Réflexion

Dans les bas-fonds de Lorgol, au repère de la Pègre, Erin sirote une bière de mauvais gout, âcre et forte. Entouré de mécréants a la taverne du poisson ivre, les rumeurs vont bon train.

Il observe autour de lui . Deux hommes vêtus de noir parle a mi-ton, visiblement tentant de ne pas se faire voir. Des esclavagistes surement... leur caste se fait tranquille dernièrement...

Deux brutes surveille la porte, d'une musculature et une constituion imposante, il claque la porte, puis se mette de chaque coté de l'entré. Les membres de la Pègre font leur entrer, sans s'arrêter, ils ouvrent la porte, et se dirige vers le repère de Gorgonza... Puis deux autres hommes, chacun tenant le bout d'un sac, entre. L'énorme sac semble se débattre, et des bribes de paroles se font entendre.

Les gens se retournent a leur passage, vaguement intrigué, puisque dans les faubourgs est, plus rien n'est surprenant. Au fait de l'actualité , je devine aisément qui est retenu, et je sors, m'aérer l'esprit .

Les ténèbres me paraissent plus épais... l'odeur de souffre plus nauséabonde. Je regarde le condamné qui se fait narquer par la garde....
Puis décide de visiter les faubourgs... mauvaise idée..

J'entend deux hommes marchés derrière moi...
Prononçant quelques paroles a mis-mots, je lance le sort de vision Lucide....

Et lorsque je me retourne , deux hommes, deux vagabonds, armés de cimeterres, me toise, d'un regard sûr d'eux... et me demande la bourse...ou la vie.

[Suite a venir]

[Suite]

Lorsque nous nous retrouvons dans cette situation, les pensées défiles plus vites que les actes, et j'ignorais comment réagir. Il ne m'aparaissait pas vraiment fort... mais je ne voulais pas m'attirer de problème avec l'une des organisations du coin .

Puis, un craquement se fit entendre au loin . Deux lueurs se rapprochait lentement, et les deux voyous se retournèrent.

- Vite fuyons, c'est la patrouille !

Ils fuyèrent et je ne les aient empêchés. Ils me faisaient presque pitié de par leur pauvreté...

Les deux bainites me posèrent quelques questions, puis je leur ai indiqué dans la direction que les deux roublards étaient partis.

Je décidai de retourner dans le repère de Gorgonza, via la taverne du poisson ivre. Je descendit les marches, entendant de gros rires gras. Probablement un combat de Slaad.

Rendu au plancher principal, je fis un bref signe de tête au barman , lui tendant un as de pique . Il hocha la tête, et me disa que nous aurons a parlé lorsque les clients seront partis.

J'allai donc m'asseoir aux cotés de deux gros hommes vêtus de parures en or, visiblement riche. A leurs cotés, d'énormes guerrier semblait surveiller les environs, et dissuader quiconque qui voudrait s'en prendre a leur riche employeur .

Un combat débutait. Un homme contre un minotaure de fer...

[À Suivre]

Nous n'entendîmes qu'un énorme coup, celui d'un engin de métal scindant en deux l'air, le sillement du vent, et un énorme fracas. L'homme tomba au sol, après un seul coup au crane. Le minotaure semblait discipliner, et après avoir terrasé le faible guerrier, les serviteurs n'avaient aucun mal à le rapporter en cellule.

L'un des gros hommes beuglait au remboursement, et que ce combat n'était pas vraiment.... égale. L'autre homme réclamait son dû, puisqu'il avait parié sur le minotaure. Après une engueulade interminable, le videur vint les voirs. Je n'ai pas entendu leur conversation, mais selon moi c'était très convainquant, puisqu'ils décidèrent de partir .

La nuit approchait. Lentement, le repère de Gorgonza se vidait de tous les mécréants en son sein, de tous les ivrognes qui faisait la richesse de la pègre.

La porte se claqua. Un homme vêtu de blanc entrait, accompagné de deux catins...
Palacio Sultar...

[A Suivre]