Le gong eclate, voilà que dans le lorgol s'entrave une sombre soirée, les étoiles sont bien sombres ce soir là... une illumination maudite, comme quoi... le ciel crache des eclairs, et ceux-là se brisent dans les nuages pour faire pleurer les dieux...
Introduction.
Des hommes en noirs, déboulent, la nuit est fraiche, humide... ils portent tous des gants argentés.. une capuche obscure laissent entrevoir quelques yeux brillants, c'est 5 hommes ... il semble avoir 2 moyens, un grand, et un 2 petits... tiens voilà 5 autres clones... qui s'apprêttent à entrer en scène.. un homme est en avant... un katana accroché à un sombre fourreau.. et les autres ont des griffes en mains... tous se dispersent.. nous ne pouvons en voir plus aucuns, dispersés dans les ruelles du Lorgol..
Scène 1.
Un homme est allongé, mort dans une ruelle, des esclavagiste, semblent l'avoir trops tabassé, ils sont 5 cette fois.. autour du cadavre, certains rient, les autres le dépouille.. ils semblent bien s'amuser...
Malheuresement pour eux.. 5 hommes apparaissent, derrière eux.. ce sont les hommes gantés aux sombres habits qui surgissent de cette scène.. les griffes s'enfoncent dans chaque cible, apprêttant être là pour un meurtre bien malsaint.. les griffes remontent, descendent faisant gémir leurs victimes, qui se noient au cadavre de cet innocent, qu'ils avaient tués... les 5 esclavagiste tombent dans la nuit.. en même temps qu'un eclair entravant une série de goutte de pluie... l'invisibilité de ceux-là risquerait d'être atténuée par la pluie...
Scène 2.
L'homme au fourreau, chromé d'un noir absolu, il semblerait que ce soit lui qui guidait les assasins d'esclavagistes voici qu'il est leur chef .. s'approchant, de deux hommes aux fouets, martyrisant, les putains d'un quartier...
Il frôle les deux fouets.. pour prendre sur les côtés.. degainant deux katanas à fier allure, voilà deux têtes qui viennent de tombés.. les fouets seront remis au palais..
Scène 3.
5 hommes dans une maison en ruine, une femme, ses enfants.. derrière elle, cette femme, semble se faire agresser, les esclavagiste se montre insultant, provoquant... violent, et parfois grotesques, leurs mains ne sont pas en vaint emplit de respect, même qu'il s'agirait de déborder, sur les limites fémines... Un petit homme noir entre dans la maison... il croise les bras... son habit est de noir, ses gants sont d'argents..
Il frétille d'exitation.. 2 de ses confrères déboulent, et 7 autres entrent.. au tour de leur chef.. d'entrer..
La femme, profite pour prendre ses enfants et monté à l'étage de la maison.. on peut entendre de là, ces pleurs du à l'émotion trops peinée, les 5 esclavagiste se retrouvent encerclé par 11 hommes de la pègre.. il semblerait qu'il n'y ai une discution ne venant que dans le sens des esclavgistes, ils demandant là pitié, se mettent même à genoux.. et s'escuse milles fois.. ils ne recommenceraient plus celà, celon leur dire... effectivement, ils ne recommanceront plus celà.. car à présent, leur sang s'imbibe et se noie dans l'étroit plancher, bouchant les combles, et rongeant le sol...
La caste des esclavgistes a aboutit à son résultat, cela à pris un terme radical.
Les hommes s'en vont.. la pègre a été reconnu.. le peuple peur les remercier de nouveau...