[Parti][Validé][Guerrier/MdA/Paladin][H] Hector de Larmenius

Citation :

Nom du compte joueur: Joruce

Nom du perso: Hector de Larmenius

Race: Humain

Age: 28 ans

Alignement: Loyal Bon

Religion: Heaum

classe(s): Guerrier 14 / MdA 7 / Paladin 4

Arme de prédilection/domaines/école de magie: Epée bâtarde (Eternelle vigilance)

Trait de Caractère: Assez froid et droit. Deux valeurs dominent le monde pour lui : sa Foi envers la Sentinelle et la Loyauté. Il cultive cette doctrine : « Tuer un être maléfique est un acte saint. »

Description physique: Une taille assez grande pour ce corps musclé jonché de cicatrices. Il a plusieurs balafres au visage. Ses yeux sont d’un vert pâle, les cheveux cours et un peu dégarni au niveau du front. Il porte fièrement le symbole de Heaum sur son pavois, son armure ainsi qu’à la garde de son arme.

FOR : 18
DEX : 13
CON : 14
INT : 14
SAG : 10
CHA : 16

BG :

Longtemps après la guerre des gobelins et l’occupation de ces derniers et des orcs sur la ville d’Arabel au Cormyr, naquit dans la famille modeste de Larmenius un petit garçon du nom de Hector. Son père était un des chefs de patrouille dans la garde de la ville et sa mère restait au foyer à s’occuper de tenir la maison en ordre. Des premières années juvéniles sans histoire et particularités pour le petit Hector. Son père l’éleva dans le respect, la rigueur, la droiture et le devoir. Ce dernier était aussi un fervent adepte de la Sentinelle et il se rendait plusieurs fois par semaine au Temple de Heaum afin d’y prier. Très jeune il l’y amena et il duit faire comme lui. Evidemment à cette âge-là il ne savait pas vraiment en quoi cela consistait, pourtant il me mettait à genou, faisant comme son père, il prenait cela comme un jeu cela faisait passer le temps plus rapidement. Mais plus les années passaient et plus Hector commençait à prendre conscience de tous ces gestes qu’il faisait au Temple et les pensées lui traversant l’esprit changeaient elles aussi, il adressait des demandes et remerciements au Vigilant. Bien sûr son paternel le guidait dans ses premiers pas dans la Foi envers Heaum.

Ayant atteint l’âge de douze ans, son père commençait à l’entraîner au combat. C’était surtout une initiation aux armes pour son fils afin qu’il soit parfaitement prêt plus tard à entamer réellement une formation martiale. Le jeune Hector essayait différentes armes, celles qu’ils pouvaient porter c’est-à-dire des épées longues, des rapières, cimeterres ou encore d’autres armes plus petites cependant le garçon semblant en apprécier une tout particulièrement : l’épée bâtarde. Il avait lu dans des livres consacrés à la Sentinelle que l’épée du Dieu Gardien était un modèle de celle-ci appelée : Eternelle Vigilance. Mainte et mainte fois le petit Hector avait rêvé d’en posséder une pareille, il avait imaginé de nombreux combats dans lesquels il triomphait grâce à cette épée si particulière. Cependant il n’en délaissait pas moins les autres, son père lui avait dit que pour être un bon garde il fallait pouvoir utiliser n’importe quelle arme parce qu’on n’a pas toujours le choix de celle qu’on pourra prendre dans une situation critique. Alors le fils écouta son père, trois les années passèrent pendant lesquelles Hector en apprit plus sur Heaum et se familiarisa avec toutes les armes qu’on lui proposa, sa formation allait pourvoir débuter.

Il fut confié à un garde de la patrouille de son père, un jeune homme fougueux et intrépide de 25 ans mais incroyablement talentueux à l’épée, un jeune prodigue. Ce dernier avait une particularité, il attirait les ennuis sur lui et nombre de fois les patrouilles furent des calvaires mais la maîtrise en combat de ce jeune homme sauva la mise. A partir de ce moment là, le jeune Hector alla moins souvent au Temple du Vigilant, se concentrant avant tout sur cet apprentissage martial. Son mentor lui apprit toutes les passes d’armes qu’il connaissait. Les journées étaient rigoureusement organisée :
-réveil à l’aube et petit déjeuner avant l’entraînement physique toute la matinée. De la course pendant une ou deux heures selon l’humeur du garde et puis du coupage de bois. Cela renforçait la condition physique d’Hector et qui plus est, cela servait à donner de quoi chauffer à plusieurs maison.
-à midi, pendant le repas, son mentor lui faisait réciter la partie théorique de la formation. Cela portait sur l’entretient des armes et armures mais aussi des casques.
-l’après-midi était, elle, consacrée à l’entraînement proprement dit : plusieurs armes de corps à corps étaient sollicitées et comment utiliser chacune avec un meilleur effet.
-le dîner du soir se passait après lequel Hector devait s’occuper de l’entretient du matériel utiliser pour l’entraînement, le remettre à neuf si possible pour le lendemain afin que tout soit prêt pour une nouvelle séance.
-après cela, il était déjà bien tard et le jeune garçon se mettait à genou à coté de son lit, prenant un chapelet au symbole de Heaum et récitaient quelques prières avant d’aller se coucher.
Cela dura plusieurs années après lesquelles Hector devint un guerrier redoutable. Son mentor lui dit qu’à se moment-ci, il était temps de choisir une arme spécifique et de se spécialiser dans la maniement de celle-ci. L’aptitude à combattre avec les autres étant acquise, elle reviendra bien vite en cas de besoin. Le jeune combattant n’eut pas de mal à se décider, son attirance pour l’épée bâtarde et arme de la Sentinelle, il la sentait déjà depuis un moment. Hector se perfectionna donc dans cette maîtrise accompagnée du port du pavois sous les conseils avisés de son mentor. Puis vint un jour où le garde donna des entraînements plus rigoureux à son élève. Les épées en métal avaient remplacé aux gladii afin de parfaitement se familiariser au combat réel car prendre un coup d’une épée en bois n’est pas à craindre et cela fausse quelque peu le combat. Ce changement se traduisit par de nombreuses blessures et cicatrices qui habituaient néanmoins Hector à ses futures actions martiales.

A 20 ans il entra à son tour dans la garde de la ville, dans la section qui s’occupait principalement des défenses extérieures. La région n’était pas sûr, il y avait encore de nombreux gobelins et orcs ayant basés des camps dans les Cornes des Tempêtes et dans la Forêt Royale. Certains d’entre eux rôdent encore parfois en bande autour de la ville et des groupes de gardes étaient formés dans le but de les chasser afin qu’ils retournent d’où ils venaient. Cela s’appelait « La Petite Purge » et Hector se rappellera toujours de sa première participation. C’était une journée pluvieuse et sombre, les sentiers de terre étaient devenus des bourbiers presque impraticables mais une attaque d’une ferme un peu éloignée avait été recensée. Le fermier était arrivé au poste de garde tremblant et apeuré, dégageant l’odeur âcre de la ferme, il annonça que des orcs s’en étaient pris à son étable et y avaient mis le feu après avoir piller les réserves de l’exploitation agricole, ses enfants et sa femme avaient disparu. Le tocsin à la porte nord sonna et tous les gardes de ce poste furent appelés. Le garde en chef de la porte nord invita les volontaires pour l’expédition à faire un pas en avant, ce à quoi tout le monde répondit. Le chef afficha un sourire satisfait avant d’en désigner 20 dont Hector. Le chef de patrouille ordonna le départ et ils partirent sur les lieux de l’attaque. Après une inspection scrupuleuse de la ferme et de ses alentours, des empruntent partant vers le nord furent découverte, un groupe assez important d’après le nombre de celles-ci. La traque fut donc lancée et le groupe partit à la poursuite des assaillants. Après une demi journée de marche, les hommes s’arrêtèrent plus établir un campement, les éclaireurs venus en plus rapportèrent que les orcs avaient fait une halte, ils devaient être entre 20 et 30, les enfants et la mère se trouvant dans une cage en bois. L’ordre d’attaquer tomba. Hector dans sa tente se mit à genou devant son épée, lame pointant vers le sol pour une prière au vigilant.

« Ô Vigilant par cette arme accordez moi la force de triompher de l’hérésie et de revenir sain et sauve dans mon foyer ! Dans cette première bataille qu’elle soit le prolongement de mon bras pour combattre en ton nom et purifier ceux qui ont attaqué notre ville ! »

Hector prit ensuite son pavois et son casque pour rejoindre la ligne des combattants de l’expédition. Le chef de patrouille passa en revue les 20 volontaires désignés, puis donna l’ordre de former les rangs et d’avancer. Après une demi heure de marche leur campement était en vue, à quelques centaines de mètres. Le bruit cadencé des harnois alerta la vigie orc qui à leur tour se mirent en position de combat, désorganisée et chaotique. Ils brandirent leurs armes et poussèrent des cris aussi hideux les uns que les autres mais les fiers hommes de la garde d’Arabel ne tremblèrent pas. Le chef ordonna l’assaut « En avant ! Eliminez cette vermine, jusqu’au dernier ! ». Les deux corps armés chargèrent l’un vers l’autre jusqu’à s’entrechoquer et ne plus former qu’une mêlée bruyante et sauvage. Le son du métal et des cris se joignait dans ce brouhaha infernal. C’était la première fois pour Hector mais il n’en semblait pas perturbé comme porté par sa lame, elle-même portée par la foi pour Heaum. Le combat s’acheva et le décompte des blessés commença. Sur les 20 hommes partit seulement 13 étaient encore vivant à l’issue du combat, mais 9 finalement survécurent au retour jusqu’au campement. Les enfants et la mère furent délivrés et emmenés par les gardes. De retour dans sa tente Hector prit son chapelet du Vigilant dans la même position que précédemment et pria à nouveau pour le remercier.

« Ô Sentinelle, Vous m’avez donné la puissance et la maîtrise ! Grâce à cette épée, grâce à Votre épée j’ai pu triompher de mes ennemis ! Cette arme est le symbole de ma dévotion, elle scelle ma Loyauté envers Vous ! C’est elle qui m’entraîne dans la bataille, elle-même poussée par la Foi ! Loué soyez-vous Dieu Gardien et loué soit cette épée, Eternelle Vigilance prolongement de mon bras et de mon âme ! ».

Les orcs défaits furent brûlés et à coté d’eux fut planté un étendard aux couleurs de la ville, symbole de cette victoire. Les éclaireurs apportèrent les nouvelles à la ville qui envoya un détachement rapporter les corps des valeureux gardes tombés l’arme à la main afin qu’ils soient renvoyés à leur famille pour y recevoir les dignes funérailles qu’ils méritaient. Après ce jour Hector retourna fréquemment au Temple de Heaum pour y recevoir lui et son épée les bénédictions des clercs. Son épée était plus qu’une arme, elle était devenue une compagne de tous les jours qu’il entretenait et à laquelle il vouait une attention particulièrement soigneuse. Il avait ressenti ce lien entre elle et lui mais ce n’était que le commencement, il sentait cette énergie quand il prenait la garde de l’épée mais il fallait qu’il la maîtrise.

La Foi guidait son arme, c’est comme si Heaum guidait son bras et sa lame. L’entraînement devait reprendre. Après 2 ans à servir la garde d’Arabel, Hector rejoignit les forces du Temple de la Sentinelle. Ses talents lui donnèrent le grade de maître instructeur. Il formait les jeunes recrues et les endurcissait par son épée. Les jeunes combattants étaient impressionnés quand ils le voyaient combattre ou quand ils se trouvaient face à lui pour un duel formatif. Hector, virevoltait, bougeait comment dans une danse fluide et précise. A chaque coup porté, à chaque mouvement, il récitait les saints dogmes de Heaum dans sa tête. Chaque fois que les armes s’entrechoquaient, il pouvait ressentir la vibration dans toute la lame, ce n’était plus un morceau de métal, elle était un nouvel organe. Il ne sentait plus son arme, elle faisait partir de lui : son épée, sa foi et son âme, le tout entremêlé et guidé par Heaum. Cela amplifiait la puissance de ses attaques qui devinrent dévastatrices. Cette union des trois vertus comme il l’appelait lui permettait de transpercer les plus solides harnois, même ceux protégés par la Foi. Tous les jours, ils priaient plusieurs heures, toujours à genou face à l’épée car elle était son symbole, il la respectait et vénérait car par elle il servait le Vigilant et par elle il aidait à la purification du monde, son épée méritait ce respect, jamais il ne la quitterait, unis jusqu’à la mort et dans la Foi ils étaient à présent.

Un jour, une révolte éclata dans le quartier sud de la ville, plusieurs rues étaient mises à sac et quelques habitations brûlées, une foule s’était amassée et protestait contre sa condition de vie. Jamais ou dans une bien moindre mesure cela ne s’était produit auparavant. Cela troublait l’ordre et le calme, le Temple de Heaum envoya immédiatement quelques hommes se rendre contre de la situation pour la maîtriser. Hector se rendit sur place, arme au fourreau et pavois au bras, accompagné d’autres guerriers du Temple. Une fois sur place, il resta là à observer la foule, silencieux et attentif, il cherchait les instigateurs de la révolte, il restait patient, tôt ou tard ils finiront par se montrer. Puis après un temps indéterminé il dit quelques mots à ses compagnons avant d’avancer vers la foule arme à la main. Pénétrant en elle comme dans du beurre bien frais, ils en extirpèrent 4 hommes avant qu’Hector ne poursuive :

« Qu’on amène du bois et des torches ! Ceux qui perturbent l’ordre s’opposent au Vigilant et ne servent que les causes maléfiques du Dieu Fou, nous allons les purifier pour qu’ils abjurent leurs péchés. »

Le tout fut préparé est installé, il prit lui-même la torche pour allumer le bûcher, les regardant dans les yeux, le Malin avait se démasquer promptement. Quand les premières braises chatouillèrent les pieds de ces malandrins on puit es entendre cracher leur poison et mensonges querelleurs. Un psalmodie à Cyric qui périt dans les flammes tout comme leur âme noire et corrompue. La situation s’apaisa et finalement la foule se dispersa, l’ordre reprit le dessus.

Au fil de ses années de service pour Heaum, Hector puit se sentir investir d’une nouvelle force qu’il ne connaissait pas. Il avait veiller longtemps aux intérêts du Dieu Gardien et celui-ci l’avait récompensé en faisant de lui un de ses Fils. A présent béni par les pouvoirs divins, il allait pouvoir rejoindre les Inquisiteurs de Fer… et le jour arriva finalement. Une lettre… une convocation au Temple de Heaum… un appel vers l’Ouest, il devait à présent partir rejoindre le Paladin Landric d’Ondaal à Padhiver…

Validé.

L'arrivée

Après une longue traversée en direction de l'Ouest, en évitant scrupuleusement l'Anauroch, j’arrivais enfin sur la Côte des Epées. Le voyage fut long mais sans trop d'embûches hormis quelques bandits des grands chemins donc je me défis rapidement, leur donnant la juste sentence que ces mécréants méritaient. Les routes me conduirent à Padhiver, cité des Artisans où j’avais pour ordre de rejoindre le Paladin Landric d’Ondaal. Je me rendis donc au Temple de l’Eternel Vigilant, demandant aux novices où je pouvais trouver le Baron de Madis. Il était là, devant l’autel en pleines prières comme à son accoutumée m’avait dit le jeune priant. J’avançais donc pour sortir mon épée, m’agenouillant devant l’épée pointe au sol pour le saluer. Je lui donnai l’ordre de mission, la réponse à son appel au Cormyr. Il me salua à son tour puis me donna mes quartier au Temple, j’allais alors prier devant l’autel de longue heure afin d’être prêt pour accomplir mon devoir dans cette contrée.


Un démon à l’avant-poste nain

Luskan était bien calme pour une fois, peu de monde était présent sur la place, des gens du peuple parlant et faisant quelques affaires orales. Je partis pour le nord dans une ronde classique avec pour but de débusquer le mal et l’anéantir. Arrivé dans les bois qui bordaient les abords de la ville, un curieux spectacle s’offrait à moi : des elfes rassemblaient leur armées, des fantassins et des archers ainsi quelques arcanistes pour à leur dire partir aider leurs alliers nains, assaillis par les géants du froid. Le groupe de combattants partit donc vers la forteresse naine de Karhak Drim. La route fut longue et fastidieuse mais les elfes avançaient plutôt rapidement, connaissant les sentier les plus rapides. Je les suivis car là où était le mal, je devais m’y rendre pour le châtier. La montagne était difficilement praticable, ce blizzard presque éternel ne nous aidant pas mais nous progressions pourtant à bon rythme. Malheureusement une fois que nous atteignîmes les portes de la cité naine, nous constatâmes que les combats n’avaient pas lieu là-bas mais bien à l’avant-poste récemment bâti. Les troupes se remirent en marche jusque là pour finalement y arriver. Seulement, à la surprise générale, les combats étaient déjà terminés à ce qu’il semblait, nombres de nains et de géants gisaient au sol, morts. La maîtresse des runes naines arriva près du groupe et ne trouva pas mieux que de nous hurler de partir. Ce fut assez déconcertant cependant après un moment, un autre nain nous accueillit : le général des nains Rugnus. A l’autre bout de l’avant-poste un démon est présent, la situation était calme ce qui fut surprenant. Le Roi Nourkène semblait vouloir en découdre avec cette créature des abysses, ce que j’encourageai bien sur et là cette même mage déjà bien fort agressive reprit la parole pour dire qu’il ne fallait pas attaquer un démon, que s’il n’avait rien fait, il n’était peut-être pas dangereux et surtout en me disant ces mots « Si t’es pas content le palouf tu te casses ». Personne ne parle ainsi aux serviteurs de l’Eternel Vigilant, ma réponse fut quelque peu sèche et sarcastique. La mage naine alors s’affola pour que me sorte des lieux… ils ont l’intelligence autant que la bêtise et se sentent tout permis, cela me sera confirmé plus tard par leur général. Ce dernier appela plusieurs protecteurs qui me mirent dehors. Je n’opposai pas de vive résistance et partis dignement, ceci était un outrage et se lavera dans un duel…

Quelques temps après cela, je fis cette rencontre tant attendue contre ce général, il était là sur la place, assis sur un banc accompagné d’un autre nain. Je m’approchais pour venir réclamer ce qui m’était du. Mais ce nain ne semblait pas réceptif à mes paroles, j’en conclus donc qu’il n’avait aucun honneur. Il osa m’insulter de faux paladin sur la place, celui lui valut de recevoir mon poing ganté au beau milieu de la place. Les insultes de ce type ne sont pas permises. Le nain Gulinus l’accompagnant me frappa pour me repousser, je reculais de quelques pas, son chef le général Rugnus se releva pour monter sur ses grands chevaux, il pensait m’impressionner en se présentant par tous les sobriquets qu’il possédait, je n’en avais que faire. Il avait dénigré la Sentinelle et un de ses Fils à son avant-poste, il devait par conséquent payer cet affront. A son tour, il tenta de me pousser mais je mis habillement mon pavois face à moi pour me protéger sur cette place où depuis quelques instants un garde surveillait nos deux personnes, s’assurant que la situation ne dégénérait pas de trop. Le général nain s’énerva finalement pour accepter ce duel qui eut lieu dans l’arène de la cité des voiles. Il demanda à son soldat son armure pour se changer. Je pris position de l’autre coté de l’arène, plaçant mon épée face à mon visage pour prier Heaum. Le Général Nain pria son dieu mais certainement pas assez fort ou assez bien… le combat s’engagea et tourna rapidement à mon avantage, j’encaissais les deux coups de mon adversaire, répliquant un déluge d’attaques qui mirent le nain au sol. Mon honneur et celui de l’Eternel Vigilant étaient lavés. Je salua le corps au sol avant de partir le devoir accompli.

Après un voyage de deux ans au Cormyr et avoir présenté à nouveau ses respects au Temple de la Sentinelle d'Arabel, Hector repartit vers l'ouest et la Cité des Artisans. Un long voyage sans embuche pour finalement arrivé au Temple de Heaum de Padhiver. Il s'y installa en attendant les instructions du Haut Prêtre.

[Mort RP]