Lessa, fille d’infortune

Citation :

salut voila le debut du bg de lessa , comme tu le sais sont cas et un peu particulier car elle a etait crée sous l'ancien staff.
ce dernier veut donc revoir sont bg ce que je comprends bien
donc voila deja ce que j'ai ecrit il devrait encore avoir pas mal de texte a suivre


Lessa, fille d’infortune

L’enfance

Je suis restée longtemps sans me souvenir de mon passé. Trop longtemps !
Avec le recul, je pense que je n’aurais jamais dû m’en rappeler…

Je suis née dans une petite cité. Une belle bourgade fortifiée dont la réputation de tolérance attira mon père et ma mère qui craignaient le racisme de leur peuple respectif.
Le régent de l’époque était un homme juste et bon et, sous son règne, les premiers temps de ma vie furent heureux. J’en garde de bons souvenirs.

Malheureusement le fils du régent avait l’âme noire et quand vint son temps de régner les choses changèrent rapidement.
La ville se couvrit de temples dédiés à de sombres divinités et son nouveau maître, soucieux d’attirer les bonnes grâces de ces dernières, décida de faire d’une pierre deux coups en leur offrant en pâture ce qu’il appelait les "parasites".
Handicapés, malades, orphelins, bâtards et mendiants furent embarqués de force et enfermés dans un entrepôt en attendant que le jeune régent et les prêtres statuent sur leur sort. Les dignitaires religieux décidèrent de profiter de ce “cadeau” pour honorer leurs dieux et une procession fut organisée. Les “pénitents” devraient passer quelques jours de “purification” dans chaque temple et ceux qui surmonteraient l’épreuve seraient sauvés et élevés dans leur foi.

Quand les soldats ouvrirent l’entrepôt plusieurs jours s’étaient écoulés et certains d’entre nous étaient déjà morts. Ils nous menèrent en file indienne à travers les rues de la ville dans les différents temples. Pendant cent jours notre groupe, de plus en plus réduit, connut l’étreinte de Loviatar, le gantelet de Baine et bien d’autres supplices.
Beaucoup mourraient pendant les cérémonies. Ceux qui survivaient étaient sommairement soignés avant d’être envoyés au temple suivant.

Le reste est flou dans ma mémoire. Je suppose que sous la douleur et la terreur permanentes, mon esprit préféra se réfugier dans un recoin de mon âme pour ne pas sombrer dans la folie. Dès lors, je vécus le reste des atrocités comme une pauvre marionnette inconsciente et démantibulée…

D’après ce que l’on m’a raconté, le dernier des temples fut celui de Beshaba. Nous n’étions plus que six et le prêtre de ce culte nous avait réservé quelque chose de spécial : une ultime épreuve purificatrice qui représentait, selon lui, l’essence même de sa déesse.
Six coupes nous furent présentées, dont cinq empoisonnées. Il nous ordonna d’en choisir une et de la boire.
Ma coupe éclata en morceaux au moment où je la portais à mes lèvres. Le vieux hiérophante y vit aussitôt un signe de sa déesse et fit abattre sur le champ mes cinq derniers malheureux compagnons… d’infortune !

Le disciple de Beshaba avait trouvé son élue : moi !
Je vivais un temps dans le temple, encore “absente” et incapable de parler et même de raisonner, je crois. Les prêtres prirent grand soin de “l’Elue de Beshaba” que j’étais, soi-disant, et je retrouvais progressivement l’usage de la parole. Ils virent alors dans ma capacité d’assimiler de longues litanies un possible potentiel pour devenir mage. Aussi, dès que je fus en état, on me confia à un sombre mage.


La tour

Je commençais mon apprentissage auprès de , un nécromant de sinistre réputation. Heureusement, je bénéficiais de la protection du clergé de Beshaba, chance que n’avaient pas les autres apprentis.

Sous sa tutelle, je me découvris une passion pour la lecture et l’étude. Et si les prêtres avaient insisté pour que j’étudie principalement les malédictions, je picorais sans retenue des connaissances dans tous les livres qui me tombaient sous les yeux.
Au fur et à mesure que mon intelligence s’éveillait, je commençais à me poser des questions sur ce que j’étais et qui j’étais.

La réputation de cruauté de mon maître n’était pas usurpée et j’eus l’occasion à maintes reprises de constater le traitement qu’il réservait à ses apprentis. Certains paraissaient subitement fatigués, puis flétris avant l’âge avant de disparaître purement et simplement. Je compris alors, rapidement, qu’il prolongeait sa sinistre existence en s’emparant de l’énergie vitale de ceux qu’il jugeait inaptes ou décevants.

Je découvris aussi que le maître mage recourait à de complexes mélanges d’arcane commun pour altérer ses sorts et cette subtile alchimie incantatoire devint vite ma passion.
Ainsi, en parallèle de mes études sur les malédictions, je me lançais à corps perdu dans l’étude de l’altération.
Je pris des ans sans m’en rendre compte, le nez dans les livres…

Lorgol

J’arrivais sur mes dix-sept ans quand les prêtres décidèrent qu’il était temps pour moi de servir la déesse de l’infortune. Je fus envoyée à Lorgol avec un but très précis : aider le culte à s’implanter et surtout entretenir la peur de la malchance.
Je me traçais une route de larmes jusqu'à la ville aux cent tours, maudissant ceux qui ne respectaient pas les symboles que je portais. Là-bas, je rencontrais le haut prêtre du culte beshaba de la région. Il me traita avec respect, mais j’avoue que je restais insatisfaite, ma conscience quelque part s’éveillait.
Je m’adaptais à cette cité, mais je n’arrivais pas à m’intégrer au groupe de croyants qui préféraient rester enfermés dans la tour ou dans les bibliothèques.
Le temps s’écoulait et je visitais les autres cités afin d’approfondir mes connaissances. C’est là que je fis la connaissance des Louves.
Nos premières relations furent polies et je me rendis compte que ces femmes s’intéressaient plus à moi, pour ce que j’étais, qu’à mes pouvoirs.
Puis, au fil de nos rencontres, je commençais à ressentir des remords car je savais que leur chef, Coralys, était la cible de mon culte.
(Avec le temps, ma rencontre commandée par les cyriciens avançait. J’en avais conçu une grande partie, mais je m’étais retirée de l’enchantement sous de fallacieux prétextes.
Quand vint le jour de mettre en œuvre la malédiction, j’écoutais mon cœur et renonçais, trahissant le culte.
Coralys survécut à la malédiction et je devins Louve.

Lene et les Louves

Je commençais une nouvelle existence découvrant ce dont on m’avait privé toute ma vie : l’affection, l’amitié, et même plus…
Parmi les Louves, il y avait une barde à la peau bleue et douce : Lene. Avec le temps nous nous rapprochâmes. Elle fit naître en moi un sentiment jusque-là inconnu… L’amour !
A côté de cette relation qui se développait entre nous, le danger était toujours là. Nous étions en guerre contre les beshaba !
J’usais de ma magie pour protéger le camp, dépassant mes limites et puisant largement dans mon énergie vitale, comme j’avais vu mon ancien maître le faire. Je me sacrifiai presque dans cette tâche…
Totalement épuisée, je me préférais fuir mon amour et mes amis pour mourir seule…
Perdue et mourante, j’usais, dans un dernier sursaut de vie, de vieux sortilèges dont parlaient les Anciens dans un livre et lançais un appel pour créer un lien ( ?) afin de me sauver.
Mon appel fut entendu par Kra’eel chez qui j’éveillai la curiosité. Par nostalgie ou curiosité, il accepta de se répondre à la pathétique créature que j’étais devenue.


Un réveil

Le réveil fut difficile : je me liais à celui qui, avec le temps, deviendrait mon frère.
Le vertige et la désorientation furent terribles. Comment faire face à des choses que nous ne sommes pas censés connaître et encore moins ressentir ?

Kra’eel me surveilla les premiers temps. Entre fièvres et délires, ma nouvelle conscience s’éveillait. Je me blessais plusieurs fois, croyant un objet plus loin qu’il ne l’était réellement. Ou j’étais agressée par l’odeur de mes repas… Je compris alors que ma perception des choses était altérée !
Ce qui me marqua le plus furent mes rêves. Des rêves de chasse grandioses, par-delà les nuages, le cœur battant à tout rompre, dans de puissants coups d’ailes…

Je devais pendant ces jours d’isolement en compagnie de kra’eel comprendre toute l’étendue du lien qui nous unissait désormais. Et surtout prendre conscience de tous les changements qui allaient affecter mon enveloppe charnelle ainsi que ma vision de la magie et du monde.

Mon Art et mon corps connurent leurs premiers changements dans ces grottes. Les marques que je m'étais imposées dans le dos ( ?) commencèrent à croître et ma façon d’incanter se modifia. Au final, je fus incapable d’user de sort de froid, ni de prendre d’autres formes que celle de dragon.


Retour…

Après un temps qui me sembla court, je me retrouvais de nouveau au camp : de retour et vivante ! Ce qui avait changé en moi, et que je considérais comme une chance, fut accueilli de façon très mitigée par les Louves.
Si elles étaient contentes de me revoir, en revanche elles se méfiaient de Kra’eel et du lien qui nous unissait. J’avoue que je ne pouvais le leur reprocher et je savais que leurs regards sur moi en seraient irrémédiablement changés.

La vie reprit sont cours… Jusqu’au jour où Lene fut agressée par d’étranges morts-vivants. Sans hésiter, je participais au combat et me retrouvais pour la première fois face au culte du dragon.
Mon cas particulier attira l’attention du culte et mon frère me parla du sort des dragons qui choisissaient cette voie. Bien que tenté lui-même de les rejoindre, il respecta sa promesse de se plier à mon choix. Malgré cela, nous étions inquiets, craignant qu’ils se saisissent de l’un de nous pour nous contraindre à la conversion scélérate.

C’est pendant cette guerre que je sentis pour la première fois la rage qui dormait en moi s’éveiller et monter doucement. Plus on me rejetait, plus je me donnais corps et âme pour prouver que nous n’étions pas maléfiques.


L’esprit des dragons

La guerre continua, sanglante et sans pitié. Chaque jour se vivait dans la défiance, la crainte et l’horreur.
Je combattis de toutes mes forces, kra’eel se joignant même au vol de la Serre de Justice Havarlan pour combattre une dracoliche.
Malgré tout, je restais encore confrontée à la méfiance de beaucoup et quand les elfes hésitèrent à me soigner, sachant pertinement que leur magie soignerait aussi mon frère, je sentis la colère embraser mon âme…

Quelques petites questions :

Citation :

Perdue et mourante, j’usais, dans un dernier sursaut de vie, de vieux sortilèges dont parlaient les Anciens dans un livre et lançais un appel pour créer un lien ( ?) afin de me sauver.

Premiérement que signifie ce point d'interrogation entre parenthéses ?
A quel sort de lien fais tu référence ? Est-ce un sort existant, un rituel inventé ?

Citation :

Mon appel fut entendu par Kra’eel chez qui j’éveillai la curiosité. Par nostalgie ou curiosité, il accepta de se répondre à la pathétique créature que j’étais devenue.

Il s'agit donc d'un appel d'une créature de notre plan, et non d'une invocation ?
S'il s'agissait seulement de l'invocation de dragon rouge que l'on obtient pas le sort épique, ça ne poserait pas de probléme, mais là apparement, il s'agit d'une sorte de compagnon draconique.

Un dragon rouge, généralement, ne répond pas ainsi à l'appel d'une humaine. Les dragons rouges sont des êtres particuilérement malfaisant, ils se considérent supérieurs à toute les races. Un dragon rouge n'apprécie que sa propre compagnie et n'entretient de relations avec aucune autre créature et donc suerment pas humaine.
Qu'est-ce qui va motiver l'attitude du dragon rouge à considérer une humaine ? Je ne pense pas que la curiosité soit une motivation suffisante. De plus ce serait particuliérement dégradant pour un être aussi orgeuilleux qu'un dragon rouge que de se faire appeler par une humaine.

Citation :

Mon Art et mon corps connurent leurs premiers changements dans ces grottes. Les marques que je m'étais imposées dans le dos ( ?) commencèrent à croître et ma façon d’incanter se modifia. Au final, je fus incapable d’user de sort de froid, ni de prendre d’autres formes que celle de dragon.

Je ne comprends pas les raisons des marques que ton perso s'inflige, je ne comprends pas ce qui poussa cette modification. Les rôdeur tissent des liens avec leur animaux, ce n'est pas pour ça qu'ils vont se faire pousser les crocs ou incanter en grognant.
Quelle sort, événement, rituel s'est il produit pour appliquer ces modifications ?

[envoyé en MP]

Citation :

alors on attaque je t'avait dit que ca avait etait compliquer et je me douter que ca poserait prb^^ surtous avec un perso aussi ancien.

1er question le ? c'est un marque que j'ai oublier d'enlever un pense bete pour me rappeller de develloper cette partie.
le sort et une melange de plusieur sort existant a l'epoque nous etions deja en guerre contre le culte du dragon et j'ai utiliser des recherches deja faite dans les differante bibliotheque.

2eme question
pour le compagnon dragon rouge j'avoue qua l'epoque j'avait du faire la bg de kra'eel aussi par contre je n'est pas eut les meme information que toi je sais que les dragons rouges sont tres accrocher au territoire et au richesse mais j'avait lut qu'il etait ceux qui quand il se lier a un etre humain etait fidele a mort.
chose qui ne m'avait pas etonner en voyant que les seul disciples du dragons visible sur le jeu etait les disciples du dragon rouges

3eme question
la marque et l'incantation simplement pour ce qui est du changement ce n'est pas un compagnons animal comme un rodeur mais un partage de sensations et d'esprit et dans ce cas la les deux creatures lier par vif peuvent influencer l'un sur l'autre !!
j'ai des renseignement sur ca mais je ne le trouve pas completement sur le net si il le faut je te les ecrirait

Citation :

1er question
le sort et une melange de plusieur sort existant a l'epoque nous etions deja en guerre contre le culte du dragon et j'ai utiliser des recherches deja faite dans les differante bibliotheque.

D'accord, mais quelles sont ces recherches ? Avais tu fait des requêtes pour ces recherches ? Quels sont les formats de ces sorts ( lvl du sort, école de magie, paramétres, durée, contre sort, composantes, effet )

Citation :

2eme question
pour le compagnon dragon rouge j'avoue qua l'epoque j'avait du faire la bg de kra'eel aussi par contre je n'est pas eut les meme information que toi je sais que les dragons rouges sont tres accrocher au territoire et au richesse mais j'avait lut qu'il etait ceux qui quand il se lier a un etre humain etait fidele a mort.
chose qui ne m'avait pas etonner en voyant que les seul disciples du dragons visible sur le jeu etait les disciples du dragon rouges

J'ai un doute quand à la fidélité d'un dragon rouge avec un humain, peux tu me mettre en lien les sources de ces informations ?

Concernant les DDR, il ne s'agit pas d'histoire d'amour entre un dragon rouge et une humain, mais la volonté du dragon rouge de semer la graine de la destruction, en corrompant de son sang un humain qui va développer des difformtés, sera rejeté et nourrira des volontés de destructions.

Citation :

3eme question
la marque et l'incantation simplement pour ce qui est du changement ce n'est pas un compagnons animal comme un rodeur mais un partage de sensations et d'esprit et dans ce cas la les deux creatures lier par vif peuvent influencer l'un sur l'autre !!
j'ai des renseignement sur ca mais je ne le trouve pas completement sur le net si il le faut je te les ecrirait

Ca me semble bizarre qu'une humain vieux de quelques décénies arrive à supportée les pensées violentes et destructrices d'un être multimillénaire.



Une derniére chose: je constate une différence flagrante entre la qualité litteraire de ton bg et les réponses que je peux lire. Comment expliques tu une telle différence ( je parle là d'orthographe, de syntaxe, et de rhétorique )

Citation :

je croit que coralys etait un des dm present l'autre je ne sais plus , tu sais je croit que le mieux et de laisser tomber et de trouver une fin +- digne pour lessa
a la rigueur je demande a hakeem de l'excuter et on en parle plus

Donc mort Rp du perso après anim' probablement organisée avec l'aide de Cora.

lessa a etait bannis de bryn et a disparut