Le Val de Bise - Module NWN
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Le Val de Bise - Module NWN

Forum du Val de Bise, module RP de Neverwinter Nights
 
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 [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.

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3 participants
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Montpalmes
Eclaireur du flood



Nombre de messages : 12

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MessageSujet: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyVen 3 Aoû - 23:22

Précisions :
Moi et Lizbeth jouons de concert, et ce faisant, on a décidé de vous donner un BG commun élaboré ensemble. On aimerait pouvoir poster par la suite des petits épisodes rédigés du passé eventuel ou d'évènements IG sans en faire un BG evolutif, mais par pur plaisir de jouer et d'enrichir le RP et le personnage, ou par plaisir d'écrire! ^^
Enfin, les deux personnages datent, surtout Catherine, et ce BG arrive donc alros que les RPs ont été lancés il y a un an, puis repris il y a quelques semaines, et que les persos sont deja haut niveau.


Citation :


1er perso : Catherine.


Nom du compte joueur forum : Montpalmes

Nom du compte joueur module : Catherinne

Nom du perso : Catherine de Montpalme.

Race : Humaine

Age : 30 visible

Alignement : Chaotique mauvaise.

Religion : Principale Shar, secondaires Tiamat et Loviatar.

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Ensorceleuse deja 25 ce qui n'est pas sensé bouger :p

Arme de prédilection/domaines/école de magie : Dague/Sceptre/Necromancie/Evocation.

Langues : Draconique et Commun

Trait de Caractère : Impulsive, sadique, violente, raffinnée (aime les belles choses, issue de la noblesse), aime prendre les devants (oratrice). Le but est de concilier à la fois un personnage de la haute société, qui aime la poésie, la philosophie, les arts, mais qui a été emmené durant sa jeunesse à suivre une philosophie de vie égoiste et malsaine, ce qui tranche fortement.

Description physique : Pas très grande, Dame Catherine mesure environ 1mètre soixante. Sa peau, très pâle, semble poudrée mais naturellement claire, réhaussant le noir profond de ses pupilles, et de ses cheveux. Ces derniers, retombants de manière impeccable sur els épaules sont parfois coiffés d'une barrette de jai que l'on remarque à peine. Son corps est quant à lui couvert de courbes noires et pourpres, mêlées à de fines scarifications, en hommage à Shar, Loviatar et Tiamat, ses trois religions. Ainsi, elle porte en son dos un tatouage représentant un dragon noir. Sur les jambes et les bras, notamment els mains, des scarifications Sharistes l'ornent, et sur le ventre des scarifications dédiées à Loviatar sont inscrites à même la chair.
Toutefois, on ne voit que très peu de ces trois éléments, car bien que son corps soit à lui seul une oeuvre d'art, elle le met en avant grâce à de lourdes robes, de velour, toujorus noires, ou sombres. Soignée, élégante, elle a souvent un peu de tabac qu'elle roule, et une dague, ou un sceptre. La lame est d'os, aussi blanche que sa peau, et le bois noir comme sa robe. C'est tout un style, comme si elle voulait se montrer uniquement affublée de deux couleurs en opposition, dont une, le blanc, serait écrasée par la masse sombre.

Langues parlées : Draconique, Commun.

Caractéristiques :
FOR : 8 (nobliaude quiche)
DEX : 8 (idem)
CON : 16
INT : 12
SAG : 8 (quant on aime la philo et qu'on arrive à dire que Tuer c'est bien ... on a raté un chapitre.)
CHA : 22

BREF HISTORIQUE :

D’où vient-il (origines, passé, enfance…) ?

Catherine de Montpalme nait et vit ses premières années dans la demeure qui se trouve être un vieux château sombre et inquiétant, niché sur une falaise bordant le Lac des Dragons, au nord ouest d'Amn. Elle vit ensuite dès l'âge de dix ans à Atkatla, avec une lointaine parente, et revient finalement à Montpalme, pour finalement quitter ses terres en quête d'une insouciance passée, vers le Val de Bise, avec Lizbeth.

Quels faits marquants a-t-il, éventuellement, vécus (qui peuvent expliquer sa vocation, son orientation, son caractère…) ?


C'ets je pense ce que j'ai voulu mettre en avant dans ce personnage : le "mal" mais pas le mal brut, bête : tuer pour tuer. C'est en fait le mal méthodiquement justifié et soutenu apr un raisonnement, le mal malin, intelligent, prôné par une oratrice. Il y a donc bien sur une explication au mode de vie de Catherinne. Tout d'abord, elle a vécu dans une famille vouée à la magie Noire et à Shar les dix premières années de sa vie, ce qui ne l'aide pas lors de son départ à Amn avec Lizbeth, à être un ange tendre et compréhensif. Durant son adolescence, au vu du fait qu'elle est exubérante, et qu'elle a de l'argent, elle s'invite avec Liz dans les soirées mondaine, et connait le grand monde, puis le grand monde moins fréquentable, sur le conseild e ses parents, et sombre peu à peud ans le secret des Loviates et des disciples de Shar. Elle étudie la mort, le désir, et justifie une approche égoiste de la vie, avec l'aide de sa cousine, et de son arrogance. Voila un peu ce qui la mène vers un côté plus sombre. Dès que ses pouvoirs naissent vraiment à l'adolescence, et qu'elle goute à la magie noire de Shar, grâce à l'héritage de dragon noir qu'elle détient, comme Lizbethd 'ailleurs, elle ne peut plus s'en passer : la magie étant pour elle une drogue.

Pourquoi a-t-il choisi de suivre le voie qui est la sienne (explication quant à ses choix personnels : classe(s), divinité, faction, mentor…) ?

J'ai deja un peu répondu avant. On peut trouver que jouer un perso Chaotique est assez osé quand ce dernier est respectueux de son passé, mais ilf aut bien voir que Catherine a une famille ou la présence de sang draconique noir est avérée depuis des générations. Exactement comme ses aieux, elle apprend à rendre hommage à Tiamat, puis Shar, avant même de savoir lire, ou écrire. C'est pour elle une tradition indubitablement impossible à trahir. Ca fait partie d'elle dès son plus jeune âge, et bercé dans un milieux quasi sadique, sombre, extravagant, ou extraverti, elle ne peut que peu à peu dans son adolescence sombrer sur une voie similaire.
Le pouvoir ne fait que confirmer ce à quoi elle était vouée.

Quel apprentissage a-t-il suivi (les diverses étapes de son instruction, ses maîtres, ses expériences…) ?

Cath suit dès son plus jeune âge l'instruction des nobles et des religions familiales auprès de sa famille, puis elle apprend la philosophie à Atkatla, et part dans els campagnes environnantes régulièrement jusqu'à ses 20 ans pour perfectionner son don sur des cobayes choisis parmi ses amants. C'est là qu'elle apprend à mieux comprendre son héritage des dragons noirs (evoc) et son lien avec la toile sombre (nécromancie). Ensuite elle entretient ses pouvoirs, les fait croitre même pendant dix ans ou presque, tout en gérant les affaires du chateau familial dont elle hérite.
Dernbière chose, sa vie dans les soirées mondaines, et le monde des riches héritiers de la région, a fait d'elle une oratrice, cultivée, mais qui brille par sa facilité s'expression. Elle fait de belles phrases, se montre éloquente, distinguée, ou sauvage, en essayant d'analyser son itnerlocuteur et de s'adapter à son caractère.

Pourquoi se retrouve-t-il au Val de Bise ?

Ses retrouvailles avec Lizbeth sont pour elle la fin de son exil à Montpalme, et le retour de la vie mondaine, et des soirées de sadisme et de messes noires. Elle décide donc de s'éloigner pour revivre ce qu'elle a vécu à Atkatla, laissant le château à ses domestiques un temps (elle y revient régulièrement > à chaque absence irl de ma part).
De plus Catherine voue une véritable affection (la seule qu'elle ait) pour Lizbeth, et décide de partir pour rester seule avec elle. C'est l'idée du désir de retrouver une jeunesse inssouciante dix ans après avoir arrêté l'aventure. La Val est tout indiqué, car situé vers l'épine dorsale du monde, un endroit montagneux, inconnu, et ... suceptible d'abriter les dragons auxquels elle voue une véritable admiration grâce à ses zones marécageuses : les grands noirs.





Citation :

2ème perso : Lizbeth.

Nom du compte joueur forum : Montpalmes

Nom du compte joueur module : Lizbeth

Nom du perso : Lizbeth De Montpalme.

Race : Humaine.

Age : 30 visible ...

Alignement : Neutre mauvaise.

Religion : Shar en principale, Loviatar et Tiamat en secondaires.

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Enso 20 actuel (reprise du perso) et rpévu en Enso 25.

Arme de prédilection/domaines/école de magie : Nécromancie/Evocation/Sceptre

Langues : Draconique, Commun.

Trait de Caractère : Violente, sadique, masochiste, encline à s'adoner à tous ses désirs quels qu'ils soient au détriment de la diplomatie ou du cour des évènements. Lizbeth est une femme violente, complexée, qui a eu du retard sur Catherine pour maitriser sa magie, et qui lui voue une admiration qui n'a 'égale que son amour pour elle. Plus qu'une femme que tout vouait à Shar, et Loviatar, ou Tiamat, elle a été convaincue par sa comparse, ets 'est adapté à ses envies folels par affection pour elle. (plus neutre que Chaotique)

Description physique :Lizbeth est assez grande, mesurant environ 1m75, et a une taille de guêpe. Fine, délicieuse à observer, elle a tout d'une sorcière, de ses yeux envoutants, au cheveux noirs de jai. En vérité, sa peau pâlote, poudrée, et ses robes noires, ou ses cheveux, contrastent idéalement pour attirer l'oeil sur son corps, et attiser les convoitises de ses victimes. Véritable veuve noire, elle garde une démarche élégante, mais simple. Toujours vêtue de manière soignée, elle porte souvent des robes très proches dans les tons de celles de sa compagne.
Enfin, elle arbore les mêmes tatouages, et scarifications, que Catherine lui avaient "offerts" à l'occasion ...

Langues parlées : Draconique, Commun.

Caractéristiques :
FOR : 8
DEX : 8
CON : 16
INT : 12
SAG : 8
CHA : 22 (au final)

BREF HISTORIQUE :

D’où vient-il (origines, passé, enfance…) ?

Lizbeth est née dans els plaines au nord du lac des Dragons, dans le manoir des Montcombes. A ses dix ans, elle part pour Atkatla avec Catherine, et y découvre la vie citadine et mondaine, tout au long de son adolescence. Ce n'est qu'à la fin de sa formation, à peine plus jeune que sa cousine, qu'elle rejoint Montcombes. Ses parents décèdent, et elle se voit chassée de ses terres par les paysans malmenés, sous l'impulsion d'un seigneur Local avide de pouvoir. C'est ainsi que quelques années après la séparation des deux femmes, au vu du "drame" nobiliaire qui tourmente Lizbeth, elle prend jurifiquement le nom de Montpalme sous l'appui de Dame Catherine, grâce à son vieux lien de parenté et son don proche du sien, et recoit une partie de la propriété de sa compagne, afin de garder sa particule.
Son enfance, elle, est celle d'une jeune fille dont els parents bien que mages noirs, préservent de toute influence. C'est ainsi, ingénue, qu'elle tombe entre les bras de la jeune Catherine qui devient une amie, puis une compagne au fil du temps, plus qu'une cousine. Et elle l dirige tout naturellement vers la voie ou elle était destinée ...

Quels faits marquants a-t-il, éventuellement, vécus (qui peuvent expliquer sa vocation, son orientation, son caractère…) ?

Lizbeth était et est d'un naturel assez "calme", bien plus que sa cousine. en tout cas.
Souvent pragmatique, moins chaotique, elle hésitait à ses debuts à se vouer au meurtre avec la joie malsaine dont sa cousine disposait. Au fil du temps, apr amour pour Catherine, Lizbeth décide d'entièrement la suivre dans ses messes et ses rituels. Le calme avant la tempête comme on dit, car à l'image de sa cousine, une fois touchée par la magie noire, grisée vers ses 15 ans par le pouvoir qu'elle possède, c'est bientôt pour elle une necessité et une envie, qui, qui plus est, comble au mieux sa comparse.
Peu à peu elle se soucie donc moins du sens de la vie, comme bien des nécromants, et semble vivre dans un monde différent, ou seule sa philosophie n'a de place... aux côtés de son idole et amante C'est le début de la perversion.
Sa sollitude à Montcombes et les problèmes qu'elle dfoit affronter à son retour la perturbent, et rendent difficile pour elle la maitrise parfaite du don, qui gagne en puissance, mais perd en contrôle, ravageant et détruisant.
A son azrrivée au Val, Lizbeth toutefois, n'a comme Catherine qu'une envie : revivre un peu du bon vieux temps ... et s' "amuser".

Pourquoi a-t-il choisi de suivre le voie qui est la sienne (explication quant à ses choix personnels : classe(s), divinité, faction, mentor…) ?

Une enfance neutre aurait pu la disposer à un avenir plus moral et plus juste, mais son lien avec la branche familiale de catherine, et l'attrait du pouvoir, du plaisir, de la domination, que sa compagne lui apportaient, ont fait d'elle ce qu'elle est devenu : un être sans foi ni loi, vivant pour sa douce, et aimant les "bonnes" choses ...
Elle vit de plus à Atkatla les mêmes aventures que Catherine, rencontre els mêmes connaissances, et surtout, partage une même liaison avec la magie draconique des dragons noirs. Elle a donc tout pour devenir une ensorceleuse dite mage noire, sous une influence extérieure toute désignée.

Quel apprentissage a-t-il suivi (les diverses étapes de son instruction, ses maîtres, ses expériences…) ?

Lizbeth recoit de nombreux cours durant son enfance, puis suit tout comme catherine une éducation noble, mais vouée à la magie noire durant les années passées à Atkatla.
C'est pour elle l'occasion de s'instruire, d'apprendre. Toutefois, plus que de sa verve, c'est de son physique qu'elle aime jouer : bien plus que sa chère et tendre. Elle délaisse donc l'art oratoire, bien qu'elle poursuive son apprentissage de la philosophie pour plaire, restant en rpésence d'inconnus plus réservée, ce qui sert ses méthodes de séduction.
Son éducation magique, elle, se fait en compagnie de sa compagne, aux alentorus de Atkatla, au jour le jour sur des cobayes, et au fil de ses expériences. Peu à peu, elle prend même le dessus sur la compagne et va plus loin encore, dans l'étude de sa magie, mais aussi dans l'immoralité totale de leur mode de vie, poussant un peu plus le vice, et les limites de la raison. C'est un peu d'ailleurs le but de mon personnage, Lizbeth est à la fois celle que tout pousse à ralentir Catherine, mais qui au final renferme tant ses émotions qu'elle finit par exploser et propulser sa comparse vers la follie, en jouant de l'influence sous entendue qu'elle possède finalement; car même si Lizbeth obéit beaucoup à catherine, Cath ne peut pas se passer de Lizbeth, et cette dernière a toujorus le dernier mot.

Pourquoi se retrouve-t-il au Val de Bise ?

Après avoir rejoint Catherine en Montpalme, les deux s'en vont pour l'épine dorsale en quête de connaissances draconique et d'amusement. La nouvellement nommée Lizbeth de Montpalme agrée docn avec joie au choix de sa douce , et se joint au voyage ... aussi avide qu'elle d'en savoir plus sur sa magie, et le passé de l'honorable race des dragons, mais surtout, désireuse de reprendre ses vieilles activités nocturnes et décadentes.



Première partie du BG (narré) à venir dans la soirée : Les retrouvailles de deux Succubes sollitaires.


Dernière édition par le Ven 7 Sep - 23:50, édité 2 fois
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Volvic
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyDim 5 Aoû - 4:42

Peux tu développer cette magie noire ?
Ton perso Maîtrise la toile d'ombre ?
Es tu pret à accepter les contre-coups de l'utilisation de la toile d'ombre ?

Peux tu développer un peu plus les dogmes de Shar ?

Peux tu créer deux postes différents pour les persos afin de faciliter par la suite les recherches de bg ?
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Volvic
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyMer 8 Aoû - 0:26

vous avez jusqu'à Samedi pour écrire une suite, sans quoi c'est la suppression.
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Montpalmes
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyMer 8 Aoû - 20:20

A chacun ses contretemps, y'en a qui bossent et quand on rentre on rpéfère parfois jouer que de se pencher sur un BG, donc ... tu l'auras d'ici samedi, mais pas la peine d'en faire un flan hein ... si y'a que ça et que ça gêne trop supprimes desuite.

Bref désoled du contre temps.
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Volvic
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyMer 8 Aoû - 20:34

Il suffit de le dire, plutôt que de laisser sans réponses.
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Montpalmes
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptySam 11 Aoû - 12:14

(Voila la suite, et pas bâclée ^^ quite à faire quelque chose autant le faire bien.
On a voulu répondre de manière un peu romancée aux questions posées, si tu en as d'autres, hésites pas ^^.
Si tu y tiens on peut faire 2 posts, un pour chaque perso, mais couper le texte en deux c'est assez bof, parce que chacune pense un peu à une partie de sa jeunesse, et on trouve des éléments pour els deux persos dans le même texte.)





Les retrouvailles.





La pleine lune laissait s'échapper quelques rayons de lumière blafards entre les épais nuages qui recouvraient ce soir là la surface du Lac des Dragons. La petite chaine de montagne, au Nord-Ouest d'Amn, connaissait un temps anrommalement pluvieux ces derniers temps, privant les habitants de la région d'un soleil vital aux récoltes. Lentement, la jeune femme qui se arpentait le sentier sinueux et rocailleux qui menait au bord de l'eau, s'avançait. Elle semblait prendre un temps infini à soigner sa démarche, son allure, la longueur de ses pas, le mouvement de ses hanches. Belle, et noble de par son port, elle tranchait singulièrement dans ce paysage presque aggressif, exposant son corps fin, et sa robe noire richement brodée de pourpre, face aux pics rocailleux.
Le bruit sec de ses bottes hautes s'interrompit, et elle se baissa lentement, venant tremper le bout de ses doigts pâles dans l'eau. Elle sourit, au contact glacé, comme toujours. Le rituel pouvait continuer, et comme chaque soir, elle défit sa robe, et la laissa tomber à ses pieds, se glissant dans l'eau. Le buste pâle franchit la surface, ne laissant à la vue d'un éventuel obserrvateur que les longs cheveux noirs qui flottaient. Elle ne nageait pas, elle ne disait rien, seule, perdue dans l'étendue noire qu'offrait la nuit, et le temps sur lequel les paysans s'apitoyaient.Un fin sourire se dessinait toutefois sur les lèvres peintes en noir, comme si elle savourait cette dernière reflexion. L'obscurité ambiante l'apaisait, elle l'aimait, elle lui permettait d'exploiter au mieux son sang, pour le moins particulier. Ainsi, après quelques longues minutes de silence, alors qu'un passant, ne l'aurait même plus entrevue, comme si elle faisait partie de ce décor immobile, elle leva une main pâle, troublant la surface du lac. Ses lèvres bougèrent légèrement, et elle entreprit un chant en draconique, dune voix douce bien que sifflante, triste. C'était là l'ôde de son départ pour le Nord. Sa mère venait de la destiner à la succession de la petite forterresse familiale un an plus tot avant de mourir, lieux qui abritait depuis des sièvcles les arcanistes Montpalme. Elle repensait un instant à son histoire, sa lignée gâtée par la toile sombre, pourvue de talents depuis des siècles, et un sourire étrange, n'étirant que le coin droit des lèvres, marqua son visage.

Quelques pas se firent entendre sur la roche, des bottes écrasant de petits cailloux sur des frottements trop caractéristiques pour être ignorés ou méconnus de Catherine. Sans tourner la tête, elle s'éclaircit légèrement la voix, se redressant, et dévoilant sa pâle nudité au jeune homme qui arrivait.

"Bonsoir Edgard ..."

"Madame, veuillez m'excuser je ne ...."

Catherine sourit. Le jeune domestique, âgé de dis-huit ans tout au plus ne devait pas avoir plus d'expérience avec les Dames et surtout avec les dames de son rang. Les fourberies de la noblesse d'Amn n'étaient pas loin, elle les sentait encore, dans son dos, et elle sourit à l'idée qu'elle avait su s'extirper des griffes de bons nombres de gens de pouvoir durant ses études, dix années plus tot. Désormais, haute de ses trente ans, et toujours aussi belle, Catherine avait rempacé ses anciens bourreaux ....

"Ce n'est rien, approches, et essuies moi. Je risque de tomber malade, par ce temps, si je ne me débarrasse pas de cette eau."

"Bien madame." Le jeune valet se fendit d'une révérence, s'approchant vivement avec le drap qu'il transportait, acueillant la nobliaude à la sortie de l'eau, clignant rapidement des yeux, sur un tic nerveux de la lèvre.

"Ma...dame désirait autre chose je crois?" sa voix tressaillait un peu, mais il tentait de le cacher, tout en gardant le regard éloigné du corps pâle, bien que beau, couvert de tatouages noirs et pourpres de ci de là, dont il était bien en peine de comprendre la signification.

"En effet, très cher. Vous allez passer la nuit avec moi, ici ..."

Catherine s'avança de quelques pas vers sa robe, se penchant, puis se releva en souriant, s'approchant de quelques pas gracieux, enroulant son bras gauche autour de la nuque de l'adolescent presque devenu homme aussi rouge que gêné qui se tenait devant elle.

"Allons, tu n'as jamais connu de femmes ...?" La voix, légèrement plus aigue, s'accompagnait d'un imperceptible tremblement du bras droit.

"NOn, Ma...da...me ..." Le garçon tremblait sur place, partagé entre le désir et l'incertitude, osant quelques regards.

"C'est bien dommage ...." Elle s'avança, glissant sa main derrière le dos du jeune garçon, et la remontant jusqu'à la nuque. IL émit un léger frisson, le métal noir de la dague de la sorcière venait de toucher la nuque, et glissait vers la gorge rapidement, tout en douceur ...

"Que ...?!" Le cri s'étouffa sur un gargouillis, le sang rouge et encore tiède s'écoulant sur le torse du jeune domestique. Catherine sourit légèrement, regardant les étoiles.
"Car tu n'en auras pas l'occasion ... la nuit est belle, ce soir ... comme tous les soirs ..." La dague tobma au sol sur un claquement, et elle laissa le corps suivre, sur un tic nerveux de l'index quand els os craquèrent au contact de la surface dure.

"Lizbeth, comme tu me manques ...." Elle s'agenouilla, tournant le cadavre pour venir carresser la joue, et se mit à rire lentement, à gorge déployée, brisant le calme ambiant, et cachant les bruits de la nature environnante, pour n'offrir qu'un paysage macabre tandis que le soleil au loin, se couchait dejà.
Sa main allait et venait dans les cheveux, et elle vint écraser un poing contre la joue, couvrant un peu la roche de sang. A petits coups, le bras frêle venait marteler la chair morte, comme si elle était enragée, les yeux fixant le lointain.
Lizbeth était une lointaine cousine habitant le château du Mont Serïs, à quelques jours de marche de Montpalme, assez lointaine pour que la lignée exacte soit perdue. Orpheline, ses terres étaient revenues au pouvoir local le plus important, et après dix années de séparations, elles se retrouvaient enfin, toutes deux. L'éducation de catherine, laxiste, avait été d'un ennui toutefois terrible, passé els quelques jeux dont elle pouvait s'occuper durant son temps libre au palais, et Lizbethd evint pour elle une amie, qu'elle retrouvait tandis que ses parents tenaient des réunions dont elle ne comprenait pas vraiment le sens dans la haute tour. Les liens qui unissaient les jeunes femmes s'étaient resserrés durant les années passées au Lac des Dragons. Pu à peu, les deux adolescentes s'en furent à Amn, avec leurs percepteurs, pleines d'enthousiasme à l'idée de voir le beau monde dont elles rêvaient, deja formées pour survivre dans les cours locales. Bien que plus jeune, Lizbeth semblait rivaliser avec la beauté de catherine, et totuefois lui vouer une admirations ans nom. Les années d'études et de vie riche et oisive en Atkatla unirent les deux jeunes femmes. De bonnes amies elles devirent amantes, puis collègues, menant leurs activités qu'elles prétendaient proffessionnelles de concert. A la vérité, ils 'agissait là de leurs débuts en nécromancie, l'une plus expérimentée dans la maitrise de son don, les deux n'en aveitn pas moins une mentalité norie et violente, tournée vers le meurtre et le plaisir malsain. Elles adhérèrent à un club de philosophie, présumant que le bonheur humain ne pouvait être trouvé que dans l'accomplissement des désirs quels qu'ils soient, et se mirent à écrire, puis à mettre en pratique ce que le papier leur gobait aisément.
De filles courtoises, elles devinrent des dames peu fréquentables, bien que fréquentées, que les amants aussi nombreux que manquant à l'appel après une nuit de plaisir, ne cessaient de courtiser. L'ode presque parfaite pour deux femmes qui n'avaient plus d'humain que l'apparence, et dont l'âme était tordue et pervertie par un raisonnement trop violent et sombre. Elles rentrèrent au Lac pour leurs vingt et vingt cinq ans, et reprirent chacune le flambeau familial, s'engageant comme il était de coutume de le faire dans l'adoration de Shar et Tiamat dont elles dépendaient pour leur magie, mais innovant, en acceptant et en pratiquant les cultes de Loviatar. La période, dure, les éloigna peu à peu, et à la place de leur lit d'amn, elles ne furent unies que par des missives succintes mais quotidiennes. De longues années loin de dame Lizbeth avaient fait de catherine une femme aigrie, et d'autant plus violente qu'elle était frustrée de ne pouvoir enlacer celle qu'elle voyait comme sa seule et unique compagne.
Elle sourit à nouveau, tirant un peu les cheveux de son cadavre du jour.PLus de catins, de nobliaudes écervellées, ou de serviteurs inutiles et sots, ses pulsions allaient enfin pouvoir être apaisées, et surtout, rencontrer leurs semblables. Comme à son habitude, elle incanta brièvement, une main noiratre se mettant à trainer le corps derrière elle tandis qu'elle grimpait rapidement l'escarpement encore nue dans la direction de sa tour noir, absorbée par la simple pensée de sa douce, et des nouvelles horeurs dont elles pourraient se réjouir.
Ainsi la dame de lettres, et la sorcière qui depuis dix ans ne cessait de perfectionner sa magie souriant gaiement, tout en songeant au titre de noblesse qu'elle avait fait rédiger pour partager ses biens avec Lizbeth, et unir enfin les noms de celles qui servaient els ténèbres.
Elle arriva devant la grande porte, et saisit la poignée gravée qui représentait la tête d'un grand noir, héritage qu'elle louait et qui lui octroyait son pouvoir depuis sa naissance, et se mit en quête d'une occupation morbide pour patienter.
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Montpalmes
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptySam 11 Aoû - 12:14

L'athmosphère tamisée de la tour entourait la maitresse de maison, qui de sa longue robe noire, soulevait la poussière déposée sur le vieux carrelage.
Catherine allait vers l'ancien laboratoire, celui de son grand-père. Elle entra, observant la pièce, jugeant de la saleté qui s'était accumulée là au loisir des domestiques. Sa main gantée de velour vint saisir un vieux livré déposé sur l'un des établis. Le meuble lourd, imposait à la pièce un stylebaroque, composé de lourdes pierres noires polies, et doré à l'or fin, offrant un contraste saisissant. La Duchesse passa une main le long de la surface de travail, dévoilant la rosace d'or incrustée, et sourit. Les souvenirs venait à elle par dizaines. C'est ici qu'elle avait commencé, c'est ici qu'elle l'avait senti pour la première fois.
Ses études à l'âge de six ans, l'avaient formée à la poésie, la réthorique, et des gens de différents horizons étaient payés pour lui enseigner patiemment ce qu'elle buvait avec avidité : des connaissances digne de son rang. Toute cette première jeunesse dont elle ne gardait qu'un souvenir, semblait si lointaine et si proche. Chaque matin elle se lavait se peignait et s'habillait seule, pour devenir autonome, disait sa mère, puis elle observait la toilette de ses parents, et aider à vêtir, car elle était la seule dame de sang proche présente. Souvent gênante, elle était réprimandée au moindre faux pas. "Tout d'abord, les boutons, mon enfant ...." La voix de sa génitrice résonnait encore à ses oreilles, oppressante, ferme; l'élocution d'une femme habituée à être obéie. Puis elle accompagnait ses parents dans la haute tour, et priait Loviatar, en s'incisant l'index d'elle même, sans quoi elle subissait le fouet. "La Douleur s'apprend dans la peur, puis s'aime dans la sagesse qu'elle offre." La voix de sa mère, encore .... c'était bien la seule chose qui était comme gravée en elle, sans qu'elle ne put rien y faire. Elle avait pourtant songé à effacer d'elle le moindre souvenir à sa mort. Une fois l'hommage à la vierge blanche rendu, la fillette se levait, pour éteindre les bougies, et plonger la pièce dans un noir absolu. S'en suivant une litanie sombre et fascinante. Ces voix, regroupant aussi bien domestiques que seigneurs de Montpalme, résonnaient. La pièce ronde répercutait le son, et l'obscurité ambiante, due à l'absence de fenêtre, lui donnait parfois la chair de poule. Une minute durant, car elle se souvenait encore de l'attente, la jeune enfant n'osait bouger, par respect, les odeurs de la fumée des bougies venant parfois la tourmenter et la faire souffrir de quelques maux de tête. Puis un serviteur allumait la pièce, et sa mère prenait en ses mains un calice noir, dans lequel elle versait quelques gouttes de sang du membre de la famille. Le rituel aussi loin que remonte sa mémoire, lui fut toujorus infligé, en hommage à la très Haute Tiamat, que sa mère nommait "Dame des dragons purs", et à Shar la "Dame des ténèbres et du néant.". Une novuelle litanie était répétée durant quelques secondes, en draconique. La voix sifflante, se raclant la gorge, la fillette essayait avec peine de parfaire son parler, sans rien comprendre de ce qu'elle avait appri à chanter. Telles étaient les coutumes, mornes, lassantes parfois, car quotidiennes. Puis elle partit, enfin. Elle et sa cousine suivaient la voie familiale, exilées en Atkatla avec une préceptrice douteuse, et méconnue de ses élèves. L'hôtel du grand Nesle les abritait, pour les dix années à venir, témoin silencieux de changements aussi brutaux qu'étranges. Les murs tapissés de soie les avaient vues étudier l'art, pister les jeunes galants, avides d'un âge qu'elles regretteraient un jour d'avoir atteint. Elles allaient, venaient, leur corps changeant, les lèvres devenant plus prononcées, le visage plus marqué, et noble, et les premières formes apparurent, ainsi que leurs premières déboires. Catherine s'en souvenait, si bien. Ce temps d'insouciance lui arracha un sourire, tandis qu'elle baissait les yeux, comme honteuse de s'être ainsi égarée. Les couloirs ornés des riches céramiques blanches lui revenaient parfois en rêve. Un beau jour de printemps, en compagnie de Liz', elles avait fini par s'embrasser, sans savoir pourquoi, comment, ni si c'était sage. Rien ne le lui disait, aucun dogme, aucune morale, aucune forme d'autorité. Cette liberté l'avait prise de court, désemparée, elle se sentait débridée. Ce fut la première révélation de son don. Elle fit exploser une céramique sur un soupir d'aise, le corps tremblant de l'énergie nouvelle qu'il maitrisait pour la première fois. Brisée en milles morceaux, l'oeuvre irréparable avait rendu sa mère heureuse et comblée de sa succession, et la fille qu'elle était apeurée de se savoir modelée à l'image de sa mère. Les minutes qui avaient suivi l'accident furent terribles. Elle se tordait de Douleur, hurlant, gémissant, la peau s'ouvrant sur sa poitrine pour former une immense rune à même la chair. La toile sombre avait ses caprices .... et même aujourd'hui, elle n'était pas exempte du tarif alloué à la maitresse Noire. Sa main de velour vint masser sa nuque un instant, les lèvres se serrant, puis se déformant sur un sourire malsain. Les années avaient fini par permettre à la jeune femme de comprendre le vrai sens de la Douleur, ce qu'elle lui apportait. Elle fut assaillie de nouveau, plongée dans un souvenir marquant ... revoyant encore la jeune Lizbeth tout juste âgée de seize ans lui donner le fouet en ouvrant de gros yeux. Catherine avait compri ce soir là, que la Douleur l'aidait à canaliser son pouvoir. Tiamat lui avait offert le Don obscur, Shar offrait la matière, et Loviatar le moyen. Enfin, elle comprenait ce à quoi on l'avait préparée depuis toujorus, et un sentiment de joie l'envahit, suivi de près par une déception formidable. Elle, si maline et si riche, si désirée et désirable .... avait été créée et façonnée ... Le fouet claquait, lui arrachant quelques gémissements de douleurs, ou se mêlait une pointe de plaisir, tandis qu'elle songeait à son sort et son présent, qui semblait inéluctablement lié à son passé : la coutume ... la tradition. La tradition familiale avait ce soir là pri tout son sens à ses yeux, ainsi que le sens du mot sacrifice. Elle acceptait son sort, et le pouvoir qu'il offrait. Elle voulait plus de Douleur, plus de magie, et surtout, elle ne pouvait plus se défiler : sa compagne et lointaine cousine Lizbeth suivait la même voie. Abandonner, c'était la perdre. Son regard d'adolescente quittant la jeunesse pour une réalité plus dure se posa sur Lizbeth, qui souriait en tenant son fouet couvert de sang. "Elle le saura elle aussi, bientôt." avait elle pensé à juste titre.
Le soir même, elle écrit à sa mère, et l'été suivant, elles furent convoquées à Montpalme, en cette même pièce poussiéreuse.
Son regard noir se posa sur la rosace, et elle revit le liquide pourpre qui glissait le long des lignes d'or, offrant au regard ébloui des deux jeunes meurtrières, une spectacle saisissant. Sur la roche noire on distinguait clairement les lignes pourpres, qui semblaient reluire, tandis que l'homme allongé là, malheureux infortuné qui n'avait que de crime celui de servir un dieu de la triade, hurlait à pleins poumons en dardant un regard fou sur ses bourreaux. On dit qu'il n'est rien de plus cruel qu'un enfant, car il est vrai. Il n'est rien de plus cruel qu'un enfant qui quitte l'innocence, car il est dur. Lizbeth et Catherine faisaient tourner la lame dans le ventre du malheureux, l'étripant d'un visage dur et ferme, sans oser ciller, crier, ou montrer la moindre émotion. Les deux familles réunies observaient la scène avec attention, silencieuses. Puis les deux jeunes femmes, emportées par leur émotion, et le liquide qui coulait en leur veines, se mirent à rire, déchainant sans le vouloir leur magie, se griffant entre elles en montant sur le corps.
Un nouveau sourire fendit le visage de glace de la Duchesse : Les familles pensaient qu'elles aimeraient leur première victime, mais certainement pas de la sorte .... L'union morbide et douloureuse qu'elles avaient offert avaient choqué la majorité des membres de l'assemblée, qui avaient quitté la pièce en murmurant en draconique. Une fois seules, les deux avaient pu profiter un peu de cette totue nouvelle attraction, avant de repartir pour Amn, accompagnées d'une nouvelle maitresse, une mage noire nommée Sophia.
Après avoir appri à canalyser leur don, elles apprirent à distinguer les types de magie, souffrir pour la toile sombre, maitriser la nécromancie. Le jour Catherine suivait Lizbeth dans les différentes pièces de leur hôtel d'Atkatla, prêtant une oreille attentive aux discours qui lui étaient donnés, tout comme Liz' puis pratiquait inlassablement en sa compagnie; et quand la nuit tombait, les deux femmes profitaient de la débauche de la ville, membres de différents clubs voués aux cultes sombres. Leurs jours de repos, elles les passaient en dehors de la cité : c'était là le plus clair de leur entrainement.

"Une sorcière mesdames, ne comprend qu'après avoir fait! Faites puis comprenez! Tuez pour chercher à comprendre comment vous l'avez fait si le coeur vous en dit!"

La litanie stridente de dame Sophia les mettait à vif, aiguisant leur colère, attisant en elles une haine féroce, et des envies inavouables. Durant des années, elles suivirent ce régime, la pratique prenant très vite le pas sur l'éducation en salles. Au fil des nuits, elles accumulaient les conquêtes, des plus saines aux plus étranges, en passant par des choses qu'elles n'osaient parfois s'avouer. Elles avaient vécu ainsi jusqu'au dela de leur vingtième année, et Catherinne était peu à peu tombée dans cet univers aussi glauque que luxurieux, sans même trop s'en rendre compte, mais y prenant un plaisir certain.

Une larme coulait sur sa joue pâle, glissant doucement sur un corps quasi figé, pour venir s'accrocher à la peau de nacre sous le menton, et trembler. La chute du liquide lacrymal, inévitable, le plongea vers l'échancrure de velour noir de la robe, ou il vint se fondre, disparaissant. Catherine pleurait, comme à son habitude. Elle avait traversé la pièce, n'offrant aucune attention aux outils de torture, ou aux divers étals couverts de fioles brisées, pour constater les nuées d'étoiles qui illuminaient le ciel. Lentement, son index frottait la vitre. Elle aimerait tant voler si haut, découvrir, jouir encore de cette jeunesse folle et délicieuse ...
Elle baissait un peu la tête, toujours droite, gardant par habitude un port noble et impérieux. A quelques mètres de là, sa dame de compagnie unique car elle n'était qu'une modeste nobliaude, s'inclinait avec grâce.

"Une calèche approche, Madame, et j'ai osé présumer que vous en seriez réjouie. Vos larmes me blessent plus encore que vos ongles, mais ne me donnent hélas pas satisfaction...."
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Montpalmes
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptySam 11 Aoû - 12:15

La calèche cahotait gaiement sur les cailloux, tandis que le petit château des Montpalme se dessinait au loin. La femme vêtue de velour noir émit un léger soupir, observant ses suivantes, et revint à sa contemplation, admirant les saillies rocheuses des environs, et les pics acérés, qui semblaient défier le ciel gris d'oser descendre un peu plus. Elle avait peur de sa rencontre anvec son ancienne amante. Le changement, redouté, la tenaillait : "Catherine serait-elle la, même?". Sa main se saisit à nouveau du tissus, le triturant : mais elle en avait diablement envie, paradoxalement, tant Catherine lui avait manqué.

"Madame, ça ne va pas ...?"

"Tais toi, sotte!"

La future Montpalme pour l'heure déshéritée répondit d'un ton aigre, mauvais, reflétant son mauvais caractère.IL n'y avait bien qu'une personne avec qui elle aimait parler, et ce n'était surement pas de celles la. Son regard sombre se posait brièvement sur ses suivantes, jeunes, visages baissés, avant de se reporter sur les montagnes. Catherine avait parlé d'un voyage, une visite des terres du Val de Bise, vers l'épine dorsale du monde. La simple idée de quitter à nouveau la région en compagnie de sa douce et presque tendre la fit sourire , puis son visage divinement beau, reprit un air morose. Elle avait soif, elle avait faim, et elle avait envie de catherine, pas de ce stupide voyage. Si seulement sa magie avait été à la hauteur, elle aurait pu accélérer les choses, mais il avait encore fallu qu'elle échoue! Depuis son retour vers le Lac, elle n'avait été que de déceptions en déceptions, ne trouvant refuge que dans la prière de Shar Tiamat et Loviatar, à l'image de sa lointaine parente.Mais tout ceci devait cesser, Catherine arriverait à la combler, elle, et tout serait comme avant. La vie reprendrait un sens, et d'orgies sans nom,elles iraient ensuite comettre leurs meurtres, jusqu'à ce que leurs voix ne puissent plus crier toute leur joie, ou leur désespoir. Qu'elle aimait tout ceci. Elle avait pourtant eu bien du mal à l'accepter, mais enfin elle le savait, il n'y avait plus de place pour la morale quand on s'ennuyait à un tel point! Le seul but étant d'assouvir ses désirs tout en comblant ses maitresses divines.
Les ongles de sa main percaient un peu son gant de velour, tandis qu'elle se les enfoncait dans la cuisse à l'idée d'avoir à nouveau la joie de découper lacérer et agrémenter le corps de quelques victimes, ou d'écouter sa comparse parler magie et philosophie ...
Et la magie serait aussi tellement plus forte, elle avait tant perdu si loin de sa douce, comme si sa sollitude avait absorbé une partie de ses talents, et qu'elle eut été incapable de les mettre en pratique correctement sans sa belle.
Elle sourit un instant et revint sur ses suivantes, avant de hurler.
"Cocherrrrrrr!"
La diligeance s'arrêta, et le silence se fit, tandis que la porte s'ouvrait.
"Venez mesdames!"
Les trois suivirent leur maitresse en silence, visiblement habituées, et Lizbeth souleva sa robe, offrant sa cuisse nue et taotuée à l'identique que celle de Catherine en l'hommage de Shar à la vue des trois autres.
Ces dernières, dans un rituel inlassable, vinrent griffer la peau jusqu'au sang, et Lizbeth s'enquit d'un sourire haineux ets atisfait.
"Mon fouet! ma dague!"
Le cocher partit au pas de course, et revint avec els ustenciles, les offrant à la nobliaude. Cette dernière s'en saisit, et vint égorger une des trois servantes d'un geste sec et nerveux ... elle aimait ça, de tout son coeur et de toute son âme, trahie par son sourire béat.
Un gémissemnt étouffé plus tard, la deuxieme s'affalait et la troisième prenait la fuite.
"Ecrases la!" Le sourire ne quittait plus les lèvres, et elle haletait un peu, rivant ses prunelles noires sur la jeune fille quis 'éloignait.
Le cocher remonta en vitesse, lancant les cheveux sur le chemin escarpé, suivant la pauvre enfant qui criait comme une folle sous le rire pervers de Lizbeth. Les deux côtés de la route n'offraient qu'un fossé profond et acéré, à cause de la roche coupante, et ce sont finalement les sabots qui virent à bout de la donzelle, sur un craquement hideux dont l'échos ne cessait d'enchanter une Lizbeth aux anges.
Sa dulcinée, enfin ... et la paix pour ce voyage! Puis bientôt, le cocher, et d'autres encore, mais avec Catherine ... elle avait besoin de ça .. non, elles aveient besoin de ça! Il fallait bien se satisfaire, pour être entièrement cocnentrées et servir Shar, ou encore la grande et belle Tiamat, et la très Pure Vierge des Douleurs.
Le sang coulerait, les larmes aussi, car elle avait soif de domination, une domination réfrennée depuis trop de temps, et qu'elle devait extérioriser.
Ub éclair noir jaillit de sa main droite et elle exulta sur un cri de joie et de douleur. Enfin, son don se manifestait! la vie de courtisane n'était décidément pas assez animée pour le lui permettre! Et sa puissance revenait au fur et à mesure que son exitation émoustillait ses sens! C'est ça qu'il lui manquait ... un peu d'exitation! un brin de sauvagerie ...Il faut savoir satisfaire son Sang!
Une larme de sang coulait le long de la joue, tandis qu'elle tremblait de douleur et de désir.
L'autre femme touchée par le don des grands noirs se remit en route, rejoignant sa diligeance, pour visiter sa douce, .... puis partir pour le Val.
Elles n'avaient plus qu'une hâte, rattrapper le temps perdu, quel qu'en soit le moyen ....

La grande porte du château s'ouvrit, imposante, cloutée, digne d'un château fortifié. L'ancienne bâtisse avait pourtant bien changée. Lizbeth était venue ici dès l'âge de quatres ans. Partout, elle se souvenait des créneaux, des pics de fers, destinés à défendre ce petit lieu de vie à flanc de montagne. Les quelques soldats en garnison, portaient le tabard composé d'une rose noire et d'une griffe, s'affairant généralement dès qu'un visiteur ou une diligeance approchait. Les paysans n'avaient jamais pénétré ici, cultivant leurs lopins en contrebas, au bord du grand lac. Le chateau somme toute défensif et ancien avait désormais cédé sa barbacane et ses renforcements à des constructions plus riches, ou dignes d'un grand manoir, et les tours autrefois plates s'étaient coiffées de chapeaux d'ardoise. L'odeur du cuir des soldats, et de la crasse, avait désertées les lieux. A la vérité, aucun soldat n'était en vue. Elle se surprit à sourire, comme affligée et fascinée à la fois des changements qu'avaient apporté le temps à l'édifice le plus marquant de sa vie.
Sa jeunesse en Montcombe était ennuyeuse. Ses parents, toujours absents, l'avaient mise entre les mains de précepteurs mous, qui lui enseignaient une philosophie ridicule et ennuyeuse. Peu affairée, elle s'en était vite éloignée, préférant trouver milles et une excuses pour venir visiter sa lointaine cousine. Les lignées des Montcombes et des Montpalmes avaient une souche commune, comme pour bien des familles de sangs bleus, et Lizbeth appréciait cette jeune fille qui bien qu'elle fut une inconnue, lui donnait parfois des ordres, et l'agitait, semblant donner uns ens à une enfance oisive et trop sage. Elles avaient chapardé en cuisine, traversant cette grande place qu'elle arpentait à présent sur quelques poussées d'adrénalines en tenant le fruit de leur chaparderie bien serré contre elles. Les robes courtes et salies par les mésaventures des jeunes enfants avaient laissé place à une immense robe de velour, réhaussée de pierres précieuses translucides, qui semblaient orner le buste et les hanches de lumière pâle. Les lieux chargé d'histoire gardait des secrets encore inavoués : leurs discussions enfantines à propos de leurs parents détestés, et respectés dans la crainte, ou encore les vols commis, les attentes au pied de la porte de la grande salle nord, tandis qu'elles essayaient d'entendre ce qui se disait en leur dos, derrière les lourds murs de pierres. Ce temps étaient trop trouble pour être envié, mais trop précis pour qu'elle s'en défasse, et elle sourit un bref instant, gardant un air hautain et sûr, s'avanant vers le donjon.
La domestique qui l'acueillit n'eut même pas droit à un regard, et l'autre noble désormais sans titre lui agita une main gantée de velour et parée de diamants sous le nez.

"Conduisez moi!" Elle avait calculé cette intonation, sèche, mauvaise, dédaigneuse.
Il fallait montrer à sa suite et à cette bande de paysans crasseux qui avaient eu la chance de servir son amante à qui ils s'adressaient. Après tout, ce château était presque autant à elle qu'à Catherine. C'est ici qu'elles avaient tout vécu, jusqu'à leur séparation impromptue et inattendue. La seule période que la chateau n'avait connu, était celle de son adolescence. La vie à Atkatla avait été si bonne. Lizbeth avaient découvert un penchant pour les dames qu'elle n'avait pas soupçonné, et y avait nourri un amour naissant mais tenace pour sa consoeur de robe. Partageant ses bains, puis sa couche, et toutes les étapes de sa vie, elle avait finir par devenir une seul et même personne avec elle. Elles sortaient ensemble, se complétaient en tous points, et là ou Catherine dominait par sa verve, Lizbeth complétait par sa beauté naturelle. Le visage fin et étroit, racé, digne des nobles de la région, l'avaient faite paraitre comme une des plus belles courtisanes d'Atkatla passé ses seize ans, au grand damn des damoiseaux qui se voyaient finir en charpie plutôt qu'en vainqueurs. Lizbeth s'arrangeait pour fournir les futurs cobayes, lors de leurs entrainements extra muros. Elle n'avait aucun mal à cela, piochant dans les classes bourgeoises à souhait, prenant un jour un blondinet, le jour suivant un rouquin, et s'émerveillant de la diversité d'action qu'offrait Catherine, quand elles en venaient à manipuler leur don trop instable car trop jeune.
A la vérité, Cath' avait été pour elle une formatrice, plus que n'importe quelle autre enseignante que ses parents lui avaient assigné. C'est en sa compagnie qu'elle avait commencé à apprendre les subtilités de la vie mondaine, l'art de la séduction de la manipulation. Dès Douze ans, elle y prenait deja gout, mais se plaisait à échouer, pour subir les remontrances de sa comparse, et finir entre ses bras, mimant un air perdu et désolé. Elle l'aimait en colère, elle l'aimait forte. Elle se rappellait encore de la séance de fouet, qui avait donné lieu quelques semaines plus tard à une revanche aussi sanglante que délicieuse, ou elle avait à son tour éprouvé son don et partagé les pensées de sa compagne.
Les tapisseries du couloir défilaient. Finement brodées, elles représentaient des scènes de chasses des éclipses et des rituels interdits dans une bonne part du royaume. Le château des Montpalme avait acueilli un temps des prêtres de Shar,la Dame Noire. Lizbeth l'a toujours priée en compagnie de son aimée, sans jamais trop la comprendre, puis vint le temps ou savoir était une priorité, car elle devait gagner les faveurs de la dame pour user de la toile. Elle comprit peu à peu, la signification de Shar, ses liens avec Selune, Loviatar et d'autres déesses; son jeu d'alliances, ses objectifs, mais surtout, elle s'éprit de philosophie en ce qui concernait les dogmes. La simple notion de "néant" la fascinait, et la peur de la mort l'incitait à vouer son âme envers cette dernière, pour oser espérer un jour un secret lui permettant de prolonger sa vie, et éviter ainsi une fin dont elle avait une peur panique. Disparaitre était en effet une obsession pour Lizbeth. Plutot réservée en compagnie, jouant de ses charmes plus que des mots, elle n'en était pas, dès son plus jeune age, moins jalouse. Elle avait toujours cherché à attirer l'attention de Catherine, par peur de ne rien valoir à ses yeux au fil du temps. Ainsi, l'esprit torturé de la belle et sombre nobliaude était toujours scindé entre cette part d'amour pour l'inconnu, sa maitresse, et le "néant" vague cocnept qu'elle tentait d'élucider, et son affection pour sa vie, et ce dont elle jouissait, en particulier son homologue ténébreuse. Peu à peu, Lizbeth avait ainsi intégré plus encore que Catherine, ou devrait-on dire, avec de l'avance, les rangs inexistants des Sharistes qui vénéraient la déesse pour son pouvoir, et sa connaissance, sans réellement être affilié à un culte.
Elle n'avait jamais, à l'image de catherine, apprécié les cultes. Elle voulait faire ses preuves seules, parcourir sa foi seule, et mourir accomppagnée d'une seule personne, celle avec qui elle osait partager ces activités. En plus de l'éducation religieuse poussée dont elle s'éprenait, Lizbeth prit gout à la perversiond ans laquelle catherine les berçait en acceptant toute sortes de rendez vous et de rencontres, découvrant au fil des envies de sa chaotique amie, les dessous d'Atkatla, ou plutot, sa dentelle.
La fin de cette ode qui l'avait emportée sans qu'elle ne sache comment fut aussi brutale que son parcour. Le retour à Montcombes l'avait séparée de sa douce. Ainsi privée du pilier central de sa vie, elle s'était sentie perdue, désabusée, triste à en mourir. Ses prières n'étaient plus aussi ferventes, bien qu'elles étaient sa seule raison d'être encore capable de vivre au quotidien en un Montcombe ravagé et assailli par les notables de la région.
Mais tout ceci allait prendre fin : ces années passées à batailler pour conserver ses terres, ces moments de sollitude.
Lizbeth pénétra dans la chambre couverte de soies noires finement brodées, et ses yeux se rivèrent sur la silhouette de l'autre Dame de Montpalme, qui lui sourit en tendant vers elle une main, ou était glissé un rouleau de parchemin frappé des armoiries officielles de Montpalme.
Brusquement elle comprenait .... et un haut le coeur vint troubler sa sombre élégance, tandis qu'elle ouvrait la bouche sans pouvoir parler. Catherine avançait doucement, et vint l'étreindre sur un petit rire nerveux ... Les deux Montpalme pouvaient préparer leur départ.
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Volvic
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptySam 11 Aoû - 16:57

Au delà du fait que c'est très bien écrit, Shar n'est pas une déesse très connue ( sauf par les joueurs ). Il est normale que la désse des secrets ne soit connue que d'un groupe d'initiés très restraint.

Concernant la toile d'ombre, c'est bien trop complexe à mettre en oeuvre sur le val à cause des effets ingérables entre toile d'ombre et toile de Mystra.

Donc, prier Shar: pourquoi pas, même s'il manque la partie de la découverte de cette déesse, l'intronisation au culte, etc...( même si ce ne sont pas des prêtresses).

Mais utiliser la toile d'ombre non, sauf si vous faites des recheches et des essais en rp Ig suivit pas anim'.


concernant vos école de prédilection, on ne sent pas vraiment la manipulation de l'énergie négative, la nécromantie, n'est pas synonyme de meurtre, c'est plus complexe que ça. Les nécromants ne sont pas forcément des meurtiers.
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Montpalmes
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptySam 11 Aoû - 19:42

Huhu d'accord pour la toile sombre, il est vrai que c'est assez dur à gérer IG et on ne l'a pas joué en attendant validation du BG, donc on reste sur l'idée que même si elles prient Shar, elles utilisent la toile. Ce qui serait interressant ce serait de les faire rechercher des chsoes sur la toile sombre, et donc comme tu le dis IG dse faire suivre leurs découvertes par des expériences à l'occasion. Ce serait un peu la carotte pour elles ens e rendant au Val de bise, que d'y rechercher des informations sur la toile sombre, vu qu'ellles ont atteint un haut niveau de eprfectionnement en ce qui concerne la toile.
Pour la nécromancie, on est tout à fait d'accord sur le point essentiel qui dissocie meurtrier de nécromant. Simplement dans le cas présent, elles désirent le meurtre autant que la magie noire, et en font un exutoire parfait. Ce n'ets aps pour elles une "obligation" de tuer, pour étudier l'art de la nécromancie : elles ne s'en privent tout simploement pas. On ne nie donc aps que les nécromants ne sotn pas meurtriers, mais elels elles sont toquées .... très toquées, et très perverses dans le genre : c'est uuste le style qu'on désirait donner. On a mené des RPs sur ca IG sans meurtres toutefois ^^ (raisons évidentes ^^)
Elles utilisent l'énergie négative sur d'autres buts, cités en ce qui concerne Lizbeth, mais qui sont aussi vrais pour Catherine : trouver un moyen de rester belles, jeunes, et de pallier à la mort. C'est l'essentiel de leurs pratiques : drains de vie. (Elles n'ont pas trouvé, c'est l'un de leurs objectifs)
En ce qui concerne l'apprentissage du culte de Shar, je sais que normalement en RP peu de gens doivent savoir ce qu'elle est, ce qu'elle désire exactement. Le rp mis en place ne cache pas la dévotion à Shar mais est fait de telle sorte qu'elles mentent sur ce qu'elles savent pour donner une façade à leurs proches qui n'est pas vraie. Pour leur connaissances du culte, c'est simplement la tradition familiale : les parents étaient membres du culte de Shar, et ils lèguent à leurs filles un savoir, et des pratiques, qui perpétuenttout cela.
On a ajouté que Lizbeth ne s'y interresse que tard, c'est simplement pour montrer que le personnage a eu un certain retard en ce qui concerne la religion apr rapport à Catherine, qu'elle comble vite, tout comme pour la maitrise de la magie ^^

Si cette explication n'est aps viable on peut facilement modifier, je peux rédiger d'autres parties de BG pour un éventuel rituel d'intronisation, la rencontre avec les cultistes.

A toi de voir.
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptySam 11 Aoû - 20:13

Je trouve bizarre que des filles qui ont reçu l'enseignement famillial de Shar disent à qui veut l'entendre qu'elles sont sharites. Normalement les sharites gardent secret le fait qu'ils utilisent la toile d'ombre, qu'ils souhaitent rmplacer celle de Mystra, etc... Shar et Mystra sont opposés et ennemis mortels, si des mages apprennent qu'il y a deux sharites, elles risquent la mort.

Concernant la nécro, il y a une plus grande manipulation de l'énergie négative que dans les sorts de morts. Pourriez vous développer un peu plus cette maîtrise instinctive de l'énergie négative ?
Le meutre est un but, l'énergie négative un moyen accessible par la magie, il faut bien différencier les deux.

Un rituel d'intronisation , pas forcément très long, me permettrai de voir votre connaissance des dogmes de Shar.
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Montpalmes
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptySam 11 Aoû - 20:55

POour ce qui est du secret, ça relève duc aractère des personnages : plaisir trouvé dans ce jeu qui consiste à affirmer ses croyances sans les dévoiler (respect du dogme sur le silence). C'est excitant, ça leur plait. On joue beaucoup ça, les deux ne cachant ni leurs actes moralement condamnables ni leurs religions, bien qu'elles ne le crient pas non plus. Simplement si on leur demandent elles restent franches, car elles pensent que le secret le mieux gardé est dévoilé pour mieux désinformer/mentir. Voila un peu l'idée, mais je te prépare pour demain un autre récit qui fera clairement apparaitre leur relation avec l'énergie néagatice, leur lien avec Shar, le tout en mettant en palce une intronication pour bien montrer qu'on connait les dogmes, même si onv eut être originaux. (Et on sait qu'elles risquent la mort vis à vis des autres profanes. Si les autres joueurs sont séduits/intrigués, et se mettent à s'en rapprocher, c'est qu'on atteint nos objectifs ^^)
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Montpalmes
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyMar 14 Aoû - 22:37

L'intronisation aux ténèbres.


La pleine lune troublait l'ample manteau sombre qui recouvrait le petit récif, ou se tenaient bien droits cinq personnages. Encapuchonnés, vêtus de noir, ils récitaient une Litanie doucement, le regard levé vers le ciel.

"La Maitresse sombre garde et aime que ses secrets soient gardés."

Leur voix, unies, résonnaient sur la pierre taillante qui composait la grande falaise.
L'un des cinq, un vieil homme barbu, s'avança au milieu des autres, et se râcla la gorge, portant un masque noir empêchant d'observer son visage.
Deux des autres silhouettes se mirent à genoux.

"Héritières des ténèbres, priez la très haute maitresse pour votre salut et Sa très sombre gloire."

La voix du vieux prêtre, chevrotante, n'en perdait pas sa prestance, bien au contraire. Les deux jeunes femems revenues au Lac des Dragons pour honorer de leur rpésence l'illustre invité s'executèrent, sous els yeux de leurs mères, qui avaient organisées le rendez vous durant près d'une année.

"Louée soit la Dame des secrets. Nous jurons de la servir et de l'aimer, de protéger ses secrets et ses sombres dessins. Nous jurons de la louer et de l'honorer, par des sacrifices qui ne seront vains, mais dédiés à sa très haute personne. Nous jurons et nous savons que nous ne nous lierons jamais avec d'autres membres des clergés. Nous acceptons de nous soumettre aux ordres du culte en toutes circonstances et quel que soit sa ou ses demandes. Nous acceptons l'ultime châtiment si par malheur nous osions pêcher."

Elles parlèrent d'une même voix, celle de Lizbeth nettement plus chevrotante que celle de son aînée Catherine. Le moment était chargé d'émotion, le rituel les placait aux yeux des cultistes de la dame sombre comme des aides potentielles si le besoin se faisait sentir. Elle se sentirent bruquement utiles, joyeuses, et relevèrent la tête d'un même geste,t andis que le vieux prêtre psalmodiait en fixant le mur de roche devant lui.
Un courant d'air vint balayer la crique, et els deux jeunes femems manquèrent de tomber, surprises par cet air glacial qui semblait pénétrer leurs vêtements et leurs chairs. Les ténèbres enveloppèrent les lieux, et la voix du prêtre se fit entendre à nouveau, étrangement claire.

"Vous êtes désormais reconnue par les yeux et les mains de la très noble dame de la nuit, puissiez vous tenir votre promesse, ou périr par l'épée sous son courroux."

Les deux jeunes nobles se levèrent, s'inclinant, et le prêtre s'en fut sans un mot de plus, rejoindre un groupe d'homme posté sur un bateau à une centaine de mètres de la. La cérémonie avait été aussi brève que peu enrichissante.
Ce fut leur seul lien direct avec le clergé, et elles prirent par la suite leur foi en main d'elles même.
Catherine, moins réservée, misait sur sa verve. Elle se plaisait à faire et défaire les intrigues qu'elle tissait autour de ses religions. Se comportant comme une Bainite, s'avouant ouvertement, elle brodait ensuite face à l'avidité de connaissance de ses interlocuteurs, ou tentait de séduire les plus revêches, préservant son secret, et els secrets de Shar, sur un voile de mensonge et de désinformation qui se voulait être pure vérité.
Lizbeth, moins prompte à jouer des mots, était plus silencieuse, et réservée à ce sujet, laissant catherine faire ce qu'elle faisait de mieux, et l'aidant au besoin.

Dans els années qui suivirent cette intronisation, les deux jeunes femmes décidèrent de se vouer à la manipulation de l'énergie négative, y trouvant la magie la plus proche de la Dame Noire, et l'aboutissement de leurs envies de puissance. la vie, la mort, les intriguaient, et elles se devaient de comprendre comment les détruire si elels voulaient un jour prolonger la leur. C'est ainsi qu'elles étudières les absorbtions de vie, pratiquant durement après de brèves lectures souvent inutiles, jusqu'à leur séparation forcée.
De ce désir croissant d'échapper à la mort, est né leur lien avec l'énergie négative, qu'elles cultivent de manière à se donner un style, et à voiler loeurs véritables secrets sous un nuages d'évidences aussi sombres que fausses... mais surtout par foi envers la dame des secrets.
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Volvic
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyMar 14 Aoû - 22:40

Validé
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genila
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyJeu 30 Oct - 17:04

Afin de faire un peu le ménage dans les Bg validés et voir quel personnage n'est plus jouer afin de refaire les quotas si besoin, je voulais savoir si ce personnage était encore jouer.
Merci
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genila
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. EmptyMar 18 Nov - 13:39

Presque trois semaines sans nouvelles, je classe
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MessageSujet: Re: [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme.   [Disparu[Ensorceleuses][H]Lizbeth et Catherine de Montpalme. Empty

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