- Citation :
Nom du compte joueur: ANIM Le Truc
Nom du perso: Tirésias
Race: humain
Age: 20
Alignement: Loyal Bon
Religion: la triade pour le moment (ce n'est pas un fanatique, du moins pour le moment^^) il rend hommage plus à Torm
classe(s): 20 paladin/ 5 cavalier (peut être champion divin, peut être maître d'arme, champion de torm bref^^) à voir suivant le rp
Domaines de paladin: Bien, Force, guérison, Loi protection
Arme: épée longue
Trait de Caractère: charitable, galant, souvent rêveur, il use d'un language assez noble
Description physique: Il y a une longue chevelure brun qui cascade sur ses large épaules, il a une forte carrure, les yeux bleu aciers.. C'est un personnage charismatique.
Il a une estafilade à l'arcade, et il porte un organeau, représentant le sceau des chevaliers dragon pourpre
Il porte souvent une armure et une tunique pourpre
Un tabard est gravé sur une de ses épaulettes de son armure lourde, représentant le symbole du Cormyr.
JEUNESSE de TirésiasNé au Cormyr
Jeune galopin qu’il était,
Faisait les cent mille coups
Il habitait une petite chaumière
Jeune, il travaillait à la ferme
Aidant son père à répandre la semence
Pour récolter l’or des champs
Il se nommait Tirésias
Jouvenceau impétueux
Il s’amusait avec ses joyeux lurons,
à la guerre
Il se prétendait être chevalier.
Ses camarades pouffèrent.
De l’Illusion d’un gueux,
qui ne savait tenir sa place,
Parmi la populace
Il souhaitait devenir illustre chevalier dragon pourpre
Son rêve était loin,
Fils d’une famille indigente
Il regardait les chevaliers
Défiler dans la cité
Ö joie !
Il les regardait
Leurs bannières flottantes au gré du vent
Leurs armures scintillantes sous la luminosité de Lathandre
Leurs heaumes dont s’ébouriffaient du crin pourpre
Leurs lances brandis aux cieux
Demain, ils partiront à la guerre
Contre orques et gobelins
Sauvant les fils du Cormyr d’un funeste destin
Leurs montures avançaient en cadence
Traversant la cité avec nonchalance.
Le petit garçon qu’il était
Regardait défiler le cortège
Les citoyens leur faisaient honneur
La chaussée était bombée de fleurs
Les femmes pleuraient leurs départs
Les cors résonnaient
Ils partirent pour la guerre.
Le lendemain, les chevaliers revinrent
Traversant la cité d’un pas mal assuré
Transportant moult blessés
Ils marchèrent au rythme martial des tambours
Les citoyens s’amassèrent
Adulant le cortège funéraire
Certains pleuraient
Certaines étreignirent leur époux
Tirésias passa ses journées
A rêvasser
La vie se résumait à une lutte incessante
Pour ce petit garnement
Pourquoi n’essaierons nous pas de bâtir un monde plus doux,
Sans vainqueurs, sans vaincus..
Sortant de la chaumière
Il fixa le ciel
Il fit le serment
Qui allait vraisemblablement
Changer le cour de son existence
« Afin qu’éclate la vérité
Afin que triomphe la justice
Je fais le serment de devenir chevalier pourpre du dragon »
Tirésias partit de sa chaumière
Le gueux prit de l’assurance
Bien que bien mal acquit
N’ayant aucune expérience
Un départ précipité
Une miche de pain, une gourde et une couverture
Et le bambin partit
Il alla à Suzail
Capitale royale du cormyr
Il alla à la caserne
D’un pas assuré
Il narra son histoire
Les guerriers le regardèrent en riant
Hormis un homme
Yeux bleu acier, cheveux mi-court
Il avança vers Tirésias
Le sourire aux lèvres
Il se pencha et fixa l’enfant
« Qu’es ce qu’un jouvenceau fait en ces lieux ? »
Tirésias le regarda avec une moue
Devenir chevalier bien sûr !
L’homme se releva et partit sans un mot
Déçut, le bambin resta figé
L’homme revint
Avec une selle en main
Il l’a lança
Tirésias l’attrapa
« Portes cela petit, tu seras mon écuyer à compter de ce jour »
Le garçon sourit
Etre écuyer n’était pas
Chose aisée
Nettoyer sa monture
Porter son paquetage
Balayer et préparer à manger
Tel était son quotidien
Ainsi s’acheva la saga de la jeunesse de Tirésias…
Les saisons défilèrent
Tirésias grandit
Et devint grand et fort
Que Tymora me prenne en témoin
Car aujourd’hui fut
La chance de sa vie
Une joute était annoncée
Scellant son destrier
Il alla au tournoi locale
Dans une cacophonie de martèlements de sabots
De hennissements et d’interjections
Les cavaliers adoptèrent une formation en fer à cheval
Saluant le seigneur ayant organisé
Ce très preux et très noble tournois
Tirésias chiada pour en arriver là
Et il ne pu y croire
Les mains gourdes
Les jambes tremblotantes
Il écouta les paroles du seigneur
« Oyez Oyez, nous déclarons ouvert ce noble tournoi !
Car fièrement pour ce pays je me battrai
Jusqu’au jour de ma mort, ô votre majesté.
Et quel que soit le roi pour qui il faut périr
A jamais je serai un brave du Cormyr »
Les concurrents répétèrent le chant du cormyr
Puis ils tournèrent brides
Le tournoi commença
« La première joute opposera sieur igan de saint quentin au sieur bleth »
Le tournoi risquait d’être difficile
Pour ce petit paysan
« La deuxième joute opposera sieur Tirésias au sieur Slaine »
Harassé par la foule
Il arçonna sa monture
Tirant la lame de son fourreau
Il salua son adversaire
Tout deux partirent au galop
Ayant la main leste
La lame de Tirésias crissa contre la hampe de la lance
Rabattant la lance en hauteur
Tirésias parvint à mettre bas son adversaire
D’une violente estoc
Sous les applaudissements des vilains
Sous les regards des nobles et de son maître
Tirésias ne pu s’empêcher de sourire
On pu lire à cet instant
Le sourire d’un enfant
En proie d’une profonde innocence
On lui témoignait enfin de la reconnaissance
saluant la lignée obarsky
Il ne gagna pas le tournois
mais l'expérience, il acquit
il devint chevalier dragon pourpre
des années après
Son ordre l'envoya à Padhivers
la cité des splendeurs
porter un message...
Le déclenchement(récit de son adoubement )
-« Oyez Oyez, nous déclarons ouvert ce très joyeux , très preux et très noble tournoi ! la première joute opposera messire Igan de Saint Quentin au sieur Tirésias ! »
-Arrêtez vos jérémiades Igan et cessez de cherrer, nous ne sommes pas plus à un tournois qu’un champs de bataille !
-Un peu d’esprit ne vous ferait pas de mal écuyer Tirésias, ou dois je dire paysan ?
- Les chevaliers useront en cette joute, des armes suivante… L’épée, la lance, le fléau d’armes et la hache…
-Vous êtes plus un troubadour qu’un écuyer Igan, choisissez votre arme et qu’on en finisse.
-Que Nenni, c’est votre personne qui m’a convié à cette joute, agissez en tant que tel, usez d’un langage adéquate, avec plus de respect…dois je vous rappeler les règles ?
-Ce n’est pas nécessaire, je choisis la lance
-Je choisis l’épée
-Vous êtes bien trop présomptueux et bien trop arrogant pour manier cette épée Igan, votre trop grande confiance et estime de vous est votre faille, c’est ce qui causera votre inéluctable défaite
-Vous avez la langue bien pendue sieur Tirésias, m’avez-vous déjà mit à terre une seule fois par le passé ? Je serais adoubé chevalier bien avant vous…
-Vous allez chiader pour devenir chevalier..
-Votre maître semble malade, je crains que sa vie soit en de bien mauvaise posture, que ferez vous quand son existence se résultera par sa mort ? Vers qui vous tournerez vous ?
-Il va me transmettre son héritage
-Voilà qu’un gueux, qu’un paysan de surcroît devient noble et chevalier…
- Je suis flapi d’entendre de pareils arguments à mon égard, commençons afin que j’extirpe un exutoire
*à l’aide d’un treuil, des hommes parvinrent à les mettre en croupe sur leurs montures respectives*
-Votre cheval ressemble à un bourriquet, comment le nommez vous ?
- Il se nomme Sharak, équivalent à « lumière » en notre langage
- Un piètre nom pour un bourriquet
- Parlez pour vous..
- Barad Ur Den’noir lui convient parfaitement, étant issue d’une grande lignée
- Je parlais de vous Igan, pas du nom de votre chevreuil
- Cette offense ne restera pas impuni
Les deux cavaliers crièrent et levèrent leurs armes en guise de salutations, leurs montures cabrèrent et partirent au galop sous les ordres des deux écuyers…
Ils se rapprochèrent et au fur et à mesure, Tirésias allongea sa lance, Igan para le coup.
Il heurta la lance de Tirésias du plat de sa lame, l’a faisant glisser contre le bois de la lance pour ainsi se rapprocher en toute sécurité de lui…
Igan jugea qu’il était assez prêt pour donner un éventuel coup, alors il décida de dévier la lance de Tirésias en l’a rabattant en hauteur puis, il lui mit un violent coup au torse du plat de sa lame, ce qui eut pour effet de désarçonner Ulthor de sa monture..
Il tomba au sol violement, un lourd bruit métallique se répercuta dans l’arène sous les applaudissements des spectateurs
Les deux chevaux regagnèrent leur position initiale
- Vous pensez certainement…..Que la lance a effectivement plus d’allonge qu’une simple épée mais si l’ennemie se rapproche suffisamment de son adversaire, il peut alors percer sa défense. Souvenez vous en sieur Tirésias..
- Mmmmh..
- Jamais un gueux pourra me vaincre en combat singulier.. dusse-je dire écuyer… ahahah !!
- Je vais changer d’arme, je choisis le fléau
- Je choisis l’épée
Tirésias se releva et dirigea son cheval au niveau du treuil pour ainsi arçonner de nouveau sa monture, il remonta sur son cheval avec l’aide des écuyers.
Il commença à mouliner son fléau pour ainsi faire tournoyer l’arme dans les airs.
Les deux écuyers se saluèrent de nouveau et repartirent au combat.
Tirésias continua de mouliner son fléau jusqu’à ce qu’il puisse donner un coup, Igan allongea sa lame en avant…
Tirésias cessa de mouliner et tenta de toucher Igan mais celui-ci para le coup avec habileté, les chaînes du fléau s’enroulèrent autour de l’épée, bloquant toute opportunité offensive aux deux protagonistes..
Tirésias força sur le fléau d’arme en tirant Igan vers lui, il lui mit un violent coup de poings dans son heaume, le désarçonnant avec facilité.
Les spectateurs applaudirent de nouveau
- Félonie !! la joute fut remportée par félonie !
- Quels actes déloyales ai-je pu commettre écuyer Igan.. ?
- Vous le savez que trop bien ! je réclame le jugement de dieu !
La foule de spectateurs restèrent figés en entendant le défis
- Je n’ai commit aucune tricherie, veuillez cesser vos sarcasmes, un combat à mort n’a pas lieu d’être
- Acceptez le défis dans ce cas, si vous pensez avoir raison, nos dieux trancheront la question..
- Ainsi soit il Igan…
Ils repartirent chacun de leur coté, Tirésias passa un moment avec sa monture, il prenait soin de ce cheval car il le considérait comme un frère d’arme
Il délaissa sa monture pour retrouver son maître au chevet, celui-ci avait le teint pâle, de plus il avait de terribles quintes de toux
Tirésias remarqua qu’il portait toujours son armure, il ne pu s’empêcher de sourire en voyant le vieil homme munit toujours de sa tenue chevaleresque
- L’armure est ma maison, ma lame, ma sœur d’arme.. ?
- Exactement écuyer ! … Tirésias, j’ai à te parler, j’ai eut vent de la félonie d’aujourd’hui, ces rumeurs sont vrais ?
- Je n’ai point souvenance à avoir triché mais il est vrai que Igan a réclamé le jugement de dieu, une règle qu’aucun chevalier ne puit outrepasser..
- Es tu prêt à devenir chevalier ?
- Je ne vis que pour cela, maître..
- Agenouilles toi Tirésias « le preux »
- Pourquoi me surnommer ainsi ?
- Tu es mon fils à présent, sache que tu hérites de mon nom et de mon titre ainsi que toutes mes terres..
*le vieil homme se leva et saisit son épée avec maladresse, il adouba Tirésias*
Quelques jours plus tard il mourrut de vieillesse.. Tandis que Tirésias, devenut Chevalier dragon pourpre voulut gagner Padhivers, évitant ainsi le jugement de dieu.