Nom du compte joueur forum : Kalom
Nom du compte joueur module : Kalom01
Nom du perso : Morgane Mesen
Race : Humain
Age : 16 ans
Alignement : Neutre Bon
Religion : Mystra
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : 25 Enso
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Baton, magie gérénal
Trait de Caractère :
D'une habitude et éducation soumise, elle renferme et cache en elle sa personnalitée.
D'un ordinaire trés docile et consiliante sans l'influance maternelle elle s'éveil doucement tel une fleur qui s'ouvre au soleil.
Sa douceur est visible à son visage, mais son affirmation à son identitée se laisse entendre dans sa voix suave mais ferme lorsqu'il le faut.
Description physique :
Cette jeune femme est d'une premiere apparance mince et fragile, portant des tenues ou robe soignées.
Sa chevelure brune aux cheveux détachés tombant sur ses épaules se fait couleur fauve lorsque le soleil se couche à l'horizon.
Ses yeux sont bleu océan et captivant ou se reflete de l'intelligence mais on ne peut en déceler d'avantage de ce minoi charmant lorsqu'un sourire vient l'éclairer.
Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 15
CON : 14
INT : 10
SAG : 10
CHA : 16
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Dans le lieu dit Saint Sceaux était le domaine du Sir Octave Mesen saint Sceaux propriétaire et maître de ses terres.
Quelques ares de champs cultivés, des hameaux ou petits bourgs et des bois immense, sa propriété de chasse personnelle.
L'homme était âgé d'une cinquantaine d'années, le visage rondelet, les pommettes sayante et le visage entouré d'un fin collier de barbe couleur poivre et sel.
Son regard était d'un apaisant bleu azure et la bonté en transpirait.
Fervent serveur de Tyr devenu l'un des conseillés d'Assonys il avait le respect de ses sujets pour sa justesse et sa sagesse.
Le premier enfant à venir aiguailler la demeure fut Achile.
D'un visage fin et délicat à sa naissance, ses traits s'endurcirent doucement avec l'age pour prendre d'avantage ressemblance avec son père.
Morgane, née au manoir familiale fut une joie pour la famille entière et rien ne prédestinait apparemment cette enfant à la magie.
Pourtant ... elle la procédait en elle.
Les années passants, elle grandit et les soucis commencèrent...
La petite et sage enfant déclenchait parfois à distance des petits feu ou boules électrique lorsque son humeur était à l'orage ou qu'elle se trouvait contrarié.
Son aine Achile âgé de sept années de plus qu'elle tenta les premiers temps de la défendre mais l'autorité maternelle fut taire l'enfant.
Les interdictions et restrictions pleurèrent alors à flots et elle apprit à renfermer ses pulsions.
On lui apprit qu'elle avait le mal en elle, qu'elle serait chassée et tuée si elle exposait sa magie au grand jour.
Tout fit fait et dit pour enfouir loin se secret qui devint dés lors un sujet tabou et oublié.
Elle passa quelques années dans un couvent où la discipline régnant valait sûrement celle d'un champs de guerrier.
Son frère alors âgé de quatorze ans, partit au service d'un chevalier, champion de joute pour suivre un apprentissage dans l'art des lames et devenir un maître du combat, valeureux guerrier comme le fut jadis le père.
Les années passées en ce lieu clos la refermèrent d'avantage sur elle même.
La solitude lui pesait et les soeurs s'occupant de son éducation ne lui laissait que peu de temps pour elle même
Elle parvenait parfois à s'exercer et désobéissait, mais mise à part une belle lumière éclairante, elle ne pouvait rien essayer d'autre de peur d'être découverte.
Le couvant ne laissait à Morgane guère de possibilité, et une fois sortie de cette rétention, elle fut enfermé dans une autre.
Elle atteignait presque ses seize ans et la vie de famille reprit mais dans une atmosphère pesante.
Aucun rire, aucune discutions amicale ou légère.
Le père désormais absent de la demeure et reposant en paix dans la petite chapelle du domaine, la maison fut régit par la mère Sévéria Mensen.
Le visage dure et ses rides accentuent sa sévérité, les cheveux droit, sombre et grisonnant sont toujours coiffés vers l'arrière endurcice d'avantage ses expressions.
Réglant, comme un métronome, le quotidien de les ouvrières de son magasin comme celle de sa fille elle tenait en main son petit monde avec une satisfaction égocentrique.
Un jour où Morgane travaillait à assembler une parure de fine broderie dans l'atelier de l'arrière boutique sa mère vient la voir.
- Fille !
*les mains se frottant l'une a l'autre comme à son habitude, elle passe devant le candélabre qui éclaire Morgane et se poste juste devant elle.*
- Nous aurons aux prochaines moussons le mariage de la fille de la comtesse d'Assonys et nous n'avons sommes en lacune de velours, notre cher ami Merkal ne peux nous en faire parvenir.
Tu devra te rendre à Padhiver et négocier en notre nom.
*cessant son agaçant jeu de main, elle tournât talon et lâcha sans se retourner coupant sa fille qui allait répondre*
- Je n'ai point le choix il me faut rester présente au domaine.
Tes dames de compagnies font actuellement tes mâles, tu part sur l'heure et reviendra dés cette affaire faite.
Elle déposa à son panier son ouvrage et sentit son coeur vibrer en elle.
Elle resta à rêvasser de ce voyage et cette tache qu'elle devrait accomplir seule et devint blême d'inquiétude et d'anxiété.
Le soir même, Morgane prit place dans sa cabine, la main posé sur le coffre contenant quelques unes de ses robes, jupons et autres bijoux dont elle se parait, la cassette et l'or pour acquérir les étoffes.
Le doux tangage du navire berçait l'embarcation, puis une secousse la surprit et tiré de ses réflexions elle posa innocemment son regard sur un bougeoir posé sur la table.
La bougie était à moitie consumé, la cire coulé et blanchit le bronze de l'objet attira son attention, elle se leva et s'en approcha.
Approchant ses mains l'une vers l'autre, dans un sentiment serein, elle marmonna quelques paroles, son regard ne quittait pas la mèche noir...
Une flamme apparut au centre de se mains, ses gestes fluides et gracieux approchèrent la flamme et la lumière se fit.
Peut être était ce loin de son foyer qu'elle saurait s'épanouire.