[Validé/pause][Drow][Magicien/Roublard]Melkiss'dek

Nom du compte joueur forum :Volvic
Nom du compte joueur module :Volvic
Nom du perso : Melkiss'dek
Race : Drow
Age : 240
Alignement : Chaotic Evil
Religion : Lolth
Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Magicien 21 / Roublard 4
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Rapière/ invocation
Trait de Caractère : Méthodique, Cynique, prétentieux, froid et rancunier.
Description physique :

Caractéristiques :
FOR : 10
DEX : 14
CON : 10
INT : 26
SAG : 08
CHA : 10

Langues

0-Drow
0-commun des profondeurs
1-Draconique
2-Commun
3-Langage gestuel drow
4-
5-Abyssal [invocateur]
6-Infernal [invocateur]
7-
8-



Néophyte

J’avais porté toute mon attention à la sensation des passages extra planaires. La prégnance était palpable, il manquait le langage pour les interpeller, les signes, les lignes à tracer, pour ordonner les énergies à ouvrir le passage.
Nous apprenions à tracer les premiers cercles d’invocation.

Le Cercle représente le monde. Les plans s’organisent de manière concentriques. Inscrire cette réalité la fait vibrer, et porte des points d’encrage. Le cercle est la carte macroscopique des mondes.

Je portais mon attention sur le cercle que je dessinais, m’appliquant à reproduire chaque verrou, chaque représentation spatiale, chaque symbole des gardiens des mondes, chaque strate.

Démiurge

Invoquer une créature nécessite une chose simple, passer un contrat avec le gardien du monde planaire par lequel nous passons. C’est ce qui rend notre art plus subtile et plus puissant.
Les gardiens sont souvent des êtres intelligent et sournois, nous devons donc rivaliser de malice dans les confrontations que nous avons.
Ces gardiens désirent la puissance. C’est ce que nous visons à leur accorder en échange de leur service. Parfois, il suffit de leur donner accès à notre monde pour que leur soif de destruction s’étanche. La nature des contrats est multiple. Nous nous devons de contracter nos alliances avec ces mondes et leur gardien pour tisser ce lien particulier avec ceux que nous invoquerons.

Invocare

Je parvins à achever mon premier cercle, invoquant un diablotin. La créature était instable, facétieuse, ses beuglements insupportables. Il me fallut garder mon calme et capter son attention.
Je luis promis de la chair de rivvil fraîche. Il accepta en piaillant.
Il n’était visiblement pas très difficile de manipuler ces esprits faibles par des appâts grotesques. Je savais que ce ne serait pas aussi simple avec des créatures moins primaires. Il s’agissait là d’un défit que je me plaisais à m’imposer.

Le maître des Brumes

Notre maître nous permis d’entrevoir que l’invocation ne consistait pas seulement à contracter avec des créatures, mais de conjurer des éléments, des énergies de plans sauvages. Cette énergie apparaissait sous forme de brume, léchant notre monde de sa vaporeuse présence.
Les cercles devenaient de plus en plus complexe.
Mon ambition me portait à suivre assidûment les cours et désirer ardemment la fonction de Qu'el'faeruk et peut-être même un jour celle d’ E'spdon

Le voleur de sorts

Lors de notre apprentissage, je me devais d'être reconnu, je me devais d'écraser les autres. Je ne pouvais perdre du temps à imaginer des cercles d'invocations, je saurais puiser cela chez les autres. Je profitais de quelques diversions de diablotins, pour soutirer de quelques sacs des parchemins rares à mes maîtres, de les lire attentivement et les recopiant pour me constituer une bibliothèque incomparable.
Qu'importe l'obtention du savoir, seule le résultat compte. Si je dois tuer pour cela, je le ferai.


Familier

La découverte des abysses et des enfers nous avait tous poussé à tisser un lien magique avec un démon ou diable mineur. Le caractère facétieux des diablotins m'avait particulièrement excédé. J’avais une étrange passion pour la tératologie. Notre monde était capable de permettre des aberrations, de leur permettre d’assurer leur puissance au delà de ce que la nécessité pouvait permettre. Il nous arrivait de traiter avec les tyranoeils. Ces créatures m’interpellaient, l’agitation qui occupait leur pédoncules oculaires me fascinait. Je me mis à vouloir étudier ces monstres là, et développer une étude sur la faune monstrueuse de tous les plans d’existence.
C’est pourquoi, je décidais de me lier magiquement avec un nenoeil que j’appela Tarshishim.

Pourrais-tu, en plus de ces "tranches de vie", nous donner un récapitulatif des années passées de ton PJ. Comment il s'est lancé dans la magie (pourquoi...) ; son apprentissage de roublard se concentrte sur quelles aspect de la classe (très vaste au demeurant) ?

Histoire de le situer un peu mieu dans la vie de Menzzo.

Merci, d'avance.


Mourn

Souvenirs
J’avais compris très tôt la place que notre sexe dans la cité. J’ignore si la cette réalité avait orienté ce que je devins. Obéir…Voilà la première chose que j’avais bien comprise. Pour éviter les brimades, les coups, les hurlements, les colères je me devais de rester à ma place, me cantonner à ce que cette structure lourde de plusieurs milliers d’années me poussait à suivre. La noblesse de ma famille, sa position, ne lui permettait pas de laisser une médiocre destinée à ses rejetons mâles. Mes géniteurs avaient eu la satisfaction d’avoir comme premier enfant une fille qui fut très rapidement amenée à suivre l’enseignement d’Arach Tinilith. Je n’avais guère de choix, ma constitution, mon adresse n’était pas suffisante à faire de moi un combattant émérite. Ma capacité d’analyse, mon instinct de survie peut-être aussi, m’avait poussé à faire comprendre à mes géniteur que la seule voie envisageable pour leur rejeton était Sorcere.

La faiblesse n’était pas admise, l’erreur valait la mort. Je ne me laissais pas cette option. Je remarquais bien que certains de mes condisciples étaient largement plus doué que je ne l’étais, mes talents étaient suffisant pour ne pas attiré la colère.
Je sentais que malgré mon intelligence, je perdais pieds, l’exigence était à la limite de ce que je pouvais fournir. Je jalousais ceux qui possédaient cette étrange et obscène faculté de réussir tout ce qu’ils entreprenaient. Je ne parvenais pas à les égaler. Je me devais de trouver d’autres moyens, détourner les difficultés qui étaient les miennes. Si je ne pouvais obtenir par moi même cette intelligence, je la leur volerai.

Mon esprit se fixa alors bien plus sur les jeux de diversion, de mystification, pour me procurer le travail des autres. Je sabotais le travail de mes condisciples, leur volant le résultat de leur travaux, de leurs exercices pour me les accaparer, tirant à mon compte le fruit de leur travail.
Je n’excellais pas dans la maîtrise de la magie, mais au final, seul le résultat comptait. Mon esprit s’attachait plus à la recherche de moyen détournés pour m’accaparer l’illusion de mon excellence que la recherche même de cette excellence. Je me devais cependant de travailler à ce pourquoi mes géniteurs m’avait poussé à de faire. J’appris à élaborer des mécanisme complexes, modifiés magiquement pour m’introduire chez mes condisciples et parfois même chez mes professeurs. L’accumulation de connaissance, de sortilèges devenait compulsif, le moyen et l’objet se mêlaient.
Je venais à me demander quel était le réel pouvoir, la réelle puissance : ce que je cherchais à obtenir ou les moyens que j’utilisais pour y parvenir ?
J’éprouvais du plaisir à voler, tendre des piéges, m’infiltrer dans les vies de mes congénères. L’objet de mes larcins devenait le moteur de ma motivation à les obtenir.

Je continuai, années après années à laisser grandir ma puissance au détriment des autres, à leur insu, à leur dépend.

Parfait.

Bon pour Validation des Scribes, en ce qui me concerne.

A+

Mourn

Validé

Les rumeurs du silence de la quarvelsharess enflaient déjà les rues de Menzoberrazan. Les Yathrin réaffirmaient plus que jamais leur pouvoir. Mais nous sentions bien la craindre poindre derrière cette soudaine rage.

Tres rapidement, je compris les opportunités qui s'offraient à moi. La toile, elle restait intacte, son pouvoir demeurait le seul salut de notre race si cet étrange silence venait à durer.

Il ne me fallait pas afficher trop tôt ma volonté, la prudence veut que j'assure mes arriéres. Je soutiendrai les yathrin affaiblis de mon pouvoir, gardant l'échine courbée, esclave de leur caprices. Mais bientôt l'instant viendra.

Mes contacts avec la surface pourront peut-être servir à mes projets.

J'avais déjà parcouru ce chemin vers la surface, je connaissais les raccourcis nécessaires à cette exode. Suivi de Yipzig, mon rothe (esclave) je menais une partie de mon peuple, via les riviéres souterraines dans les sous sol d'eauprofonde. J'avais eu à plus d'une occasions établi des transactions commerciales avec les rivvin. Je savais l'endrois relativement sûr.

Des centaines d'esclaves nous suivaient pour transporter quantités de reliques, de secrets, d'objets magiques. Il était temps à présent de nous établir dans ce lieu. C'est une nouvelle ére qui s'offrait aux drow, une nouvelle ére qui verrait la suprématie des yathrins s'achever enfin.

Il est en pause