, les secondes deviennent des minutes, les minutes des heures et cela jusqu'à ce que Sihaya perdent de nouveau toutes notion du temps, vivant entre inconscience, nourriture forcé et soins Legé du prêtre. Elle n’a plus goût à rien, elle n’espère qu’une chose retrouvée Shara, son amour pour pleurer en son sein. Et l’heureuse surprise veux que celle-ci soit autorisé à venir lui parlé une minute…Assommée une nouvelle fois par la nouvelle que Shara lui apprend, Sihaya n’écoute plus que d’une oreille… Shara ne veux plus d’elle comme soumise, plus de laisse ni de costume du culte plus d’obéissance…voila tout ce que retiens Sihaya stupéfaite Avant de recevoir un nouveau coup au cœur : Shara va avoir un enfant….Totalement abattue et démoralisée, Sihaya n’est plus que l’ombre d’elle-même. Quand on l’emmène enfin pour recevoir des soins à la fin de son calvaire, Sihaya pleure et sanglote malgré la douleur des larmes salées sur ses joues brûlées. Shara viens la soignée et apaise même son cœur un peu en la réconfortante et lui avouant quel l’aime toujours et que ce bébé n’est pas le sien même si c’est elle qui va le porter… Puis, alors que sihaya peu parler sans le mors, des gardes viennent cherché Shara pour retrouvée le culte de Loviathar. Sihaya supplie Shara de rester pas de désobéir juste de rester un peu plus longtemps. Mais la réponse de Shara est invariable : Ma déesse passe avant toi Sihaya. Mortifiée, l’halfeline voit celle qu’elle aime sortir de sa vie… pour un temps ou longtemps seul l’avenir le dira.

Ses deux protecteurs partie ou arrêté, les bainites n’ont plus aucune égard pour l’halfeline… c’est dans son état misérable, incapable de se mouvoir qu’ils la jette au pied des murailles de la ville. Lyalin, alors qu’elle fait une ronde, passe par la et aperçoit un monticule dans la neige, celui-ci remue… intriguée elle s’approche et découvre l’état pitoyable de Sihaya. Elle recueille la petite faisant preuve d’une bonté infinie en sachant pertinemment les actes que l’halfeline à commis contre son culte et ses amis. Elle l’emmène alors A Termalaine et la fait soigné non sans laisser des gardes…Pour empêcher l’halfeline de fuir ou la protéger ?
Après les premiers soins, l’halfeline et Lyalin discutent ensemble et une phrase ressort de cette longue discussion :
« Tu as beaucoup de chance Sihaya, tout le monde n’a pas une chance de vivre une nouvelle vie… il ne te reste plus qu’a la mordre à pleine dents »
Dans la tête de Sihaya les pensées se bousculent. Elle fait le point une fois au calme.
Zarak l’a abandonné…Shara révère son culte plus que son amour pour Sihaya, elle va même utilisé l’amour de Sihaya pour agir pour le culte… de plus Shara l’a trahis en la livrant à la justice bainite…justice bainite, parlons en : Jugement et sentence rendue en 2 minutes sans aucune chance de se justifié ou de donner sa propre version…Les pensées de Sihaya passe de la justice bainite à celle de Luskan : parlons en de Luskan, violence pour avoir répondu par monosyllabe au lieu de répondre par des phrase avec sujet verbe et complément....
Sihaya se souviens des paroles de Zarak :
« Le bien et le mal sont deux concepts totalement stupide, si tu écoutes les gens qui se disent bon il ne font jamais rien de mal mais au fond de leur cœur il ne s’incombe que de peux de moral, prend ta paladine, elle est tel qu’elle ne remet pas en doute les lois, alors dis moi pourquoi elle n’a pas appliquer la loi quand elle t’a pris à voler ? Parce qu’elle est bonne ? Quelqu’un de bon dois appliquer la loi même si celle-ci est mauvaise mais la t’elle fait ? Non bien sur que non, et pourquoi ? Parce qu’elle ce laisse le droit de choisir quand l’appliquer …
Tuer est mal non ? Et pourtant quand tu tue en légitime défense tu ne trouve pas ça mal ?
Tu pourrais dire que dans ce cas la que chacun est libre d’interpréter la lois, dans ce cas la on part sur l’anarchie et sur le chaos… »

Pour elle une chose est claire, elle vivra non par la loi des hommes mais par la loi de son cœur, son jugement ferra acte de foi et ses actes dépendront d’elle et non d’une quelconque législation qu’elle soit bainite ou luskanienne. Elle ferra le bien et le mal des l’instant ou elle le jugera nécessaire et en accord avec ses propres règles.

Mort rp, pas de chichi pas de discours je m'en vais.

Je classe donc au cimetière