Lorgol, situation

(Ne pas flooder, ce post sera mis à jour de temps à autre)


Economie : moribonde

Trésor de la ville : à sec, prochainement impossibilité de payer les salaires des gardes et autres fonctionnaires/travailleurs

Etat général de la ville : Sale, délabrée

Criminalité : En baisse dans la plupart des quartiers, le Port, le Centre et les quartiers riches inclus. Toujours à son paroxysme dans les faubbourgs est.

Richesse de la population : 97% de pauvres ou miséreux.

Confiance dans les dirigeants : Basse, quoique plus élevé qu'il y a un mois.

Garde : bas, quoique plus élevé qu'auparavant.

Moral général : Bas, en progression

Population : Entre 7000 et 8000

Problème principal : la nourriture reste rare, même si chacun peut manger au moins une fois par jour. Les produits de première nécessité restent chers. En outre, les gangs mènent une guerre dans les faubourgs est. Des individus extérieurs à Lorgol tentent également de mener un blocus, ce qui n'arrange rien.

Quartier noble : pas d'évolutions

Quartiers riches : la garde y patrouille régulièrement à nouveau. L'insécurité a baissé.

Quartiers populaires : l'insécurité reste très élevée, même si elle n'augmente pas. Les gardes n'aiment pas s'y rendre.

Quartiers pauvres : taudis et crimes quotidiens, chaotique, aucun ordre sinon la loi du plus fort.
La garde n'y allait déjà pas avant ... elle ne s'y risquera pas maintenant.

Favels : un ordre relatif y règne : les miliciens assurent une certaine sécurité.

Port : sous haute sécurité, encore.

Commerce extérieur : les seuls navires arrivant en Lorgol sont ceux d'aventuriers et de notables de Lorgol s'y rendant, et les bateaux de ravitaillement qui réussissent à échapper aux pirates. Les convois terrestres deviennent rarissime, certains se faisant détourner, d'autres massacrer : le risque est trop grand.

Economie : Médiocre (ce qui est mieux que moribond)

Trésor de la ville : Bas, stable grâce aux taxes commerciales...mais soumis à la moindre crise.

Etat général de la ville : sale, délabré, terne

Criminalité : toujours en baisse. N'est plus qu'à un niveau légèrement au-dessus de la moyenne dans tous les quartiers de Lorgol. Les faubourgs est et pauvre est sont calmes, et les gardes y patrouillent normalement...tant qu'ils ne gênent pas les "petites affaires" des gangs.

Richesse de la population : pauvreté en baisse très légère. Miséreux en forte baisse. L'activité reprend. Des salaires sont à nouveau versés, mais la pêche, le textile et la poterie restent totalement inactifs. La forge fonctionne par intermittence. Seuls les dockers y trouvent totalement leur compte, ainsi que les marchands, et ceux travaillant dans la manutention et les transports et, dans une moindre mesure, les maçons et architectes.

Confiance dans les dirigeants : En dessous de la moyenne

Garde : En dessous de la moyenne

Moral général : moyen

Population : 7400

Problème principal : la nourriture est légèrement moins rare ; la totale dépendance a pris fin avec la reprise de l'activité dans certains secteurs. Mais on ne festoie pas, et la nourriture reste plutôt cher. La rumeur d'un attentat dans le cimetière circule également. Ainsi que d'une guerre avec les barbares.

Quartier noble : tout y va bien. Les nobles investissent ; les maçons et architectes rénovent leurs demeures. Toujours de nombreuses milices privées.

Quartier riche : patrouille régulière. Peu d'incidents notables.

Quartier populaire : la garde n'aime pas s'y rendre. Criminalité élevée. Mais on est plus obligé de voler pour manger...dans la plupart des cas.

Quartiers pauvres : la garde y patrouille parfois. Pas d'incident avec la garde. Le calme y règne...Mais tout le monde sait que ce sont les gangs qui y font la loi et y maintiennent l'ordre. Et la garde n'ose s'opposer à eux. Un voile de mystère entoure les gangs.

Favels : un ordre relatif y règne : les miliciens assurent une certaine sécurité.

Port : sous haute sécurité. Très actif.

Commerce extérieur : de plus en plus de navires étranger viennent en Lorgol. La fin des actes de piraterie y sont sans doute pour quelque chose. Les convois deviennent également de plus en plus nombreux, avec la fin des chasses malarites. Dans le milieu noble et marchand, lié au Consortium, on murmurre que d'importants contrats vont être signé entre la Ligue et certaines cités du Nord, relançant ainsi l'économie lorgolite. Cette nouvelle est bien accueillie et participe à un relatif optimiste (optimisme lorgolite, en somme.)

Economie : En-dessous de son activité à la "belle époque", mais mieux que "médiocre"

Trésor de la ville : plutôt bas, en hausse, stable grâce aux taxes commerciales et à la rigueur budgétaire.

Etat général de la ville : sale, délabré, terne

Criminalité : Moyenne. Faubourgs Est et pauvre Est calmes, les gangs y sont omniprésents mais font leurs "affaires" en toute discrétion. La garde patrouille en fermant les yeux.

Richesse de la population : pauvreté en baisse très légère. Peu de "crève la dalle". L'activité économique a repris. Les salaires sont versés à intervalles réguliers. La pêche a repris, avec location de navires auprès de nobles ou marchands. Le textile et la poterie ont repris une activité très timide, via là-aussi la location de métier à tisser ou de matériel nécessaire à tout potier. La forge refonctionne à nouveau, grâce à la reprise des échanges commerciaux par voie terrestre intra-ValBise et par voie maritime. Les maçons et les architectes travaillent également, s'occupant notamment de l'aménagement de l'Octane et de la reconstruction d'une salle des fêtes.

Confiance dans les dirigeants : -dans la noblesse et les riches familles marchandes, grande confiance.
-Dans les familles aisés, indifférence
-Parmi la populace, partagé entre la grande confiance, l'indifférence et la méfiance. La confiance pour ceux ayant pu reprendre une activité économique, et voyant donc leur situation s'améliorer, de même pour les indifférents, sauf qu'eux n'imputent pas cela aux dirigeants, tandis que les "méfiants" sont ceux voyant la guerre à venir d'un mauvais oeil, ou la dépendance de plus en plus grande des "petites gens" aux nobles, les artisans du textile, de la poterie et les pêcheurs étant les plus vulnérables.

Garde : Moyenne. Fera son travail, obéira aux ordres, mais ne se sacrifiera pas pour le bon plaisir de leur dirigeant.

moral général : en dessous de la moyenne, les rumeurs de guerre et de l'hiver rigoureux à venir, ainsi que la mise en place du rationnement, n'aide pas à favoriser l'enthousiasme.

Population : 7407

Problème principal : la guerre est aux portes de Lorgol ; un hiver rigoureux également. Le rationnement devrait permettre de "limiter les dégâts". Les stocks de nourriture sont plutôt insuffisant, bien que supérieur à ce qu'ils étaient auparavant. Troubles importants dans le cimetière de Lorgol.


Quartier noble : aucun changement.

Quartier riche : aucun changement

Quartier populaire : la criminalité reste au-dessus de la moyenne ; la garde s'y rend de plus en plus régulièrement, même si ce n'est pas avec un enthousiasme digne d'un lathandrite.

Quartier pauvre : la garde s'y rend de temps à autre ; aucune émeute, aucun grand trouble à l'ordre public ne nécessitant l'intervention de la garde. Les gangs sont là, omniprésents, mais mystérieux et discrets. Rien ne semble fait pour les en déloger.

Favels : quartier calme. Quartier actif, industrieux, le marché des Favels tout proche du Port voyant sa fréquentation grandir, alors qu'il était déserté durant les troubles.

Port : sécurisé ; encore très actif.

Cimetière : bouclé, interdiction de s'y rendre, civils ou gardes. Porte Ouest fermée ; braseros mis en place ; les effectifs du Port ont été reporté ici, ce qui explique que le port ne soit plus sous haute sécurité.

Commerce extérieur : Lorgol reste la plaque tournante incontournable du Valbise, ayant le seul accès à la mer, et à l'extérieur, Hundelstone étant bloquée. La commande de la Ligue se fait attendre...
Quelques rares convois de nourriture passent par voie terrestre, par la Passe de Karhak Drim, en provenance de Luskan, bien qu'ils restent minoritaires. Mais ceci est une nette amélioration par rapport à auparavant, où AUCUN convoi terrestre ne circulait.