[Bg sans validation][Barbare][H]Kassar Khan

Nom du compte joueur forum : Sorensen
Nom du compte joueur module : Zorgensen
Nom du perso : Kassar Khan

Race : Humain

Age : 23

Alignement : Chaotique mauvais

Religion : Au début aucune, par la suite malarite selon toute vraisemblance

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Barbare

Arme de prédilection/domaines/école de magie : Demi-pique

Langues : Commun et Tuigan (terres de la horde)

Trait de Caractère : Ayant été chassé pendant des mois, Kassar est d'un naturel nerveux et violent, il dispose d'une grande intelligence mais ne la met à profit que pour accomplir ses desseins. Sa loi est celle du plus fort et, s'il accepte la défaite, il est sans pitié envers ceux qui n'en font pas de même.

Description physique : Petit et râblé, Kassar est bien charpenté, les yeux bridés et le teint jauni semblent indiquer une ascendance orque lointaine. ses cheveux sont rassemblés en une successions de petites nattes qui coulent sur ses épaules.

Caractéristiques :
FOR : 12
DEX : 14
CON : 16
INT : 14
SAG : 10
CHA : 10

L'homme courrait dans la fôret sans savoir comment il était arrivé, non qu'il ait eu le temps ou les moyens de se le demander d'ailleurs. Son esprit était entièrement habité par une peur panique issue de la chose qui le talonnait, présence oppressante qui semblait exhaler son souffle chaud et fétide juste sur son épaule, laquelle liquéfiait instantanément toute capacité de réflexion.

L'homme courrait comme un fou, tout droit, sous une espèce de tunnel faite de frondaisons d'arbres dont les branches venaient lui griffer les bras, les jambes et le visage, tribu requis par la grande fôret lorsque celle-ci accueillait une chasse. Soudain, son instinct le poussa à se retourner, cri impérieux venu du plus profond de lui-même. L'homme tourna alors légèrement la tête tout en poursuivant sa course, distinguant du coin de l'oeil une paire d'yeux d'un jaune presque phosphorescent qui se dilatèrent pour l'avaler tandis qu'il hurlait à sa mort prochaine.

"Noooooooooooon!" Kassar se réveilla en sursaut, le visage baigné de sueur et le coeur cognant dans sa poitrine comme si l'on donnait des coup de poings à l'intérieur. Il regarda d'un air paniqué autour de lui avant de se forcer a calmer sa respiration. Tout allait bien, il avait juste encore fait un cauchemard, sans doute à cause de ces bâtards du clan de la Lune qui le traquaient depuis des semaines...

Kassar sourit légèrement en repensant à l'embuscade qu'il leur avait monté, au sang du jeune guerrier qu'il avait senti lui recouvrir le corps en une averse chaude lorsque sa lance lui avait perçé la gorge. Ce bâtard voulait le même cerf que lui mais avait été moins rapide, il n'avait qu'à assumer son échec et aller voir ailleurs au lieu de s'en prendre a trop gros pour lui. Maintenant c'était devenu une histoire de clan, facilitée par le fait que Kassar n'en avait aucun, bébé abandonné par une obscure tribu aux esprits des loups, pour calmer la fureur de ceux-ci et garantir que peu de brebis seraient dévorées par ces mers de crocs vêtu d'argent qui se coulaient sous la lune des grandes steppes. Pour une raison qu'il ne s'explicait pas il avait survécu et avait été réduit en esclavage par une tribu de passage. Condition dont il s'était débarassé avec autant d'entrain que du jeune chasseur.

Kassar se releva et commenca a rapidement fourrer ses quelques possessions étalées dans son sac, tant qu'à être réveillé autant mettre de la distance entre lui et les chiens qui le talonnaient depuis des jours. Il grimaca à cette pensée, mécontent d'être encore chassé en dépit des pièges qu'il avait posé et qui avaient au moins coûtés la vie a deux cavaliers imprudents. Puis il sourit, soit, il serait encore la proie un petit moment, le temps de réduire leur nombre a trois, ensuite...sa dernière pensée fut exprimée par une sourire carnassier.

Kassar avait finalement terminé sa longue marche, la dernière de ses proies, autrefois chasseur, avait rendue son dernier souffle en chutant de son cheval. Kassar s'en sentait un peu vexé, il voulait triompher par sa propre force, non par la maladresse des autres. Enfin s'était-il dit, le monde est tel qu'il doit être...

Quelques semaines plus tard Kassar mettait les pieds a Luskan, ville trouvée en suivant le fleuve peuplé de carpes à la légère saveur de noisette quand on les grillait un peu. Kassar n'aimait pas particulièrement les villes qu'il jugeait grandes, sales et oppressantes. Néanmoins celà faisait des lunes qu'il n'avait bu d'alcool ou eu de femmes. Il prit donc le bac pour traverser la Mirar.

Son arrivée à la capitainerie fut son premier défi. La sortie de cet étrange bâtiment était obturée par un homme de haute stature à l'armure dorée et aux cheveux blancs. Décidé à défendre son statut de supérieur Kassar le bouscula violemment pour se dégager un passage. Il prit un bon pas et propulsa son épaule sur l'omoplate de l'homme, se préparant déjà à le regarder s'étaler dans un bruit de casserolles à la vue de tous. Un bruit de craquement mit un terme à son fantasme, l'homme était toujours débout au même endroit, feintant visiblement de ne pas l'avoir vu, et Kassar l'avait dépassé, son épaule désormais déboîtée qui l'élancait douloureusement. Il pris sur lui de cacher sa douleur, pour ne pas laisser l'autre trop s'enhardir, et s'éloignat comme si tout ceci avait été voulu en cherchant à sortir de la cité au plus vite pour se soigner loin de tous.

Par la suite il s'installa dans la fôret jouxtant la cité, changeant sans arrêt de place pour éviter que le fréquent passage d'étrangers n'aboutisse à réveler sa couche. Peu à peu il s'enhardit, remettant les pieds en ville et regardant les habitants faire, essayant de s'imprégner de leur motivations . De plus, la nourriture était facile à trouver, animaux domestiques, caisses de viande salée du marché qu'il pouvait subtiliser sans trop de mal, personne ne se mettait sur sa route.

Kassar était couché sur une botte de paille grouillant de vermine, en train de regarder placidement les murs faits de gros moellons entre lesquels suitainent faiblement la Mirar.

Il réflechissait et ne comprenait pas pourquoi il en était arrivé là, d'abord tout c'était bien passé. Quand quelqu'un contestait ses désirs il montrait sa force et obtenait ce qu'il voulait sans mal. Les habitants de la cité prenaient leur jambes à leur cou, comme cette jeune femme à la croupe aguichante qui s'était mise à hurler alors qu'il était en train de s'abreuver à la fontaine juste à côté. Il s'était alors redressé pour fixer la nuque de celle-ci d'un air mauvais et hurler de tout son être son mécontentement de voir autrui se permettre de faire tant de bruit dans son périmètre. Elle avait fait un bond dont un chat n'aurait pas eu à rougir avant de courir en hurlant. Personne ne lui avait demandé de compte, que du contraire, les gens s'étaient écartés de lui, reconnaissant sa force.

Puis tout était allé de travers, il avait rencontré une immense masse de muscles et de graisse qui s'était posée comme dominante, Kassar avait perdu et accepté de bonne grâce sa défaite, entrant par là même dans le clan du gros homme jusqu'à ce qu'il le batte ou se fasse tuer. Puis un nabot était arrivé, habillé comme une femme il était venu provoquer le chef qui lui avait répondu par un direct du droit. Kassar s'était alors jeté dans la mêlée pour prendre en défaut la petite chose. Malheureusement, le petit être était beaucoup plus fort qu'il n'y paraissait, en deux mouvements le gros homme fut mis à terre et Kassar en sang. Il tenta de s'enfuir pour lêcher ses plaies mais des gardes lui barrèrent la route, l'obligeant à effectuer un changement de direction brutal et non sans danger vu ses blessures qui lui valut une solide chute. Il ne reprit conscience que bien plus tard, en geôle, où il méditait à son sort ainsi qu'à son erreur d'appréciation sur la manière dont les choses fonctionnaient vraiment dans cette cité.

Gardien des Mystères Nombre de messages : 11689 Age : 50

Il ne te manque plus que le développement de la classe de maître des loups pour que je te place en évolutif.

Bg mis entre () jusqu'à nouvel ordre. Je libère également la place dans le doute. merci Smile

Gardien des Mystères Nombre de messages : 11689 Age : 50

Dac, mais sache que Maître des loups n'est pas une classe à quotats, donc, pas de soucis, il reste là en attendant.

Celà faisait maintenant des jours que Kassar croupissait en prison. Il se demandait pourquoi ces gens le gardaient là, le logeant, le nourrissant, pour finalement le battre comme un chiot désobéissant et le rejeter là, brisé. Il ne comprenait pas la motivation de ces actes. Le nourrir pour le battre après...quelle utilité? Ils auraient mieux fait de le tuer...

Soudain une lueur diaphane se projeta dans la pièce, venant frapper son crâne qui se vida instantanément de ces pensées. Il se leva, ignorant les vagues de douleur qui zebraient son dos depuis qu'ils l'avaient frappé avec une longue liane, le forcant a recracher les doigts d'un gardien et se dirigea vers les barreaux rouillés derrière lesquels apparaissait l'astre lunaire dans toute sa splendeur...

Kassar était sorti de prison depuis deux jours. Les profonds hématomes datant de son incarcération disparaissaient déjà. Signe que sa robuste nature était déjà à l'oeuvre. Dans quelques jours les croutes de sang formées par les déchirures du fouet disparaitraient aussi et il serait comme neuf.

Kassar aimait son corps, petit et râblé, fait pour survivre aux intempéries, à la faim et la douleur. Chef-d'oeuvre d'une nature qui ne se construisait que par l'adversité dans l'altérité.

Depuis quelques temps déjà il traînait en ville, évitant de croiser les regards des gardes afin de saisir plus que des notions de commun : comprendre les motifs profonds de ces humains et comment ils étaient organisés.

Aujourd'hui il avait rencontré une compatriote des steppes, appartenant au clan des loups, heureux hasard. Il avait enfin pu discuter avec quelqu'un autrement que par grognements ou monosyllabes. Elle lui avait expliqué comment pensaient les humains des villes, en quoi ils se sentaient supérieurs au reste des animaux et pourquoi ils créaient des lois. Kassar rit beaucoup, découvrant que ce qu'ils appellaient la "civilisation" n'était qu'un vulgaire masque placé sur la crainte de la mort habitant tout un chacun. Crainte qu'ils rejetaient au fond de leurs être tourmentés pour se persuader de l'existence d'un autre ordre que celui de la nature lequel est pourtant fort simple : le Fort dispose, le faible subit. Ainsi ces êtres "civilisés" se prétendaient au-delà des lois des choses, inaccessibles à ce qu'ils respirent, mangent et tuent...
Les imbéciles...leurs cimetières étaient pourtant l'illustration du non-sens de leurs valeurs : remplis de morts. Ce qu'ils avaient tenté, avec tant de véhémence, d'ignorer ne les avait pas ignorés, eux. C'est sans doute pour cela qu'ils excentraient les sépultures, parce qu'elles leur rappellaient leur hyprocrisie constante...

Désormais Kassar ne serait plus surpris, même dans leurs cités. Il ne s'agissait que d'un construit basé sur un réflexe défensif de ces hommes face à la mort : creuser un trou et se mettre la tête dedans en pensant à autre chose. Bien, fort bien...s'il fallait apprendre à se "civiliser" pour accéder à ce vivier de bétail bien gras il le ferait. La chasse n'est pas que question de force mais aussi de ruse, d'intelligence, de patience...quel défi stimulant en perspective.

Durant la soirée il avait rencontré une femme à la stature imposante et aux muscles noueux, recouverte de tatouages mettant en avant son superbe corps bâti pour porter et supporter la vie. Ils s'étaient entendus, complices d'une même réalité formulée différemment pour s'accorder sur un partage de la chair des plus agréable, qu'il s'agisse de butin de chasse ou de plaisir physique.

Alors que se future compagne d'un soir, peut-être plus, s'était retirée vers son domaine il avait été chasser de quoi agrémenter cette soirée qui promettait bien du plaisir. Allant empaler rapidement quatre serpents qui leur fourniraient une chair filandreuse, nourrissante et dont le venin, dilué dans de l'alcool, offrait tout un panel de sensations intéressantes à même d'épicer la soirée et la nuit.

Kassar leva la tête, dans la dense forêt occupant le Nord de Luskan, pour aperçevoir la lune, désormais à son apogée, dans une trouée entre les arbres. Il ne savait pas comment ni pourquoi mais il était toujours capable de dire exactement ou se trouvait l'astre lunaire, et ce depuis son plus jeune âge pour autant qu'il se souvienne.

Soudain le bruit d'un gravier qui roule sous une semelle le ramena au présent : devant lui se tenait un homme, vêtu de noir, à la sauvagerie a peine larvée derrière son ton froid et détaché. Celui-ci l'interpella, lui demandant ce qu'il ferait de ses proies, s'il rendrait hommage a Malar par le sang et d'où il venait. Kassar ne comprit pas tout de suite qui était Malar, ne connaissant que "Père des loups", celui qui parcours la steppe avec sa meute. Semant la mort et les graines de la vie à venir, dévorant ceux qui manquaient de foi ou épurant le monde des faibles en nourrissant les forts. La discussion fut néanmoins écourtée par un corbeau bruyant qui voleta quelques instants avant d'aller se poser sur un être qui s'était, jusque-là, fondu dans la nature. L'elfe de son état, découvert sorti du matelas de feuille dans lequel il s'était niché pour interpeller Kassar sur le feu surnaturel qui lèchait en permanence la pointe de sa pique et du danger représenté par celle-ci pour la forêt. Arguant qu'il violait les lois édictées en ces lieux il le mit en demeure de s'y plier ou partir.

Kassar n'en croyait pas ses oreilles...ces sous-êtres avaient même la prétention d'édicter des règles au sein de la mère-forêt... Reflet par excellence du cycle de la survie, de la vie et de la mort...Il rit au nez de cet elfe prétentieux, lui signalant que la seule Loi ayant cours en ces lieux était celle qu'il parviendrait a arracher de ses mains et non pas en gravant des dessins sur une pierre.

Le chasseur à ses côtés, rejoinds par deux femmes vêtues de longues robes couleur de nuit et de lumière, commença alors un long échange compliqué avec l'elfe, trop complexe pour que Kassar comprenne grand-chose si ce n'est que le sang coulerait bientôt. Il en sourit d'aise en pensant à ce qu'il ferait de son esclave une fois capturé. Soudain l'elfe hurla quelque chose et disparut dans le renfoncement de la colline. Le chasseur devint subitement de plus en plus flou avant de n'être plus qu'une succession d'empreintes faisant voleter le tapis de feuille sur lequel il courrait, finissant par s'effacer dans l'humide brume nocture.

Kassar se gratta un instant la tête...les bois n'étaient pas son domaine, il était un fils des steppes plus qu'un habitant de la fôret et ne voyait plus personne outre les deux femmes qui se tenaient aux aguets derrière lui.
Le bruit aigü suivi du son mat des flèches en vol qui venaient de s'enfoncer dans son omoplate droite le ramenèrent à un problème beaucoup plus concret : survivre. D'abord il se jeta vers la silhouette située sur le surplomb, d'où grêlaient des traits acérés qui percaient sa cuirasse et s'enfoncaient douloureusement dans ses chairs avant de se rendre compte que son adversaire s'était mis à reculer plus rapidement que lui tout en le lardant de flèches qui finiraient par traverser ses épais muscles.

Kassar se mit alors a couvert derrière un tronc, accrochant sa pique dans son dos pour se saisir d'un arc des steppes. Il tendit l'oreille mais seul le son de sa respiration lui parvenait, l'autre avait logé deux flèches dans le tronc avant de cesser de tirer, peut-être un changement de position? L'une des deux femmes qui s'étaient cachées tout près se dirigea vers lui pour dessiner un étrange symbole devant son visage, symbole qui accru sa vue et son ouïe. Alors Kassar se mit en route vers sa proie, louvoyant entre les arbres tandis que résonnait des bruits de combats partout dans la forêt. Lorsqu'il arrive au sommet du monticule il put distinguer l'elfe qui l'avait défié au sol, maintenu par le genoux du chasseur sur sa gorge. Le temps de descendre jusque-là une rafale de flèches provenant de sa gauche se fichèrent dans son biceps et ses deltoïdes. Immédiatement Kassar répliqua tandis que le chasseur s'élancait déjà vers l'ombre tremblant dans la brume.

Kassar s'approcha de l'elfe a terre, déterminé à le marquer de son nom comme le faible qu'il était lorsqu'un autre elfe surgit d'entre les arbres devant lui. Kassar interposa son arc pour parer le premier coup et dégaina de sa main libre sa lance pour commencer à échanger une rapide succession de coups avec son adversaire, fortement gêné par les flèches hérissant sa cuirasse et son bras gauche. En quelques instants le sol moussu de la forêt commencea a absorber le sang coulant de part et d'autre, puisant sa vie dans celle des autres. Tandis que les deux duellistes échangaient des coups au-dessus du corps, inconscient, du premier elfe Kassar sentit monter en lui une sourde fureur venue du fond des âges, besoin de survivre lié au désir de tuer. Alors il s'abandonna a sa colère animale, laissant tout se colorer peu à peu d'un blanc pur dont la vue faisait bouillir son sang pour, à coup sûr, retrouver son adversaire embroché sur un tronc, les traits surpris et les mains crispées sur la garde de sa pique, comme tant d'autres avant lui.

La dernière chose dont il se souvint de ce combat fut une succession de chocs dans son dos couplés a une pluie d'étincelles bleutées qui le dépassèrent pour se jeter sur son adversaire puis sa chute, le sol, les feuilles humides collant à son visage et le voile noir qui submerga ses sens.

Par la suite, quand il revînt à lui il était seul par terre, souffrant des têtes de flèches qui s'enfoncaient plus encore en lui sous le poids de son propre corps. Kassar se redressa alors et fut rejoinds par ses alliés, dans un aussi piteux état que lui si ce n'est un homme en harnois auquel parlait le chasseur noir. En maugréant Kassar commenca a mastiquer un des serpents qu'il avait tué pour se reconstituer au plus vite une réserve de sang et entreprît d'ôter les flèches qui étaient fichées un peu partout dans son corps. Demain il irait au nord...mais d'abord il devait honorer sa compagne...en espérant qu'elle le laisse dormir un peu cette nuit...

A la réflexion j'aime le personnage comme il est Smile

Je vais continuer en siple barbare/guerrier.

Merci Smile

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