- Citation :
Nom du compte joueur: Brigada_Flores
Nom du perso: Ynys Faätwnendet'
Race: Humain
Age: inconnue
Alignement: neutre mauvais
Religion: Malar
classe(s):(nbre de lv prévu aussi si possible) druide10/métamorphe15
Arme de prédilection/domaines/école de magie: cimeterre
Trait de Caractère: inconnue
Description physique: inconnue
Ynys Faätwnendet'
Ynys Faätwnendet' avait passé toute son enfance, dans le bosquet sombre de Keuvendet'. Fille d'un druide noir lache et sournois, Ynys Faätwnendet' suivit un apprentissage initiatique au druidisme fanatique du bosquet. Elle se tourna tout entiére vers la voie du changement de forme. observant les animaux, tentant de s'inprégner de tout leur mouvement de leur façon d'être. Ynys Faätwnendet' apprit a s'inprégner de la forme dans laquelle elle se change, et a forger son esprit par de longue méditation pour que son ame reste constante même apres de multiple transformation. Au début, Ynys Faätwnendet' ne se transformait qu'en de petit humanoide ou en petit dragonnet mais quand elle se sentit a l'aise elle opta pour des transformation de plus en plus originale. Ynys Faätwnendet'
fit sermant a son pére de ne servir que la nature et de détruire toute société dite civilisée...
. . .
Leoninias Kemmler et Havos de Pagleran parvinrent de bonne heure au matin du troisième jour de leur voyage dans le hameau de Aachëne, où la présence du métamorphe leur avait été révélée par la voyante Sheräa. Les deux chevaliers avaient mené grand train pour rejoindre le criminel, et la bague magique de Sheräa avait vu son éclat augmenter d'heure en heure tandis qu'ils approchaient du but.
Maintenant sa couleur tendait vers le vert, signe que le métamorphe se trouvait à moins d'une lieue de là. Le métamorphe avait commis assez de dégât, cela devait cesser, les deux chevaliers s’en voudraient toute leur vie s’il devait leur échapper. Mais les change formes sont difficiles a repérée du fait de leur nature, la bague de Sheräa pourrait être d’un grand secoure.
Ils mirent pieds à terre dans la cour poussiéreuse d'une vaste ferme, dont le propriétaire vint les accueillir avec une déférence inquiète et une mine servile des plus répugnantes.
Leoninias explora la ferme du regard en ignorant l'habitant, puis pris la parole sur un ton souverain
- De l'eau et du foin. Du pain, de la poularde et du vin. Un étranger est venu ici il y a quelques jours. Où est-il?
-Un étranger, Seigneurs? Le seul nouveau venu que nous ayons eu cette année est un enfant dont les parents sont morts voici un mois, et qui a quitté sa masure isolée pour nous rejoindre avec son misérable bien.
- Nous verrons cela après le manger.
Tout en dégustant ce que le fermier s’empressa de leur apporter, leoninias pensait à ce criminel si peux commun, à ce danger potentiel. Personne ne savait rien de lui, ou elle va savoir… pouvant à ce que l’on dit se transformer en monstre repoussant ou en animal inoffensifs. Comment le savoir ? Comment le reconnaître ?
Le déjeuner remonta considérablement le moral et la ventraille des deux chevaliers. Quant à la gironde fille du fermier, que le ruffiant avait vainement tenté de dissimuler, elle leur réjouit l'oeil et l'âme, et ils se promirent de lui rendre hommage avant leur départ.
Puis ils apprirent qu'un adolescent était venu s'installer au hameau vingt jours auparavant, avec pour tout bagage un cheval et les hardes qu'il portait sur lui. Ses parents avaient été dévorés par un Minotaure.
L'histoire parut claire aux chevaliers: lors de son évasion de la place des Boscailles, le métamorphite avait volé une monture semblable à celle que leur montrait maintenant le fermier.
Sans doute avait-il ensuite pris la forme d'un enfant et imaginé une légende pour expliquer sa présence ici. Les deux allèrent donc le trouver au champ.
La peur envahit son jeune et beau visage lorsqu'il les vit. Il était en sueur, et très salement vêtu. Leoninias s'approcha de lui.
- Qui est-tu ?
- Je me nomme Alek, Seigneur. J'ai perdu mes parents et me suis réfugié ici.
- Et le cheval ?
- Je l'ai trouvé, Seigneur. Je vous le jure. Près de la ferme de mon père.
- Bien.
Leoninias se tourna vers Havos qui approuva du chef. Il empoigna alors son sabre et d'un coup unique envoya la tête du garçon rouler dans les herbes.
Leoninias regarda le corps s'effondrer, l'air satisfait, puis sortit la bague magique et blêmit. Elle brillait du même éclat qu'auparavant. Havos la contemplait, incrédule.
- Mais! Si ce n'est pas lui...
Ils repartirent au galop vers la ferme, mais lorsqu'ils l'atteignirent
le cheval
avait disparu…