- Citation :
- Nom du compte joueur forum : solen fauchevie
Nom du compte joueur module : larme coeur
Nom du perso : alicia
Race : humaine
Age : 23
Alignement : loyal neutre(pour l’instant)
Religion : aucune pour l’instant
Classes et nombre de lvls: 5 guerrier 20 mages
Arme de prédilection/domaines/école de magie : nécromancie
Trait de Caractère : d’une nature froide et implacable elle a tendance a regarder les gens comme de futur sujet d’expérience
Description physique : la peau blafarde et les cheveux noirs
Caractéristiques (au niveau 1) :
FOR : 14
DEX : 14
CON : 14
INT : 16
SAG : 8
CHA : 10
Alicia
L’enfance.Un long alignement de tombe voici ce qui me resteras de mon enfance, mon père était le gardien du cimetière d’une grande citée près de la cote des épée.
C’était un homme taciturne qui veiller avec une attention maniaque à la tombe de ma mère, cette dernière avait péris en me donnant la vie
Il se levait tard pour surveiller les tombes des pillages et autres choses qui rode la nuit, avec le temps je finis par le suivre.
Combien d’étrange nuit a joué entre les sépultures, mon teint blanchâtre et mes cheveux noirs d’ébène faisaient fuir les enfants de mon âge et les morts devinrent mes seuls amis.
Ainsi je passais mes premières années. Non au final je n’étais pas à plaindre.
En grandissant je développait une curiosité vis-à-vis des morts, je n’avait après tous que eux comme repère.
Il est étonnant de voir comment le corps d’une personne décédée et encore plein de vie, j’observer les vastes fosses commune avec un passion qu’on pourrait qualifier de morbide.
Dans la mort les corps continue à évoluer, a bougé et les cheveux et ongles continue de pousser.
Un jour je dérobais la tête d’un soldat mort dans une bataille à l’insu de mon père et je le cachais dans mon repère, en vérité un vaste caveau sentant bon la pourriture et la vermine.
J’allait voir mon trophée chaque soir pendant des jours la face de ce guerrier inconnue continua a évoluer.
Sont visage ce couvrait d’une barde naissante et j’eu même le droit a quelque tic nerveux, c’était tellement intéressant de voir cela mais tellement frustrant de n’avoir qu’une tête.
L’apprentissageMa première expérience ne fit que réveiller une faim dévorante en moi et désormais des que je le pouvait je voler diverse partie de cadavre, ce n’était jamais grands chose mais j’étudiait jusque la décomposition des morceaux qui tombait sous ma main.
Je testait les mains encore fraîche piquant leur nez avec de longue aiguille pour essayer d’obtenir des réactions je regardait combien de temps m’était la chair a se décomposer.
Je notais cela dans un grand livre avec conscience de peur d’oublier quelque chose.
Avec les années j’en arrivais à la conclusion que les corps que la vie avait abandonnés renfermer une sorte d’énergie et que ce n’est pas parce que l’âme l’avait déserter que le corps était hors de fonctions.
Malgré tous je finit par rester sur ma faim, trop de petit morceaux rendez mon études incomplète j’essayait bien de reconstituer des corps complet avec patiente mais les état des décomposition et les diverse origines des bas morceaux récupérée rendez mon études trop incomplète.
Bizarrement c’est mon père qui me fournit mon premier sujet d’étude sérieux quand il me fit le plaisir de mourir, j’amenait sont corps dans la maisons dans laquelle nous habitions.
Je l’étudiait pendant longtemps , le dépeçant pour mieux voir ces muscles et ces veines ne répondant pas au coup frapper au porte qui se firent de plus en plus distant les jours passant.
Au final je réussis une animation des plus distrayante en reliant les nerfs de son corps à des poulies au plafond.
Une proposition étonnante un début d’apprentissage.Au bout de quelque semaine je du me résigner a détruire le corps de mon géniteur, ces chair étant trop endommager pour me fournir de vrais sujet d’études.
Je le découper et le faisait brûler morceaux par morceaux dans la cheminée, je fut sortit des mes pensée par un coup frapper a la porte le premier depuis bien des jours.
Je répondait n’ayant mieux d’autre à faire et fut étonnée de voir des paysans à ma porte, il voulait des nouvelles de mon père et je leur appris qu’il était décédé.
A mon grands étonnement les paysans me proposèrent la place de gardien du cimetière, visiblement les gens superstitieux ne voulaient pas être gardien de ce paradis de silence et de mort et j’avoue que j’acceptait avec empressement.
Je pris donc la place de gardien de mon père, cette place me permettait de faire de grande ballade au travers du cimetières et surtout me fournit tous les sujets d’expérience d’on j’avait besoin.
Comme les habitants détestait me voir je me faisait livrez la plupart de mes objet nécessaires a la porte du cimetière et je du avoir une sérieuse réputation d’alcoolique au vu du nombre de bouteille d’alcool que je me fit livrez pour conserver mes sujet d’étude.
Rapidement je me débarrassais des fossoyeurs préférant m’occuper de mon territoire moi-même, avec le temps je découvris que je n’étais pas le seul à aimer la nuit au cimetière.
Régulièrement des tombes étaient vider et je me demander qu’elle autre personne pouvait être intéresser par l’étude des corps comme moi.
Un soir de pleine lune j’eu ma réponse, au détour d’une aller le bruit familier d’une pelle creusant la terre éveillât ma curiosité.
La dans la pénombre un homme couvert de sueur creuser la terre avec acharnement et j’avoue que mon sang ne fie qu’un tour quand je vie avec qu’elle peut de respects je le vit frapper la pierre tombale.
Trop occuper pour me voir arriver je le frapper du tranchant de ma propre pelle aiguiser par la terre de je ne sais combien de sépulture.
Un sujet de choix le plus frais que j’aurait pus avoir en vérité mais dans l’excitation de mon acte je ne devinait pas que ce larbin n’était pas seul et avant même que je pus levait la main je me retrouvée paralyser.
Une homme de noir vêtu sortit de la pénombre la main encore brillante d’un halo rougeâtre, il m’examinât avec une certaine curiosité se déclarent avoir était étonnée de la lueur qu’il avait vus briller dans mon regard.
N’ayant plus rien a perdre je lui parlait de mes études et de tous ce que je faisait dans le secret de mon cimetière, il m’écoutât avec attention et déclarât que j’avait beaucoup a apprendre mais qu’il comprenait ma fascination.
Nous firent un pacte il y avait assez de corps dans le cimetière pour nos deux et si je fermait les yeux sur ces petites ponctions il m’apprenait un peu le secret des morts.
ApprentissageL’homme tenu parole en tous cas un minimum, il me fournit des livres et quelque enseignement mais je voyait bien que sont intérêt était surtout dans le contenue des tombes sous nos pieds.
Je me plongeait a corps perdu dans l’études des étranges manuscrit découvrant que ce je qualifier d’énergie post mortem s’appelait en vérité énergie, tous cela était issus d’un certain équilibre énergie positive pour la vie négative pour la mort.
Bien que j’avait deviner la base je fut loin d’être dessus de ce que je lisait car dans ces pages de nombreuse information comblant mes études solitaire.
J’apprenais les gestes inscrits dans les pages du grimoire avec fébrilité mais dans ma soif d’apprendre je ne vis pas que mon sombre instructeur devenait trop gourmand.
Et nombre de personnes trouvèrent les tombes de leur défunts vide …
Avec le temps la rumeur grandit je croit que j’ai eut du temps car les gens avaient peur mais la peur ne durât qu’un temps.
Un soir la tranquillité de mon laboratoire fut troublée par les cris hostiles. De ma fenêtre je vis avec étonnement les villageois torche brandit approcher de mon logis.
Leur attention ne fit aucun doute. Et ce qu’il me réservait non plus.
J’était cerner et je n’eu pas le choix d’utiliser le peu de connaissance que j’avait emmagasiner heureusement autour de moi j’avait de quoi travailler
Utilisant l’enseignement des livres et ce que j’avait sur la main je libérez l’énergie négative en vague, l’effet fut splendide et immédiat.
Les morceaux de chair morte s’activant grouillant dans les bocaux une main fixer a la table griffant le bois, déjà dehors des cris de terreurs commencer a s’élevait.
Mon sort n’avait peut être pas était assez fort pour éveiller les morts comme ils étaient écrit dans les livres mais il donna un semblant de vie au reste du cimetière.
Un repris court. Et ces au milieux de la panique que je m’enfuie pour rejoindre l’ancien caveaux de mon enfance.
Je n’était pas folle et je savait que mon apparence pourrait me trahir je m’emparait donc des restes d’une dépouille de guerrier enfilant temps bien que mal armure et arme, j’avoue que le résultat fut des plus ridicule mais grâce a la panique je réussit sans trop de problème a fuir le cimetière.
Cette vieille armure devint par la suite ma meilleure couverture, non que je devienne une guerrière mais j’apprenne à la porter juste assez pour en donner l’illusion.
Bannis de mon cimetière et sans mes précieuses découvertes je devais continuer mes études ailleurs et loin de préférence de ces fou de paysans.al