Le Val de Bise - Module NWN
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Le Val de Bise - Module NWN

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 Le 11 Novembre

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Yeux Bleu
Baash
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MessageSujet: Le 11 Novembre   Le 11 Novembre EmptyVen 11 Nov - 12:15

Vous allez surement trouver cela hors contexte et tres moralisateur. Ce jour férié ne doit pas etre vu comme un simple jour de congé même si nous ne sommes pas directement concerné. Il ne fait jamais de mal pourquoi un jour n'est pas travaillé et de faire un devoir de mémoire envers ceux qui se sont battus pour le Monde et qui sont mort. Peut etre le savez vous déja et que je ne vous apprend rien.

A la mémoire des Combattant qui sont tombés et à la mémoire des rares témoins qui ont survécut a ce terrible moment de l'histoire. Que les générations futures en tire les conclusions et espérons que cela ne se reproduise jamais.

Citation :
11 novembre 1918

Signé à 5 h 10, l'Armistice entre en vigueur à 11 h. Dans l'intervalle, des soldats meurent. Quant au kaiser Guillaume II, il attend dans une petite gare hollandaise. Et Clemenceau devient le père de la Victoire
.
LE 11 NOVEMBRE 1918 à 5 h 10, un civil du nom de Erzberger signe au nom de l'Allemagne le document d'Armistice qui lui a été imposé par le maréchal Foch, commandant en chef des troupes alliées. Les hostilités devront cesser à 11 heures. Ainsi va s'achever un conflit mondial de quatre ans qui a fait 8 millions 856 000 morts :
1 950 000 Allemands,
1 047 000 Austro-Hongrois,
400 000 Turcs et 100 000 Bulgares dans les Empires centraux ;

1 700 000 Russes,
1 393 000 Français,
776 000 Britaniques,
530 000 Italiens,
400 000 Serbes,
158 000 Roumains,
114 000 Américains (dont 60 000 de maladie),
75 000 Indiens,
60 000 Australiens,
44 000 Belges,
18 000 Néo-Zélandais,
12 000 Grecs,
9000 Africains du Sud
8000 Portugais.

Sans parler des victimes civiles...

Les Allemands acceptent l'ensemble des conditions alliées : évacuation des territoires envahis et de la rive gauche du Rhin, établissement de têtes de pont alliées sur le Rhin ainsi que d'une zone de dix kilomètres sur la rive droite. Ils livrent leurs canons lourds et vingt-cinq mille mitrailleuses, leur flotte de haute mer et leurs sous-marins. Ils retirent leurs troupes engagées à l'est de l'Europe.

Pour l'heure, pour six heures, la guerre continue. Commandant de l'armée française de Belgique, le général de Boissoudy ordonne : «Il importe de continuer les opérations de poursuite ». Lui faisant écho mais en nuançant un propos qu'il subodore mal accueilli, son chef d'état-major, le général Bernard, précise : « Poussez effectivement en avant vos éléments de tête, mais seulement s'ils ne rencontrent pas de résistance. Aucune action ne devra être engagée ce matin ». Il est 7 heures. La veille encore, Mangin ­ autre général ­ expliquait à ses soldats de la Xe armée que celle-ci «était chargée de rompre le front ennemi en direction de Sarreguemines » cependant que son collègue Humbert rappelait à la IIIe armée qu'il lui fallait « rejeter vigoureusement l'ennemi de l'autre côté de la Meuse ». Au groupe d'armées des Flandres, Degoutte ordonnait à son infanterie de « tendre à la rupture de la défense ennemie par une action violente et rapide ».

Tous ces généraux savent pourtant que l'armistice va être signé dans les heures qui viennent. Alors ? Alors des hommes continuent à mourir. Dix minutes avant la paix, quatre-vingt-douze soldats de la 163e division qui attaque dans les Ardennes, vont être tués... dix minutes avant que le clairon ne sonne, annonçant le cessez-le-feu. Alors, les poilus sortent de leurs tranchées de même, en face, que les soldats allemands en feldgrau. Mais les officiers mettent rapidement fin à toute tentative de fraternisation : il faut rester sur place, ne pas bouger.

Attendre. 11 novembre toujours. 11 heures. Dans la petite salle d'attente de la gare-frontière d'Eysden, Guillaume II, empereur d'Allemagne, roi de Prusse, entouré d'une petite suite, attend que la reine de Hollande lui trouve un point de chute, un asile, un refuge. Celui qui, quatre ans auparavant était encore le monarque le plus puissant d'Europe et peut-être du monde, attend depuis six heures, protégé par des sentinelles hollandaises d'une foule menaçante. Il y a trois jours, le nouveau chef du gouvernement, le « prince rouge », Max de Bade lui a téléphoné. L'empereur s'était réfugié à Spa, haut quartier général de l'armée allemande. Pour y prendre la tête des troupes ? Pour se mettre à l'abri ? Pour mourir dans l'honneur, lui le « seigneur suprême » ? « Badmax » ­ c'est le surnom du Chancelier allemand ­ lui a dit : « Ton abdication est devenue nécessaire pour éviter la guerre civile et pour que tu puisses accomplir la mission d'empereur de la paix. Une grande majorité du peuple te tient pour responsable de la situation actuelle. Cette opinion est fausse mais elle a cours ».

La révolution s'étendait à travers l'Allemagne : mutinerie de la flotte à Kiel dès le 4 novembre, soulèvement à Berlin, proclamation de la République en Bavière... Pendant ce temps, Guillaume II prenait ses repas et dormait dans son train spécial en gare de Spa, n'en sortant que pour rencontrer les officiers du Grand État-Major tous monarchistes convaincus. Guillaume II, esprit chimérique, « sa grande chope toujours remplie de champagne », rêvait d'apparaître aux yeux des alliés et plus particulièrement des Américains, comme le rempart du monde occidental contre le bolchévisme. Le 9 novembre, son entourage lui avait fait observer, avec beaucoup de ménagement, que les troupes autour de Spa n'étaient plus tout à fait sûres. A midi, le prince héritier, le Kronprinz ­ encore plus impopulaire que lui ­ était venu lui reprocher sa faiblesse : « Tu as accepté un gouvernement démocratique, je viens d'en mesurer les effets ». Ce jeune homme, pangermaniste et va-t-en guerre patenté, venait d'être hué et sifflé... Il avait une solution, « la » solution : reprendre énergiquement en main l'armée. Le 10 novembre au matin, réunion dramatique en présence du kaiser. Il y a là, entre autres, Hindenburg, maréchal glorieux, Groener qui a succédé à Ludendorff, « premier quartier-maître » de l'armée impériale (dont Guillaume II a accepté la démission). Hindenburg laisse Groener expliquer la situation au kaiser : la situation est désespérée, les Allemands ont faim, l'armée se rebelle, la révolution est en marche. Si l'on veut pouvoir battre en retraite en bon ordre, maintenir la paix civile, l'empereur doit abdiquer. Groener enfonce le clou : « Sous le commandement de ses généraux, l'armée pourra continuer de battre en retraite en bon ordre mais elle n'obéira pas à votre Majesté ». Guillaume II, pâle, défait, hurle : « L'armée ne m'a-t-elle pas juré fidélité ? N'a-t-elle pas prononcé le serment au drapeau ? » Hindenburg, jusque-là silencieux, intervient : « Tout ce qu'on sait de l'armée et tout ce qu'on voit d'elle, montrent qu'il est impossible d'envisager une guerre contre la révolution ». Le kaiser s'obstine : il veut s'assurer que les officiers supérieurs sont effectivement favorables à son départ. Alors, il abdiquera. En réalité, il n'a plus le choix : Max de Bade, seul à la Chancellerie avec quelques amis, téléphone à nouveau. Il faut abdiquer immédiatement ! Et il fait placarder l'avis suivant à travers Berlin : « L'empereur et roi a pris la décision de renoncer au trône. Le chancelier d'Empire reste en fonctions jusqu'à ce que les questions qui se rattachent à l'abdication soient réglées par l'établissement d'une régence. Il a l'intention de proposer au régent de nommer le député Ebert chancelier du Reich jusqu'aux élections générales immédiates d'une assemblée constituante ». En fait, la République est déjà proclamée. Le 11 novembre au petit matin, un train quitte Spa en direction de la Hollande. A son bord, Guillaume II... Paris 9 novembre. Le gouvernement a fait publier le communiqué suivant : « Les délégués allemands sont arrivés ce matin au quartier général du maréchal Foch. Ils ont formellement demandé un armistice. On leur a lu le texte des conditions des Alliés et on le leur a remis. Ils ont demandé une suspension d'armes immédiate : elle leur a été refusée. L'ennemi a soixante-douze heures pour répondre ».

Paris, 11 novembre. Le canon tonne, les cloches sonnent à toute volée. Les rues de la capitale sont pavoisées. Le peuple de Paris est dans la rue ; il fait fête aux nombreux soldats alliés en permission. L'enthousiasme est indescriptible. Personne ne se demande un seul instant s'il fallait vraiment signer l'armistice maintenant, plutôt que de mettre définitivement l'armée allemande à genoux. Personne sauf Poincaré, le président de la République. Poincaré : « Foch me dit (...) que les Allemands ont accepté les conditions qu'il leur a indiquées, mais ils ne se sont pas déclarés vaincus et le pis est qu'ils croient ne l'être point. Foch est du reste convaincu que si l'armistice n'avait pas été signé, l'armée allemande aurait été, avant peu, contrainte à une capitulation générale. N'aurait-ce pas été plus sûr ? »

Mais Foch était en fait favorable à l'armistice : « Je ne fais pas la guerre pour faire la guerre. Si j'obtiens par l'armistice les conditions que nous voulons imposer à l'Allemagne, je suis satisfait. Le but étant atteint, nul n'a le droit de faire répandre une goutte de plus ». A 10 h 30, Foch monte rapidement l'escalier qui mène au bureau de Clemenceau, chef du gouvernement et ministre de la Guerre. Sous son bras une serviette de cuir qu'il montre en riant au chef du cabinet militaire : « C'est là-dedans ! » Il pénètre dans le cabinet de Clemenceau : les deux hommes qui pourtant ne s'aiment guère, tombent dans les bras l'un de l'autre. 16 heures. Chambre des députés. A l'ordre du jour : communication du gouvernement par M. Clemenceau, président du Conseil, ministre de la Guerre. Le chroniqueur du journal "Le Temps" écrira : « On voit s'avancer un vieillard, la tête nue, un peu courbé, ganté de gris, les bras tombants, comme lassé, donnant l'impression d'être brisé par l'émotion qui l'étreint, accablé par tous les hommages et les vivats dont on le charge, et qui se sent dépassé et emporté par des événements qui ne sont pas à la pointure humaine ».

Trois jours auparavant, Clemenceau, le « tigre » avait pleuré lorsque le messager de Foch était venu lui annoncer que les Allemands avaient quasiment accepté toutes les clauses de l'armistice. « C'était plus fort que moi, tout d'un coup j'ai revu 1870, la défaite, la honte, la perte de l'Alsace / Lorraine, et maintenant tout est effacé ! ». Il s'était souvenu que des protestataires, des députés qui avaient refusé à Bordeaux en 1871 l'annexion par l'Allemagne de l'Alsace / Moselle, qu'il était le dernier encore en vie... En ce 11 novembre, l'une de ses filles, Mme Yung-Clemenceau, dont le mari vient de mourir au front, n'a pas voulu ternir la joie de son père ; elle lui a dit : « Père, il faut être content aujourd'hui ».
Le voilà donc face à la Chambre des députés qui l'acclame debout, l'abbé Lemire en tête. Clemenceau fait signe aux députés de s'asseoir : « Messieurs, il n'y a qu'une manière de reconnaître de tels hommages venant des assemblées du peuple, si exagérés qu'ils puissent être, c'est de nous faire tous, les uns et les autres, à cette heure, la promesse de toujours travailler de toutes les forces de notre coeur au bien public... » Il lit le texte officiel de l'armistice et ajoute : « Pour moi, il me semble qu'en cette heure terrible et magnifique, mon devoir est accompli. Un mot seulement. Au nom du peuple français, au nom du gouvernement de la République française, j'envoie le salut de la France unie et indivisible à l'Alsace et à la Lorraine retrouvées ». Il salue les « grands morts qui nous ont fait cette victoire », les vivants qu'il attend « pour la grande oeuvre de reconstruction sociale ». Et conclut « les bras levés vers le ciel auquel il ne croit pas » : « Grâce à eux, la France, hier soldat de Dieu, aujourd'hui soldat de l'humanité, sera toujours le soldat de l'idéal ! »

Son aide de camp, le général Mordacq, témoignera : « A ce moment (...), les coups de canon ont scandé ses paroles. Ces coups retentissaient dans nos poitrines. Rien se saurait décrire l'enthousiasme et les frissons sacrés qui ont secoué toute l'Assemblée, hémicycle et tribune, quand les députés ont entonné la Marseillaise. C'était d'une puissance, d'un élan magnifique »

A la mémoire de ceux qui ont versé leur sang pour batir les fondations de notre monde


Dernière édition par le Ven 11 Nov - 12:39, édité 6 fois
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Baash
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Baash


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MessageSujet: Re: Le 11 Novembre   Le 11 Novembre EmptyVen 11 Nov - 12:26

Merci pour ce rappel

Et on sait que cette guerre a donner la deuxième avec ces 20 millions morts

et toutes celles qu'on voit a la télé de par le monde.


Un jour peut-etre ... on comprendra !
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Yeux Bleu
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Yeux Bleu


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MessageSujet: Re: Le 11 Novembre   Le 11 Novembre EmptyVen 11 Nov - 12:39

Le chant guerrier de notre bonne vieille Marseillaise Wink

REFRAIN

Aux armes, citoyens !
Formez vos bataillons !
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur...
Abreuve nos sillons !

COUPLETS

I

Allons ! Enfants de la Patrie !
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie,
L'étendard sanglant est levé ! (Bis)
Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Égorger vos fils, vos compagnes.
Aux armes, citoyens ! Etc.

II

Que veut cette horde d'esclaves,
De traîtres, de rois conjurés ?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés ? (Bis)
Français ! Pour nous, ah ! Quel outrage !
Quels transports il doit exciter ;
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage !
Aux armes, citoyens ! Etc.

III

Quoi ! Des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers !
Quoi ! Des phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers ! (Bis)
Dieu ! Nos mains seraient enchaînées !
Nos fronts sous le joug se ploieraient !
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées !
Aux armes, citoyens ! Etc.

IV

Tremblez, tyrans et vous, perfides,
L'opprobre de tous les partis !
Tremblez ! Vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix. (Bis)
Tout est soldat pour vous combattre.
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produira de nouveaux
Contre vous tout prêt à se battre.
Aux armes, citoyens ! Etc.

V

Français, en guerriers magnanimes
Portons ou retenons nos coups !
Épargnons ces tristes victimes,
A regret, s'armant contre nous ! (Bis)
Mais ce despote sanguinaire !
Mais ces complices de Bouillé !
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !
Aux armes, citoyens ! Etc.

VI

Amour sacré de la Patrie
Conduis, soutiens nos bras vengeurs !
Liberté ! Liberté chérie,
Combats avec tes défenseurs ! (Bis)
Sous nos drapeaux que la Victoire
Accoure à tes mâles accents !
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !
Aux armes, citoyens ! Etc.

VII

Peuple français, connais ta gloire ;
Couronné par l'Égalité,
Quel triomphe, quelle victoire,
D'avoir conquis la Liberté ! (Bis)
Le Dieu qui lance le tonnerre
Et qui commande aux éléments,
Pour exterminer les tyrans,
Se sert de ton bras sur la terre.
Aux armes, citoyens ! Etc.

VIII

Nous avons de la tyrannie
Repoussé les derniers efforts ;
De nos climats, elle est bannie ;
Chez les Français les rois sont morts. (Bis)
Vive à jamais la République !
Anathème à la royauté !
Que ce refrain, partout porté,
Brave des rois la politique.
Aux armes, citoyens ! Etc.

IX

La France que l'Europe admire
A reconquis la Liberté
Et chaque citoyen respire
Sous les lois de l'Égalité ; (Bis)
Un jour son image chérie
S'étendra sur tout l'univers.
Peuples, vous briserez vos fers
Et vous aurez une Patrie !
Aux armes, citoyens ! Etc.

X

Foulant aux pieds les droits de l'Homme,
Les soldatesques légions
Des premiers habitants de Rome
Asservirent les nations. (Bis)
Un projet plus grand et plus sage
Nous engage dans les combats
Et le Français n'arme son bras
Que pour détruire l'esclavage.
Aux armes, citoyens ! Etc.

XI

Oui ! Déjà d'insolents despotes
Et la bande des émigrés
Faisant la guerre aux Sans-Culottes
Par nos armes sont altérés ; (Bis)
Vainement leur espoir se fonde
Sur le fanatisme irrité,
Le signe de la Liberté
Fera bientôt le tour du monde.
Aux armes, citoyens ! Etc.

XII

O vous ! Que la gloire environne,
Citoyens, illustres guerriers,
Craignez, dans les champs de Bellone,
Craignez de flétrir vos lauriers ! (Bis)
Aux noirs soupçons inaccessibles
Envers vos chefs, vos généraux,
Ne quittez jamais vos drapeaux,
Et vous resterez invincibles.
Aux armes, citoyens ! Etc.

COUPLET DES ENFANTS

Nous entrerons dans la carrière,
Quand nos aînés n'y seront plus ;
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus. (Bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.
Aux armes, citoyens ! Etc.

Enfants, que l'Honneur, la Patrie
Fassent l'objet de tous nos vœux !
Ayons toujours l'âme nourrie
Des feux qu'ils inspirent tous deux. (Bis)
Soyons unis ! Tout est possible ;
Nos vils ennemis tomberont,
Alors les Français cesseront
De chanter ce refrain terrible :
Aux armes, citoyens ! Etc.

De la part de Yeux Bleu votre éternel patriote !
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K7K
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MessageSujet: Re: Le 11 Novembre   Le 11 Novembre EmptyVen 11 Nov - 13:02

Je ne te connaissais pas si patriote gars Wink
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Yeux Bleu
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Yeux Bleu


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MessageSujet: Re: Le 11 Novembre   Le 11 Novembre EmptyVen 11 Nov - 13:11

3 ans dans l'infanterie colonial ça aide mon pote tongue Laughing
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YanouzEternal
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YanouzEternal


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MessageSujet: Re: Le 11 Novembre   Le 11 Novembre EmptyVen 11 Nov - 13:35

Fumble a écrit:
Vous allez surement trouver cela hors contexte et tres moralisateur.

Non, franchement pas. C'est même une très bonne initiative.
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Micha
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Micha


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MessageSujet: Re: Le 11 Novembre   Le 11 Novembre EmptyVen 11 Nov - 19:58

rhooo ils parlent même pas des canadiens qui ont vaillemment pris la crête de Vimy dans un assault frontal et meurtrier Shocked

En passant, la bataille de Vimy remportée du 9 au 14 avril 1917 a été l'une des victoires alliée les plus importante de la première guerre mondiale.

Mais bon c'Est vrai que le Canada n'a perdu quye 59 000 hommes (mais à l'époque, le canada ne comptais que 8 millions d'habitants). Les États-Unis étants 10x plus populeux que le canada, si les États-Unis avaient été autant mobilisés, ils auraient perdu 59 000 x 10 soldats (environ 590 000) pendant la première guerre mondiale ...

Bref, la mobilisation canadienne pour les 2 grandes guerre est une des plus importante quand on considère le nombre de soldats ou encore le nombre de pertes par habitant. Bon les russes sont dur à battre pour la 2ième guerre c'est vrai => 30 millions de morts pour 250 millions d'habitants, c'est gargantuesque Shocked ... mais bon avec un fusil pour 3 soldats ... Razz et ça implique beaucoup de victimes civile. ¨Pour le Canada, comme on a pas été attaqués, pas de victimes civiles (ou si peu, surtout les cargos qui approvisionnaient la Grande-Bretagne en denrées alimentaires comme du blé).


Bon désolé de vous avoir fait chier avec le point de vue canadien du conflit rabbit
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Kimli barbe d'Argent
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Kimli barbe d'Argent


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MessageSujet: Re: Le 11 Novembre   Le 11 Novembre EmptyVen 11 Nov - 21:38

Un Salut Belge aussi .... avec la grande Alliance Belgo française.

Je dit respect.

Petite pensée aussi au mort de la grande batail des Ardennes.

Merci pour ce post en tout cas
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