[Validé][Rôdeur/Moine/Roub][DE]Oriann

Citation :

Nom du compte joueur module : Joruce
Nom du perso : Oriann
Race : Halfelin
Age : 56 ans
Alignement : loyal mauvais
Religion : Malar, Talona, Talos, et divinités de la nature
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Rôdeur 10 / moine 10 / roub 5
Arme de prédilection/domaines/école de magie : kama
Ennemis jurés : animaux / humanoïdes monstrueux
Trait de Caractère : à découvrir ig
Description physique : A sa taille d'halfelin, il ne faut s'y fier, des cicatrices jonchent son corps svelte et agile. Il porte deux griffes à sa ceinture.

Caractéristique :
FOR : 8
DEX : 18
CON : 10
SAG : 16
INT : 14
CHA : 8

Languages :
-commun
-language animal
-elfique : le comprend, s'exprime très mal

Nous sommes en Haute Forêt, il y a environ 60 ans. Une femme abandonne son enfant qu’elle ne peut élevé, le père elfe n’ayant pas eu le courage d’affronter une vie et un enfant à moitié humain. Fort heureusement pour le garçon il fut trouvé et recueilli par des hommes des bois qui l’emmenèrent à leur Bosquet. Le vénérable du Bosquet ne s’opposa pas à ce qu’il soit admis ici à condition qu’il soit élevé dans le sens commun du bosquet. Ce dernier était orienté vers les divinités destructrices de la nature, le jeune demi elfe s’y plia naturellement. Les druides lui apportèrent une connaissance théologique générale mais Malar et Talona l’attirèrent particulièrement. L’attrait à ces journées de chasse était flagrant, suivant le mentor attribué, il admirait ces hommes traquant des heures durant une cible, tournant autour de celle-ci, attendant sans se faire voir le moment propice du sacrifice bestiale, d’autres fois c’était l’inverse, les plantes les plus jolies ont toujours des épines, les mentors concoctaient des essences qu’ils appliquaient sur la pointe de leur flèche et de leur lame, voir la proie s’éteindre après une lente agonie ou la fulgurance du poison, tout cela était fascinant.

La pratique fut bien sur au rendez vous, on expliqua au jeune Oriann à se repérer en forêt, comment suivre une piste, être à l’écoute de ce qui l’entoure. Cela dura plusieurs années et le garçon s’appliquait à la tâche cependant de nombreuses choses restaient encore inconnues pour lui, il arrivait à peine à faire appel à la nature et ses premières approches avec les animaux furent un désastre qui lui valut quelques cicatrices mais le jeune demi elfe ne désespérait pas.

Sa formation au bosquet fut cependant arrêtée bien avant qu’il ne soit prêt. Le bosquet auquel il était affilié fut ravagé une nuit par un bosquet rival. Il n’en connaissait pas la raison, son trop jeune âge et les quelques connaissances de la nature ne lui valurent pas d’être dans ceux qui étaient au courant de tout. Beaucoup furent massacrés et il dut fuir… pour aller où ? il ne connaissait pas assez la nature pour y rester. Trop hostile et sauvage et encore trop indomptable pour lui il dut à contre cœur s’en séparer.

Le retour fut difficile en ville, il n’y connaissait rien. La peur et la crainte furent ses premières impressions. Il se débrouilla comme il peut, se laissant guider par ses instincts dans un premier temps, se battant avec les chiens pour avoir de quoi se nourrir. Il rencontra une petite bande de voleurs qui lui apprirent quelques trucs pour se débrouiller, chose fort utile néanmoins car cela lui apprit à se mouvoir discrètement dans un décor qui était autre que la nature. Au début ces petites gens se servaient de lui, cela valut à Odiann quelques coups et remontrances mais on lui appris où frapper pour se sortir sans difficulté de mauvais pas, quelques coups vicieux pour blesser l'adversaire qui trop surpris ne pouvait plus le retenir le temps de déguerpir. Plus le temps passait et plus on lui apprit les tuyaux du métier. Un compagnon du groupe lui expliqua l'élaboration de pièges et où les placer. Bien évidemment, les premiers auxquels il s'essaya se déclanchèrent en les posant, ce qui fit rire les membres du groupe. Mais il ne renonça pas, les pièges devinrent plus complexes, les blessures plus graves mais c'était le prix à mettre. Ceci étant fait ils lui apprirent aussi à minimiser la casse lorsqu'on en déclenchait un, dans quelle position se mettre, quels gestes accomplir pour se protéger un minimum de toute sorte d'effet, la survie était une préoccupation à ne pas négliger. Il découvrit le monde civilisé, une loi autre que celle du plus fort ainsi qu’une connaissance obsolète sur les parchemins de faibles importances dont il apprit à tirer la magie mais la nature lui manquait. Après quelques années passées dans les rues il quitta cette petite troupe de personnes ne cherchant qu’à améliorer un peu leur vie. Sa vie changea radicalement le jour où Oriann croise un moine de l’Ordre Ancien de passage en ville. Croiser n’était pas le bon terme… il avait essayé de le voler mais le moine l’arrêta net. Plutôt que de le dénoncer, le moine lui demanda de le rejoindre en dehors de la ville. Comme sa vie ne pouvait pas être pire Oriann s’y rendit.

Le moine interrogea le demi elfe sur les raisons de sa présence en ville. N’ayant pas de raison de mentir, il lui raconta son passé. Ensuite il l’interrogea sur son avenir, comment le voyait-il ? Le demi elfe ne savait pas quoi répondre, il ne s’était pas posé la question. Le moine lui fit alors une proposition : de le suivre quelques années afin de l’ouvrir à sa sagesse ainsi il trouvera sûrement une voie et l’avenir sera meilleur pour lui. Oriann accepta.
Les armes : le moine se battait aux kamas, Oriann n’eut guère d’autre choix que d’apprendre à s’en servir. Une arme de paysan semblant anodine et qui pourtant était meurtrière pour quiconque savait s’en servir.
La voie du Ki fut plus délicate, le demi elfe était appelé par la nature, les deux voies n’étaient pas incompatibles, il fallait qu’Oriann trouve le lien les unissant. Il médita de longues heures pendant plusieurs mois avant de sentir ce lien, entre les entrainements au kama, il partait en forêt à la recherche de ce lien qu’il finit par trouver.

La nature est une source intarissable d’énergie, les plantes, les animaux, les arbres, toutes ces chosent vivants possèdent une énergie qui leur est propre, apprendre à la connaître, la sentir et l’utiliser est un pas à faire pour rejoindre la pureté de la nature. Si on peut la canaliser, on peut alors former un bouclier autour de notre corps, une barrière nous protégeant des agressions externes. Si notre esprit s’ouvre à elle, il nous est alors possible de mieux la comprendre et de l’écouter. Ces raisons font qu’il faut la protéger, elle est une essence nécessaire de la vie.

Il faut aussi apprendre à faire le lien à nos croyances. Par le Ki et ces énergies, nous développons nos sens, si on atteint un degré de pureté suffisant, ce ne sont plus nos oreilles et nos yeux qui perçoivent le monde, c’est la nature qui nous livre ses secrets, elle nous dit ce qu’elle entend et voit par ces énergies ce qui nous lie à elle, telle une symbiose.
Par ces liens il est possible de faire appel à toutes ces entités vivantes que nous protégeons afin qu’elle nous protégent à son tour, car nous sommes alors l’une d’entre elles. Nous nous mouvons à travers les bois sans un bruit ni une ombre, les traces de nos proies nous sont communiqués par la terre et le souffle du vent nous indiquent leur proximité. Ainsi elle nous permet de mieux choisir le moment on nous nous repaîtrons de notre proie.
Parmi ses autres secrets réside celui des plantes. Les quelques leçons sur les poisons de Talona furent utiles, Oriann apprit à en faire quelques uns à partir des plantes mais ce n’est pas tout, la nature peut l’en protéger, l’énergie du Ki qu’il en tire le défend de ces poisons, il ne craint plus leur effet mortel. Ces années passées en compagnie du moine s’achevèrent et il repartit d’où il était venu ou ailleurs, l’important était que le demi elfe ait trouvé sa voie dans la nature…

Les dernières années que Oriann passa en Haute Forêt furent proche d’une petit communauté d’elfe, ils s’en méfièrent dans un premier temps mais leur but commun de protéger la nature permit une tolérance durant laquelle le demi elfe s’intéressa au langage d’un de ses parents. Il apprit à le comprendre mais le parler fut autre chose, ses phrases furent au moins compréhensibles pour eux…

Le temps passant il parait à la recherche d’un bosquet répondant à ses attentes… la nature le conduit assez loin au nord ouest…

Cette fois-ci , je préfère laisser Achen s'occuper de ce Bg

J'ajouterai seulement qu'il faudrait développer un peu plus la partie urbaine, avec les voleurs à la petite semaine.

Passage édité.

Ok pour le côté rôdeur.

Sinon le passage brusque de la nature sauvage à la ville me dérrange quelque peu. Certes tu dis bien que "retour fut difficile", mais quel retour? Visiblement il n'y a pas mis les pieds avant.. Je comprends qu'il cherche un endroit où il se sentira plus en sécurité, mais pourquoi pas une zone moins hostile de la foret où un village (où il peut y avoir des bandits qui trainent). Ce personnage est adepte de Malar, il est un prédateur et n'irait pas se mettre en position de gibier (dans un environnement qu'il ne connait et maitrise pas du tout).

J'ai surtout un problème avec l'alignement. Pour le moment je ne perçois pas encore le côté Loyal, j'ai plus l'impression qu'il s'agit d'un neutre mauvais qui essaye de s'en sortir et ce peu importe les moyens (et que les dieux qu'il adorent sont plus d'alignement chaotique). Mais peut-être son évolution sur la voie du Ki le fera-t-il changer.

Donc, peut-être recituer la fuite du bosquet en un autre lieu et plus insister sur l'alignement.

Je ne vois pas le coté Loyal comme une attitude Loyal par rapport aux autres. Mais comme être en accord avec sa philosophie. Il est loyal envers la nature, loyal envers les valeurs qu'il défend : protéger la nature à tout prix, il y mettra les moyens pour le faire. La méthode n'a pas d'importance tant qu'il reste fidèle aux valeurs de la chasse pour Malar par exemple, celle de Talona.

Donc il est loyal envers la nature c'est de là que lui vient ce caractère.

je fais une parenthèse ici : j'avais un moine Bainite, mais il n'était loyal que de par sa soumission à Baine et la hiérarchie ainsi que les dogmes. Car ce sont des assassins sournois et sans scrupule donc le caractère Loyal n'est pas à prendre au pied de la lettre.

cela rejoint donc mon idée du loyal ici : la nature est une maitresse et un allié qu'il se doit de défendre et de respecter.


Pour la ville : que représente-t-elle pour un homme qui vient de la forêt ? N'est-ce pas en elle même une jungle inconnue avec des pièges et des dangers ? Un lieu de chasse en lui même ? Il vole, il pose des pièges, une sorte de chasse pour lui permettre d'apprendre à survivre, un lieu où seul les plus forts survivent pour ceux de sa catégorie, soit un loi de la nature.

en entrant en ville il est gibier, en apprenant à la connaitre il inverse la tendance et c'est lui qui y devient le prédateur, cela est comparable aux jeunes loups qui viennent de naitre, ils sont d'abord proies car ne sachant pas se défendre avant de devenir les prédateurs s'ils survivent.

Citation :

Pour la ville : que représente-t-elle pour un homme qui vient de la forêt ? N'est-ce pas en elle même une jungle inconnue avec des pièges et des dangers ? Un lieu de chasse en lui même ? Il vole, il pose des pièges, une sorte de chasse pour lui permettre d'apprendre à survivre, un lieu où seul les plus forts survivent pour ceux de sa catégorie, soit un loi de la nature.

J'aime bien ce point de vue..

Mais le fait qu'il soit loyal à ses valeurs ok. Mais il devrait répugner a aller en ville, la ville étant en oposition avec la nature (s'il ne s'agit pas d'un lieu construit en harmonie avec elle), c'est la que j'ai du mal. Sauf si c'est pour montrer aux citadins que la nature et ses lois peuvent les atteindre même au centre de la civilisation. Mais tu soulignes bien le fait que la nature en elle-même lui manque..

Je passe donc en évolutif pour le côté retour à la nature et son cheminement spirituel (je souligne juste que les membres de l'ordre ancien sont rarement mauvais ).

Son éveil sur la voie du Ki lui a permis de voir de l'ordre dans la nature. Elle n'est plus chaotique. Un des aspect de cet éveil : les cycles. Une répétition qui est en place depuis quasimment le commencement, tout s'enchaine et se reproduit. Depuis le soleil qui se lève à l'aube et qui disparait le soir venu, les saisons qui passent et réapparaissent, la saisons des amours pour les animaux qui est systématiquement à la même période, la nature ne serait donc pas un amas de chaos mais un mécanisme, composé de rouages et d'engrenages où tout est bien régulé et huilé. La loi du plus fort serait expliquée par le fait que lorsqu'un engrenage n'est plus bon, la nature le remplace en le faisant disparaitre. Il y a donc un ordre dans tout cela qu'il faut respecter car c'est la nature qui le contrôle, nous n'en sommes que des défenseurs et des acteurs.

L'instinct naturel : qu'était-il adevenu de celui-ci ?

Plus jeune lors de chasses, il était poussé par des forces incontrôlables, ces forces le guidaient et le poussaient à agir sans trop qu'il sache pourquoi mais il le faisait et s'y abandonnait. Elles restaient pourtant forts utiles, c'est ce qu'on nomme l'instinct.

Sa maitrise du Ki, lui permit de mieux les sentir, de les comprendre. Ces forces étaient devenues des signes, une sorte de langage en lui même qui ne répondait qu'à des stimuli, la nature lui communiquait quelle chose, autrefois il ne pouvait que s'y abandonner, maintenant il était capable d'y résister, de l'ignorer ou encore d'y céder. Un véritable contrôle sur certaines choses de la nature que sa sagesse lui permis d'acquérir au fil du temps.

Tout ces principes qui sont ceux de sa voie constituent donc une avancée majeure sur ses connaissances de la nature, de son fonctionnement, de ses forces et règlements car alors il s'agit maintenant d'un règlement afin de respecter ce grand ordre. En comrenant au mieux la nature, le retour lui est possible et son intégration s'est faite naturellement.

Retour à la nature :

Ses premiers temps dans les bois furent destinés à repérer les lieux, à retrouver les sensations passées, mettant en pratique sa philosophie il se sentit chez lui et tout à fait à l'aise dans cet endroit pourtant inconnu. Et les signes ne trompaient pas, quelques jours à peine après son retour, il se remit aux enseignements de Malar et Talona. Il ne déduisait pas des empreintes la direction à suivre, ce sont elles qui lui indiquait. C'est ainsi qu'il se mit à suivre une meute de loup dans les bois pendant leur chasse. Ce jeu est spirituellement intéressant, l'idée du traqueur traqué sans qu'il le sache, il poursuivait son chemin dans les bois sans se tromper à aucune étape de la traque tout en faisant appel à la nature pour qu'elle couvre ses traces naturellement, qu'elle le masque dans les ombres des feuilles comme si son être n'était plus, juste une âme qui rôde dans les bois sans laisser la moindre piste avant de réapparaitre plus loin, plus près de ceux qu'il chassait.
Quelques jours à peine s'est écoulé, mais le temps est une notion à laquelle il ne s'attachait pas, aller plus vite n'était pas le but premier, chaque chose en son temps, un art de la chasse bien fait est la plus grande des réussites. Cela étant, il avait tout de même retrouver la meute. Il pouvait ressentir la direction dans laquelle celle-ci se dirigeait, c'était simple, l'instinct du traqueur l'aurait guidé par là, il n'avait qu'à être à l'écoute de celui ci. Cela lui permit de la suivre sans à aucun moment se faire sentir par ces loups, le moment approchait.
Un petit groupe de cerfs était en vue, les loups approchaient, il s'approchait aussi. Il pouvait voir le moment où le chef de meute se lancerait, cela lui permit de le devancer, les deux "bêtes" fondèrent sur la proie, Oriann eut l'ascendant et abattut le cerf le plus agé avant le chef de meute, ses kamas transpercèrent l'animal qui s'effondra rapidement. L'animal sauvage ne put que se retirer un moment pendant qu'Oriann se repaissait de son trophée avant de repartir en laissant les restes à la meute, satisfait d'avoir fait couler le sang dans une grande chasse et d'avoir devancé ses rivaux.

Les temps suivants furent à renouveler ces expériences, y mêlant poisons lents et fulgurants entre des journées de méditation. Il s'était donné une réflexion : on me verra tel un prédateur, un tueur mais cela fait-il de moi quelqu'un de mauvais ? Je ne serai mauvais que parce que ceux qui ne peuvent pas me comprendre me jugeront comme tel, cependant nous avons tous notre place dans le grand équilibre et eux seront les rouages du grand mécanisme qu'est la nature, à moi de chasser ceux qui sont déficients.

Quelques fois il errait au bord des bois et s'arrêtait pour tourner le regard vers la civilisation. Certes elle lui avait apporté des expériences bénéfiques et fut tolérable parce qu'il l'a vécu telle une jungle mais elle restait néanmoins un obstacle à l'épanouissement de son terrain de chasse. Il se rendait de temps en temps en ville pour y faire quelques victimes qui rappelait aux citadins ou villageois la présence du Seigneur Bestial afin de les dissuader de venir sur son territoire... ou au contraire les attirer à le pourchasser, ainsi ces fous se jettaient eux même dans la gueule du loup. Prenant les vies pour Malar, il laissait à Talos la destruction des bâtisses...

Il servit le Bosquet Sombre de long mois et en était devenu le Chef de la Meute de Malar...

Il est tombé en défendant son territoire... ainsi fini Oriann, chasseur de Malar.

[Mort RP du personnage]

Tout était si calme, silencieux, froid... mais que se passait-il ? LEs orques... le havre... et puis ? Je me souvenais de la douleur des lames transperçant ma chair, cela ne me disait toujours pas où j'étais.

Et puis vint cet appel. Je pouvais les entendre, tout était trouble, je sentis que les forces de la nature me tendaient la main pour me guider. Je les suivis. Ce flux me m'ammenait en un autre corps, ils se façonnaient, j'en prenais possession... et puis... HUUUUUUUUUUUUUU... une grande inspiration, ce fut douloureux, mon corps était engourdi mon esprit l'était aussi. Je ne voulais que respirer. J'ouvris ensuite les yeux, les formes autours de moi étaient floues, mais je puis distinguer des arbres, les rats.... la Meute... j'étais de retour.

[Réincarnation d'Oriann]

Peux tu renseigner tes ennemis jurés ?

(C'est toi mon ennemi juré moughaghahga ! *sort*)

Par une nuit sans lune, un combat comme on en voit peu, sans magie, sans artifice, avait eu lieu. Une elfe venait de venger une longue série de victoires macabres. Le Traqueur s'en est allé...

[Mort RP définitive de Oriann]