[Validé][Magicien][H]Aarin Droganson

Citation :

Nom du compte joueur forum : Solufein Do'Ilishan
Nom du compte joueur module : Elendur Delayasan
Nom du perso : Aarin Droganson
Race : Humain
Age : à son arrivé 26 ans, actuellement 57
Alignement : Loyal Mauvais
Religion : pas vraiment de religion, mais prit sans probléme Mystra, Azouth Velsharoon ou Kossuth
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Magicien niveau 26
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Evocation(épique) Nécromancie (épique)
Langues :Chondathan (patois), Commun, Infernal (via familier), Draconien, Elfique, Loross

Trait de Caractère : Calme, confiant en ses capacités, posséde un égo surdimentionné, respecte toujours une parole donnée ou un contrat signé, d'une grande loyauté

Description physique : Brun, yeux marrons, traits du visage fins, corps bien entretenu ne faisant pas la quarantaine mais une petite trentaine, une cicatrice sur la cuisse gauche et une autre sur le le flanc droit de son torse

Langues parlées :Chondathan (patois), Commun, Infernal (via familier), Draconien, Elfique, Loross

Caractéristiques :
FOR :10
DEX :12
CON :14
INT :22
SAG :10
CHA :14

*une silhouette fatiguée se penche sur un ouvrage à la couverture de cuir et aux pages d’un blanc immaculé*

Et bien…. Cela fait à présent longtemps que je remets ton écriture à plus tard, mais le temps me rattrape et je ne tiens pas à ce que mon histoire tombe dans l’oubli.

*ouvre la lourde couverture en cuir de l’ouvrage, se saisit d’une plume et commence à écrire d’une écriture fine et élégante*

Le temps est une chose amusante, commune aux riches et aux pauvres, nul ne pouvant lui échapper. Cet ainsi que je commence à rédiger mes mémoires en cette année des perces neiges (1391). Moi qui ai vu temps de choses, et accomplis tant de faits, l’histoire défile et nous ne sommes que spectateur, cependant racontez la et vous en deviendrez l’auteur.

I. Enfance

C’est par une belle journée du mois de Kythorn de l’année de la Bride (1349) que je naquis. Mes parents n’étaient autre qu’un couple de riches fermiers de la région du Bois-Manteau située au sud de la glorieuse Porte de Baldur.

C’est ainsi que je fus élevé par mes parents dans notre propriété, ou j’appris jeune à lire et à écrire grâce aux bons soins de ma mère.
De temps à autre nous recevions également la visite de mon oncle, qui n’était autre qu’un Mage officiant à la Porte de Baldur, celui-ci se montrait toujours prêt à me montrer quelques tours de magie pour nous amuser mes parents et moi.

II. Tragédie

Malheureusement l’insouciance de l’enfance ne dure qu’un temps, et la mienne me fut retiré de façon regrettable au cours d’une journée ensoleillé du mois d’Eleasias de l’année du prince (1357), mes parents ayant été tué par un groupe de Tasloï alors qu’ils ne faisaient que leur promenade habituelle, non loin de notre demeure.

Alors âgée de 8 ans, les possessions de mes parents furent remises à un tuteur, qui ne fut autre que mon oncle, c’est ainsi que j’ai du le suivre jusqu’à son échoppe dans l’un des quartiers commerçants de la cité.

III. Apprentissage

La vie chez mon oncle ne fut pas des plus désagréable après tout une boutique d’article magique peut se révéler être un monde merveilleux pour un enfant, même si mon oncle surveillait attentivement que je ne m’empoisonne pas avec un ingrédient ou ne me brûle avec divers objets enchantés.

Il se chargea également de mon éducation m’enseignant les bases de l’économie, du marchandage, et de tous ce qu’il est utile de connaître, c’est également de lui que je tiens mon goût pour l’acquisition des connaissances et des artefacts, lui-même possédant une collection intéressante d’objets atypiques.

Ce fut à partir de mes onze ans qu’il me demanda si je désirais suivre sa voie dans la pratique de l’Art, mon oncle ayant sûrement remarqué mon attrait pour tout ce qui était en relation avec la magie, tentant souvent de comprendre vainement quelques grimoires anciens.

C’est donc naturellement que j’acceptais son offre avec un enthousiasme non simulé, c’est ainsi que j’ai passé les dix années suivantes à étudier et à apprendre la pratique de l’Art à ses côtés.

Bien entendu à côté de mes études je l’aidais avec plaisir dans la gestion de la boutique, l’aidant à ranger les ingrédients, ou à les vendre lorsque celui-ci était indisponible. C’est ainsi qu’en plus de m’enseigner le draconien qui est indispensable pour la bonne pratique de l’art il ne tarda pas à m’apprendre l’elfique qu’il avait lui-même appris pendant sa « jeunesse aventureuse » comme il lui plaisait tant de dire, et qu‘il était toujours utile de maîtriser.

L’apprentissage de l’Art fut cependant malgré mes facilités un acte difficile, et mon oncle savait se montrer rude quand cela était nécessaire, il m’apprit à bien comprendre les différences entre les différentes écoles, et me conseilla de rester un Mage généraliste comme lui, ce que je fis d’ailleurs, l’étude exclusive d’une école bien qu’offrant des possibilités intéressantes ferme plus de portes qu’elle n’en ouvre. Mais cela ne m’empêchait pas d’apprécier particulièrement l’art de l’Evocation, le fait de pouvoir créer quelque chose la où il n’y avait rien me semblait fantastique, offrant un aspect « divin » ... L’art noble de la Nécromancie était également des plus intéressants, se penchant sur l’étude de la vie, de la mort et de la non-vie, la vie et la mort n’étant que les deux faces d’une même pièce.

La fin de mon apprentissage fut également des plus intéressantes, surtout lorsque mon oncle me prépara une potion de bigerne pour mes 20 ans, ces fameuses potions si rare qui ralentissent le vieillissement des corps.

IV. Fuite

Tout ce déroulait donc bien jusqu’à ce triste jour du mois d’Alturiak de l’année du Parent des Elfes montant (1375) ou le Poing Enflammé débarqua chez mon oncle pour une sombre affaire, celui-ci sûr de son innocence n’opposa aucune résistance.

Au cours d’une visite il me révéla qu’il s’agissait d’un complot d’un mage du Trône de Fer à son encontre, n’appréciant pas certains des agissements de mon oncle, malheureusement quelques jours plus tard mon oncle fut retrouvé mort dans sa cellule, le Poing Enflammé ne voyant là qu’un acte de suicide même s’il était évident qu’il s’agissait d’un assassinat.
La même nuit un groupe d’individus s’introduisit dans l’échoppe de mon oncle accompagné d’un puissant mage, ce qui ne me laissa pas d’autre choix que de me saisir rapidement de mon grimoire et de quelques ingrédients et catalyseurs avant de fuir rapidement, me payant un aller vers le Val de Bise, région lointaine ou les personnes fuyants un ennemi sont à l’abris…..

Cependant je m’étais juré qu’un jour je reviendrai….. Et que je leur ferais payer au centuple la mort de mon oncle.

Aurlys Droganson je jure de revenir venger ta mort…..

V. Le Val de Bise

*le puissant magicien referme l’ouvrage, dont les 1ére pages ne sont plus vierges à présent*

Bien… je pense que cela sera suffisant pour se soir *baillant de fatigue*



(Voila bon j’espère que j’ai pas laissé trop de fautes et que sa vous plait)

Mise à jour d'un vieux Pj, donc, validé

LXXIV. L'Igneux

Au cours de mes nombreuses expériences et recherches que j'ai pu faire, je suis souvent tombé sur un problème assez désagréable avec les élémentaires, c'est qu'ils sont incapable de parler ou de comprendre le commun, ce qui oblige donc à apprendre leur propre langue.

D'après mes études les élémentaires les plus destructeurs sont ceux du feu, pouvant brûler des forêts entières ou encore des villes en quelques heures, c'est pourquoi il me semble les plus utiles à invoquer via des sorts de Contrats.

Afin de pouvoir en lier il me faut donc étudier l'Igneux, langue des plus utiles concernant les sorts du registre du feu, car la plus détaillé concernant les flammes et le feu, même si très pauvres pour ce qui est des 3 autres éléments fondamentaux. Heureusement pour moi, l'Archimage connait cette langue et est disposé à bien vouloir me l'enseigner, même si cela peut passer pour une ignorance de ma part de ne pas savoir maîtriser au moins l'une des 4 langues élémentaires, un tord que je réparerai rapidement.

L'Igneux dispose du même alphabet que le Draconien, même si cela ne simplifie de façon significative son apprentissage, ce n'est au moins pas un territoire inconnu qu'il me faudra apprendre.

Magie Martiale par Droganson, Tome I

La pratique de la magie est un art noble est difficile, que seul une élite est capable de mener à bien, cependant bien que celle s’apprend majoritairement dans des livres et souvent auprès d’un maître, il n’est pas à négliger l’aspect de la pratique de celle-ci pour ça compréhension, et du moins pour la survie de son utilisateur.

En effet, 95 % du travail d’un mage réside dans l’accumulation de connaissance, afin d’accroître son savoir, dans l’étude de textes et d’ouvrages enseignant diverses informations plus ou moins utile, cependant les 5 % restant ne peuvent être enseigner par des écrits, et se sont ces 5 % qui feront la différence entre un véritable Magicien et un simple mage de seconde zone.

Ces 5 % ne sont rien d’autre que la pratique et l’expérience engendré par l’utilisation en situation concrète de danger de l’Art.

Le point le plus important à développer ici est l’importance vitale de la mémoire et de la capacité d’analyse dont nous sommes tous dotés, cependant se sont ceux-ci qui nous permettent de tirer au mieux les conclusions face à un situation épineuse. En effet, ils nous permettent de mieux tirer profit de nos expériences passées, et dans une situation similaire déjà rencontré permettront de tirer une conclusion rapide et bénéfique.

L’Expérience ainsi acquise permet au mage de profiter au maximum des opportunités qui s’offrent à lui, et ainsi de tirer le plus de profit entre deux choix intéressant ce qui permet donc d’acquérir de nouveau de l’expérience qui sera de nouveau profitable.

Le bénéfice de cette expérience est particulièrement visible en cas de conflit armé avec un groupe d’individus ou d’un autre Arcaniste. Dans le cas d’un groupe d’individus l’expérience permet de comprendre rapidement les problèmes que peuvent poser individuellement chaque adversaires et ainsi de tirer un conclusion rapide sur les décisions à prendre afin d’optimiser ses chances de survie.
Face à un autre arcaniste la même problématique se pose, et contrairement à une idée reçu ce n’est pas forcément le mage avec la meilleur maîtrise de l’Art qui s’en sortira vainqueur, effectivement ici l’expérience joue un rôle prépondérant, car se sera l’arcaniste avec les capacités d’analyses et de conclusions les plus développés qui s’en sortira, la rapidité et la vitesse d’analyse permettant ainsi la victoire en anticipant les actions de son adversaire.

L’Expérience joue également un rôle important dans l’élaboration de stratégies, quelles soient d’ordre militaire ou sur la combinaison de différent sorts parfois anodins mais dont les effets combinés s’avère dévastateur.

Dans le cadre militaire l’utilisation de Mage de guerre est une pratique courante dans les armés importantes, ceci étant généralement des Évocateurs faisant confiance à la puissance destructrice de leurs sorts, utilisant toute la fureur des différents éléments afin de semer le trouble et le chaos dans les rangs ennemis, une boule de feu pouvant facilement désorganiser complètement une ranger de soldats, ou renverser de nombreux cavaliers dont les montures ne seraient pas habitués a de telles sorts.
Cependant il serait réducteur de penser que seul l’évocation permet de semer le trouble au sein d’une armée, en effet ici encore l’expérience nous révéla que l’usage de différents sorts justement utilisés peuvent se montrer plus intéressant, tels qu’un simple nuage nauséabond, forçant une compagnie à rompre une formation, tous les sorts de nuages se montrant particulièrement utile dans le cas de bataille en rangs serrés empêchant toute retraite, les sorts d’enchantement se montrent également dévastateur, qui utiliser sur la hiérarchie adverse permet de faire disparaître toute animosité, c’est une situation particulièrement intéressante qui permet d’éviter des situations délicates et des batailles qui pourraient être perdues d’avance.

*fin du 1er tome*

Magie Martiale par Droganson, Tome II

Au cours de mon dernier tome nous avons abordé l’importance de l’expérience dans le cadre de l’accomplissement d’un mage de seconde zone en véritable magicien, ainsi que du développement et de l’amélioration des stratégies martiale dans le cadre des batailles de masse

Cependant il ne faut pas négliger le rôle de l’Expérience pour ce qui est des duels d’arcanistes

En effet dans le cadre de duels entre arcanistes, l‘expérience joue un rôle omniprésent, je vous mentirai en vous faisant croire qu’il existe une technique universelle, il est intéressant de remarquer qu’il y a pratiquement autant de tactiques que de duels différents, en revanche il existe des techniques plus efficaces que d’autres, une des erreurs classiques parmi les apprentis et mauvais arcanistes est de croire que la victoire appartient au participant qui sait manier des sorts de cercle les plus élevé. Comme je l’ai dis précédemment ce raisonnement est erroné, la victoire n’appartient pas à celui qui sait manier les sorts les plus puissants mais au participant qui grâce à son expérience sait le mieux manier ses sorts, et qui par analyse comprendra les points forts et faibles de son adversaire, ce qui lui permettra grâce des sorts de cercle relativement peu élevé de pouvoir remporter la victoire.

Les combinaisons de plusieurs sorts qui peuvent se montrer complémentaire décuple leurs effets, l’utilisation du terrain est également importante, un sort de transformation de la pierre en boue utilisé dans une grotte se montre particulièrement efficace pour surprendre un ennemi, un sort de graisse aussi peut se révéler dévastateur utiliser comme il faut.

C’est ainsi que naturellement j’arrive à la fin de mon ouvrage, qui je l’espère aura pu vous éclairer sur certains points.

Le Maître Mage Droganson

Les Slaadi, par Droganson

Créatures ressemblant à des crapauds humanoïdes, les Slaadi sont impressionnants et redoutables. Il sont natifs des Limbes, et même s’il ne s’agit pas de félons dispose de la même brutalité, représentant leur caractère chaotique.

A travers cet ouvrage nous verrons la hiérarchie de ceux-ci, puis leurs modes de reproductions qui sont pour le moins atypique.

I. Hiérarchie

Les Slaadi disposent d’une hiérarchie sensé organisé sur la couleur, voici la liste des couleurs, du plus faible au plus puissant:
- Slaad boueux
- Slaad rouge
- Slaad bleu
- Slaad vert
- Slaad gris
- Slaad de la mort
- Slaad blanc
- Slaad noir
- Seigneur Slaad

Les plus puissants slaadi sont des êtres aux pouvoirs quasi-divin, les seigneurs slaadi connues sont :
- Ygorl, Seigneur de l’Entropie
- Ssendam, Seigneur de la Folie
- Chourst, Seigneur du Hasard
- Rennbuu, Seigneur des Couleurs

On peut également se demander comment font les slaadi pour évoluer dans leur hiérarchie, pour le cas du slaad rouge et bleu, nous verrons cela dans la partie reproduction.
Si un slaad vert atteint sa centième année de vie, alors celui-ci partira en retraite pour une durée d’un an, lui donnant le temps de se transformer en slaad gris, qui sont les magiciens de leur espèce.
Certains slaadi gris peuvent réaliser un rituel mystérieux qui les changera alors en slaad de la mort, qui sont particulièrement redoutable, et tendent vers le mal
Si un slaad de la mort survit un siècle alors celui-ci ce changera en redoutable slaad blanc.
Enfin, lorsqu’un slaad blanc survit un siècle également, il aura le privilège de se transformer en un slaad noir, le slaad le plus puissant qu’il puisse exister, en excluant les Seigneurs Slaad bien sur.

II. Reproduction

La reproduction chez les slaadi est une chose des plus intéressantes, en effet, ils disposent de plusieurs façon de se reproduire, qui changent en fonction de leur statue.
Ordinairement ils se reproduisent en injectant des œufs dans le corps de leurs victimes grâce à leurs griffes, les œufs de slaad boueux ainsi injectés donneront des slaadi boueux, en revanche un slaad rouge qui injecte ses œufs, ceux-ci donneront des slaadi bleu, qui lui sont supérieur, en revanche la morsure d’un slaad bleu donnera un slaad rouge. Les slaadi vert sont obtenus si un slaad bleu ou rouge infecte un arcaniste.

Les slaadi sont également hermaphrodites et doivent fertiliser leurs œufs, pour cela ils se rendent, à intervalle irrégulier, à un endroit des Limbes appelé la Pierre d'Engendrement. Cet endroit est l'habitat originel des Slaadi, il change de place selon les courants qui agitent la substance chaotique dont sont faites les Limbes, courants que les Slaadi sont capables de repérer et de remonter jusqu'à la pierre.

Tous les Slaadi peuvent pondre des oeufs mais seuls les Slaadi rouges, bleus et de boue peuvent parasiter un hôte et pondre des oeufs à l'intérieur de son corps, l'hôte étant ensuite brûlé de l'intérieur pour donner naissance à un nouveau Slaad. Parfois les Slaadi s'implantent les uns les autres des leurs oeufs lorsque ils sont à la Pierre, dans la frénésie qui s'empare alors d'eux.

Prolégomènes de l’interprétation sur la métaphysique de l’Art

De tout temps l’Art fut une préoccupation majeur des civilisations qu’elles soient humaines ou bien étrangères, cherchant tant bien que mal à organiser et à classer les différentes répercutions tangibles que permet les forces intangibles mise en jeu.

Il est naturel pour l’homme de vouloir classifier une matière car cela permet une meilleur compréhension en délimitant des cadres d’études particuliers, cependant à vouloir trop classer on en perd l’ontologie véritable de l’Art explicable par une perte d’information résultant de cette simple volonté de compartimentation, il faut donc savoir retourner à une origine simple et concrète.

Biensur je n’ai pas la prétention de vouloir imposer à vos esprits éclairés une vérité unique car cela relève du domaine des dieux et non de celui d’un simple mortel, mais j’espère pouvoir a travers mes études m’approcher de l’origine profonde qui se cache derrière chacune des manifestations de l’Art.

Actuellement la magie est divisée en 8 catégories distinctes regroupant, l’Abjuration, la Divination, l’Evocation, la Nécromancie, l’Invocation, la Transmutation, l’Illusion et enfin l’Enchantement. Comme précisé plus haut cette segmentation des différents domaines de l’Art est surtout la dans un sens pratique mais en soi est assez arbitraire, même si il existe une ressemblance dans les sorts affiliés à l’une de ces écoles parfois on peut se demander à juste titre quel est l’intérêt de la présence d’un sort dans une telle école.

C’est un choix parfaitement humain de céder à la facilité de la spécialisation en choisissant de se détourner d’une part de l’Art pour consacrer son existence à une branche plus restreinte dans le but de l’approfondir, après tous il est plus simple d’apprendre par cœur un parchemin que dix parchemins « différents ». Comprendre qu’il y a une différence entre les écoles est un choix intellectuel compréhensible, mais personnellement je préfère me dire qu’il existe une base commune à celle-ci, l’énergie magique une fois filtrée par la Toile nous permet de réaliser des miracles, des miracles qui ne sont du que par son utilisation et un usage qui diverge selon le lanceur de sorts. Il existe donc un socle commun à toute les écoles qui n’est autre que l’énergie magique intrinsèque à chaque sort et dépendant de la Toile, certes vous me direz que je ne vous apprend rien d’intéressant pour le moment et que même si cette énergie est commune à toute les écoles l’usage en est bien différents.

Votre point de vue est compréhensible et sous tend qu’à un résultat différent il existe un chemin différent, il ne faut pas oublier non plus qu’à plusieurs chemins différents il peut y avoir un résultat identique ainsi les chemins pour des résultats divergents ne divergents peut être pas tant que ça. Le schéma mental inhérent à chaque lancement de sort agissant comme un guide pour la manifestation et l’usage de l’Art permettant de canaliser judicieusement cette énergie, dans le cadre de la création d’énergie élémentaire il serait d’après moi aisément réalisable de pouvoir apporter une modification intrinsèque au schéma mental à chaque lancement de sort, apportant une variable dans les fréquences d’harmonisation de l’énergie magique permettant de créer une énergie élémentaire ainsi il serait possible théorique de modifier à loisir la composante élémentaire d’un sort selon notre bon vouloir, déterminant avant le lancement de celui-ci la source que nous préférons créer.
Bien entendu cet exercice n’est pas sans peine et se montre contre productif d’un point de vue d’énergie cognitive, le lanceur devant pour cela réaliser un effort intellectuel supplémentaire ce qui le pousserai à renoncer à une part de son efficacité pour la mémorisation de ses sorts par exemple.