[Validé/disparu][Ensorceleur/Prêtre][DE] Phayza Lan'belorie

Bg Phayza lan’bellorie

Nom du compte joueur forum :Dulcinée-Anhe
Nom du compte joueur module :Phayza Lan’belorie
Nom du perso : Phayza Lan’bellorie
Race : demi-elfe du soleil
Age : 24
Alignement :Chaotique Neutre
Religion : Leira (Dame des brumes)

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Ensorceleuse 18 /prêtresse 7

Arme de prédilection/domaines/école de magie :
Épée longue (Dague)/duperie, magie / illusion

Trait de Caractère :
(Privé) Elle n’est que duperie, sauf lorsqu’elle porte son masque et sa tenue de promeneur des brumes.


(Elle ne parle jamais à voix haute et joue avec les mots lorsqu'elle porte la tenue)

Description physique (Voir description en jeux)

Caractéristiques :Porte toujours sur elle un sac de composante dans lequel il y a une poche secrète contenant une tenue grise et masque d’argent.
Porte aussi au coup, un anneau de mariage qui aux yeux de tous est un simple présent de bethlanie.
Ainsi qu’un tatouage sous son pied gauche qui prouve sa noblesse

FOR :12
DEX :10
CON :14
INT :13
SAG :14
CHAR : 20




Phayza est née sur la Terre du Destin à Huzuz, sa famille fait partie de la noblesse par affiliation, cousin de l'Emir.
Cette enfant était née d’une aliance de sang elfique et humain.
Sa mère étant elfe du soleil émanait de grâce et de beautée sans précédent. Attifée des plus beaux habits, elle parcourait ses terres pour y faire l’offrande d’amour et de joie.
Phayza fût donc dirigée en cette même voie, elle apris l’art de la danse ainsi que toute les convenances digne de sa royautée. Apprenant avant même d’être abilitée à utiliser la toile, les incantions ainsi que les bases de chaque école arcanique poursuivant le don de ses parents.
Étant tout deux sorcier ils espèrait que leur fille possède ce même don en son sang, c’est dans ce sens que l’éducation de Phayza se fit donc.




Une tragédie boulversa cet enfance de festivité continue, la mort de son père alors qu'elle n'avait que sept ans.
Celui ci fut tué par un spectre sous les yeux de sa propre fille, sûrement une invocation d'une famille rivale...
Étant intendante au trône, Phayza dût fuir une mort certaine puis trouver un époux de sang noble possèdant des effectifs supérieur à ceux de l’enemis apte à la défendre.

Son père ayant déjà dressé une liste de prétendant dans le passé pour assurer sa succession, le choix d’époux n’était que resteint.
Étant déjà agée de 11 ans elle fût donc promise au duc Dameriant de Mogador en Cormyr dans la ville Marsembre.


Sa mère, profitant des liens particuliers avec Zakhara commerçait avec succès et fût malgrés tout prospère en se spécialisant dans la vente d’étoffes.
Pour sa part Phayza profitait des luxes de la noblesse en compagnie de son époux qui profitait de la couche sans jamais lui adresser un seul mots si ce n’est que de belles paroles lors des grands bals afin de faire bonne impression.
Malgrés tout elle y trouvait son bonheur.

Les saisons passèrent l’une après l’autre, la jeune femme devint fertile puis à ses 12 ans fût porteuse d’un enfant qui trouva la mort en son corps après quelques mois dût au reflux d’énergie de la toile en sa personne.

Elle déshonnorait donc le duc malgrés elle, suite à cette fausse couche.

L’atmosphère était de plus en plus lourd au château elle vécu dans cette horreur durant une année.

C'est à l'âge de 13 ans que le don de la jeune fille s'exprima d'une manière surprenante.
En promenade dans l'une des luxuriantes forêts qui bordent marsembre, profitant de l'inatention des servantes, Phayza s'éloigna du sentier balisé. Elle marcha sans vraiment savoir où aller cherchant comme toujours à quiter le lieux royal qui lui rappelait tant de mauvais souvenirs, mais elle aimait cet instant de liberté volé et restait émerveillée devant les splendeurs et les couleurs verdoyantes de la forêt. Elle erra quelques heures ainsi.
La nuit tombait vite en cet Automne, les ombres inquiétantes faisaient leur apparition. S'appercevant qu'elle etait perdue, Phayza se mise à crier espèrant entendre une voie lui répondre,elle eut pour seule réponse, le silence de la forêt. Les ténèbres l'enveloppaient doucement, Seluné cachée par les nuages ne l'aiderait pas ce soir.
Terrorisée par les bruits inhabituels, Phaynir s'arreta près d'un tronc d'arbre.
Pendant ce temps là la disparition de la jeune fille fut declarer aux autorites, une battue fut organisee, les enfants de la forêt furent mis à contribution.
Les pisteurs retrouvèrent finalement Phayza, ils s'arretèrent un peu deconcertés à quelques mètres d'elle, un halo de lumière entourait la jeune fille...
Le lendemain, après une bonne nuit de repos, Phayza s'etait rapidement remise de son excursion.
Son époux l'interrogèra sur l'etrange lumière qui émanait d'elle la veille au soir.
Phayza lui expliqua qu'elle avait eu très peur du noir, des bruits étranges et inquiétants que regorgeaient la forêt la nuit tombée. Elle avait imaginé la lueur de Séluné qu'elle voyait si souvent de sa fenêtre dans son lit.
Mais elle ne savait pas exactement comment ce halo est apparu.

Voulant éviter le jugement de la cours, le duc fit en sorte d’éloigner la jeune femme du palais, elle fût donc envoyé à la Guilde de Magie de Suzail afin d’y apprendre le contrôle de son art.

L'apprentissage de l'art arcane débuta pour Phayza, chose particulière elle exprimait son talent aussi bien par la pensée mais également par la danse.
Elle progressait rapidement ne portant plus attention à la vie qui l’attendait en Marsembre.

Depuis le meutre de son père, elle craignait la magie. Phayza ne voulait pas être aussi vulnérable que son père qui était mort simplement car il utilisait celle-ci par le sang et non par les livres comme les autres qui avait prévue sa mort depuis bien longtemps, elle voulait pourtant lui faire honneur malgrés tout.

Ses professeurs ayant compris son desarroit la dirigèrent vers la section des Mages de Guerre, dans la section Mage-Lame sans prendre en compte sa noblesse et ses convenances.
Ses proffesseurs fûrent étonnés par ses connaissances en la magie et les différentes écoles, maniant déjà des incantations illusoires de hauts niveaux puis désidèrent d’exploiter cette puissante force en une si jeune dame malgrés ce que pourrait en dire le Duc.


Elle y apprit le maniement des armes, notamment les épées batardes, ainsi armée, Phayza se sentait plus sure d'elle. N’étant point apte à esquiver les coups vue son agilité médiocre, elle fit donc faire une armure par les hauts mages l’école bien entendu financée par son époux qui ne portait pas attention à une dépence aussi futile.

C'est par cette intermédiaire qu'elle rencontra Bethlanie Selen...
Elle avait le même âge que Bethlanie et comme elle préfèrait la pratique à la théorie, elles faisaient les quatres cents coups ensembles.
Une grande complicité s'etait crée entre elles au fil des années.
Phayza etait souvent reçue au palais royal de suzail, regulièrement invitée par Bethlanie pour les bals et autres festivites. Elle etait tout aussi distinguée que son amie.

Cette vie idylique s'interrompit le jour où Bethlanie decida de partir à la découverte du monde maniant déjà plus que bien l’évocation et contrôlant parfaitement la force de son sang.

Phayza agée de 18 ans, sombra doucement dans une dépression sans son amie, abandonnant les cours et sa progression à la Guilde, elle perdait peu à peu la joie de vivre en imaginant le futur qui l’attendait, c'etait sans compter sur le destin qui lui donna un coup de pouce.

Lors d'une errance dans le quartier des temples en Suzail, celui de Sunie avait les portes grandes ouvertes, un mariage se fêtait.
Intriguée par les éclats de rire et l'ambiance joyeuse, elle s'aventura à l'Entrée puis s'installa près d'une colonne, le temple est bondé. Elle se laissa entrainer par les festivités, diner, bal...

Elle appréciait cette ambiance lui rappelant son jeune temps au côté de sa mère. N’évoluant plus dans ses études elle fût rapidement ramener au château ne retournant plus en ce temple.

À son retour en Marsembre, le Duc demanda à Phayza de lui montrer ses nouveaux talents, celle-ci lui fit donc une danse accompagné par des illusions.

Le priant de Leira resta bouche-bée devant la dame et ses illusions sans pour autant lui laisser parraître,de jour en jour il lui demandait de danser pour elle , puis lui offrait les plus beaux présents sans raison, un acte de tendresse simple sous un masque froid d’insensibilité.

Puis un jour il ce décida à lui apprendre tout sur sa déesse, ne lui mentionnant point le fait qu’elle est peut-être morte. C’est ainsi qu’à la recherche de reconnaissance de la part de son époux Phayza entrepris d’apprendre les dogmes de Leira, le mensonge et l’illusion.

Appréciant l’illusion plus que tout, car celle-ci transphormait le médiocre en perfection, elle se sentie donc touché personnellement par la croyance de son époux puis cette foi devint donc la sienne au fil du temps.
La dame des brûmes l’accompagnait donc en son cœur, lui promètant désormais un futur heureux.

Quelques mois plus tard,la maladie pris possesion du corps de son époux qui sombra dans un sommeil sans fin. Il lui remis à sa mort un masque de couleur argentée en lui faisant promettre de ne jamais révélé à personne l’existance de la brûme en sa vie.

D’une certaine manière, en lui demandant de se taire, il protègait la croyance profonde de Phayza en Leira, si elle vennait à apprendre la mort de celle-ci, elle pourrait perdre l’espoir puis éteindre en elle la foie que le duc avait, au fil du temps, placé en les mains de Phayza.

Elle ce receuillit donc suite à la mort de son époux dans la prêtrise, priant la dame des brûmes durant de longues heures.

Ayant apprécié l’ambiance du temple de Sunie, elle fît croire à tous qu’elle était fille de la dame aux cheveux de feu afin de ne rien révélé tel que promis à son amour défunt.

Après un moment, elle décida de ce rejoindre la seule personne encore vivante en son passé. Sa mère était finalement retourné auprès des elfes là ou Phayza ne pouvait le rejoindre, donc il ne restait en sa vie que dame Bethlanie.


La jeune Prêtresse decida donc de rejoindre son amie après 6 années.
Elle ecrivit en Azurie afin d'annoncer son arrivée, une lettre lui fut retournée par l'Académie Impérial de Magie Azurienne. Sa fidèle amie était partie vers le Val de Bise.

Phayza fit nommé un ambassadeur pour gouverner à sa place n’ayant point de fils pour prendre la place sur le trône.

Elle pris avec elle la fortune personnelle de son époux défunt ainsi qu’un navire de croisière servant à faire escale entre Suzail et Marsembre puis fit cap vers le val de bise.


(Évolution en privé)


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Leira

Le Promeneur des Brumes

Leira était la déesse de la tromperie et de l’illusion, et la patronne des menteurs et des illusionnistes. Elle est supposée disparue dans des circonstances mystérieuses durant la crise des Avatars. Néanmoins, cette secte de prêtres, les Promeneurs des Brumes, reçoit encore de la puissance divine et clame que Leira en est la source.
Cyric est certainement la source clandestine des pouvoirs de ces prêtres, ou il le semble. Bien sûr, quand quelqu’un discute avec une déesse de la tromperie et le Prince des mensonges, personne ne peut être certain de la réalité.

Description
Les Promeneurs des Brumes portent des vêtements légers noirs et/ou gris. Chaque Promeneur des Brumes a aussi une cape tourbillonnante qui est des couleurs autres que celles des vêtements. La cape a une grande capuche, que le Promeneur des Brumes porte souvent, cachant ses traits. Les Promeneurs des Brumes portent toujours des chaussures à semelle silencieuse, qui ont donné leur nom. Les armures plus lourdes que celles de cuir ne sont jamais portées, les boucliers ne sont jamais utilisés, et leurs armes favorites sont les épées courtes, les dagues, et les garrots. Les armes à 2 mains leur sont interdites.

*Port d'un vieux masque d'argent, transmis entre les priants*(Rare)

Rôle
Leira est-elle morte ? Les Promeneurs des Brumes préfèrent éviter la question. Visiblement, ils reçoivent sorts et pouvoirs, mais est-ce de la Dame des Brumes ou de Cyric ? Les Promeneurs des Brumes aiment jouer avec les mots, et ils ne donnent jamais une réponse directe, quelle que soit la question ou le sujet.
Les Promeneurs des Brumes n’élèvent jamais la voix. Ils parlent et se déplacent doucement, comme la brume et les ombres. Même quand ils racontent la vérité, ils semblent toujours cacher quelque chose.
Les mensonges sont courants pour les Promeneurs des Brumes, et ils peuvent tisser une toile de tromperie mieux que quiconque à la surface des Royaumes. En fait, ils s’évaluent eux-mêmes selon leurs mensonges.
Beaucoup de Promeneurs des Brumes apprennent les bases de la comédie et du déguisement en même temps que leur apprentissage clérical habituel. Meilleur acteur une personne est, plus convaincant sera son mensonge.

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La Dame des Brumes avait comme principaux fidèles des illusionnistes et des voleurs. Ses prêtres étaient connus pour ne jamais dire la vérité et pour porter des masques en argent, certains ayant de fort pouvoirs magiques.
Leira fut tuée par son ancien allié Mask et par un humain, Cyric. Depuis la mort de Leira durant le Temps des Troubles, ces masques sont devenus rares. Même si son portfolio est allé à Cyric, peu de ses suivant ont suivi le Dieu Fou. Certains anciens clercs continuent à prier leur déesse, persuader qu'elle est encore en vie. Ces derniers temps, ceux-ci reçoivent à nouveau des sorts, et il semblerait que Cyric n'y soit pour rien.

Le symbole de Leïra est un triangle pointé vers le bas et rempli de tourbillons de vapeur

Clergé : Les prêtres de Leïra étaient célèbres pour leur masques opaques semblables à ceux des Seigneurs d'Eauprofonde. Il n'en reste plus guère depuis le Temps des Troubles.
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Au chaud au cimetière

*Réactivation*

*Le journal de la dame*

Vois Qui Je Suis

La peur de l'inconnu
Assombrit nos coeurs aujourd’hui

Entre dans mon monde
Vois à travers mes yeux
Essaie de comprendre


J’ai trop rêvé
Mais qui peut nier
Que c'est la meilleure façon de vivre
Entre la vérité et les mensonges ?


Vois qui je suis, ouvre les yeux
Perce la surface, perce l’argent
Tends le bras vers ma main
Tend l’oreille pour écouter les battements de ma faiblesse contre ton esprit simpliste
Ce n’est pas la fin

Montrons-leur la vraie figure
Qu’ils osent porter leurs injures
Je te protègerai
Cœur de pierres issu de l’innocence
Brise la glace qui te retient

Que ma personne libère son esprit et trouve son chemin
Que se masque soit le reflet de mon illusion
Que toi petit être, tu sois le plus grand des princes
Et que la vierge comble tes lacunes
Le monde est un livre ouvert
Ne demandant qu’à être lut
N’entreprend pas seulement sa lecture
Réitère le à ton image


La peur flétrit l'âme
Au point de non-retour
Nous devons être le changement
Que nous souhaitons voir


*Signé* Phay Zaniel Ita'Istar

Son mirroir est le reflet de sa vanité
Sa malice l’image de son envie
Sa lame le chatoiement d’une avarice sanglante
Son attaque le rugissement de sa colère
Son hésitation portrait sa paresse
Ses désirs viscéraux arborent sa gourmandise
Par luxure son corps réclame suprématie

Je m'approchais doucement, mes pieds nus glissant sur le sol, cette voix du fond des ombres clamaient ma venue, j'avançais tandis que la musique grandissait, se resserrait autour de moi. Je commençais à me laisser porter par les filins de celle-ci. Elle enflait, grandissait, s'accélérait, je n'entendais plus qu'elle.

Je me mis à tournoyer, fermant les yeux tout en entreprenant cette mélodie. Un éclair bleuté glissait du ciel pour s'abattre sous mes pas. Les voiles de ma tenue n'était plus que brume s'enlacent contre ma personne, caressant ma peau.

Des larmes coulants sous l'illusion d'argent et seul, un soupir a la main, je me fait larme sous la nuit des masques. Je murmurait des mots soufflés par le vent.''Je voudrais avoir un visage Leira, juste une fois''

Ma vision se brouilla, des points de couleurs apparurent devant mes yeux, j'étouffais, la musique m'étouffait. Je commençais à m'enfoncer dedans, à tomber au centre de la toile qu'elle avait dressée autour de moi.

Soudain, j'entendis des pleurs réclamer ma présence. J'ouvrais les yeux, seule dans ce lit froid et vaste, je détournais le regard vers cette petite chose un sourire maternel apparaissant sur mes lèvres.

''Tu es là, ma vérité''

Je prennait l'enfant en mes bras, ce fils que m'avait offert les brumes. Je lui chantait la berceuse d'un mort avec toute la douleur qu'il m'était possible de lui offrir. Apprend à vivre dans la souffrance mon amour et se monde d'illusion sera tient, je serai ton masque et toi, l'élu des brumes tu seras ma gloire.

Je le tennais fermemant contre ma poitrine, le protègeant contre le monde entier. Des parents pleuraient à mes cotés, leurs enfants enlevés,torturés, décédés.Une étrange douleur se formait en mon abdomen, j'avait peur de le perdre et qu'il souffre. Il m'observait de ses grands yeux reflètant l'innocence, souriant sans raison d'un air me rappelant mon passé.

Je bordais le petit lui chantonnant la berceuse bardique que le mort m'avait appris, puis me dirigeait vers le couloir, refermant la porte j'aperçus Philésius, me dirigeant vers cet homme mystérieux dont la présence me rassure.

Je lui adressait une énigme et il répondait de même par une autre devenant peu à peu une valse de mots, puis à travers ceux-ci des éclats qui pénètrent dans ma chair.

Le mort m'avais trahis avec une autre, j'avais osé croire en cette illusion, mais elle n'était que tromperie.

Je quittait la place un sourire faux aux lèvres illusoires.

Qu'elle sotte...

Après quelques jours d'oublie, je me dirigeais vers les cuisines mon ventre espérant la moisson.

Sur mon chemin une femme semblait triste, ce Sergent qui voulait partir vers une mort certaine.

J'observait le regard familier de cette femme, puis la douleur de cette mélodie revenait encore et encore.

D'un coup de tête j'allais vers elle lui promettant de ramener l'homme en vie.

Je suivait cet homme vers une ville du nom de Targos sans réfléchir, puis tel que prévus, il fût blessé puis mis en chaine. (On va éviter de parler de l'implosion de la Loviath)

Après un moment de réflexion, j'allais simplement frapper à la porte pour que l'on m'ouvre, les laissant me passer les chaînes. Une fois rendue au côté de se sergent qui baignait dans son sang, je profitais de l'inattention du garde pour faire les soins nécessaires pour le maintenir en vie. Par la suite, j'attendais l'arrivée du négociateur le menaçant avec des sottises de ma réalité de duchesse. Puis ensuite, il me laissait partir chercher les fonds pour acheter l'esclave. J'ai payé, il fût libéré par une Loviath avec sa femme.

Le lendemain, je demandais à la femme en question si l'autre qui pleurait le départ du sergent partageait avec elle son époux. Elle n'a pas apprécié et en un seul moment j'avais cet homme me criant toutes les insultes du monde.

Les humains sont pitoyables, j'aurais dû le laisser s'éteindre là-bas.

J'affichait mon plus beau sourire sous les coups violents de ses paroles, la souffrance rend fort.

Pour une fois je donne raison aux Loviaths, quel magnifique mascarade.

Puis, sans même avoir le temps de le réaliser, j'étais en pleur en train de fuir vers l'étage comme un chien battus et faible. Je prenais mes sacs, je traversais la place centrale ou tous semblaient oublier ma présence me dirigeant en direction de la forêt, encore une fois cette musique se faisait lourde à mon oreille, je perdais peu à peu la vue puis pieds pour frapper violemment le sol de mon corps.

Puis à mon réveil, mon dos était lacéré de coups de fouets et mes pieds voulaient se faire cendre sous la brûlure. Cette mélodie m'apaisant encore une fois, je fermais les yeux.

Pour finalement reprendre conscience aux côtés de Sethainal, pourquoi cet homme veille sur moi?

Pourtant je ne fais que me servir de lui, le trahir et il reste. Il sera donc désormais chevalier de ma cour, un frère d'arme dans un combat contre la vie.

Après quelques jours de repos, je quittais la pièce pour continuer ma vie comme si de rien était, sur mon chemin je croisais à nouveau Philésius, cette fois il me dit en ses mots que mon sourir n'avait plus la force de cacher ma tristesse, une gifle... J'ai fui?...Pourquoi je...*Soupire*

Cet homme maître de la tromperie était un exemple à suivre, pour retrouver ma force, mon illusion.

Je m'attachait à cette personne, était blessée par ses menaces, fouillait dans ses livres, écoutait ses histoires, l'entendais mourir, ouvrait mon bras dans ses couvertures pour m'endormir avec son odeur dans les narines à jamais, mon sommeil étant brusqué par ce pervers, cet idiot Erk qui tâchait de recoudre le tout... Une vie pour une vie..... Je comprend, j'entendais la musique puis les réprimandes de Baren qui lui disait de me laisser mourir. J'avais du mal à respirer, j'étais déprimée, j'entendais les pleurs de ma vérité me donnant la volonté et le désir de le réconforter, il a besoin de moi.

Les cris s'éloignant de plus en plus, cette musique me torturant à nouveau l'esprit, je perdais le contrôle.

Je me réveillait ensuite avec une tête d'homme à mes côtés. Lui? que fait cet homme à mon chevet?

Pourquoi je ne suis pas seule?...

''Phay je vais revenir plus tard, tu devrais te reposer''
Épuisée, j'exécutais les ordres pour sombrer dans ma rêverie. À mon réveil, il était encore là ce maskarite?....humm cyrisquiste? Je n'ai pas d'information assez précis...qu'es qu'il me veut?

Je ne veux pas vivre...laissez moi, vous qui allez tous disparaître et me laisser seule un jour...me trahir!

Tu veux savoir pourquoi? Tu veux connaître mon histoire?

Ensuite si tu me trahis je devrais t'égorger...

Par la suite aura-tu la force de rester à mes côtés dans cette mascarade?

tu voudras bien me protéger contre l'illusion elle-même?

Reste près de moi, raconte moi une histoire sans ne jamais qu'elle s'envole.

''Famille....'' Le passé revient au galop



(C'est moche XD)

Phayza utilisait à la base la magie illusoire pour perfectionner son art de la danse, elle accompagnait le tout par des chants qu'elle récitait à l'aurore en l'estuaire de la Mirar.

Peu à peu en espionnant les bardes du théâtre de Luskan et de l'Arcania, elle porta une attention toute particulière à la méthode d'incantation qui était d'exécuter la magie par les chants et la vibration des sons.

N'utilisant que sa voix pour ses incantations arcaniques, elle pris donc une envie incontrôlée d'exploiter l'art vocal.

Elle se mis alors à chanter ses incantations arcaniques ce qui n'a eu aucun impact.

Elle se mis ensuite à rédiger des poèmes, écrire des histoires et chantonner à bon vent ce qui améliora ses capacités vocales et de rédaction. Peu à peu elle développait ses talents d'artistes.

Validé pour le reroll.
Peux tu changer ton encart ?

Bg Phayza lan’bellorie

Nom du compte joueur forum :Dulcinée-Anhe
Nom du compte joueur module :Phayza
Nom du perso :

Phayza Lan’bellorie
(Nom de naissance et d'alliance)
Phayza de Marsembre
(Nom de noblesse, dûchesse)

MORT DE L'ÉPOUX

Phay Zaniel Ita'istar
(nom de sa nouvelle alliance)
Aime tromper les gens donc se surnomme Z.I

MORT DE L'ÉPOUX

Phayza de Drakemort
(Suite à son union secrète)

MORT DE L'ÉPOUX


Race : demi-elfe du soleil
Age : 25
Alignement :Neutre
Religion : Elle n'aime particulièrement pas tymora et ne s'oriente plus vers leira.

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Ensorceleuse 21 /bardesse 4

Ancienne prêtresse fille des brumes de la vierge de la tromperie

Arme de prédilection/domaines/école de magie :
Épée longue (Dague)/ illusion

Trait de Caractère :
Caractère changeant selon la personne à qui elle s'adresse

Semble impulsive mais agis de manière calculée et tactique.
Semble folle mais l'est d'une tout autre manière que celle démontrée
Douce et tendre avec sa famille.
Se cherche face à ses réactions avec autruit, est donc très naive pour l'instant s'attachant à la moindre personne qui lui offre protection.
(déprimée en se moment suite à la mort de son époux)

Elle a plusieurs gardes du corps et les manipules
Sauf les cyriquistes qui s'utilisent mutuellement (gloire?)


Description physique:
(Voir description en jeux)

Demi-elfe du soleil de sang oriental à la taille fine, le teint doré, blondasse
yeux vert aux contours miel et gris.
de taille moyenne pour sa race.

Caractéristiques :
Porte toujours sur elle un sac de composante dans lequel il y a une poche secrète contenant une tenue grise et masque d’argent.
Porte la chevalière de Lanael à son annulaire gauche, ainsi qu’un tatouage sous son pied gauche qui prouve sa noblesse.
De nouvelles cicatrices de brûlure à sa jambe droite ainsi que plusieurs marques de lacération dans son dos.


FOR :10
DEX :8
CON :16
INT :16
SAG :10
CHAR : 20

*Disparition de Phayza*

Mes pupilles dilatées cherchait en vain une ombre d’espérance à l’horizon, jusqu’à l’appel familier de Nathanael réclamant mon sein. Je me détournâmes donc de ma rêverie pour afficher à nouveau cet air inhumain de coutume.

- Tout les sacs sont en calle capitaine?
-Certes Duchesse, comme promis nous sommes prêt à lever l’encre.
-Veuillez ordonner le départ avant l’aube.
-Soit, il en sera fait selon vos ordres.
- Vous aurez votre part du marché et la carte comme le stipule notre contrat. Si nous ne sommes point à destination dans trois lunes, votre navire sombrera de leur main par les flammes.
-Je n’en attendais pas moins de votre part.
Étant fin près à quitter les rives de Leilon en compagnie des richesses de la Baronne Shademar, plus exactement de celles de la citée luskanienne. Je pris les derniers instants restants pour déposer un chêne naissant sur la tombe de ce qui aurait dût être la descendance des Drakemorts, espérant un jour joindre mes cendres aux leurs.
J’abreuverai cet arbre roi, du sang de ceux qui ont causé leur perte.

Rejoignant mon fils à bord du navire, me laissant porter aux quatre vent sur les courbes d’Umberlie, je quittais donc les terres du val de bise en direction du Cormyr suivant un cap aux destinations bien précise.
Après deux lunes et des poussières le contenu du navire fût déchargé au point premier du voyage, la somme étant divisée de manière prédéterminée entre quelques personnes.

Le navire repris sa route vers Marsembre tandis que ma personne et Nathanael entreprenions la découverte de notre nouvelle demeure, une maisonnette traditionnelle et paisible.

Je mis le petit au lit pour conclure au pied du foyer a écrire l’Histoire qui allait être mienne, j’étais ainsi retournée en Marsembre ou nous passâmes donc bien des nuits au Duché de Marsembre, Présentant mon fils durant de longues heures à la noblesse des alentours lors de grands bals, sans oublier les ragôts fait sur ma personne.

C’est ainsi que prenait vie l’histoire qu’y aurait dût être mienne sur un simple bout de parchemin.

La vrai raison de cette absence de vérité était une recherche inexpliquée de simplicité.
Depuis ma naissance je désirais profondément ressembler à ma mère qui, malgré sa noblesse possédait un esprit libertin s’émerveillant de toutes choses.
Mon cœur refusais ce qui lui était aisément offert, il cherchait désespérément à se battre pour survivre, ce qui était durement gagné apportait un sentiment bien différent qui était jusqu’à présent inconnu de ma personne, une satisfaction n’ayant pas de prix que je désirais plus que tout conservé.

À l’aube, je labourais ma terre à l’aide de bœuf et j’aidais au moulin pour finalement revenir épuisée, quelques pièces en main. Je profitais des moments de répits pour informer mes contacts sur d’éventuelles attaques et y joindre quelques missives à l’intention mes proches. Pour conclure, je dût offrir quelques nuits de service à l’auberge voisine, mettant à distribution mes écrits et mes chants afin de gagner de quoi payer la nourrice.

L’hivers fût pour moi, plus rude que tout ce que j’avais imaginé, je dût revenir au Palais marchand en Lorgol pour reprendre mon logis, qui étrangement avait été acheté par ce vil Hog et réclamé ensuite par un homme hautain mais ambitieux.
Je réclamais donc ma chambre tenant fortement à mon historique étant peint sur les murs de celle-ci, en échange de mes services aux seins de la ligue.

Ayant quelques accords à faire au sud avec de vieux amis, je mis pied en Luskan, confiant après une brève discussion, Nathanael.
Je fît par la suite une rencontre inattendue avec dame Mystik et ses amis, deux dames de sharess probablement vue leur union libertine entre-elle et un fou qui pris la peine de m’offrir une baignade involontaire.

C’est à l’aube de ce nouveau jour que j’ouvre les yeux sur une peinture de ma propre mort aux côtés de mes proches, l’administrateur requière ma présence en la salle commune puisqu’une réunion se prépare concernant les nouveaux arrivages.
Je me remémore cette discussion des plus anodines ayant eu lieu quelques nuits plus tôt dans les couloirs de l’auberge Garfaux. Je devrai inévitablement observer les moindres gestes de cette personne et faire un choix concernant son offre.


(Et nah je veux pas être en évolutif *gros yeux à Vonvon*)