Le Val de Bise - Module NWN Forum du Val de Bise, module RP de Neverwinter Nights |
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| [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. | |
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sku Adepte du Val (floodeur en devenir)
Nombre de messages : 168 Habitat : Plutot urbain en général, mais le retour à la vie sauvage n'est pas exclu
| Sujet: [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. Ven 14 Sep - 17:32 | |
| Merak Kalakson. [ Rôdeur / Roublard ]
Nom du compte joueur forum : Sku Nom du compte joueur module : Skuffrit Nom du perso : Merak Kalakson Race : Nain Age : 95 ans Alignement : loyal mauvais Religion : Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Roublard 10 / Rôdeur 15 Arme de prédilection/domaines/école de magie : Hache d’arme, ennemis jurés : Elfes ( drows ) ; Morts-vivants, Humanoïdes monstrueux. Trait de Caractère : Renfermé et peu loquace, perpétuellement sur ses gardes. Merak semble en plus toujours en décalage avec son environnement, comme s’il ne comprenait pas complètement ce qui se passait autour de lui, impression qui disparaît toutefois dès qu’il quitte le milieu urbain, particulièrement pour un milieu souterrain où il est parfaitement à l’aise. Merak ne cherche qu’à servir son peuple, même si la manière qu’il a de le faire a depuis longtemps dévié de ce que son peuple est prêt à admettre. Description physique : Faisant 1 mètre 30 de haut, Merak est plutot fin et élancé en comparaison de son peuple. Il porte les cheveux comme sa barbe longs et peu entretenu, son visage carré et sans charme et défiguré par une large balafre et l’absence de nez, absence lui donnant une voix sifflante rarement considérée comme agréable. Ses vêtements sont souvent sales, couverts de boue ou de poussière mais parfaitement entretenus, de même que ses haches.
Caractéristiques ( à la création ) : FOR : 15 DEX : 13 CON : 12 INT : 14 SAG : 14 CHA : 8
Langues parlées : Nain, Commun, Commun des profondeurs.
Histoire : Année du ver : Ma formation est aujourd’hui finie, les anciens considèrent que je suis prêt à aller combattre les ennemis de la forteresse. Je suis aujourd’hui accepté au sein des adultes du clan et j’espère pouvoir lui faire honneur.
J’ai reçu mon affectation, devant mes « prédispositions à l’indépendance » et mon naturel « curieux et attentif » mes instructeurs m’ont muté parmi les troupes de patrouille. A voir les regard que m’ont lancé mes condisciples cela ne signifie rien de bon.
Première patrouille effectuée, et ce ne fut pas aussi terrible que je le craignais. D’après les anciens cela se passe toujours de la même manière, nous quittons la forteresse, groupe de 9 soldats et d’un sergent, avec pour deux semaines de ravitaillement, nous nous rendons jusqu’à un avant-poste déterminé, et à partir de là nous reconnaissons les galeries environnante, le plus souvent pour seulement relever la présence ou non de kobolds, gobelinoïdes ou autres. Les escarmouches sont rares, et nous tâchons de les éviter quand elles ne sont pas nécessaires. Le plus dérangeant est d’être coupé du rythme de la forteresse, où nous sommes d’ailleurs regardés curieusement lorsque nous y revenons pour nous reposer.
J’ai vécu ma première escarmouche, un vrai massacre. Nous avons repéré un groupe de gobelins un peu plus imposant que d’habitude. Le temps de ramener deux autres patrouilles en renfort et nous leur avons tendu une embuscade. Cette vermine était totalement désorganisée, incapables de se mettre correctement à couvert et se prenant dans tous nos pièges, nous n’avons eut qu’un seul blessé léger.
Année des ombres : Les choses changent, ce ne sont pas tellement les échos du monde de la surface qui m’inquiètent que les signes de plus en plus nombreux que quelque chose se passe dans les galeries. Les traces de gobelinoïdes se font plus rares, et il semblerait que quelque chose les attaque. Rekar a même trouvé une broche de facture étrange lors de la dernière patrouille, nous l’avons donnée aux anciens qui l’étudie pour le moment.
Une des patrouilles n’est pas rentrée. Krimak s’est même battu avec un groupe de guerriers de la forteresse parce que certains avaient insinué qu’ils n’étaient pas rentrés par paresse ou qu’ils s’étaient perdu. Cela fait maintenant cinq jours qu’ils auraient du rentrer, quelque chose ne va pas.
Un piège ! Et autrement plus complexe que ceux conçus par les gobelins ou les kobolds, Rekar a failli y laisser sa jambe et il souffre maintenant d’une forte fièvre, mais sa blessure nous a forcé à nous séparer, un groupe le ramenant à la forteresse pendant que les autres continuaient la patrouille.
Les apothicaires ont réussi à soigner Rekar, mais ce fut difficile. Et les coupable sont désormais démasqués : Les drows. Les sombres elfes sont là, ils se rapprochent de nous. Toute la forteresse se prépare à la guerre. Pour nous cela signifie des temps de repos réduits à la forteresse et des patrouilles plus dangereuses.
La patrouille qui avait disparue a été retrouvée, mais comment ont-ils os ?. Par les ancêtre, une patrouille les a retrouvées, dix têtes, plantée sur les stalagmites d’une caverne, bien en vue, certains avaient visiblement été torturés, mais pourquoi font-ils ça ? Les membres de la patrouille qui a fait cette macabre découverte sont soit enragés contre les drows soit choqués par tant de perversions, mais à quoi cela leur sert-il ?
Année du serpent : Les drows rôdent, mais nous ne les voyons pas, mais leur pièges valent tous les messages, la progression dans les galeries est devenue risquée, l’inattention devient mortelle. Par contre si les drows sont invisibles, leurs esclaves eux sont bien visibles, nous avons déjà éliminé plusieurs de ces patrouilles, ils sont nombreux mais rarement coordonnés, ils n’ont pratiquement aucune chance, à moins de nous tomber dessus par surprise.
Les drows nous sont tombé dessus, il n’y avait rien et d’un coup ils semblaient partout, trois hommes sont tombés dès la première salve, mort sur le coup ou achevés par le poison, et je ne du mon salut qu’à la chance, un carreau s’étant planté dans mon bouclier. Nous avons tous plongé à couvert, tentant de repérer alliés et ennemis dans ce chaos hurlant et les sifflements des carreaux. Seule la chance nous a permit de nous en sortir, une autre patrouille se trouvait assez près pour entendre la bataille et sa venue à fait décrocher les drows. Mais Lerok, Gamli, Stefek et Krimak ne reverront plus la forteresse, et Haldry a perdu sa main droite. Les patrouilles sont épuisantes, nous ne cessons de traquer les patrouilles de drows, et surtout de leurs esclaves. Nous ne dormons jamais que d’un œil, craignant à tout moment que les drows ne nous tombent dessus, et nous avons déjà perdu deux hommes de la patrouille à cause des pièges, mais il paraît que nous nous en sortons bien. Il nous arrive aussi régulièrement de retrouver ces macabres mises en scènes des drows, corps suppliciés de nos camarades mis en évidence, et que les ancêtres me pardonnent, je ne peux jamais retenir un frisson d’effroi quand nous les trouvons. A chaque fois nous nous arrêtons pour leur donner une sépulture décente, mais ces être poussent la fourberie jusqu’à piéger ces corps, un de nos camarades morts a été tué en décrochant le cadavre d’un nain d’une paroi, ce qui a déclenché un jet d’acide mortel.
Hier nous avons pris une patrouille d’esclaves en embuscade avec l’aide d’une autre patrouille. La moitié des esclaves est restée sur le carreau, les autre s’enfuyant, nous n’avons eut que quelques blessés. Mais il reste toujours impossible de surprendre les drows, et pourtant nous les savons présents, mais ce sont toujours eux qui nous surprennent. J’ai hâte de revoir ma famille, cela fait maintenant plusieurs mois que je n’ai pas su prendre de repas avec mes frères ou ma sœur et son mari.
Année de la tourelle : Cette fois-ci l’offensive se prépare, la colonne principale des drows se rapproche, une des patrouilles a même pu relever sa position. Toutes les patrouilles ont été rappelées, des ordres nous seront bientôt donnés paraît-il. Les préparatifs sont impressionnants, la forteresse entière semble s’armer et gronder, se préparant à accueillir l’ennemi. J’ai quand même pu manger avec mes parents, ma sœur et son mari, qui est maintenant lieutenant dans la garde à la poterne sud. Ce dernier a dit à table que, d’après lui, « cette guerre finira aussi vite qu’elle vient de commencer. ». J’ai tenté de lui dire que pour nous la guerre durait déjà depuis une année, il m’a alors demandé quelle batailles avaient été livrée, et j’ai bien du lui répondre que seule des escarmouches avaient eut lieu, il a répliqué qu’il ne pouvait y avoir de guerre sans bataille rangée, et que donc la guerre commençait tout juste.
Nos ordres sont arrivés, et nous sommes en route vers les troupes drows. Nous devons éliminer leurs patrouilles afin qu’ils ne puissent reconnaître les défenses de la forteresse et des couloirs environnants, espionner les drows et leur avance, et harceler leur corps d’armée principal pour les ralentir et donner le temps à la forteresse de se préparer au mieux. Ma patrouille est de celles qui doivent ralentir la colonne. Nous ne rentrerons sans doute pas à la forteresse avant la déroute des drows.
Encore une escarmouche aujourd’hui, nous avons décroché mais Jarak y est resté. Nous leur rendrons cette mort au centuple, comme les autres. Ces escarmouches les forcent à ralentir, autant de temps gagné pour la forteresse. Par contre les pièges que nous posons ne semblent n’être dangereux que pour les esclaves, les drows ne s’y laissant jamais prendre.
J’ignore depuis combien de jours nous avons quitté la forteresse, nous ne sommes plus que six et nous avons fini nos rations et mangeons désormais celles des patrouilles d’esclaves que nous parvenons à prendre en embuscade, ceux-ci semblant le plus souvent pris de peur à notre vue, et je les comprend, nous sommes sales, amaigris, certains brûlant de fièvre à cause des poisons drows mais tout cela sera bientôt fini. Vu l’endroit où nous nous trouvons l’assaut sur la forteresse aura lieu d’ici une semaine au plus.
Victoire ! Les drows ont été repoussés, et la bataille leur a coûté trop cher pour qu’ils reviennent de sitôt les festivités furent mémorables, et j’ai enfin pu retrouver ma famille. Un de mes frères a malheureusement été tué au combat, mais hommage lui sera rendu, à lui comme à tous ceux qui ont combattu à la cérémonie de demain.
Etrange, je reviens de la cérémonie en l’honneur de ceux tombés au combat contre les drows. Une cérémonie superbe, un hommage digne de ces héros, alors pourquoi est-ce que je ne m’en sens pas satisfait. Peut-être ces paroles du prêtre : « Nous sommes ici pour honorer nos frères, nos amis, nos pères, tombés en défendant nos murs contre l’envahisseur. Tombés aux cotés de leurs frères sur nos remparts pour l’honneur et la vie de nos clans. ». Et aussi de voir ces cercueils alignés, ouvert, ces visages pour la plupart connus, dont celui de mon frère, ces corps en armure, leurs plus belles armes à leurs cotés pour l’éternité, mais presque aucun des patrouilles de reconnaissance. Rien d’étonnant à cela pourtant, nous n’avons que rarement l’occasion de ramener nos morts, nous n’avons au mieux qu’une tombe improvisée dans la galerie où nous sommes tombés, mais c’est ainsi que nous servons la forteresse.
Dernière édition par le Mer 26 Sep - 7:30, édité 1 fois | |
| | | sku Adepte du Val (floodeur en devenir)
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| Sujet: Re: [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. Ven 14 Sep - 17:33 | |
| Année de l’épée : Le repos aura été de courte durée. Les drows n’avaient jamais vraiment quitté les galeries les plus lointaines, nous le savions, mais ils ont mené un raid sur une caravane marchande. Il va nous falloir traquer leurs groupes de raid.
Les patrouilles se suivent et ne se ressemblent pas, mais il ne s’en passe pas une sans que nous croisions les traces des passages des drows, ou le plus souvent de leurs esclaves. Pièges, restes de campements, et parfois corps suppliciés, de gobelinoïdes ou d’orcs dont je sais maintenant qu’ils sont destinés à faire peur à leurs ennemis, il me semble être revenu trois années plus tôt, mais il reste très rare que nous les croisions eux.
Année de la choppe : Je suis revenu de patrouille aujourd’hui, portant un brancard contenant la dépouille d’Arek, tué d’un carreau drow lors d’un embuscade. Les drows se montrent plus entreprenants désormais, mais leurs embuscades ne durent jamais, leur tactique est maintenant éprouvée, ils tirent une première volée de carreaux et, à moins d’avoir un avantage manifeste, se retire de suite. Nos tactiques ne peuvent rien contre ce genre d’embuscades. J’ai été mangé chez ma sœur hier soir, lorsque j’ai entendu son mari plaisanter en parlant de l’ennui qui le guette en temps de paix je me suis levé et j’ai quitté la table. Je suis allé veiller Arek, j’ai expliqué à sa mère qu’il était mort pour la forteresse, elle m’a regardé sans dire un mot.
C’est aujourd’hui la fête de la bière à la forteresse, nous avons tendu une embuscade à un groupe d’esclave qui ne doit pas être loin, nous nous sommes réparti dans une petite caverne où ils devraient passer. Nous les estimons à une quinzaine, mais nous aurons l’avantage de la surprise. Nous allons essayer de faire au moins un prisonnier, nous avons besoin d’informations. Je dois finir ces lignes ici, Gerak les a entendu approcher.
J’ai été parlé à un prêtre de Clangeddin, je me posais trop de questions sur nos méthodes de combats, sur ces interdit que nous nous imposons. Il m’a répondu que les nains n’avaient pas besoin d’artifices pour briller au combat ou remporter une victoire, que les méthodes employées par les drows étaient celles de lâches incapables de combattre dignement. Tout cela est vrai, bien sur, mais nous ne pouvons combattre dans ces galeries comme sur des postes fortifiés, je ne sais pourquoi mais j’ai l’impression que nous aurons toujours le dessous contre ces drows. Peut-être les galeries ne sont-elles pas faites pour combattre dignement.
J’ai été nommé sergent hier, c’est désormais à moi de mener une patrouille. Ca a étonné une partie de la famille, ils trouvent que c’est rapide comme promotion. Mais à vrai dire c’est inévitable, comme pour la plupart des promotions parmi les troupes de reconnaissance, je remplace un mort.
Année des tempêtes d’éclair : Un raid de drow a atteint une de nos caravanes marchandes il y a quelques jours, il n’y a pas eut le moindre survivant. La forteresse était encore sous le choc plusieurs jours après. Personne ne m’a rien dit, mais à voir comment je suis regardé, comme tous ceux des troupes de reconnaissance, je sens bien que certains nous tiennent responsable de cet échec. Je ne peux m’empêcher de me dire qu’ils ont raison, c’est notre devoir de les protéger, mais la fourberie au combat des drows leur donne trop souvent l’avantage. Et je ne vois pas d’autres solutions que d’adopter les mêmes méthodes qu’eux.
Moradin qu’ais-je fait ? C’était une patrouille comme les autre, et puis soudain les drows nous ont tiré dessus, nombreux, trop nombreux, j’ai compté au moins un quinzaine de tireurs, j’ai immédiatement donné l’ordre de décrocher, de ramasser les blessé et de fuir. Ce n’est que deux kilomètres plus loin que nous nous sommes rendu compte que Rekar manquait à l’appel. Et je leur ai ordonné de ne pas aller le rechercher, je leur ai ordonné de le laisser sur place. J’ai demandé au commandant d’être relevé de mes fonctions.
Le commandant a refusé de me laisser partir. Il a prit longtemps pour m’expliquer que j’avais fait le bon choix, que j’avais ramené neuf hommes et des informations sur la position des drows, et que je nous y étions retourné nous aurions tous fini morts dans cette galerie. Qui plus est il m’a dit qu’il manquait trop de sergents expérimentés pour me laisser partir, et que c’était là mon devoir envers mon clan et ma forteresse. Un bien sombre devoir à mon sens, je n’ose parler à ma famille de ce que j’ai du faire, je crois que je vais repartir au plus tôt.
Année du manteau d’hermine : Les cadavres, les drows piègent même leurs propres morts. J’ai failli perdre un homme, j’ai juste eut le temps de le plaquer au sol avant que le piège ne se déclenche. Mais cela m’a fait réfléchir. J’ai consulté mes hommes, nous avons longtemps hésité mais nous avons décidé de ne pas faire pareil, nous ne sommes pas eux.
J’ai eu le mois de repos que je demandais pour moi et ma patrouille, mais il me tarde déjà de repartir. Je ne comprend plus comment ils peuvent se montrer aussi sourd à ce qui se passe dans ces galeries où moi et mes hommes risquons nos vies pour eux. C’est là une partie du prix que nous payons à la forteresse je suppose, les devoirs solitaires sont les plus durs à porter. Heureusement je vois les membres de ma patrouille ce soir.
Ces drows sont monstrueux. Alors que la patrouille avançait dans une caverne assez grande un carreau a frappé Lark, qui marchait en éclaireur, au niveau du genoux. Nous nous sommes jeté à couvert, mais pas moyen de repérer le tireur, et Lark qui hurlait, un autre carreau l’a alors touché à la main et Germ s’est élancé, un carreau l’a cueilli en plein œil. Nous recherchions encore le tireur quand un troisième carreau a frappé Lark au pied, et c’est Murakim qui s’est élancé, et un carreau l’a frappé en plein torse, il s’est écroulé en regardant le carreau qui dépassait de sa poitrine. J’ai fini par faire tirer au hasard dans la direction approximative du tireur pour pouvoir aller rechercher Lark, le tireur lui a tiré un dernier carreau dans le crâne avant de partir, nous ne l’avons pas retrouvé. Je ne sais toujours pas comment éviter que cela se reproduise, j’ai beau chercher une seule idée me vient à l’idée, abominable, achever celui qui s’est fait blesser.
Année des esclaves : J’ai pu fêter la nouvelle année avec le reste du clan, tout s’est bien passé, même si je ne cessais de penser aux autres patrouilles à l’extérieur au même moment. Et puis le clan a entonné un chant, et ils se sont arrêtés, voyant que je ne le reprenais pas. Je leur ai dit que je ne connaissais pas ce chant, ils m’ont regardé comme si je faisais une plaisanterie étrange, ils m’ont dit que ce chant racontait la réalisation d’un pont sur la route vers une autre forteresse. Je m’en souvenais, ils parlaient des projets concernant ce pont un peu après l’offensive sur la forteresse, il est donc déjà fini ?
Nous l’avons sauvé. Quoi qu’il puisse être dit dans les siècles à venir nous avons réussi à sauver le convoi et les prêtres qui l’accompagnaient. Tout à commencé il y a cinq jours. Nous avons suivions un groupe d’esclaves gobelins à la trace depuis plusieurs jours, nous en étions suffisamment rapproché et j’étais parti les espionner en compagnie de Tordek. Et nous avons surpris une conversation entre un des gobelins et un drow, discussion où il était clairement question d’une cible naine de grande importance qu’ils se préparaient à attaquer. Nous sommes revenu au plus vite à la patrouille et avons juste prit le temps d’encercler leur campement avant de l’attaquer, il nous fallait des prisonniers pour en savoir plus. Malheureusement le seul prisonnier que nous avons réussi à faire fut le drow, et il refusait de parler, quelles que fussent les menaces dont je l’abreuvais, ou les coups dont je me martelais, il continuais de sourire et de se moquer de nous, de notre faiblesse, de notre incapacité à mettre en œuvre les moyens de la victoire. Des heures durant cela continua, je ne sais combien au juste, mais au moment il m’affirma en riant que nous aurions pu les chasser définitivement de ces galeries après leur assaut sur la forteresse mais que nous n’avions pas eut la force de prendre les mesures nécessaires j’ai perdu tout contrôle, tant de morts dont il se riait, et ces informations dont je savais qu’elles étaient d’une importance cruciale. Alors j’ai commencé à l’écorcher, lentement, et il a cessé de se moquer de nous. Peu à peu j’ai vu la douleur et la peur remplacer l’air hautain et supérieur qu’il affichait jusque là. Je lui ai enlevé lambeau de peau après lambeau de peau, lui promettant une mort rapide s’il parlait. Cela dura toute une journée. Une journée entière de mensonges, d’intimidation, de ruses et de torture au bout de laquelle il fini par me révéler que la cible en question était un convoi ramenant à notre forteresse la dépouille d’un héros mort en surface. Un convoi escorté par une dizaine de prêtre de Moradin, tous non combattants. J’ai achevé le drow d’un coup de dague dans le ventre, et me suis retourné. Les visages des membres de ma patrouille étaient gris, consternés et épouvanté de ce que je venais de commettre, j’étais couvert de sang et devais avoir l’air d’un fou. Mais tous avaient aussi l’air résolu, ils savaient où se situait notre devoir. Nous sommes immédiatement parti pour rejoindre le convoi, derrière nous le drow n’en finissait pas d’agoniser, je crois qu’il dut attendre sa délivrance plusieurs heures. Nous n’eûmes aucun problème à intercepter le convoi, mais nous savions que les choses se présentaient mal. Les drows avaient préparé un encerclement du convoi et nous étions déjà dans la nasse. J’ai donc décidé de lancer le convoi avant, au plus vite qu’il pouvait aller, et de le suivre discrètement. Ainsi nous pouvions au moins choisir de n’affronter qu’une partie des forces ennemies, le convoi devant servir d’appât pour pousser les drows à dévoiler leurs positions. J’avais bien précisé aux prêtre de se mettre à couvert dès les premiers carreaux. Nous attaquerions ensuite les drows, prenant juste le temps de les contourner pour les prendre par surprise. Ce plan marcha à la perfection, le convoi avançant, les drows crurent effectivement leur proie arrivée et le prirent en embuscade. Mes hommes et moi nous les avons aussitôt contournés et leur sommes tombé dessus par surprise. Le combat fut rapide, rendu inégal par la surprise totale dont nous disposions. Malheureusement un prêtre avait été tué par les carreaux drows et cinq autres plus ou moins gravement blessés, et il nous fallait fuir les lieux avant que le reste des drows ne nous rejoignent. Je ne sais plus qui a le premier émit l’idée de faire s’ébouler la galerie derrière nous, l’idée était bonne mais malheureusement il y avait à cette endroit de nombreuses galeries parallèles, le problème restait donc entier, à moins de faire s’écrouler la galerie sur les drows, mais comment s’assurer de cela alors qu’ils détectaient nos pièges avec une facilité consternante ? Je choisi alors de faire comme eux-même faisaient, j’ai ordonné à mes hommes de préparer la galerie, et de cruxifier le cadavre d’un des drows face au mur, un carreau enfoncé dans le rectum pendant que je notais dessous en commun le message suivant « Ainsi tomberont tous les drows, race faible et perdue. Voici le rôle de votre race : Nourrir les charognards. » et nous plaçâmes le déclencheur d’un piège de telle manière que quiconque toucherait au cadavre provoquerait l’éboulement de la galerie et nous sommes parti. Deux heures plus tard nous avons entendu un grondement lointain, et nous n’avons plus vu de drows avant d’être de retour à la forteresse. Je craignais que le récit des prêtres et des membres de ma patrouille ne signifient ma déchéance, je venais de torturer, de me servir de prêtres de Moradin comme d’appâts, de détruire une galerie et de manquer de respects aux morts, fussent-ils drows. Au lieu de quoi nous fumes tous félicités pour avoir sauvé la dépouille et les reliques du convoi. Pour la première les gens semblaient marquer de l’admiration et de la gratitude pour nous, pour une fois on reconnaissait les efforts que nous faisions pour la forteresse et les clans. Je bénéficie maintenant de deux semaines de repos, je vais en profiter pour réfléchir plus avant, nous venons de remporter un succès contre les drows, le premier depuis longtemps. | |
| | | sku Adepte du Val (floodeur en devenir)
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| Sujet: Re: [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. Ven 14 Sep - 17:34 | |
| Je m’apprête à repartir en mission, et j’ai beaucoup réfléchi. Si nous voulons combattre les drows de manière efficace il nous faudra appliquer certaines de leurs méthodes. La plupart des membres de la patrouille semblent d’accord sur le principe, mais ils rechignent à envisager des actions concrètes. Pour commencer allons devoir montrer moins de respect pour les galeries, en creuser des temporaires, piéger celles existantes, fermer celles qui sont trop connues des drows.
Quoi que les drows puissent penser, nous maîtrisons bien mieux ces galeries qu’eux. Mais il nous faut pour cela admettre que la roche n’est pas aussi stable qu’elle y paraît parfois, ces galeries peuvent s’effondrer, s’ouvrir, se modifier, c’est en jouant avec cela que je commence à accumuler de plus en plus de succès contre les esclaves drows, mais plus important contre les drows eux-même. Le moral de ma patrouille n’a plus été aussi bon depuis longtemps, j’ai autorisé les hommes à conserver les scalps pris sur les cadavres de drows comme trophées, c’est bénéfique pour leur moral, et ils se battent d’autant mieux.
J’écris ces lignes depuis l’hôpital de la forteresse, un nouveau un tireur isolé à tiré sur notre éclaireur ( fonction que tous les membres de la patrouille, moi y compris, tenons à notre tour ), j’ai ordonné à mes hommes de ne pas bouger, et à Tordek de me suivre, nous avons largement contourné l’endroit où nous suspections le tireur de se trouver, passant par d’étroits passages que nous avions préparé lors d’une patrouille précédente. Nous avons fini par trouver deux drows embusqués, mais l’un d’entre eux nous a entendu nous approcher, ils se sont retourné, et je me suis lancé à l’assaut avec Tordek. Le drow en face de moi tenait une arbalète à une main, probablement le tireur, et se défendait à l’aide d’une de leurs épées aux formes étranges. Nous nous sommes battu sur la corniche rocheuse, seulement séparés du vide par le maigre remblai derrière lequel ils étaient embusqués. Nous nous sommes battu, un combat de plus de quelques passes, signifiant que nous étions sensiblement de même niveau, un combat qui risquait de durer, à moins que Tordek ne se défasse au plus vite du sien, ou que …. Je ne me souviens plus de ce qui s’est passé exactement, Tordek m’a dit être revenu dès qu’il eut abattu le sien, il m’a trouvé au sol, blessé au visage et m’affirme avoir vu une silhouette fuir en se tenant le visage elle aussi, et ma hache était couverte de sang. J’entend notre éclaireur agoniser dans le lit à coté du mien, d’après les médecins il s’en serait fallu de peu pour qu’il survive.
Je suis à nouveau bon pour le service d’après les médecins, mais ce drow m’aura au final prit mon nez et m’aura laissé une large balafre en travers du visage. Ma respiration est désormais sifflante mais je ne ressent pas de gêne. Dans le fond il était étonnant que j’ai duré si longtemps sans souffrir de blessure grave. D’ailleurs je me suis rendu compte que j’étais le plus vieux sergent parmi la reconnaissance, tous les autres étant soit morts, soit souffrant de blessures les rendant inaptes au service.
Merdarak a commencé à se peindre des peintures de guerre, pratique qu’il a vue chez les orques lors d’une guerre à la surface. J’avoue ne pas avoir été convaincu, mais l’effet dans la pénombre des galeries est saisissant. Les esclaves sur lesquels il est tombé lors d’une embuscade en ont été totalement déstabilisés, il en a abattu trois en quatre mouvements de hache. J’ai ordonné à toute la patrouille de faire pareil désormais, rares sont ceux qui se sont fait prier. Merdarak m’a préparé un maquillage spécial, donnant à ma tête l’allure d’un crâne, c’est stupéfiant de ressemblance.
Année de la triade : La peur, les drows s’en servent comme une arme, elle retient le plus brave des guerriers, embrume le jugement du vétéran le plus sage. Si nous voulons les vaincre cette peur doit changer de camp, nous devons nous faire crainte, et comme notre valeur au combat ne suffit pas il faudra nous montrer impitoyables, et le leur faire savoir. J’en ai parlé à quelques hommes, nous allons parler leur langage, puisque c’est le seul qu’ils comprennent.
Nous avons capturé quelques esclaves lors de notre dernière embuscade, ces derniers semblaient tétanisés, il a fallu les travailler quelques peu pour obtenir d’eux des informations, peu utiles, à part celles-ci : Ils ont reconnu notre patrouille et en ont une trouille bleue, ce qui a facilité notre combat, et l’obtention d’informations. La méthode fonctionne donc, mais entre faire peur à des esclaves et effrayer les drows, il y a encore un fameux pas à faire. La preuve est que les esclaves ont encore trop peur de leurs maîtres pour en parler autrement que sous la torture. Ils me surnomment le « guerrier-crâne », mes hommes semblent avoir repris le titre pour parler de moi.
Nous avons commencé à planter les têtes de nos ennemis sur des pieux nous aussi. Nous allons montrer à ces drows qu’ils ont des raisons de nous craindre. Nous allons désormais leur mener une guerre totale, aussi bien dans le monde physique que dans celui de l’esprit. Nous ne les vaincrons qu’en mettant en œuvre les moyens nécessaire. Ils n’ont pas de ville à raser pour les vaincre, ou hors de portée, reste à détruire leurs esprits et leur motivation à se battre.
Il faudra penser à retirer nos maquillages quand nous rentrons à la forteresse. Le clan nous a regardé comme des sauvages à notre retour hier. Rien ne nous a été dit en face, il est vrai que les résultats que nous ramenons sont les meilleurs des patrouilles de reconnaissance.
Certains esclaves ont installé des campements avec femmes et enfants dans les galeries. J’ai décidé de les rechercher pour massacrer leurs habitants. Celà devrait pousser les esclaves à fuir, et augmenter l’exposition des drows.
Traqués ! Nous sommes traqués par une patrouille de drows. Pas un simple groupe de raid, une patrouille visiblement dédiée à notre recherche et à notre destruction. C’est donc que nous les gênons, nous en particulier. Nos méthodes doivent donc être efficace, qu’ils nous constatent est le premier pas avant qu’ils ne nous craignent. Nous allons éliminer cette patrouille de manière exemplaire, pour cela nous les attirons vers une parties des galeries que nous avons récemment bouleversée, je vais leur offrir un cauchemar dont ils ne se remettront pas !
Comme prévu, la galerie s’est éboulée derrière les drows, c’est désormais nous qui les traquons, nous allons les faire mourir lentement, un par un, pour en laisser s’échapper et raconter leur calvaire au autres. Avons pris un prisonnier aujourd’hui lors d’une embuscade. J’ai ordonné de le pendre vivant par ses intestins, et de le piéger si jamais ils essayaient de le décrocher.
C’est fini, deux drows sont parvenu à s’enfuir lors de l’embuscade finale. J’espère que leur récit aura l’effet recherché. Nous avons abandonné les derniers prisonniers que nous avons fait à proximité de la tanière d’un prédateur, blessés et entravés. Je maîtrise désormais cette guerre, c’est ma guerre, et je règne sur ces combats.
Nous avons escorté un convoi dernièrement. Les soldats réguliers de la forteresse et mes hommes ont failli en venir aux mains. Tout cela à cause de quelques esclaves et d’une poignée de drows. Nous avons déjà eut droit à une remarque désobligeante du chef du convoi concernant la tenue de mes hommes, ce freluquet qui a passé les dernières décennies à s’empiffrer dans la forteresse aurait voulu nous dicter notre habillement ? Il a suffit que je le fixe dans les yeux pour qu’il renonce à son idée. Il est hors de question que j’accepte de nous mettre en danger plus que nécessaire, la peur est une arme à laquelle je ne renoncerai pas. Nous avons repéré une embuscade tendue par un groupe d’esclaves et de drows sur le trajet. Et cet abruti de chef de convoi a décidé d’en faire une bataille rangée, je me demande encore comment il comptais s’y prendre. Il a fait avancer ses hommes, en ligne dans la caverne de l’embuscade, et espérait que mes hommes fassent pareil. Nous avons contourné les positions drows pendant que le ligne des réguliers s’enfonçait dans les pièges sous une pluie continue de carreaux, une diversion parfaite en somme. Les visages des esclaves quand nous leur sommes tombé dessus ! A eux seuls ils justifient toutes mes action, cette peur panique, viscérale qui les marquait, ceux qui n’en restaient pas tétanisés tentaient de fuir ou de faire front maladroitement, aucune cohérence, aucune discipline, plus rien que des bêtes affolées que nous massacrons sans problème. Les drows eux-même semblent nous craindre désormais, ils ne nous combattent pas avec le même mépris que les réguliers. La bataille fut rapide, les quelques drows parvinrent à fuir, je suis d’ailleurs convaincu d’en avoir vu un, un borgne, qui me fixait avec de disparaître, je suis sur de l’avoir déjà vu. Et nous parvinrent à faire quelques prisonniers, des esclaves affolés qui parlaient de manière désordonnée, semblant vouloir nous transmettre des information dans le fol espoir de sauver leurs têtes. Le chef du convoi a semble-t’il voulu intervenir lorsque j’ai commencé à les « travailler » pour m’assurer d’obtenir des informations fiables. Où se pensait-il donc ? Et il fut bien heureux de pouvoir utiliser les informations que j’y ai gagnée, elles permirent d’éviter deux autres embuscades plus loin sur le chemin. C’est lorsque j’ai ordonné à mes hommes de cruxifier vivant les prisonniers que les réguliers ont tenté de nous en empêcher. J’ai beau avoir tenté de leur expliquer les raisons de cet acte, la nécessité d’être redoutés et impitoyable ils ne voulurent pas comprendre, j’ai du menacer d’abattre moi-même ceux qui tenteraient de nous empêcher pour qu’ils se calment. Je crois que mon visage effraie même les membres du clan, enfin ceux qui ne sont pas habitué à la rigueur des galeries. Mes hommes signent nos actions désormais, ils ont tracé un crâne de nain aux yeux rouges au pied des esclaves cruxifiés.
Année du vin : Les drows me connaissent désormais, c’est ce qui ressort des interrogatoires que je mène sur les prisonniers, esclaves ou drows. Désormais nous abandonnons systématiquement les prisonniers sur des lieux de passage des drows ou de leurs esclaves, torturés et agonisants. La victoire ici ne se décide pas tant sur le champs de bataille que sur le quantités d’horreurs que chacun est prêt à infliger à l’autre, c’est un duel de résolution et de volonté, que je compte bien gagner.
Remplacer les membres de la patrouille blessés ou tués devient difficile, les nouveaux ont beaucoup de mal à s’adapter à nos méthodes, nombreux sont ceux qui demandent à changer de patrouille dès leur première mission. Certains refusent même d’obéir à mes ordres.
Nos méthodes de piégeage se peaufinent, nous n’avons désormais plus forcément besoin de camoufler nos pièges sur des prisonniers ou des cadavres, mais ils me semblent que la présence des drows diminuent, celles des esclaves est par contre stable, mais il devient très dur de faire des exemples, ils fuient désormais systématiquement une fois qu’ils nous reconnaissent. J’ai croisé un de mes frères hier, il m’a demandé pourquoi je continuais à sillonner les galeries alors que je pourrais demander un poste à l’état-major de la forteresse. Je lui ai répondu que ma place était dans la galerie, à protéger les convois de la forteresse. Mais ce n’est qu’une partie de la vérité, l’autre est que j’ai trouvé ma place, et ma destinée, j’y suis le combattant complet, maîtrisant tous les aspects de sa guerre. J’y atteins une forme de perfection.
Il paraît que les traces de drows comme d’esclaves diminue. Peut-être ont-ils décidé de quitter les lieux ?
Année des perce-neiges : Cela fait maintenant un an ou deux que je n’ai plus vu de traces de drows dans les galeries. Sont-ils vraiment partis ? Je ne sais pas, ce n’est peut-être qu’une nouvelle ruse de leur part. Mais quoi qu’il en soit, on m’envoie à Kharak Drim. Il paraît que des drows auraient été vu là-bas, et on m’envoie les appuyer s’il en ont le besoin. Je n’ai même pas été saluer mes frères et sœurs, à peine ais-je été visiter la tombe de nos parents ava | |
| | | Volvic Gardien des Mystères
Nombre de messages : 11689 Age : 50
| Sujet: Re: [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. Lun 17 Sep - 1:09 | |
| Le changement progressif de l'alignement vers le mauvais est bien rendu, donc, j'accepte ce nain Loyal Mauvais qui devra rester dans les exceptions.
Validé | |
| | | Volvic Gardien des Mystères
Nombre de messages : 11689 Age : 50
| Sujet: Re: [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. Mer 26 Sep - 6:29 | |
| Peux tu renseigner tes ennemis jurés ? | |
| | | genila Esclave de Constantin
Nombre de messages : 2314 Age : 38 Habitat : lille
| Sujet: Re: [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. Jeu 30 Oct - 20:41 | |
| Afin de faire un peu le ménage dans les Bg validés et voir quel personnage n'est plus jouer afin de refaire les quotas si besoin, je voulais savoir si ce personnage était encore jouer. Merci | |
| | | genila Esclave de Constantin
Nombre de messages : 2314 Age : 38 Habitat : lille
| Sujet: Re: [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. Mer 12 Nov - 19:07 | |
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| Sujet: Re: [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. | |
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| | | | [Plus là][Rôdeur/Roublard][N] Merak Kalakson. | |
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